La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°913)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°912)
Jaccélérais, faisant des cercles autour de son clito, le suçotant, le léchant, laspirant
Maîtresse Épine dOr avait la respiration qui saccélérait, ses doigts dans mes cheveux, se contractaient comme un chat qui ronronnerait, sauf que cétait les griffes dune vraie panthère. Pareillement sans jouir, elle me repoussa en me donnant une petite claque, rebaissa sa robe et se repositionna face à la table. Maîtresse Nadia, que ça avait dû exciter de voir sa voisine assise en face delle se faire brouter le minou, mappela également, prit la même position et réclama le même service. Elle portait une culotte noire, et je commençais à la lécher à travers le tissu. Jétais à quatre pattes devant elle. Maître Kalès avait approché sa chaise et me doigtait la chatte, tandis que Maître César me griffait le dos. Maître Mangini, après que Maître Kalès se soit éloigné se mit à quatre pattes derrière moi, et penchant sa tête il commença à me lécher également avec rapidité et appétit, manquant me faire jouir en quelques secondes, tellement ça avait été imprévu, précis et intense ! Puis il se mit à me claquer les fesses, me griffant le dos, remplaçant ainsi Maître César, et se mit lui aussi à me doigter la chatte sauvagement, pendant que Maître César me maintenait la tête sur la chatte de Maîtresse Nadia, manquant m, alors quelle avait écarté sa culotte pour laisser ma langue avoir accès à son petit bouton de chair gonflé de désir. Puis les hommes séloignèrent un peu, et Maîtresse Nadia me tira les cheveux jusquà ce que je sois à genoux et membrassa langoureusement goutant ainsi ses propres sucs
Je pus ensuite recommencer à desservir lentrée, espérant quon me laisserait tranquille au moins jusque jeus fini. Mais mes espoirs furent vite estompés. Maîtresse Cravache exigea à son tour à boire, et après que je leus servi, je dus me tenir droite, la carafe dans une main des bols vides dans lautre, tandis quelle aussi investissait ma chatte de ses doigts inquisiteurs.
- Tu pourras crier petite salope de chienne !
Elle se leva, alla jusquà une table basse qui se trouvait dans un coin de la pièce, et attrapa un instrument que je ne connaissais pas, un manche long dune quarantaine de centimètres, à un bout une poignée avec une fonction marche arrêt, et se terminant à lautre bout par une petite fourche à deux dents rouges :
- Ne lâche pas ce que tu as dans tes mains, et ne renverse rien, chienne !
Le Maître qui se trouvait en face de moi, à lautre bout de la table, me lança un regard intense et Dominant, qui donnait autant dencouragements que davertissements à ne pas le décevoir. La fourche me toucha une fesse, en même temps que la domina appuya sur le bouton, menvoyant une décharge électrique qui me fit crier. Puis elle approcha sa fourche de mon entre jambe me faisant craindre le pire. Elle faisait mine de lancer son appareil vers moi puis se reculait, me torturant mentalement. Je luttais pour ne pas refermer les cuisses et ne pas chercher à me dérober. En fait, un courant électrique sortait de lappareil, et comme jétais trempée, je savais que jallais plus facilement conduire lélectricité et que jallais le sentir passer. Et quand la Domina partit dassez loin en se rapprochant tout doucement, je contractais tous mes muscles pour ne rien renversé, jusquau moment où la fourche matteignit et où jhurlais, puis me repris en haletant, tandis que Maîtresse Cravache allait ranger son appareil.
Maître César voulut de leau, je me dépêchais dapporter la carafe. Il exigea que je le serve, seins plaqués contre la table, cul bien relevé. Je remplissais son verre difficilement, pendant quil faisait aller et venir sa main entre mes cuisses, son pouce appuyant sur ma rondelle. Puis il me doigta franchement, tandis que Le Comte dOrlan arriva rapidement, me mettant une main dans ma bouche et me malaxant les seins après mavoir légèrement relevée de son autre main. Jhaletais mais faisais tous les efforts possibles pour ne pas gémir. Maître César donnait limpression de vouloir mélargir la chatte, car il faisait des mouvements amples de bas en haut, de droite à gauche, étirant mes parois. Maître César me fit me relever et mabandonna à Maître Le Comte dOrlan, qui reprit son malaxage de mes seins, tout en me doigtant vigoureusement à son tour. Puis il me repoussa à son tour. Je sentais la cyprine qui me dégoulinait le long des cuisses tellement jétais excitée. Jaimais cette sensation de nêtre plus rien, quun simple objet de plaisir, de nêtre plus bonne quà me soumettre à tout ce que ces hommes et ces femmes voulaient me faire subir, sous les yeux du Maître, qui Lui ne me touchait pas mais ne perdait pas une miette de tout ce qui se passait dans cette pièce.
Maître César me rappela à lui, après avoir éloigné sa chaise de la table. Il avait dégrafé son pantalon et avait sorti son sexe de belle taille aux couilles énormes et à la hampe raide et gorgée de sang. Je le gobais dabord en entier, puis je suçotais juste son gros gland violacé. Les vaisseaux étaient saillants et ne demandaient quà se faire vider. Maître Mangini et Maître Evrest avaient placés leurs chaises en ligne à côté de lui, avaient également sorti leurs grosses bites de leurs caleçons, et commençaient à se branler tout en me regardant sucer leur ami.
Mais Maître Mangini que jétais en train de sucer, me mit une claque, exigeant que je le regarde dans les yeux. Jaurai été incapable de dire à qui appartenaient les mains qui me parcouraient, ni celles qui semblaient être en train décrire dans mon dos du bout de son ongle. Maître Wallance prit la place de Maître Mangini, et je continuais à branler, sucer, gober des bites et des couilles qui se présentaient devant moi, toutes plus raides, plus grosses, plus longues les unes que les autres. Maîtresse Épine dOr sapprocha et menleva les menottes de fer de mes poignets, ainsi que celles fixées à mes chevilles. À ce moment-là, javais une queue dans la bouche et une dans chaque main, raison pour laquelle on mavait libéré les mains pour avoir un écart possible entre les deux plus important.
Ma peau et ma chatte me brulaient, javais mal aux joues à force de pomper des queues, mal au crâne à force de me faire tirer les cheveux pour me diriger dun côté ou de lautre. Et pourtant je navais jamais été aussi excitée de ma vie
Jeus enfin droit de me relever. Tous les Invités reprirent leurs places autour de la table. Et je pus servir le plat de résistance. Je ne regrettai quune seule chose. Tous mes orifices avaient dû servir à toutes les personnes présentes, à lexception du Maître. Je comprenais que si je voulais pourvoir à nouveau avoir lhonneur quIl soccupe de moi, je devais Le rendre fier durant cette soirée, ne pas désobéir, et accepter tout ce qui pourrait être exigé de moi, peu importe ce que ce serait et de qui lexigence viendrait
Je nétais quune salope de chienne soumise MDE et si heureuse de lêtre
(A suivre
)
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