Voiture De Collection
Je vais souvent rendre différents services a Eugénie notre voisine âgée denviron quarante cinq ans, veuve depuis dix ans elle est très discrète, voire effacée, toujours en pantalon et veste en jean comme pour cacher sa féminité, je ne lui connais pas damants, son visage exprime la tristesse depuis la disparition soudaine de son époux, et pourtant vue du haut de mes vingt ans elle est encore très désirable
Cependant une chose mintrigue, mais par respect et politesse je nai jamais osé lui parler de cette voiture protégée par une bâche que le garagiste vient mettre en route une fois par mois, je my connais assez pour deviner de quelle marque et type il sagit, Mercédès cabriolet 190 SL blanche, intérieur en cuir rouge, une voiture de légende ! aujourdhui de collection vu son âge mais bizarrement très bien entretenue, un jour après le départ du mécano jai pris mon courage a deux mains
- Eugénie ? je peux vous poser une question ?
- Oui Mathias ?
- Cette voiture ? quest-ce quelle fait là ? vous ne vous en servez jamais ?
- Mon petit, tu ne peux pas comprendre
Et là elle éclate en sanglots
- EUGÉNIE !! ?
- Pardon, excuse-moi Mathias cette voiture représente toute lhistoire de ma vie
- Racontez-moi
- Je ne peux pas, tu es trop jeune
- Moi trop jeune Eugénie ? jai vingt ans, je suis un homme !
- Cest vrai ! je ne me rends pas compte du temps qui passe
- Alors ?
- Viens, je vais te faire un café
Un peu plus tard, assis face à face elle hésite encore puis, dun air décidé se lance
- Mathias ce que je vais te confier ne doit jamais sortir dici
- Juré Eugénie !
- Cette voiture, du temps de mon regretté Yvan, cétait notre lit conjugal !
- Lit conjugal ?
- Oui, Yvan ne supportait pas de me faire lamour platonique dans notre lit alors nos effusions se passaient dans la Mercédès
- Huuooooouuuuuuaaaaa ?
- Quand nous prenions la route jétais vêtue de façon bien différente que maintenant
- Ha bon ?
- Si tu mavais vue en mini robe, la voiture découverte, la tête protégée par un foulard, lunettes de soleil pour préserver mon intimité et identité car je laissais le vent dénuder mon corps au gré de la vitesse
- Vous ? vous aviez .
- Si javais une petite culotte ? parfois oui parfois non ! mais jamais de soutien-gorge ! si tu avais vu la tête du pompiste lord des pleins dessence, car a cette époque un gars nous servait, et Yvan insistait pour faire nettoyer le pare-brise
et aussi dans ce temps là les péages dautoroutes étaient tenus par des employés, Yvan passait des minutes à trouver sa monnaie !
- Laissez moi deviner... vous écartiez les genoux ?
- Exactement ! je peux tassurer que la vitre était nickel et que le gars de la cabine de péage était pleinement satisfait !
- Le pied !
- Sur la route lorsque nous dépassions les camions javais le pied droit sur le tableau de bords et lautre bien éloigné
- Je me doute du spectacle
et ça finissait comment ?
- Ça cest mon jardin secret
- Excusez moi Eugénie ma question est stupide, je me doute que vous vous arrêtiez quelque part pour faire lamour tous les deux ?
- Pas toujours rien que nous deux
- NON ????
- Si
et ça me manque terriblement
- Pourquoi ne vous baladez vous pas seule en voiture ? je suis certain que vous feriez des ravages !
- Pour la simple raison que je nai pas le permis
- Moi je lai
- Tu as ton permis de conduire ?
- Bien sûr !
-
NON
je ne peux pas te demander ça
- Mais si ! OSEZ Eugénie ! je serais complice de vos déplacements clandestins
- Tu es sûr de pouvoir garder un tel secret sans chercher à profiter de la situation ?
- Allez vous changer, ressortez vos petites robes, je vais faire tourner la Mercédès !
- Mon dieu ! tu es fou, je suis folle ! voici les clés, baisse la capote, jarrive !
Lorsque jai vu arriver cette nana habillée ras la moule dans une robe entièrement boutonnée devant, certes démodée mais hoooo combien sensuelle jai eu du mal à reconnaitre ma voisine cachée derrière des lunettes sombre foulard sur la tête ! galant homme je lui ai ouvert la portière, elle sest laissée tomber sur le cuir sans chercher à savoir si sa robe cachait ou non ses cuisses dépourvues de cellulites ! la seule question
slip ou non ??? en tous cas ça ne laissait pas ma queue indifférente !
- Prend lautoroute.
- A vos ordres madame la baronne !
- Regarde la route sil te plait !
- Vos jambes sont sublimes
- Mes cuisses tu veux dire ? regarde la route te dis-je !
- Pas facile dêtre zen !
- Je ne me fais pas dillusion, dés que nous prenions la route Yvan était en érection
- Bien vu... je le suis aussi
- Petit cochon, accélère un peu que diable !
- Je vais faire voler votre robe !
- Wwwwoouuuuuuuuh cest paaaaaaaaarrrrrrrrtttti !
Eugénie porte un string bleu
callée dans son siège protégé par un plaid, sans doute a cause des taches probables
cachée derrière ses lunettes de soleil elle ne fait rien pour dissimuler ses jambes dénudées, je me retiens pour ne pas poser une main sur sa cuisse ouverte vers moi ... offerte
aussitôt le péage, sans personnel, dommage ! jaccélère encore pour faire remonter le tissu au-delà du ventre parfaitement plat
Eugénie se cramponne au siège, sa main gauche est tout prés du levier de vitesse
je leffleure a chaque changement de régime
- Ralentis Mathias voici des camions
- Jallais le faire... dépattez le haut de votre robe...
- Petit chenapan ! tu es exactement comme Yvan, il mencourageait pour que je mexhibe de plus en plus effrontément ! ça va comme ça ? tu vois mes seins ?
- Je vais avoir une apoplexie !
- Pour exciter le chauffeur je tautorise à poser une main sur ma cuisse
- HHHoooooo merci !!!
- Stop ! pas plus haut !
Le chauffeur a fait une embardée sous la surprise, il klaxonne comme un malade, je décide daccélérer afin déviter laccident
- Ratt le prochain camion
- Cette fois déboutonne tout
- Tu me tutoie à présent ?
- Tu vas mobéir petite chienne en chaleur
- Ooouuuuiiiii Yvan me parlais ainsi ! ça me faisait mouiller comme une salope
- Parce que ce nest pas le cas ?
- Je suis une salope qui a complètement inondée sa petite culotte
- Donne-la-moi
- Voilà
- Huuuuummmmm tout liode de locéan est là-dedans ! met ton siège en couchette
- Oui bonne idée !
- Tire sur ta toison bouclée afin douvrir ta moule, je veux que le routier voit ta craquette
- Demain je me raserais entièrement lentrejambe comme au bon vieux temps
- Allonge-toi on arrive sur lui
soulève ton bassin
- Regarde ma chatte vicieux de chauffeur !!
- Salllooooopppppe !! enfonce tes doigts dans ton con !
- Tu entends ce quil me dit ?
- Quattends-tu pour lui faire plaisir ?
- Tieeeeennnnnt en voilà trois dans mon ventre, satisfait gros porc ? !!
- Fait les moi sucer Eugénie
- Mais ce nest pas prévu dans nos accords Mathias ?
- Ma queue doit être violette depuis le temps quelle est comprimée dans mon boxer
- Mon pauvre petit
arrête-toi à la prochaine aire de repos
- Que veux-tu faire ?
- Me faire baiser par des routiers pardi ! jai la choune qui réclame du boudin
- Ce nest pas dangereux ?
- Pas si tu maide
- Comment ?
- Je te suis dans les WC des hommes
tu jugeras quand il sera temps darrêter car lorsque je suis lancée je perds la notion du convenable
- Compte sur moi Eugénie, je pourrais me masturber en te regardant te faire démonter ?
- Bien sûr mon grand, soulage-toi
- Gare-toi ici, jai la trouille ça fait tellement longtemps
- Repatte quand même quelques boutons pour traverser
- Yen a deux qui nous ont repérés.
- Entre là vite, je garde la porte
salut ! vous venez pour ma femme ?
- Elle suce ?
- Si vous êtes clean oui, elle accepte même plus
- Elle se fait prendre ?
- Si tu es bien monté, oui
- Regarde cette gaule de cheval
- Ça te va Eugénie ?
- Je suis trop en manque pour faire la fine bouche, je mappuie sur la cloison, baise moi par derrière
Eugénie se fait prendre avec un naturel déconcertant, elle accompagne les coups de reins violents en projetant son cul vers son amant qui nen croit pas sa bite, moi, je me contente de décalotter mon gland et de le masser délicatement au creux de ma paume, ayant éjaculé lhomme laisse sa place au deuxième qui ne perd pas une seconde pour enfiler ma voisine
- Curva ! tarta ! !!
Il ma fallût un long moment pour comprendre quEugénie se fait saillir par un polonais qui ne la ménage pas ! depuis le temps quelle na pas pratiqué elle donne des signes de fatigue, un troisième routier vient de forcer la porte, jai tout le mal du monde a lui faire comprendre que cest finit et a le refouler, le polonais sessuie la bite a la robe a moitié tombée avant de repartir en se félicitant de la bonne aubaine dans sa langue maternelle
- Ça suffit Eugénie, nous rentrons
- Déjà ?
- Tu es complètement folle ? ça suffit ! rhabille-toi et suis-moi ou je te laisse ici
- Booon ça va ne te fâche pas
La voiture re-capotée, ma voisine à moitié endormie, avachie sur le siège les jambes ouvertes, sa chatte recrache le trop plein de foutre sur le plaid, une odeur acre de sexe règne dans lhabitacle, je fonce vers son domicile, jappuie sur la télécommande qui ouvre le garage et my engouffre
- Où somment-nous ?
- Nous arrivons chez toi, va vite prendre une douche et couche-toi
- Wouuuuuuuh jai pris un pied monstre ! et toi Mathias ? tu as jouis ?
- Ce que jai vu était trop écurant
- Mon pauvre biquet
vient vite me rejoindre sur la banquette arrière !
- Mais que fais-tu ?
- Vient me baiser mon chéri
- Eugénie
- Dorénavant tu memmèneras en promenade une fois par semaine !
Jai plus arrachés quenlevés mes vêtements avant de plonger sur le siège arrière et denfoncer ma queue dans cet antre marécageux dans un gargouillis immonde, jai baisé ma voisine trois fois avant de mendormir entre ses bras
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!