Christine Vacances Et Métro
Retrouvé cette histoire que j'avais perdue.
Bises
Les vacances de Christine
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Cette confession pourra paraître bien crue, voire choquante pour certains. Quimporte. Christine ma envoyé ce texte que jai retranscrit (avec quelques retouches syntaxiques, seulement).
Le langage est « cru », voire vulgaire, les situations scabreuses. Ainsi va le monde lorsque lon fréquente les dessous obscènes qui le composent.
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Comme convenu je ne devais rejoindre Christine près dAntibes que dans deux semaines où elle passait seule des vacances et où je devais la rejoindre. Je savais quelle ne se priverait de rien et quelle mettrait à profit sa liberté pour « samuser ».
Je reçois au bout dune semaine ce mail :
« Mon chéri,
Pardonne-moi de ne tavoir pas écrit plus tôt, mais jai été prise toute la semaine. Les vacances sont parfois fatigantes mais on peut les rendre très excitantes ! Les deux premiers jours furent consacrés au repos et à me faire dorer sur la plage, tu verras combien le soleil sait me caresser.
Par contre jai passé les jours et nuits suivantes de façon très remplies. Je rentre ce matin vers 6 heures. Je suis fatiguée et je técris après quelques heures de sommeil. Je vais me recoucher et rêver dès que jaurai terminé ma confession. Ne sois pas choqué, mon chéri. Tu me connais.
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Mercredi, me rendant à la plage, sur le petit lieu que javais élu, près dun rocher, assez à lécart, me déshabillant, je me suis rendue compte que javais oublié mon maillot. Je navais pas envie de rentrer au studio. Ce nétait pas une plage de nudiste. Je portais sous ma mini en skaï rouge que tu aimes une petite culotte en coton blanc, (tu sais, celle genre « petit bateau » que javais rectifiée afin quelle soit plus ouverte). Je défais ma jupe, retire le haut et mallonge ainsi en culotte sur ma serviette. Le soleil me chauffe, partout.
Terrasse dun café, une vodka orange. Des regards complices. Un homme vient me demander sil peut sasseoir à ma table. Oui, bien entendu, jaccepte. Un bel homme (Michel), courtois, viril (45 ans environ). Nous parlons. Il minvite au restaurant (champagne, bonne bouffe
). Nos conversations virent rapidement sur le cul, pour le dire vulgairement. Nous en venons, boisson aidant ( ?) à nous dire des « cochoncetés », des mots crus, il adore ça. Je vais te dire les mots qui mont le plus affolée : putain, pisseuse, salope (cest banal), baiseuse, suceuse et
poufiasse (cest le mot qui ma le plus retenue). Je suis donc une « poufiasse ». Nous sommes ensuite montés au studio. Nous nous sommes embrassés et tripotés. Sa main na pas tardé à passer sous ma jupe. « Javais bien raison de te traiter de pisseuse », me dit-il constatant létat de ma petite culotte. Je lui dégrafe la braguette et sors son membre tendu et dur comme une barre de fer. Je lui enfile un préservatif, me tourne et lui offre mon derrière. Il me baise comme un forcené enfonçant un doigt par-dessus ma culotte dans mon petit trou (ce que tu aimes me faire et que jaime que lon me fasse). Je lui dis avant quil parte que javais envie de sortir et de me trouver un type. Il me dit de rester tranquille, de me reposer. Je suis sage. Je prends un bon bain et dors comme un loir.
*
Le lendemain, je retourne à la plage, un autre endroit. Très sage. Je fais la rencontre de Virginie, une jeune personne qui te plairait, sensuelle, grande, blonde, assez bien en chair
Nous faisons connaissance, elle minvite à une soirée quelle organise avec son ami samedi.
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Je vais te raconter par le menu ce qui sest passé. Je suis fatiguée mais très excitée à lidée de te faire le récit de mes aventures.
Je suis restée à la maison, seule, reposée. Jai appelé Michel à venir me rejoindre. Je me suis habillée « très pute » (mini en cuir évasée, bottines, tee-shirt moulant, ventre dénudé
) Des bisous, des caresses, rien de plus malgré nos envies. Nous nous rendons chez Virginie vers 21 h. Une bouteille de vodka. Virginie nous a accueillis, surprise que je vienne avec un homme. Déjà quelques convives, de toutes sortes : jeunes, vieux, dévergondés ou réservés. Virginie me présenté son ami (Gérard) en fait elle voulait que je le rencontre parce quil mavait remarquée et appréciée sur la plage. Un bel homme ! Nous navons pas tardé à faire « connaissance ». Nous nous sommes embrassés, un peu caressés
Puis nous sommes allés nous isoler dans une petite pièce. Je lui ai offert mon cul (pardonne-moi la crudité de lexpression), il ma baisée. Il sest brusquement interrompu et jai senti le jet chaud de sa semence inonder mes fesses tendues. (Jaurai préféré quil jouisse dans ma bouche !). Je lui ai demandé de me lécher. Ce quil a fait avec soin, noubliant aucun replis de mon intimité.
*
Ensuite, mon chéri ? Tu veux savoir, jimagine
Je suis retournée dans la salle de séjour. Jai discuté, regardé. Un type ma accroché. Il était quasi nu : un petit slip en cuir avec une fermeture éclair sur le devant. Un tee-shirt blanc, bien moulant, de très belles fesses. Des bottines. Je craque, comme tu peux limaginer. Nous nous rendons dans la salle de bains. On se touche. Je lui ouvre le slip, sors le sexe ! Ah quelle queue ! Il me baise. On ne se dit rien. On navait rien à se dire, juste à jouir. Jai joui comme une salope. Lui aussi.
*
Ensuite et enfin, je nen peux plus de te raconter, il le faut toutefois.
Il est tard déjà. Je me suis reposée sur le canapé, un peu assoupie, rêvant.
Je sens une main sur mon genou. Il sagit celle de Françoise, une femme dun certain age, assez autoritaire et déterminée. Je me laisse faire, ouvre un peu les jambes pour la laisser faire. Elle mexcite par des mots quelle me chuchote à loreille. Elle me demande de la toucher. Ce que je fais. Elle me dit que son vieux mari est en train de nous mater et me demande douvrir un peu plus les cuisses, elle tire un peu ma culotte afin de dégager mon minou et de le mettre bien en vue. Jaime la situation. On va retrouver le « vieux ». On se rend dans la petite chambre. Elle lui baisse son pantalon, lui sort la bite. Elle me demande de le sucer. Elle est un peu molle, malgré mes efforts. Elle me demande de la lécher, ce que je fais malgré mon dégoût. Jaime malgré tout. Il me tripote par derrière. Cest encore mieux.
Elle me retire ma culotte toute souillée par mes excès, retire la sienne. Et se met la mienne. Il vient lui renifler entre les cuisses. Je le branle pendant ce temps. Il bande mieux, plus dur.
Je récupère ma culotte. Je la garde précieusement, je me la remets, je la porte en técrivant.
Je suis une vraie « petite poufiasse », comme tu peux le voir. Je nai pas honte. Je vais dormir. Demain je serai très sage. Ensuite je ferai ce que tu me demanderas de faire.
Je suis tellement impatiente de te revoir.
De tembrasser.
Ta Christine
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