La Mecene Decouvre Le Basket

Depuis notre soirée chez le président du club de basket, j'avais rencontré Daniel à plusieurs reprises afin de finaliser les conditions et notre accord de mécénat avec le club. Avec un budget de 900.000 € par an, le club était arrivé à un seuil qui n’était pas suffisant pour évoluer en Pro B. Passionné de Basket, Richard avait décidé d’investir 200.000 € par an, avec un contrat de 3 ans, qui nous permettrait de bénéficier de marquage sur les maillots de match, domicile et extérieur, de large espace publicitaire sur le site internet, également de l’affichage au palais des sports, ainsi que des annonces pendant le match. Nous étions devenus le sponsor principal, et mon mari était entré au comité, nous apportant aussi un statut de VIP, et une obligation d’être présent aux événements importants. Je détestais toutefois mes réunions avec Daniel qui alternait entre une attitude de dragueur ou de goujat et devais en permanence repousser ses gestes déplacés qu'il se permettait à mon égard de manière régulière. Il avait toutefois particulièrement insisté, afin que je participe à un déplacement pour un match de grande importance contre Vichy. Alors notre qualité de sponsor nous imposait d'être présents à ce genre d'événements, je n'avais toutefois pas prévu ce voyage en bus, espérant pouvoir me limiter à quelques matchs à domicile et sans conséquence sur mon emploi du temps. Richard insista pour que je sois présente ,et donc j’acceptais l'invitation à contre-cœur. Nous étions partis tôt le matin, accompagnés des joueurs, de quelques supporters et d’une partie du staff, la plupart s’étant installés sur la plateforme à l'étage offrant une vue panoramique et plus de confort. Pour ma part, j'avais préféré le calme du bas, stressée par les 5 h de trajet aller, 5 h pour le retour et un match de 2 h, essayant deplus d’éviter le président, que je considérais comme un odieux personnage. Je priviliégiais la compagnie de Quentin et Antoine les jeunes bellâtres que j'avais rencontré lors de la soirée sponsor et à qui j’avais fait sans aucun doute une immense et agréable impression.

Le bus appartenait au club, acheté d’occasion, ce modèle Skyliner était extrêmement confortable. D’une grande capacité avec des équipements individuels de qualité et un agencement de l’espace intelligent et spacieux, plus une multitude de détails au niveau de l’équipement qui lui conférait une atmosphère de bien-être à bord. Le positionnement de l'escalier à droite dans le sens de la marche permettait de libérer de l'espace dans le compartiment passager du haut, avec 70 places assises dont la plupart étaient à l'étage, avec sur la plateforme du bas un petit coin cuisine ainsi que des toilettes et quelques places assises.
Malgré ce contexte sportif et ce long déplacement, j’avais toutefois décidé de faire un effort particulier sur ma tenue, en ligne avec ma position de mécène. Un pull de style basique de couleur Camel unicolore, manche longue classique, col rond en Polyester et Élasthanne lui donnant une grande extensibilité pour un type de coupe très ajusté. Le top de ma tenue était dans mon pantacourt qui m’arrivait au bas du tibia en cuir PU, fait avec des peaux abîmées et agglomérées parfaite imitation du vrai cuir. D’un style élégant noir unicolore, il avait une coupe flottante, avec des pinces sur la taille et une lanière ceinture en cuir nouée par flot à ma taille, qui faisait ressortir mes hanches, mais également les courbes de ma magnifique poitrine. Je me savais époustouflante, avec pour finir un manteau en fourrure synthétique mi-long blanc cassé.

Le voyage se déroula paisiblement, les joueurs cherchant la concentration, et les autres respectant le calme qui précéde la compétition. Je jouais aux cartes avec Quentin et Antoine, profitant aussi pour lire et écouter de la musique. Au terme de ce long voyage, nous arrivions vers 15h30 au Palais des Sports Pierre Coulon de Vichy situé à 5 minutes du centre-ville, dans un espace arboré, et en bordure d’un Lac. Le centre omnisports était composé de la salle de basket, de plusieurs zones de réception pour accueillir les partenaires, et bénéficiait également d’une salle de musculation et d’une salle de détente (jacuzzi, cryobain).
Je profitais de l’après-midi pour visiter la ville avec mes deux compagnons. Antoine jouait les guides, connaissant particulièrement bien la ville ayant joué à Vichy avant de rejoindre notre club. Vers 19H30, nous avions pris place dans les tribunes, avec nos supporters, délaissant la zone de réception qui nous était pourtant réservée. Le match commença, et ignorant tous des règles, Quentin m’expliqua le déroulement du jeu.
- La partie se compose de 4 périodes de 10 minutes séparées par des intervalles de 2 minutes sauf entre la 2e et 3e période où l'intervalle est de 15 minutes. Le chronomètre est arrêté à chaque coup de sifflet de l'arbitre, donc la durée réelle du match excède de beaucoup le temps de jeu réglementaire et atteint généralement deux heures. On profitera de la mi-temps pour se rendre au salon VIP.
Le match débuta, avec la présentation des joueurs et le coup d’envoi, et en effet les périodes de jeu, étaient beaucoup plus longues. Au bout d’une heure de match, Antoine nous proposa de nous rendre aux salons VIP qui se trouvaient à l’opposé, afin de rejoindre Daniel qui nous attendait. Il y avait un monde fou, et les spectateurs profitant de ce temps mort pour sortir des tribunes nous bloquait le passage.
- Venez, suivez-moi, je connais un passage plus rapide.
Il nous conduisit en dessous de la tribune centrale, endroit en principe interdit, et dans lequel était entreposé tout le matériel. Le dessous de la tribune, était composé d’une multitude de petites cages en fer, qui étaient réservées aux différentes équipes. On pouvait entendre raisonner le bruit du public au-dessus de nos têtes et alors qu’Antoine ouvrait une dernière grille pour traverser, je sentis Quentin se presser contre moi, m’attrapant par les hanches, me faisant réagir.
- - Et bien jeune homme que se passe-t-il ?
- - Et si on profitait de ce petit moment d’intimité ma chère et très belle Patricia.
- - Quentin, s’il vous plaît, vous savez que je suis une femme mariée.

- - Ohhh oui, je le sais, mais il n’a pas l’air d’être trop jaloux le mari.
Alors que j'essayais de résister pour la forme, les 2 garçons m’avaient coincé dans ce couloir obscur, et commençaient à me caresser le corps sans attendre le moindre consentement de ma part. Quentin me retira mon manteau de fourrure qu'il laissa tomber par terre, dévoilant mon corps recouvert de cette tenue bourgeoise chic et sophistiqué. Quentin derrière moi me tenait par les bras et m'embrassait dans le cou, alors qu'Antoine se serrait contre moi et me palpait les fesses au travers de mon pantalon de cuir noir. Je protestais pour la forme et essayais de les repousser, mais leurs mains expertes me rendaient folle. Ils allaient me faire perdre la tête. Je savais que j'allais à nouveau tromper mon mari, seulement quelques semaines après ma promesse et ne voyais pas comment résister. Ils étaient trop fort, trop jeune, trop beau, trop désirable. Ils avaient réussi en quelques minutes à m'exciter sous cette tribune sordide et allaient sûrement me posséder. Leurs caresses se faisaient de plus en plus actives et pressantes et bien que continuant de me plaindre, je m'abandonnais dans leurs bras, debout et coincée contre leurs corps musclés.
- Tu es trop belle, tes gros seins, tes belles fesses, tu es venue sur terre pour faire l’amour.
- En plus, habillée comme tu es, c'est un appel au viol. Avoue que ça t'excite de te parader dans tes fringues de bourgeoise lubrique et te faire mater par tous ces mecs.
- Viens Patricia, suis-nous, on va être tranquille sur ces tapis.
Antoine me prit par la main pour m’entraîner dans une petite cage, me poussant sur ce qui ressemblait à des tapis de judo. Assise et coincée entre lui et Quentin, ils continuaient à me caresser toujours sans se préoccuper de mes protestations.
- S’il vous plaît les garçons laissez-moi tranquille, je ne veux pas et c'est totalement inapproprié.
- Allons ma beauté, je sais que tu as envie de nous
- Oui, tu nous fais juste une petite pipe comme la dernière fois.
Suce-nous tous les deux, on a trop envie de toi.
- Regarde comme tu es belle avec tes gros seins qui débordent de ton pull et tes belles fesses dans ton pantalon simili cuir, j'ai trop envie de toi.
- Allez maintenant ça suffit laissez-moi partir, Daniel nous attend
Sans prêter attention à ma résistance, Quentin m'attrapa la nuque et attira mon visage vers le sien pour m'embrasser fougueusement alors que les mains d'Antoine s’abattaient sur ma poitrine pulpeuse. J'étais coincée en dessous de cette tribune avec ces deux jeunes bien décidés à r de moi. Leurs mains étaient partout sur mon corps, pendant que je sentais la langue de Quentin qui jouait avec la mienne et qui comme par pur automatisme répondait à son baiser.
- Regarde, tu en meurs d'envie, tu es chaude comme la braise. Dis-nous que tu as envie qu'on te baise.
- Non hors de question, j'ai promis à mon mari de ne pas le tromper.
- Alors tu vas nous sucer, tu vas avaler nos grosses queues entre tes lèvres magnifiques.
La main d’Antoine s’était glissée entre mes cuisses, me caressant le vagin de façon sensuelle, déclenchant une réaction de désir automatique. Mon corps commençait à répondre à leurs caresses, me faisant passer de résistante à consentante.
- Ohhhhh les garçons, vous me rendez folle, vous n’êtes pas raisonnable !! Ohhhh oui allez-y violez moi la bouche, mais promettez-moi que ce sera la dernière fois
- Oui, t'inquiètes pas ma belle, juste un petit coup rapide laisse-nous jouir dans ta bouche. Suce-nous !
Quentin libéra son sexe bien dressé, et poussa mon visage entre ses cuisses, me forçant à avaler son membre baveux et bien dur, alors que la main d’Antoine continuait de me soumettre. Je pompais le premier, et me laissais caresser par le second qui baladait ses mains entre mon vagin et mes gros seins. Ils me firent alterner cette pipe plusieurs fois, passant de l’un à l’autre, abusant de moi, cette bourgeoise sophistiquée qui avait promis de plus tromper son mari, et qui suçais les premiers jeunes qu’elle croisait. Alors que je continuais à les sucer, une ombre attira mon attention. Daniel était là devant la cage, avec son téléphone en main, filmant toute la scène. Je venais de comprendre, il m’avait piégé, et tout était prémédité.
- Bravo messieurs, j’ai toute la scène, en tout cas chère Patricia, je pense que votre mari sera ravi de constater que votre résistance n’aura pas duré plus de 2 minutes.
- Hummmmmm !!!!! Bande de salauuuuu Hummmmmmm.
- Tais-toi et continue à nous sucer beauté, tu nous as promis une bonne pipe…
- Continue ma belle, occupe-toi bien de mes deux petits jeunes, moi, je te garde pour plus tard.
- Ohhhhh quelle bouche, quelle pompeuse, je vais me vider au fond de sa gorge….
Il me tenait par les cheveux, me tenant aussi les bras, afin que je ne puisse me soustraite pour ce qui était devenu un viol buccal, et je savais qu’avec cette vidéo, il allait pouvoir faire de moi ce qu’ils voulaient. J’étais piégée, et à sa merci !!! En quelques minutes, j’étais passée de l’amante qui suce tendrement ses amants, à la proie dont on force la bouche pour se soulager. Ils me tenaient tous les deux avec force, m’empêchant de me soustraire à leur volonté.-
- Terminez là, et ramenez là au bus, et stockez la moi à l’abri pour le voyage du retour. Raymond la surveillera.
Quentin jouit le premier dans ma bouche, se vidant à grand renfort de grognement…
- Ohhhhh, oui avale moi tout salope, je t’ai tout donné !!!!
Antoine prit sa place, ayant relevé mon pull, pour faire apparaître mes gros seins protégés par mon soutien-gorge corbeille, et repoussa sa bite dans ma bouche tout en me palpant mes gros nichons qui débordaient de la dentelle. Il baisa ma bouche comme un animal, une bête en rut, sans se préoccuper de mes protestations et de mes plaintes que j'essayais de formuler malgré le bâillon de chair qui avait envahi mes lèvres. Il profitait de toutes les parties de mon corps mises en valeur par mon pantalon en cuir noir et mon petit pull moulant, cherchant juste à humilier la bourgeoise chic, prétentieuse et arrogante que j’étais.
- C'est bien ma grosse pute continue à le sucer, c'est avec une bite dans la bouche que tu es la plus efficace. Tu aimes bien jouer à la femme d'affaires, mais en fait tu n’es qu'une grosse salope qui ne pense qu'à se faire défoncer par le premier mec qui passe. Tu vas être à moi et je te promets que tu vas déguster.
Antoine se vida enfin, giclant sur mon visage sur mon pull et surtout sur mon pantalon en cuir. Ma tenue l'ayant excité, il voulait me marquer comme un mâle marque sa proie.
- Maintenant, nettoyez là moi et ramenez là au bus, je retourne pour la dernière période et n'oubliez pas de suivre mes instructions. Quant à toi, la beauté, sois bien docile sinon ce petit film finira demain matin sur le bureau de ton mari, et je pense qu’avec ce qu'il va voir, ton avenir dans sa société va être très limité.
j'étais prise au piège et décidais donc de me soumettre à la volonté de mon maître chanteur en attendant de trouver une autre solution. Les garçons me recouvrirent avec mon manteau en fourrure et me poussèrent d'autorité vers l'extérieur afin de rejoindre le. bus. Une fois sur le parking le chauffeur nous ouvrit la porte nous laissant entrer tous les 3. Quentin défit la ceinture de mon pantalon et attrapa mon Tanga qu’il tira de manière violente, le déchirant et l’arrachant. Il me plaça ma culotte dans la bouche, alors qu’Antoine me bâillonnait par-dessus avec un ruban adhésif spécial bondage.
- Ne t’inquiète pas ma belle il n'adhère que sur lui-même, ne colle pas aux cheveux, donc aucune douleur lorsqu’il est retiré…
- Il existait en 2 couleurs noir ou rouge je trouvais que le rouge te va au mieux au teint.
- Hummmmmm, hummmmmm, hummmmmmmm !!!!!!!
Sans attendre, ils me collèrent un large adhésif tout autour de la bouche afin de conserver ma culotte comme bâillon et faisaient pareil sur tout mon corps. Ils m’attachèrent les bras derrière le dos, enroulèrent aussi la bande autocollante autour de mon corps et de mes bras, ainsi que sur le haut de mes cuisses et sur mes chevilles. J'étais ficelée ou plutôt scotchée de haut en bas. Ils me portèrent vers la cabine des toilettes et me poussèrent à l'intérieur avant de refermer la porte à clé. J'avais compris qu'il me fallait attendre maintenant le départ du bus avec le retour des joueurs et que j'allais être le jouet, la poupée, du président qui allait pouvoir m'utiliser à son bon vouloir pendant les 5 h de trajet de retour. Il n'y avait rien que je pouvais faire pour éviter ce chantage. Une fois de plus, j'avais trompé mon mari, me plaçant dans une situation inextricable. Je devais donc jouer le jeu, si je voulais conserver mon couple et après tout, je trouverai sûrement une solution plus tard pour faire cesser ce chantage abject. Je n'avais pas la notion du temps dans ce petit espace confiné, et me demandais comment il allait pouvoir faire pour me violer en toute discrétion, alors qu'il y avait une cinquantaine de personnes dans ce bus. La réponse ne se fit pas attendre. J'entendais les joueurs et les supporters entrer dans le bus comprenant également à leurs chants, qu'ils avaient sûrement gagnés le match. Raymond les fit monter sur la plateforme du haut expliquant que les toilettes étaient condamnés pour un problème technique qui générait des odeurs désagréables et qu'ils seraient mieux tout en haut. Ils prirent les boissons dans la cuisine, bière et champagne et s'installèrent à l’étage. Au bout de quelques minutes, le bus quitta le parking et je pouvais entendre leurs chants et rire résonner dans tout l’espace.

Daniel resta avec eux pendant une dizaine de minutes fêtant la victoire avant de discrètement venir me rejoindre. Il ouvrit la porte des toilettes, me découvrant attachée et totalement soumise, attendant la punition qui allait s'abattre sur moi. Je le regardais avec mépris hochant la tête de manière négative et essayant de le repousser avec mes jambes attachées quand il m'attrapa le corps me relevant et m’entraina dans le petit couloir exigu. ne pouvant marcher du fait de mes chevilles attachées avec la bande adhésive, il me faisait sautiller par petit pas et m’immobilisa juste devant le petit escalier qui montait sur la plateforme.
- Voilà ma belle, maintenant, on est enfin tous les 2 et tu vas être à moi. Je vais te montrer ce que je leur fais aux ménagères bourgeoises qui jouent les arrogantes. Je suis sûr que ça t'excite de savoir que je vais te baiser dans ce bus alors qu’il y a une cinquantaine de personnes au-dessus en train de chanter. Regardes-en haut de l'escalier et ne t’inquiète pas Antoine et Quentin montent la garde. Personne ne descendra avant que je le décide. Maintenant, laisse-moi découvrir la marchandise et faire le tour du propriétaire.
J’apercevais les 2 garçons en haut de l'escalier qui buvaient une bière, bloquant l’accès aux marches tout en regardant leur président s'occuper de la principale sponsor du club. Nous étions debout tous les 2, alors que Daniel caressait mes gros seins, et qu'il s'apprêtait a r de moi. Je sentais ses mains-fortes sur mon corps qui déclenchait une réaction d'excitation, et cela, malgré mon dégoût pour cet homme qui allait vraisemblablement me violer. Il me tenait fermement par les cheveux, pelotant de sa seconde main ma poitrine voluptueuse et tout ça sous le regard de Quentin et Antoine qui me mataient en souriant. Sa main descendit le Zip de ma braguette, et s'enfonça entre mes cuisses afin de me prendre la chatte à pleine main. Il me doigta debout, et bien que j’essayais de gigoter afin de me soustraire à ses caresses, je sentais une excitation incontrôlable monter en moi. J'aime être prise de force, abusée contrainte, et ce qu'il allait me faire subir dans cet endroit exigu, au milieu d'une cinquantaine de personnes, me rendait totalement folle de désir. Je le laissais jouer de mes formes pulpeuses, tout en résistant par pure contenance, sachant que cela l’excitait davantage. Il joua de mon corps pendant une dizaine de minutes avant de me pousser sur une banquette de fauteuil me coinçant contre la fenêtre et s’asseoir à côté de moi.
Il plaqua ses mains à nouveau sur mes seins me malaxant comme un hystérique. Il me pelotait mes gros seins, me parlant au creux de l'oreille pour me dire des mots cochons, alors qu'attachée de toute part et coincée sur ce fauteuil, je ne pouvais que me soumettre a ce prédateur. Il me tira par les cheveux, et m'attira au creux de son cou afin de me cambrer un peu plus et de faire ressortir ma poitrine monstrueuse dont les tétons pointaient au travers de mon pull.
- Oulalalalaa tu as vraiment des seins superbes, des vraies grosses miches de belle génisse. Ça t'excite que je te malaxe tes belles grosses mamelles. Mais on dirait en plus que t'es toute excitée, regarde-moi ça. Tu as les tétons tout durs !!! En fait, tu es bien la reine des putes. Habillée comme tu es, je suis sûr que tu fais exprès pour nous exciter, avoue-le, dis-le-moi !!!!
Sous la pression de sa caresse, je me laissais aller acquiesçant positivement et confirmant.
- Avoue que tu savais que j'allais te baiser quand tu t'es habillée ce matin et que ça t'as excité la grosse pute ?
Je hochais la tête à nouveau, une fois de plus confirmant ce qu'il disait. Sa main plongea entre mes cuisses défaisant la ceinture de cuir et ouvrant l'accès à mon vagin, trempait suite à ses caresses. Il plongea sa main calleuse se saisissant de ma chatte à pleine main, serrée entre mes cuisses attachées qu'il écarta suffisamment pour introduire son majeur et me faire immédiatement partir. Sensible à sa caresse, je grognais de plaisir. Il avait compris que j'étais maintenant suffisamment excitée pour lui laisser faire de moi ce qu’il voulait. Il me bascula sur le côté, en chien de fusil, plaçant mes fesses de manière à rendre l'accès à mes parties intimes disponibles et baissa mon pantalon jusqu'à hauteur de l'adhésif qui me maintenait les cuisses bien serrées. Son doigt plongea dans mon vagin trempé, avec lequel il me doigta violemment. Je gémissais de plus en plus fort, mais le bruit des supporters à l'étage couvrait mes protestations. Son doigt coulissait entre mes cuisses et je savais qu'il allait continuer comme ça jusqu'à ce qu'il me fasse jouir. Il releva mon pull de sa main libre, baissant violemment mon soutien-gorge corbeille, et libérant mes gros seins qu’il palpait avec délectation.
- Alors la bourgeoise, tu n'as pas voulu que je te baise la dernière fois, c'était une erreur, tu vas vraiment déguster maintenant. Dis-moi que t'as envie que je te baise. Bouge la tête pour me dire que tu en meurs d'envie.
Je bougeais la tête totalement excitée par cette situation. Il me plaqua une grande claque sur mes fesses puis une autre et une suivante. Ses mains oscillaient entre les claques sur mes fesses, les mouvements de va-et-vient dans mon vagin et ses palpation mamelaire. Il utilisait mon corps comme un jouet afin de le préparer avant l'assaut ultime où il allait me posséder sur cette banquette de bus comme la dernière des salopes. Il me pénétra en chien de fusil, son sexe se frayant un chemin entre mes cuisses serrées et mon vagin trempé. Accroché à mon pantalon de cuir et à mes gros nichons, il me défonça de sa grosse bite, je n'en pouvais plus. Je jouissais comme une folle. Il avait raison, je rêvais depuis le début qu'il me viole, qu'il me prenne contre mon gré, me force, me traite comme la pire des catins. Il me faisait jouir encore et encore. Je ne me préoccupais plus du monde et de l’adultère de mon mari, je voulais juste jouir jouir et jouir encore. Il sortit son sexe le poussant vers mon anus pour m’enculer dans une ultime attaque. Il trouva cependant mon anus pas suffisamment dilaté à son goût et poussa son doigt dans mon petit trou, l’ayant au préalable humidifié, par une visite dans mon vagin trempé. Il me doigta le cul tout d'abord en douceur et ensuite de plus en plus rapidement, m’arrachant des soupirs et des gémissements de plus en plus expressifs. Il ne pouvait plus ignorer qu'il me faisait jouir, et que ma résistance n'était que pour la forme. Il me possédait, j'étais à lui et il allait me faire subir tous les outrages. Il enfonca enfin son gros sexe dans mon cul, me sodomisant avec force. Il s’était couché sur moi, et me palpait mes grosses mamelles, alors que son sexe coulissait dans mon anus tout en me tenant par les cheveux et m’insultant.
- Tu aimes te faire enculer grosse pute ça te plaît d'avoir mon gros dard dans tes fesses. Allez la ménagère, bouge-moi ces grosses fesses et montre-moi que t'es une bonne femme au foyer qui attend son homme tous les soirs pour prendre sa dose de sperme… Ohhhhhhh oui, tu vas me faire jouir, c'est bon, tu es trop bonne. Dis-moi que tu aimes ça !!!!
- Hummmmmmmm, Hummmmmmmmmm, Ouiiiiiiiiiiiiiii
Après m’avoir sodomisé pendant de longues minutes, il jouit sur mes fesses, répandant tout son sperme sur mon cul-rouge avant de s'écrouler sur moi. Il me laissa quelques instants de répit avant de m'enlever mon bâillon. Contre toute attente, je me ruais sur pour lui pour l'embrasser passionnément alors que j'étais encore attachée. Cet homme venait d’r de moi, et je l'embrassais avec désir souhaitant qu'il me prenne à nouveau. Il me détacha enfin et sans un bruit m’envoya la vidéo par WhatsApp avant de la supprimer de son téléphone définitivement.
- - Je vois que Madame a apprécié, ça t’a plu ?
Assis à ses côtés, je refermais mon pantalon et pour toute réponse, je me penchais sur lui pour l'embrasser à nouveau
- Tu m’as fait jouir comme une folle, maintenant, je boirais bien un peu de champagne et j'espère qu'une fois arriver, tu auras la galanterie de me ramener à la maison ça m'évitera le prix d'un taxi.
- Promis ma belle maintenant fais attention que je ne tombe pas amoureux de toi, tu sais que je suis quelqu'un de finalement très sentimental
- Arrange-toi pour retrouver un petit peu de vigueur entre les cuisses et je vais te faire tomber amoureux de mes lèvres.
On termina le voyage ensemble à chanter et boire du champagne. Daniel n'en revenait pas, alors qu'il pensait que j'allais le gifler, j'avais réagi de manière tout à fait inverse. Il me ramena enfin à la maison, à ma demande, se gara à 200 mètres, discrètement, ou je pris son sexe dans ma bouche m'appliquant à le faire durcir à nouveau pour le vider entre mes lèvres avant d’aller me coucher auprès de mon mari que j'aimais tant. Je savais qu’une page s’était tourné ce soir et que j’avais trouvé un nouvel amant, plein de ressource et dominateur.

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