Initiation D'Un Jeune Homme De 20 Ans Par L'Amie De Sa Mère
Corinne bronzait nue au bord de sa piscine en compagnie de son amie Alix, toutes deux les fesses tournées vers le soleil radieux de juillet. Fausse blonde de 45 ans, Corinne soignait sa plastique de peur de ne plus plaire à son mari... et aux autres hommes. Alix, de huit ans plus jeune qu'elle, était plus petite et plus menue mais elle aussi veillait de près à son corps et le bronzage intégral faisait partie de ses impératifs. Différence notable entre les deux amies : Alix était célibataire et vivait pleinement sa liberté sexuelle, ce qui ne sera pas sans conséquence dans cette histoire.
Tout en sirotant une menthe à l'eau à plat ventre, les deux amies devisaient entre deux plongeons pour rafraichir leur peau surchauffée. En général de sujets intimes, comme il sied à deux amies.
Corinne aborda un thème qui lui était cher : son fils de 20 ans, prénommé Jordan.
- Il m'inquiète de plus en plus. Les filles n'ont pas l'air de l'intéresser. Je me demande s'il n'est pas homo.
- Et alors ? Ce ne serait pas la fin du monde, répliqua Alix.
- Tu dis ça parce que ce n'est pas ton fils. D'ailleurs, tu n'as pas de gosse, tu t'en fiches. Je voudrais être une belle-mère normale avec une belle-fille et des petits s.
- Que tu es conventionnelle parfois ! Et un peu faux-cul. Je suis bien placée pour savoir que tu n'es pas toujours une épouse modèle...
- Tais-toi ! Tout le monde ne peut pas être une libertine assumée comme toi.
- Eh oui ! Moi, je baise à la demande et à l'envie. Je ne suis pas obligée de me cacher...
- Tais-toi je te dis, tu vas me porter la poisse ! Bon, j'ai un service à te demander à propos de Jordan.
- Ah oui ? Tu veux que je l'espionne, ton rejeton ?
- Non. Je... euh... je voudrais que tu fasses l'amour avec lui.
- Hein ? Que je vérifie qu'il n'est pas... gay ?
- Oui et en même temps que tu le déniaises car je suis à peu près sûre qu'il est encore puceau. A 20 ans, tu te rends compte ? A son âge, il y a longtemps que j'avais perdu mon pucelage.
- Tu ne manques pas de toupet. On ne me l'avais encore jamais faite, celle-là. Encore faudrait-il qu'il en ait envie, d'abord.
- Je crois qu'il t'aime bien. Il me parle souvent de toi, de ta liberté.
- Eh ben, tu vois ? Si ça se trouve, il se branle le soir en pensant à moi.
- J'aimerais bien. Mais je voudrais quand même vérifier. Allez, dit oui !
- Ecoute, je ne demande pas mieux que de t'être agréable mais là, franchement... Mon type, c'est plutôt le genre mûr et poilu que l'éphèbe.
- Mais mon fils est très bien bâti ! Il n'a pas d'acné et même un peu de barbe. Il joue au foot.
- Objectivité des mères... Bon, allez, on va se baigner, j'ai les fesses qui commencent à me brûler.
Un peu plus tard, les deux femmes étaient retournées à l'intérieur pour se rafraîchir quand Jordan fit son apparition sur son scooter. Alix enfila sa robe, Corinne son short et son tee shirt. Jordan fit une apparition en coup de vent, informant sa mère qu'il allait "piquer une tête" tellement il faisait chaud. Derrière la baie vitrée, les deux femmes regardèrent le jeune homme se déshabiller. Il avait l'habitude de se baigner nu et le fait d'exposer sa nudité ne semblait nullement l'émouvoir. Quand, au bord de la piscine, il baissa son short et son boxer, Alix ne put retenir un "oh!" de surprise. Jordan venait de dévoiler un pénis comme elle en avait rarement vu : étonnamment long et fin, terminé par une excroissance proéminente rappelant une corde à noeud.
- Pas possible ! Il est drôlement équipé, ton fils ! s'exclama Alix.
- Tu vois ! Je t'avais dit qu'il était bien bâti.
- Ah ça c'est sûr. Tout pour satisfaire une femme. Vraiment un beau corps. Je ne l'aurais pas cru quand il était habillé. Ce serait criminel de le laisser à d'autres mecs.
- Alors ? Toujours réticente ?
- Faut voir. Je vais retourner à l'eau. Tiens, garde-moi ma robe.
Et Alix s'en retourna vers la piscine dans le plus simple appareil, avec naturel.
- Excuse-moi mais comme tu te baignes à poil, je ne vois pas pourquoi je mettrais un maillot et d'ailleurs, je n'en ai pas.
- Tu as raison, ne te gêne pas. De toute façon, je sais que toi et ma mère, vous faites du nudisme quand je ne suis pas là.
- Tu nous a vues ?
- Ouais, une fois. J'étais revenu à pied et vous ne m'aviez pas entendu. J'ai été discret.
- Et alors ? Je te plais ?
- Pas mal, oui. Dommage que tu ne sois pas de mon âge.
- Tu me trouve trop vieille ?
- Je n'ai pas dit ça. Tu as quel âge ?
- 37 ans. Le plus bel âge pour une femme.
- Ah bon. Je ne savais pas.
- Cela te dirait de sortir avec moi un soir ?
- Euh... Si tu veux. Pour quoi faire ?
- Je ne sais pas, moi... Aller au ciné, danser, comme tu voudras...
- Ouais, bon, ok, c'est cool...
Et c'est ainsi qu'Alix put mettre le grappin sur le fils de Corinne.
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Trois jours plus tard, Jordan accompagnait Alix au cinéma dans un état d'esprit mitigé. D'un certain côté, il était assez fier d'intéresser une femme mûre et la perspective de faire enrager quelques copines un peu trop distantes à son goût ou d'être envié par des copains de foot, ne lui déplaisait pas. De l'autre, il se demandait ce que cherchait cette jolie femme qui n'avait pas besoin d'un puceau comme lui pour sortir. Elle apparut dans une robe ultralégère, tenue par de fines bretelles et arrivant nettement au-dessus des genoux, très décolletée dans le dos afin d'exhiber sa peau bronzée et l'absence de soutif. Elle attirait les regards et Jordan en ressentit une fierté de petit coq. Le cinéma donnait un film d'action destiné à capter l'attention du spectateur mais Jordan ne pouvait pas ignorer les cuisses largement découvertes et légèrement écartées d'Alix assise à côté de lui. Un mâle digne de ce nom aurait probablement glissé une main exploratrice afin de vérifier la présence ou non d'un slip (en fait, c'était un string) et peut-être qu'Alix aurait alors tâté la braguette dudit mâle afin de constater son état.
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A dire vrai, la situation qui au départ ne l'emballait guère l'intéressait de plus en plus. La perspective de dépuceler une belle bite (et même une très belle bite) ne pouvait qu'exciter une libertine aussi assumée. Mais aussi, comme toutes les femmes, Alix était obsédée par le souci de plaire. Un jeune homme constituait donc pour elle un petit bain de fraicheur, qui la changeait de quelques vieux chevaux de retour à petite bite. Jordan était à l'évidence très inexpérimenté en amour mais elle se faisait fort de l'éduquer, ce qui n'était pas le moindre intérêt de la chose. Et si elle parvenait à ses fins, sa vitalité comblerait son appétit. Dans l'appartement, elle fit en sorte de le décontracter et lui proposa un vin cuit assez chargé en alcool mais très buvable par un sportif. Il but un verre, puis un deuxième et Alix vint s'asseoir à côté de lui "pour un petit câlin", dit-elle. En définitive, elle lui tendit ses lèvres, il ne les repoussa pas, elle lui prit la nuque, glissa sa langue dans sa bouche pour un patin majuscule et le coucha sur le canapé tout en l'embrassant pleine bouche.
- Laisse-toi faire, lui dit-elle, tout va bien se passer.
Elle sentait qu'il bandait et résista à la tentation de le libérer tout de suite. Elle préféra faire passer sa robe par dessus sa tête et d'apparaitre nue moins le string. Jordan s'enhardissait, se laissait aller à lui caresser ses seins menus et ses mains parcoururent son corps jusqu'au string.
- Enlève-le ! ordonna-t-elle.
Le mince bout de tissu glissa au sol, découvrant un pubis soigneusement taillé. Il était temps de libérer un chibre qui menaçait de faire exploser la braguette. Quand il jaillit du slip, turgescent et survitaminé, Alix ne put retenir un cri d'admiration :
- Tu as vraiment le paquet, mon chéri. Tout pour me plaire.
Et dans la foulée, si l'on ose dire, elle l'emboucha. Ce fut une pipe d'abord précautionneuse puis gloutonne et royale. Alix se régalait d'un pénis comme elle n'en avait pas sucé depuis un voyage sur la côte sénégalaise (il appartenait à un GO africain du Club med qui se tapait toutes les célibataires et même quelques femmes mariées : il était payé pour ça). Elle pompait avec art et expérience tout en caressant les couilles du jeune homme et en effleurant sa hampe de ses doigts agiles. Le résultat était prévisible et d'ailleurs, elle s'y attendait : Jordan lui délivra un baquet de sperme en pleine figure dont elle avala la moitié. Le jeune homme déculotté gémissait et s'excusa :
- Pardon, je n'ai pas pu me retenir.
- Mais tu n'as pas à t'excuser. La nuit ne fait que commencer, mon chéri. On va aller prendre une douche tous les deux et aller au lit. A ton âge, on recharge vite.
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Dans le lit, Alix se fit initiatrice aux choses du sexe. Le fait que Jordan ait déchargé prématurément l'arrangeait. Elle pouvait ainsi prendre son temps. Après avoir relevé sans difficulté majeure la corde à noeud du jeune homme, elle l'escalada et lui apprit qu'une femme pouvait mener la danse en virevoltant de la croupe. Elle lui enseigna la levrette, le missionnaire, puis après les bases, quelques positions acrobatiques relevant du kamasutra, au moins pour info. Le cunni et le 69 firent également partie de la leçon, mais aussi quelques corrections, tant il est vrai qu'un puceau ne peut devenir expert dès la première initiation. Mais la rigidité immuable du pénis du jeune homme constituait pour la professeure de sexe une source de plaisir indiscutable, d'autant que l'élève se révélait particulièrement studieux. Au terme d'une nuit entrecoupée de sommeils brefs et caractérisée par de fréquentes éjaculations vite surmontées, le puceau pouvait se considérer comme totalement et définitivement dépucelé. Quant à son initiatrice, elle pouvait être fière du travail accompli, ce qui ne l'avait pas empêché d'éprouver deux ou trois orgasmes, en particulier lorsqu'elle avait chevauché son jeune amant en position accroupie : rarement elle s'était sentie aussi pénétrée dans cette position. La seule ombre au tableau, si tant est que c'en fut une, était l'absence d'apprentissage de la sodomie. L'exercice nécessitait de la part du pourvoyeur un savoir-faire dont l'intéressé était trop dépourvu aux yeux d'Alix, un peu effrayée de surcroit par la perspective d'être enculée par un engin aussi volumineux qu'incontrôlable. Mais ce ne serait, se disait-elle, que partie remise...
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Deux jours plus tard, après avoir (difficilement) récupéré de sa nuit, Alix faisait son rapport à Corinne au bord de la piscine, toujours sans maillot et toujours en sirotant une menthe à l'eau.
- Coco, je peux te rassurer : ton fils n'est pas gay.
- Ah, parce que, ça y est, tu l'as déniaisé ?
- Affirmative. Il a plus appris en une nuit que la plupart des hommes en vingt ans.
- Bigre ! Tu y es allée fort.
- Faut savoir ce qu'on veut. Tu voulais qu'il soit dépucelé, il l'est.
- Et alors ? Comment ça s'est passé ?
- Très bien. Ton fils est doué. Il a une bite en acier trempé et il va réjouir beaucoup de filles dans sa vie.
- Personnellement, une me suffirait. Merci en tout cas pour ce que tu as fait. Maintenant, tu le laisses tranquille, OK ?
- Alors, là, ce n'est pas toi qui va décider. Il est majeur et s'il veut encore me sauter, je serai heureuse de lui apporter des compléments d'information.
- Sois gentille, laisse-le fréquenter des filles de son âge.
- Je ne suis pas sûre que ce soit son souhait. Mais bon, on verra.
En fait, Jordan revint plusieurs fois dans l'appartement d'Alix, subjugué qu'il était par l'érotisme torride de son initiatrice. Bientôt, le cunni, le 69 et même la sodomie n'eurent plus de secrets pour lui. Il sortait régulièrement avec Alix, ce qui faisait jaser dans l'équipe de foot, mais vu le sex appeal de la trentenaire, il était plus envié que moqué. Cette liaison arriva évidemment aux oreilles de Corinne, qui s'en émut auprès des intéressés. Alix riposta en disant à son amie que ce n'était pas de sa faute si elle avait séduit son fils mais celle de la sienne, la mère. Laquelle se trouvait prise à son propre piège.
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Durant le reste de l'été, la liaison entre Alix et Jordan prit un tour régulier. L'initiatrice constatait avec ravissement les progrès de son élève tout en se régalant de ses attributs d'exception. Corinne, en revanche, ne cachait pas son mécontentement et Alix venait de moins en moins souvent se dorer les fesses chez la mère de son jeune amant. La situation était embarrassante. Corinne ne pouvait décemment pas priver son fils (au demeurant majeur) des joies de l'érotisme en aussi compétente compagnie. Après tout, c'était son souhait initial. En même temps, elle en voulait à son amie d'avoir été plus loin que les consignes et de priver son fils d'une liaison plus conforme aux convenances. Les circonstances allaient toutefois débloquer la situation. Jordan avait été promu remplaçant en équipe première pour la rentrée du championnat et pouvait être appelé sur le terrain à tout moment. Corinne et Alix se trouvaient côte à côte dans les tribunes pour profiter de ce petit événement. La vedette de l'équipe était un splendide mulâtre prénommé Régis que toutes les supportrices rêvaient d'avoir dans leur lit, femmes mariées comprises. Corinne était du nombre. Elle suivait à la trace ce beau mâle et demanda à Alix si elle pouvait le lui présenter à l'issue du match, en tout bien tout honneur bien sûr. Une petite lumière s'alluma dans le cerveau d'Alix. Le Régis en question était un dragueur impénitent et il était probable qu'il ne serait pas insensible au charme capiteux de la mère de Jordan, bien plus sexy que la plupart des supportrices du fan club. En définitive, Jordan n'entra pas en jeu, ce qui n'était pas plus mal car il avait copieusement baisé la nuit d'avant avec Alix, laquelle avait inauguré de nouvelles positions issues du kama sutra.
Comme Alix l'avait prévu, au cours du vin d'honneur d'après match, Régis mit très vite le cap sur la belle blonde mature qui papotait avec la copine de son coéquipier. Celle-ci se retira promptement, laissant le footballeur faire connaissance avec Corinne, ravie de susciter l'intérêt du plus beau mec de l'équipe. Le badinage tourna à l'invitation à participer au dîner et tout le reste de la soirée, Régis colla à Corinne avec l'intention de la mettre dans son lit le soir même. Elle avança sa situation de femme mariée et la nécessité de revenir au domicile familial mais Alix avait déjà téléphoné au mari pour lui annoncer qu'elle retenait la fausse blonde à dîner en l'honneur du premier match de la saison. La supercherie était grossière, mais Corinne n'avança aucune objection sérieuse. Elle participerait donc à la soirée. Jordan, avec sa naïveté de jeune homme, ne voyait guère les dessous du scénario qui se dessinait, tout occupé qu'il était de surveiller Alix, dont plusieurs membres de l'équipe avaient fait leur cible érotique. Si bien qu'il ne vit même pas sa mère partir en compagnie de Régis pour une destination inconnue.
*****
Corinne était de ces femmes qui ne savent pas dire non à un homme qui leur plait. Heureusement pour son ménage, la chose arrivait rarement. Mais cette fois, le fait d'être draguée par un aussi beau mâle, qui plus est de vingt ans plus jeune, avait été pour elle comme un élixir de jouvence. Au fil de la soirée, elle avait même ressenti une chaleur dans le bas-ventre qui ne la trompait pas : elle avait envie de baiser. Et pas demain, pas après-demain : tout de suite. C'est pourquoi elle n'avait manifesté aucune réticence quand Régis lui avait proposé de finir la soirée chez lui, d'autant qu'Alix lui avait fourni un alibi impeccable, comme en d'autres circonstances du même ordre. Dans l'appartement, le footballeur ne s'embarrassa pas de circonvolutions. Il l'embrassa pleine bouche dès le corridor et constata qu'il y avait du répondant. Il était tombé sur une chaude, c'était clair. La main de Corinne s'était rapidement posé sur son chibre aux fins de vérification. Le couple n'avait pas dépassé l'entrée que Corinne s'était déjà accroupie pour tailler une pipe au mulâtre. Une belle queue chocolat au lait avait surgi du pantalon et Corinne s'en était emparée avec autorité sans même avoir pris le temps de se dévêtir. Un accouplement torride commençait.
Corinne finit par se relever et Régis, au garde à vous, l'attira dans sa chambre. Celle-ci était jalonnée de miroirs et Régis crut bon de préciser qu'ils avaient été posés avant son arrivée. Corinne se vit donc déshabillée sous tous les angles possible, de dos, de face et de profil. Elle trouva son bronzage intégral particulièrement seyant. Le footballeur aussi, au point que sa queue se rallongea de quelques millimètres quand il découvrit les fesses caramel de la fausse blonde. Les ébats se poursuivirent par un cunni prolongé. Corinne avait souvent entendu dire, notamment par Alix, que les Noirs étaient des experts en matière de léchage. Elle vérifia très vite la justesse de cet adage improbable, au moins pour le cas de Régis, et elle se mit à gémir de plaisir. La langue visitait toute cette partie de son corps, anus compris, ce dont son mari ne l'avait guère habituée. Au bout d'un long moment particulièrement délicieux, elle éprouva un fort besoin de pénétration et en fit état à son jeune amant.
Le visage tout barbouillé de cyprine, celui-ci se releva et s'équipa d'un préservatif de taille respectable. Il s'enfonça en elle lentement, bras et jambes tendus, dominateur et viril, et Corinne l'encercla de ses longues jambes en l'admonestant :
- Fouille-moi, baise-moi !
La suite fut une cavalcade effrénée sur le lit. Régis baisait en sportif, avec ardeur et sans concession. Pilonnée, écartelée, fouaillée, dévastée, Corinne tentait de suivre le rythme en bramant de plaisir. Elle se sentait baisée, vraiment baisée, et elle adorait ça. La vision latérale, sur les miroirs, des petites fesses en mouvement de son amant la surexcitait. Quand celui-ci la retourna pour la prendre en levrette face à un de ces miroirs, la vision de son cul bronzé laissa le jeune mâle en transes. Il se mit à la percuter avec une telle frénésie que Corinne se demanda s'il n'allait pas la sortir du lit. Pour la première fois de sa vie, elle se regardait baiser, son amant derrière elle, le visage crispé. Quant à elle, c'est à peine si elle se reconnaissait avec ses yeux demi clos, sa bouche ouverte, ses seins en bataille. A ce moment précis, elle ne pensait plus à son mari, encore moins à son fils, mais à cette bite infatigable qui lui faisait enchaîner les orgasmes. Une seule chose comptait : en profiter le plus longtemps possible. Le couple multiplia les positions et Corinne eut la satisfaction de faire crier son jeune amant lorsqu'elle le chevaucha accroupie ;
- Arrête, c'est trop bon ! lui lança-t-il, craignant d'éjaculer.
En réponse, elle lui présenta son cul bronzé pour cavaler à l'envers sur sa queue. Elle se regarda dans le miroir monter et descendre sur la bite, concentrée et extatique. Le jeune homme gémit à nouveau. Il était à sa merci et elle savourait le moment. Quand il finit par gicler, Corinne était repue comme après un repas gastronomique. Ses yeux cernés attestaient de l'intensité de ce coït. Malgré le désir de Régis de la voir rester, elle préféra rejoindre le domicile conjugal au plus vite. Surtout, que son mari ne se doute de rien. Elle avait trop envie de prolonger cette liaison adultère.
**********
Elle dura encore quelques semaines. Régis était subjugué par le vice de cette belle mature, la seule femme qui lui ai jamais caressé les couilles pendant qu'il la besognait, la seule qui ai fourré son doigt dans son anus à la recherche de sa prostate, la seule qui aimait vraiment se regarder baiser, la seule qui lui ai demandé expressément de l'enculer. Quant à Corinne, elle avait retrouvé des joies érotiques enfuies grâce à la vitalité inépuisable de son jeune amant. Sa libido, longtemps en jachère, était devenue exacerbée. Il fallait qu'elle baise au moins une fois par jour afin de remplir le manque qui se manifestait dans son bas-ventre dès que la bite de Régis s'éloignait. Alix constatait avec amusement la fringale sexuelle de son amie, qui lui permettait ainsi d'assouvir elle aussi son appétit de Jordan sans la moindre restriction. L'une et l'autre mangeaient à la même gamelle...
Alix continuait de fournir force alibis à Corinne mais son mari commençait à s'en émouvoir. Il n'avait plus droit à sa pipe du dimanche au réveil, signe que son épouse, pourtant portée sur la chose, se désintéressait de lui. Son air perpétuellement réjoui et sa mine resplendissante ne laissaient pas non plus de l'étonner. L'idée qu'elle pouvait le tromper lui traversa l'esprit mais n'étant pas d'un naturel jaloux, il préféra temporiser. La liaison durable entre Jordan et Alix l'inquiétait davantage et il en faisait part régulièrement à son épouse, laquelle ne semblait plus s'en formaliser :
- Tu trouves ça normal, toi, qu'un gamin de vingt ans couche avec une femme nettement plus âgée ? lui demandait-il.
- Et pourquoi pas ? Si l'un et l'autre y trouvent leur compte ? Au moins, il aura une bonne initiatrice. Il a le temps de trouver une épouse.
- Je ne t'ai pas toujours entendu dire ça. Tu m'étonnes de plus en plus.
- Eh bien, je me suis fait une raison, voilà tout. J'en parle souvent avec Alix et elle est heureuse avec Jordan. C'est l'essentiel. Il lui fait même très bien l'amour. Tu devrais en être fier.
On voit par là que la situation personnelle de Corinne avait nettement influencé sa vision du couple entre son fils et son amie...
Du côté de Régis, les choses avaient également évolué. Son rendement sportif avait fortement souffert de ses ébats avec sa brûlante maîtresse, au point qu'il avait à la fois perdu sa place de titulaire et son statut de vedette. En outre, son prestige de mâle avait été quelque peu entamé par les rumeurs comme quoi il baisait une "vieille". Qui plus est la mère d'un remplaçant. Celui-ci n'avait été d'ailleurs que fort peu titularisé, entamé qu'il était lui aussi par la frénésie érotique d'Alix. On voit par là que la débauche s'accommode mal du sport.
Tous ces éléments réunis ne pouvaient que concourir à la fin d'une double relation érotico-sportive. Alix finit par considérer que son jeune amant en savait désormais assez pour voler de ses propres ailes, d'autant qu'elle avait en vue un coureur cycliste de son voisinage dont les cuisses fuselées l'inspiraient au plus haut point. Quant à Corinne, les allusions sibyllines de son mari lui laissaient supposer qu'il avait de plus en plus de doute sur sa fidélité et qu'il était grand temps de lui donner des gages. Il eut droit à nouveau à sa pipe du dimanche matin. Et très vite, Régis retrouva sa place de titulaire après avoir été congédié d'un gentil bisou sur la joue. Cette histoire se termine donc bien, ce qui n'est pas toujours le cas des amours adultères, a fortiori entre personnes d'une différence d'âge manifeste.
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