La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°916)
Selena au Château Larrivée
La journée, au Château de Monsieur le Marquis dEvans, est bien avancée. Il fait chaud en ce bel été et chacun a sa place et saffaire, à lintérieur ou à lextérieur de lancestrale demeure effectuant son travail sans broncher. Chacun faisant tout à lévidence pour plaire au Vénéré Maître des lieux. Le Château est vraiment immense et le parc lentourant sétend à perte de vue jusquà la vaste forêt bordée de nombreux étangs et Terres agricoles. Lensemble faisant également partie du vaste Domaine de la Famille des Evans. Tout ce Domaine est gardé en permanence par des vigiles employés par le Noble. Parmi eux, deux rustres gardes-forestiers patrouillant dans la forêt, entendent soudain des cris au loin. Dabord, ils ny prennent pas trop dattention, pensant à un cri danimal. Mais les cris reprennent de plus belle, ce qui finit par attirer véritablement leur attention. Parcourant la forêt pendant de très longues minutes, ils décident donc de se rendre dans la direction des appels visiblement sortis dune voix humaine. Tout en se rapprochant, les cris deviennent de plus en plus distincts. Ils arrivent aux abords dune petite clairière au centre de laquelle une jeune femme, quils ne connaissent pas, crie un nom en pleurant à la fois par contrariété et désespoir. Elle est habillée dans ce qui devait être une simple et belle robe en partie déchirée, mal ajustée et souillée. Elle est décoiffée, salie et par endroit on peut deviner de légères blessures telles des égratignures et quelques petits hématomes. Visiblement, elle se croit seule, ne se doutant pas quelle est observée et donc continue ses lamentations et ses débats dans le vide comme pour exprimer une profonde colère mêlée de tristesse. Les deux gardes costauds et à lallure militaire, mais aussi grossière dans leur attitudes sont dabords surpris puis amusés. Alors ils se font discrets pour profiter quelques instants de ce curieux spectacle
Tout à coup, elle aperçoit les gardes.
- Que faites-vous donc ici, dans le Domaine de Monsieur Le Marquis dEvans ? Vous êtes sur Ses Terres, vous ne devez pas être ici ! Vous êtes ici sur une propriété privée, dit dun ton ferme et sévère celui qui devait être le chef.
- Messieurs, aidez-moi ! Mon cheval sest emballé à cause dun animal qui la apeuré et je suis tombée. Je le cherche depuis un moment mais je crains mêtre perdue dans cette forêt que je ne connais pas, dit-elle en restant à distance des gardes-forestiers.
Le garde lance un regard complice à son compère et avec un sourire malicieux de perversité, sapproche un peu plus de la jeune femme. Elle se recule instinctivement, intimidée par une telle situation mais se redresse courageusement fixant son regard sans sourcilier. Celui-ci sapproche au plus près, pose son regard imposant et pénétrant dans les yeux de cette jeune effrontée, qui tressaillit légèrement, puis sur un ton amusé lui demande :
- Et que feriez-vous pour que nous acceptions de vous aider, jeune demoiselle ?
Son visage se fige quand elle sent son cur saccélérer.
- Heu
je voudrais simplement rentrer chez moi. La nuit va tomber et mon cheval est quelque part dans nature, répond-t-elle hésitante.
- Et qui donc vous attend, si ce nest votre cheval qui visiblement est bien loin maintenant ?, demanda lentement le garde avec un regard de plus en plus vicieux.
- Personne, mais cest juste que je naime pas le savoir en dehors de sa pâture et
- Alors, il vous faudra nous contenter si vous voulez de laide de notre part, jespère me faire comprendre, nest-ce pas
, rétorque le garde avec un aplomb obscène qui se fait ainsi comprendre sans aucune ambiguïté sur ses perverses intentions !
La jeune femme sarrête net bouche bée de stupeur comprenant vite ce que le garde veut dire. Celui-ci limpressionne vraiment par son air de plus en plus Dominant, son regard envieux et pervers et elle aperçoit très vite dans ce regard gourmand quil nest pas insensible à son corps de femme et quil a de mauvaises intentions à son égard.
- Lâchez-moi, laissez-moi partir ! Vous navez pas le droit de me toucher ! Crie-t-elle au garde, tout en se débattant
Le deuxième garde sest approché, légèrement en retrait pour laisser à son chef lhonneur de contrôler la situation.
- Nous allons te montrer le chemin mais ici, tu es sur les Terres de notre patron, Monsieur Le Marquis dEvans, et rien ne nous empêche de corriger des intrus qui osent pénétrer Son Vaste Domaine
Puis tout ce passe très vite, la jeune femme se débat, tente de faire desserrer létreinte qui létouffe, elle veut crier mais ne peut pas et commence à manquer cruellement dair. Soudain, le deuxième garde lui saisit les bras et les lui maintient de force dans le dos. Ceci ne manqua pas de la faire redoubler deffort pour tenter de se libérer. Une magistrale gifle sabat sur son visage, létourdissant et la déstabilisant.
- Regarde donc comme elle mouille, cette petite catin ! Dit-il en montrant à son compère ses doigts dégoulinant de cyprine. Cest quelle a lair daimer ça, la salope !
Sur ces mots, il lempoigne par les hanches, la forçant à relever sa croupe et lui plante sans aucun préambule sa queue de nouveau durcit dans son intimité entièrement lubrifié. Il la lui laboure sauvagement, bestialement avec une telle ferveur, une telle fougue quelle ne peut plus contenir ses cris de douleur mêlés au plaisir quelle a tant de mal à contenir et cacher. Lautre garde, existé par cette scène, en veut pour son compte aussi.
- Nous allons maintenant te mener à Monsieur le Marquis dEvans, peut-être daignera-t-il taider mais Lui seul décidera
comment
Et ils éclatent de rire. Arrivés au Château, menant la jeune femme avec eux, ils vont prévenir Walter le Majordome et lui expliquent fièrement tout ce qui sest passé sans omettre aucuns détails. Les deux gardes-forestiers restent persuadés de la bonne réaction du Majordome. Mais celui-ci est au contraire scandalisé par lattitude des rustres personnages :
- Quoi ? Vous avez osé toucher une personne qui nest pas sous le joug de Monsieur le Marquis ? Ca fait une seule semaine que vous êtes embauchés ici au Château et visiblement vous navez pas compris le comportement exemplaire que vous devez avoir sur toute personne ne faisant pas partie du Cheptel. Je vous avais pourtant bien expliqué comment vous deviez agir en toutes circonstances. Autant vous êtes autorisés à baiser les esclaves du Château pour vous soulager, autant nous navez pas à faire de choses pareilles envers une personne externe au joug de Monsieur le Marquis...
- Mais
(tente dexpliquer le chef des gardes)
nous avons pensé que
Et puis cette salope mouillait fortement dexcitation alors nous
- Je ne veux pas savoir ce que vous avez pensé
Nous navez pas à agir ainsi, que cette jeune femme soit excitée ou pas de votre attitude. Vous devez vous montrer exemplaire, encore une fois
. Je vais en référer à Monsieur le Marquis mais je gage que vous pouvez déjà faire vos valises car le connaissant pour son éthique, Il ne gardera pas parmi ses employés des gens qui ont agi de la sorte
Et espérez une chose encore, plus grave pour vous, espérez que cette jeune femme ne porte pas plainte
Mais ça se sera votre problème et comptez pas sur Monsieur le Marquis pour vous défendre, bien au contraire. Maintenant rentrez dans la maison des gardes et attendez la décision de Monsieur le Marquis, répliqua Walter sur un ton grondant et autoritaire.
Cest tête basse que les deux hommes sen retournent, quasi honteux de leurs agissements. Le Majordome Walter se tourne vers la jeune femme et linvite à le suivre, sur un ton rassurant :
- Naillez crainte, de lourdes sanctions seront prises envers ces deux hommes fraîchement embauchés ici et qui visiblement nont pas à avoir une telle attitude. Je vous conseille dailleurs de porter plainte. Et nous vous soutiendrons sans problème
Jai juste besoin dune précision avant que jexplique toute laffaire à Monsieur le Marquis. Mais vous nêtes pas obligé de répondre si cela vous parait déplacé comme question : Avez-vous vraiment été excitée par la situation provoquée par ces deux ignobles personnages ? Pardonnez ma question, mais je ne dois domettre aucun détail à mon patron.
La jeune femme rougie instantanément et alors quelle allait répondre que non, une petite voix intérieure quelle ne sexplique pas elle-même lui intime de répondre la vérité et donc par la positive. Cétait la voix de ses fantasmes qui revenait de ressurgir
Et donc elle baisse la tête et sétonne elle-même de sentendre répondre tout simplement :
- Je
Heu
Oui Monsieur
(À suivre
)
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