Julie3
Depuis ma prise en main, je ne quittais plus mes jeans et mes pulls. Non pas que ma pilosité soit exubérante, mais je men faisais une montagne. Comme si tout le monde le remarquait, ce qui bien entendu était faux. Bref je ne me sentais pas à laise. La seule modification visible était celle de mon entrejambe. Si javais porté une culotte, alors je suis persuadée que les choses auraient été visibles sur les côtés. Je me défendais bien de me mettre en maillot si loccasion se présentait. Mes masturbations régulières me rendaient plus calme, jy parvenais à y trouver une petite satisfaction même si ce nétait pas le grand pied. Cest en robe courte que je recevais Laurent pour les cours. Venir lui ouvrir la porte et discuter avec lui et maman dans le couloir nous excitait. Dès que nous étions dans la chambre je me mettais nue et la poitrine sur le bureau je lui offrais mon cul pour quil minspecte et méduque. Ses doigts forçaient mon intimité et me pistonnaient sans relâche. Il alternait les pénétrations profondes et les sprints rapides qui me faisaient gémir. Ses doigts visitaient les endroits sensibles de mon vagin : la face avant, mais aussi la face arrière.
-Vous voulez, une tasse de thé. Cétait maman derrière la porte.
-Non, non, plus tard. Javais eu du mal à lui répondre car les doigts de mon maître me pistonnaient avec vigueur.
Mon cul avait aussi le droit à ses visites. Javais acheté de la crème lubrifiante dont je menduisais la rondelle. Au départ, il sest contenté de me masser le pourtour anal avant daventurer au bout de plusieurs séances un doigt inquisiteur dans mes entrailles. Je ne lui avais pas dit que cette partie de mon anatomie avait déjà été explorée bien souvent par mes soins, mais cest une autre histoire. Quand ses doigts dilataient mon sphincter je vibrais intensément intérieurement et je retenais mon corps pour ne pas me laisser aller.
Quelques semaines plus tard, jétais en petite vacances avec des copines.
Joccupais une vaste chambre à létage avec Aurore. Aurore est une jolie fille blonde dans le style minette girly, bavarde et expansive. Elle passait son temps à envoyer des SMS et à téléphoner avec son jules du moment. Elle nhésitait à dévoiler sa garde-robe et se promener en sous-vêtements dans la chambre. Pour ma part, et pour cause, je me montrais plus discrète. Quand je me rendais à la salle de bain, jétais enroulée dans une grande serviette et quand jen revenais, jétais entièrement habillée.
Le Vendredi soir, le jules dAurore sest pointé pour la soirée et pour la nuit. En fin de soirée ils sont montés se coucher. Pas la peine de faire un dessin. Jai fait durer ma soirée au maximum et quand je suis montée jai fait suffisamment de bruit pour quils soient avertis de ma présence.
Je me suis couchée. Pourtant, lidée dêtre à quelques mètres dun couple amoureux, mexcitait au plus haut point et je scrutais dans le noir, chaque bruit chaque geste. Mon sommeil était léger. Je ne sais pas à quelle heure jai entendu le bruit des draps qui bougeaient de manière régulière et des chuchotements.
Ça y est, jen étais sûre : ils allaient baiser. Et jallais être aux premières loges. La pénombre de la pièce ne laissait deviner que des ombres grises. Javais le sexe en feu, dimaginer plus que de voir. Jentendais les gémissements dAurore. Mes doigts sactivaient sur mon bouton.
-Tu crois quelle nous entend ?
-Non, non. Elle dort comme une masse.
-Tes sûre.
-Oui, elle ma dit quelle prenait des cachets.
Ils sont descendus du lit. Elle sest mise à genou sur le plancher et lui sest collé derrière elle. Il ny avait plus de grincement. Je percevais nettement leur ombre sagiter et le bruit de mouille de ma copine qui se faisait labourer.
-Mais quest-ce que tu fais? Non pas par là
-Tu nas pas le choix, et tais -toi si tu ne veux pas que ta copine sache.
Elle ne gémissait plus. Elle encaissait sans broncher, une bite dans le cul. Et moi, à moins de trois mètres je me faisais du plaisir. Les mouvements du mec se sont accélérés et il a poussé un râle qui a couvert le mien. Car, contre toute attente, je venais de me faire jouir pour de bon et mon corps était pris de vibrations incontrôlables. Javais peur quon ne maie entendue.
-Putain, tu men a mis partout, cest dégueulasse ! a-t-il gueulé à mi-voix.
Il est sorti vers la salle bain. Jentendais nettement Aurore qui sanglotait.
Le Lendemain, je tai téléphoné, Laurent, pour te dire comment javais joui. Tu avais lair satisfait. Tu mas demandé de le refaire en repensant à la scène, denrichir les images par de nouveaux fantasmes. Tu mas aussi demandé de me taper le premier mec qui me draguerait.
Le soir, il y avait une soirée en boite. La boite locale était ce soir là remplie de locaux. On était loin des soirées dété avec un ambiance de folie. Cétait plutôt la foire au péquenots qui venaient de finir la semaine de boulot. Au bar, en allant chercher une conso, je ne suis fait alpaguée par un jeunot, mignon, mais un peu lourdingue. Il ma invité à fumer dehors. Quand il a posé la main sur ma taille, jai réprimé un mouvement de recul, mais finalement je me suis laissée faire. Main dans la main, bisous dans le cou, autour de la bouche, langue dans la bouche bref en moins de vingt minutes, je lui demandais :
- On ne reste pas ici, on va faire un tour dans ta bagnole.
- Jen ai pas, je suis venu en scooter.
Le vrai plan galère. Jai prétexté un truc oublié pour emprunter les clés de la voiture de ma copine. Et nous voilà sur la route à recherche dun coin romantique
Non plutôt discret. Un parking désert en bordure de plage a fait laffaire.
- Mais tu ne mets pas soutif?
- Ben, non faut croire.
Jenlevais le haut, pour quil puisse me voir torse nu. Son sexe remplissait son pantalon et le caressais excité à travers la toile. Ses doigts malhabiles ont essayé des se frayer un chemin dans mon jean.
-Putain, mais tu nas pas de culotte !
- Ben non javais envie de me taper un mec ce soir, alors pas besoin de culotte non plus, cest plus facile comme ça.
Je laidais à descendre mon jean.
-Caresse-moi avec tes doigts.
Visiblement, il nétait pas très doué. Il a essayé de menfoncer un doigt, ce qui ma fait un peu mal. Je guidais ses doigts en haut de ma fente et lui impulsai un mouvement de rotation. Jétais excitée. Je mimaginais à la place dAurore. Proie facile aux mains dun vicieux lubrique. Lexcitation montait en moi.
Jai sorti sa queue et je lai branlé. Jétais entièrement nue et lui torse nu le sexe érigé et décalotté sorti de son boxer, je lui ai enfilé un préservatif et me suis empalée sur lui. Il me mordillait les seins tandis que me creusais pour mieux le sentir au fond de moi. Cétait violent sauvage, jaimais cela. Je me sentais chienne comme jamais. On a fait basculer le siège et je me suis mise à 4 pattes pour quil puisse me saillir par derrière. Son ventre tapait contre mes fesses et faisait un bruit entêtant.Je suivais la montée de nos plaisirs et puis soudain, plus rien. Lexcitation est retombée dun seul coup, je nétais plus quun morceau de chair quon utilisait. Mon vagin était redevenu inerte, ma tête nétait plus là. Ses coups de reins sont devenus plus rapides, la mécanique sest accélérée, emballée, il a poussé un gémissement rauque puis sest immobilisé. Il avait joui en moi.
On était tous les deux muets et confus de cet excès, vidés. Comme promis jai fait comme tu me lavais demandé, jai retiré le préservatif et jai embouché le membre flasque et gluant. Ce que je faisais à ce quasi inconnu me dégoûtait, je naimais pas la substance tiède, visqueuse et un peu salée que je déglutissais à grand peine.
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