Il Était Une Fois Le Tonton ...
- Tu te souviens tonton quand nous dormions chez toi avec les parents ? tu venais me raconter une histoire pour mendormir ?
- Oui ma petite tu étais grande comme trois pommes
- Je voulais que ce soit uniquement toi qui viennes me border, tu caressais mon ventre qui faisait du bruit !
- Tu étais sujette à laérophagie, précise quand même que je te caressais par-dessus ta chemise de nuit
- Oui, cétait le bon temps
tu ne voudrais pas recommencer ce soir ?
- Mais enfin Lisette ? tu es au lit avec Léo ton petit copain ?
- Tonton ! sil te plait, raconte-moi une histoire en caressant mon boudou !
- Faites ce quelle demande sinon je vais avoir droit à une crise de parano toute la nuit
- Mais malgré les draps tirés jusquà ton menton je devine que tu es nue là-dessous ?
- Et alors ?
- Mais enfin ? à dix-neuf ans tes formes ont radicalement changées, je vais être très gêné si jeffleure un tantinet ta poitrine ?
- Ça ne porte pas à conséquences
- Léo ? dis quelque chose ? vient à mon secours !
- Contentez-là jvous dis
- Bon, que veux-tu que je te raconte ?
- Celle de la jeune fille qui se perd dans la forêt ?
- Je ne la connais pas ?
..
- Mais siiiiii ! elle rencontre des chasseurs ?
- Non
je ne vois vraiment pas
- Alors cest moi qui vais te la raconter, assieds-toi et donne-moi ta main, passe sous le drap... voilà, pose la ici sur mon nombril
- Lisette
nnnnooooooonnnn
- Chuuuuutttt ! il était une fois
- Haaa ouuiii ! jadore celle-ci !
- Tais-toi Léo !
Sous mes doigts je trouve un piercing accroché à son nombril, je nose maventurer ailleurs car je suis à la limite du pubis et plus haut je vais inévitablement toucher les seins
- Alors voilà, il était une fois
une très jeune fille légèrement vêtue va se promener en forêt, au détour dun sentier elle tombe nez à nez avec quatre chasseurs, ceux-ci armés darcs et de flèches apostrophent la pucelle
- Diantre ! où va tu ainsi court vêtue la mignonne ?
- Je vais quérir des fraises des bois
- Il ny a pas de fraises des bois ici, mais de dangereux sangliers, part tant quil est temps sinon
- Sinon quoi ?
- Quelle arrogance ! fuit sinon nous te perçons de nos flèches
- Mais la donzelle persiste alors ils se fâchent tout rouge, caresse mon ventre tonton
- Tu mennuie Lisette, quest-il arrivé à cette gamine ?
Menhardissant, pris par limagination de son histoire assez sordide je décris des cercles allant du pubis où curieusement je ne trouve aucuns poils frisés et remonte à la base de petits seins tout ronds, Lisette pousse des soupirs et tarde à reprendre son récit cest son copain qui lexhorte à poursuivre
- Continue tonton tu me fais du bien, alors ivres de colère et dalcool les chasseurs lui laisse une minute pour disparaitre car ensuite ils vont se lancer à sa poursuite et mettre leur menaces à exécution, prise de panique la fille prend ses jambes à son cou et cours à perdre haleine dans le seul sentier qui souvre devant elle, après deux minutes elle trouve une vielle cabane de bois semblant inhabitée
elle va sy cacher pour reprendre son souffle
caresse plus haut tonton
- Mais plus haut cest ta poitrine ?
- Justement
voilà tâte bien mes seins
donc la jeune fille pousse la porte
aussi mes tétons, presse-les entre tes doigts
oouuuuuuuuiiiiiiiii !
Entre mon pouce et mon index je fais rouler les petites fraises qui sallongent, ses seins durcissent, sans men rendre compte je plotte carrément Lisette qui ronronne comme une chatte, ce nest absolument pas désagréable
car je bande
- ALORS ? Qua-t-elle trouvé dans cette cabane ?
- La porte sest refermée dun coup dès quelle est entrée
les quatre chasseurs sont là
entièrement nus ils brandissent des flèches
mais ce sont de grosses flèches de chair, ils poussent la fille sur un vieux matelas, troussée jusqu'à la taille jambes ouvertes elle excite les hommes qui se précipitent sur elle et lui arrache ses vêtements
- La pauvre
.
- A présent va jusquen bas avec ta main tonton
- Oui Lisette
- Tu nous fais bander avec ce récit
- Branle-toi Léo chéri ! caresse encore plus bas tonton
Les jambes repliées ouvertes, une invite à passer ma main à plat sur sa vulve brulante, imberbe, elle tressaille de plaisir, la fin de son histoire tarde à venir, elle bafouille la fin
- Ils
ils lont baisée chacun leur tour
plusieurs fois
. Haaaaaaaaaooooooouuuuuuuiiiiiiiiii ! enfonce un doigt tonton
- Même deux tu es très ouverte
- Baisez-là, elle ne demande que ça
- Pas question de faire ça a Lisette ! puisque cest ainsi je vous laisse, vous devez avoir envie de vous retrouver seuls ?
- Nnnnooooooonnnn ! reste !
- Bonne nuit les s
Après mêtre déshabillé à la hâte dans le noir je me jette sur mon lit et empoigne ma queue dure comme le roc, les yeux fermés je mélange le récit de Lisette, cest elle que les chasseurs ont pourchassée pour la violer sur la paillasse sordide, ils la pilonnent sans répits à tour de rôle , elle en redemande encore et encore
hhhaaaaaaaaaa je vais bientôt décharger
cest à peine si jai perçu le grincement de ma porte de chambre
un forme agile menjambe tête bêche, sous mon nez plane une odeur persistante de femelle en chaleur, avant que je nai eu le temps de réagir mon gland décalotté par mes soins est voracement embouché, mes testicules broyées par une petite main, les fesses menues sabaissent sur mon visage je nai dautres solutions que de lécher cette faille ruisselante ainsi que lanneau plissé, mais une surprise mattend ,au moment où ma langue sépare les lèvres un paquet de sperme coule dans ma bouche, je nai dautre choix que de lavaler, jen déduis aisément que son copain vient de la baiser mais nayant pas eu dorgasme elle vient en chercher un dans mon lit, je décide de lui apporter ce plaisir et de mappliquer à la faire grimper aux rideaux
Jaspire et mâchouille ses lèvres avant de me concentrer uniquement sur son clitoris, elle se tortille oubliant de me sucer, cest donc moi qui mime les mouvements de la pénétration allant jusqu'à sa luette, ma bite se raidit une ultime fois avant de cracher sa semence directement dans son gosier, dans le même temps une vague liquide éclabousse mon visage, lisette seffondre sur moi, je la bascule délicatement sur le côté, sans lui laisser le choix je viens entre ses cuisses et menfonce sans attendre sa permission dans sa craquette délicate toujours ouverte, mon mandrin épais entraine ses chairs davant en arrière , jamais ma bite enserrée dans ce manchon soyeux ne ma procuré autant de bien ! Jy resterais volontiers des heures !
- Merci tonton pour ce moment de bonheur !
- Tu veux aller rejoindre Léo ?
- Après avoir tiré son coup il ronfle comme un bienheureux, il ne tient pas plus de trois minutes je nai pas le temps dassouvir ma pulsion, alors défonce ma chatte jusquà ce que je demande grâce
- Je vais faire tout mon possible pour satisfaire tes envies
- Avec le morceau que jai dans mon ventre tu vas me faire grimper aux rideaux ! dès que tu bouges mes muqueuses saffolent
- Je vais même corser la chose en te mettant des doigts au cul
- Attends, je vais relever mes jambes pour que tu puisses mieux accéder à ce trou encore vierge
- Vierge ?
- Ne tinquiète pas je suis décidée à te loffrir
- Je vais bien lassouplir en te baisant ma chérie
- Hhhhhoooooooooooo tonton ! défonce-moi vite !
- Accroche toi à mon cou je vais tallonger le conduit vaginal
La jeune femme glapit à chaque percussion plus ou moins prononcée de son vagin, les deux doigts introduits entièrement dans son anus coulissent à présent aisément, totalement ouverte elle est prête à prendre nimporte quel calibre dans ses orifices, par trois fois elle ma mordu lépaule, malgré le fait de penser à mon percepteur pour éloigner ma jouissance imminente, je décide de me retirer à la deuxième éjaculation
- TONTON ?, cest déjà terminé ??
- Ne craint rien ce nest pas fini, tu vas te mettre à genoux
- Je vais y passer par derrière ?
- Oui, mais avant dy mettre ma verge je vais tenfoncer ma langue, respire profondément et ne cherche pas à te fermer à moi
- Que cest booooooooonnnnnnnnn la langue ! va-y met là moi !!!
Longuement je frotte mon bout rougi par les pénétrations sur le cratère frémissant, puis, je reste immobile pesant de plus en plus sur la fille qui sarqueboute afin de ne pas piquer du nez dans les draps, le trou cède, Lisette gémit, sans doute de douleur mais ne se dérobe pas, mon gland est aspiré lentement puis teste coincé derrière sa collerette
- Ça va poussinette ?
- Ça fait mal
ça va me faire souffrir encore longtemps ?
- Non, ce ne sera que du plaisir lorsque mon manche sera entièrement en toi
- Alors pousse !
AAAAAIIIIIIIEEEEEE !
- Et voilà, cest tout rentré, jattends que tu bouges avant de te limer franchement
- Cest complètement différent que par devant mais cest très bon ! va-y encule moi !
- Merci pour ce pucelage inattendu, je vais juter très vite cest trop serré ! et puis tu me fatigue, je ne suis plus très jeune et mes bourses sont taries !
- Dommage
je nai pas sommeil !
- Mais moi je suis là poussinette !
- Léo ? tes réveillé ?
- Avec les hurlements que tu pousses tu réveillerais un régiment, et puis regarde ma queue ?
- Tu bande ? Hoouuuaaais ! vient dans ma chatte, tonton me sodomise
- Salope ! tu me las toujours refusé ?
- Cest grâce à lexpérience des hommes mûrs !
- Dorénavant je te prendrais par les deux trous sans débander !
Les deux amoureux se sont endormis dans les bras lun de lautre, repus je suis allé me coucher dans leur lit
ils ne sont plus jamais revenus solliciter mes services !
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