Premier Été D'Une Longue Série 2/4

Vers 2h, il fallut que je rentre, c'était l'horaire avec ma mère. Arrivé chez moi, je me déshabillai et dans mon miroir, je remarquai que je portais toujours le tanga de Noémie et en l'enlevant, je vis alors une tâche au milieu, où doivent se trouver ses lèvres. Je me rappelai alors du moment où je l'avais senti humide et me demanda ce que cela pouvait être. Je portai son sous-vêtement à mon nez et senti la tâche, il ne s'agit d'eau de mer et je commençai à comprendre ce que c'était, mais ne compris pourquoi c'était là. je m'endors-mis nue en ne pouvant ôter ces questions de mon esprit.
Je me réveillai en sursaut en entendant mon téléphone sonné, c'était Noémie qui m'appelait. Je décrochai avec une toute petite voix et le remarqua et m'en fit part.
• Je rêve où je te réveille là ? On devait aller faire du paddle tous les deux !
• Oh mince, désolé, j'ai oublié de mettre un réveil, j'étais dans mes pensée hier soir, j'arrive dans 10 à la plage, attends-moi.
• Dépêches toi !
J'enfile fissa un maillot, celui que je prends pour aller faire du paddle le matin. Il n’est pas très large pour pouvoir bronzer un maximum et je le mets normalement que quand je vais en faire toute seule. Mais j'étais pressé et ne m'en rendais compte. Enfila un trop et un mini short, mis le paddle dans la remorque derrière mon vélo et partis vers la plage encore endormi.
Arrivé à la plage, je retrouvai Noémie qui bronzais sur le ventre et je marquai un temps d'arrêt et observa son arrière train qui reluisait au soleil car elle avait rentré sont maillot entre ses fesses pour bronzé et je sentis une chaleur m'envahir. Je décida alors de m'approcher doucement derrière tout en continuant de fixé ses fesses et je me jeta sur elle de tout mon poids ce qui le fit lâcher un hurlement de douleur.
• Nan mais t'es folle ou ça se passe comment, t'aurais pu me casser le dos !
• Roth, ça va, tu n'a rien, rigole un peu, t'es toute coincé, lui réponds d'y je.

• Ouais, bah quand même, ce n’est pas cool, je rêvais et j'étais tranquille.
• Tu rêvais de quoi, de moi bien sûr, je hante tes pensées, lui d'y je avec un aire de princesse en regardant le ciel.
• Tu seras de quoi je rêvais quand on sera sur l'eau avec ton paddle, dépêches toi de gonfler.
Je m’exécutai et en cinq minutes il était prêt. Je commençai à enlever mon top puis mon short et c'est à moment que je compris que j'avais mis le mauvais maillot de bain et hésita alors à aller me changer, puis au final non.
• Je te préviens d'avance, je me suis trompé de maillot de bain et celui-ci est un peu court derrière, lui expliquai-je
• Tant mieux, je pourrai mieux mater tes fesses dans ce cas.
• Ouais, on va dire ça, c'était ma réponse mais j'étais très gêné et elle avait dû le voir, elle me dit alors autre chose
• T'en fais pas, je serais discrète.
Sur ceux, je pris le paddle, la pagaille et me dirigea vers la mer et je sentis alors le regarde de Noémie se poser sur moi et mon dos et pas que. Arrivé à l'eau je lui fis remarquer.
• Ce n’est pas ton fort la discrétion dis-moi.
• Nan pas vraiment mais c'est qu'un détail.
Mon monta sur le paddle puis je me mis débout et au bout d'un certain temps je remarqua que j'avais une vue parfait sur sa poitrine volumineuse. Elle était magnifique et je pouvais même voir à l'intérieur de son maillot en bas de son dos. Ce blanc que je voyais à l'intérieur m’intriguait et m'attirait intensément. Après quelques minutes de pagaille. Je m’arrêtai et m'assoit à l'arrière de la planche puis Noémie se retourna et me fit face.
• on fait quoi maintenant ? me demanda-t-elle.
• D'habitude je m'allonge et bronze, mais comme tu es là, bah je ne sais pas, tu veux faire quoi ?
• Bah bronze, je vais aller piquer une tête.
• D'accord à toute à l'heure.
Après ceci, elle plongea et je défis mon haut de maillot de bain sans pensé au retour de Noémie ce qu'il fut une grosse erreur. Je m'allonge ait sur le dos et mon esprit était plongé dans de longues et agréables pensée de mon amie et du plaisir que m'avait procuré la vision de ses fesses. Plongée dans mes pensées, je n'entendis Noémie revenir et fut extrêmement surpris quand j'entendis sa voix.
• ça va la naturiste, je te dérange pas trop ?
• Euh... si un peu, mais tu m'as déjà vue comme ça de toute manière.
• Ah non, pas du tout, mais c'est avec plaisir que je découvre ta jolie petite poitrine. Mais elle a un peu chaud, faut la rafraîchir.
Et d'un coup, elle souleva la planche qui se renversa et m'envoya à l'eau. Sans remonter à la surface, je plongeai en profondeur et me plaça juste sous elle et la tira dans l'eau avec le pied. On remonta toute les deux en même temps à la surface et c'est à ce moment que sa main se posa sur ma poitrine alors qu'elle chercha un appui pour rester la tête hors de l'eau. Elle ne fit pas que de la toucher, mais aussi la palpa avec une certaine force ce qui, je dois l'avouer, me donna plus de plaisir que ne m'embêta. Paniqué d'avoir été entrainé dans l'eau elle m'enlaça le cou avec ses bras et le bassin avec les jambes et me sera. Nos poitrines étaient l'une contre l'autre et compressé, je sentais alors ses tétons durent, sûrement dû à l'eau et sa fraîcheur.
• ne panique pas, c'est moi qui t'as emmené sous l'eau, lui dis-je pour essayer de la rassurer
• Oui je sais, mais je n’aime pas ça
• Je vois ça. Bon, tu veux bien me lâcher pour que je remette le paddle dans le bon sens afin que l'on remonte dessus ?
Elle me lâcha, je le remis sur son bon côté. Et on monta toutes les deux dessus. Elle me proposa alors de qu’elle pagaille. Ce ne fut sans refus que je m’installai à l'avant et que je dis la sirène sur le chemin du retour. On peut en effet dire que je faisais la sirène car je n'avais pas remis mon soutien-gorge et elle me fit le remarquer avant d'arriver sur la plage.
• Tu vas aller sur la plage seins nue ?
• Euh comment ça ? Et c'est là que je remarquai que je ne l’avais pas remis. Oh merde, mon soutien-gorge dis-je en m'empresse tu de le prendre et de le remettre. T'aurais pu me le dire avant quand même.
• Oh non, j'ai adoré la vision.
J'étais partagé entre la gêne et le plaisir que ce soit elle qui l'ai vue ainsi. Arrivé sur la plage on se rhabille et je range le paddle et on constate qu'il est déjà 13h.
• Tu manges à la maison ?
• Bah je ne sais pas, t'as mère veux bien Émilie ?
• Elle n’est pas là, personne n'est là, donc c'est toi qui voit.
• Dans ce cas, avec plaisir.
On remonte alors à la maison de mes grands-parents partis en camping avec des amis et on s'installe sur le buffet où je commence à préparer à manger. Je commence à couper du melon puis du jambon quand je suis interrompu par Noémie qui me dit d'une voix très douce.
• Ils sont vraiment jolie tes seins, je les regardes depuis toutes à l'heure et c'est impressionnant. Aucun défaut.
• Nan mais arrête, j'ai pas dit ça après les avoir regarder sur le paddle même si je le pensais. Mince, je n'étais pas censé lui dire ça.
• Ah, comme ça tu me mates, très bien. Bon aller à table.
Je saisis le melon et le jambon et on va s'installer sur la terrasse. Il fait une chaleur que nous n'avons pas ment faim. Le melon et le jambon nous suffit et passe alors dans le salon où l'on se met dans le canapé afin de regarder la télé. On met alors une télé réalité que Noémie raffole. Je m'assois et c'est alors qu'elle s'allonge dans le canapé et place sa tête sur mes cuisses. Étonné mais pas dérangé, je ne dis rien. Elle était restée en maillot de bain depuis toute à l'heure et je pouvais de nouveau voir le début de ses fesses car elle cambrait le dos. Je pensais même qu'elle le faisait exprès pour que je puisse le voir. Puis je sentis les doigts de sa main, qui se trouvait sous sa tête, commence à caresser ma cuisse et remonter par moment. Me trouvant sans mon short, mes jambes étaient toute à elle et elle ne se fit priée pour en profiter et c'est alors qu'elle commençait à me caresser l'ensemble de la jambe. J'étais alors sur mon téléphone pour répondre aux messages reçu le matin et durant notre repas et une fois ceci terminé je posai ma tête sur sa hanche et mes mains sur ses cuisses. Nos regardes se sont croisé avec un sourire en coin qui en disait long sur le plaisir partagé par cette situation. Sans rien dire, nos regardes se sont replonger dans le programme télé. Enfin, mon regard était plus souvent plongé dans son soutien-gorge qui avait remonté un peu lorsque qu'elle s'était allongé, et dans son entre jambe où je me demandais comment c'était. Je commençais également à lui caressé les cuisses et je remarquais qu'elle aimait cela car elle jeta de petit regarde vers mes mains et fermait les yeux pour montrer son plaisir. Tout en effectuant cela, je me demandais ce qui ce passais en moi pour être autant attiré par cette fille. Mais mes questions furent vites balayées pas son envie subite d'aller aux toilettes. Lorsqu'elle sait lever, je remarquai alors une tâche important sur son bas de maillot et juste sur son entre jambe. Je pensais bien savoir ce que c'était car moi également j'avais les tétons qui pointaient par l'excitation qui avait régné dans la salle.
Je me posai alors un tas de questions, c'est alors que je me rappelai que j'avais son tanga et qu'il fallait que je lui rend. Je partis alors direction ma chambre m'en saisi et arrivé en haut des escaliers je l'entends me demander où je suis.
• Émilie, tu es où ?
• En haut, dans ma chambre, rejoins-moi.
• D'accord, attends 30 secondes.
• Pas de soucis.
Je décide alors de lui faire une blague, ou une surprise, je ne sais pas vraiment comment elle l'a pris même si j'en ai une petite idée. J'enlève mon bas de maillot et enfile le tanga de mon amis et m'allonge sur mon lit, les fesses vers le haut. Je l'entends monter les marchés de l'escalier, Puis la poignée se baisse et la porte s'ouvre, puis plus aucun bruit. Je l'entends de nouveau marcher vers moi et j'entends alors une respiration plus forte. Elle pose alors ses mains sur mes fesses et les presses en me chuchotant à l'oreille.
• C'est à moi ça.
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que je fit un bon en avant et me retourna vers elle avec une tête ahurie.
• Ne fais pas une tête surprise, tu attendais que ça, me dit-elle.
• Nan pas trop quand même, mais bon, pas grave, j'espère que tu as aimé parce que tu ne les retoucheras pas de sitôt.
• Ce n’est pas cool ça, je suis triste de t'entendre dire des choses comme ça. En attendant, je n'ai pas le tiens, je te l'amènerai ce soir.
Après quelques minutes à parler, je regardai l'heure et vit qu'il était prêt de 17h, on décida d'aller à la plage, mais il fallait que je remets un maillot de bain en bas. J'en pris un dans mon armoire et vit que Noémie n'était pas décidé de bouger je lui dis.
• pas touche et évite de trop me regarder
Je lui tournai alors le dos, et enleva son tanga. Cependant je ne faisais pas grand-chose pour me cracher et je ne pliais pas beaucoup les genoux. Je sentis alors l'air entre mes fesses ce qui signifiait que l'on pouvait absolument tout voir. de plus, en regardant vers Noémie, je vis qu'elle ne perdais d'aucune seconde de la scène. Lorsque que j'eu finis, je me retourna et trouva une Noémie toute rouge avec la bouche entre ouverte. On pouvait distinguer ses tétons qui étaient sûrement bien dure vue comment ils arrivaient à déformer sont haut de maillot.

Après ceci, on décidait à la plage et trouva nos amis. on passa une après-midi normale mais je remarqua des regardes insistant de la part de Noémie. Je lui répondais par moment avec une petit sourire et des clins d'œil.
La soirée arriva et on alla dans un bar sur le port. On commanda une tournée puis une deuxième. Arrivé à cet instant, les ravages de la veille firent effet et certaines personnes rentrèrent trop fatiguée. On se retrouva à trois, trois filles. On décida alors par mesure de sécurité de ne pas rester trop longtemps dehors et comme la première de filles habitait avant Noémie et moi, on l'a déposa chez elle peut-on continua notre chemin. Quelques secondes après avoir repris notre route, je lui ai demandé.
• Maintenant que je t'ai rendu ta culotte, t'as mon string, parce qu'il fait un peu froid sous ma jupe.
• Nan sérieux, t'as rien dessous ? Montre !
Même si elle m'avait vue tout à l'heure sans culotte, je ne suis pas d'habitude à me montrer à mes amies sans sous-vêtements et lui montra alors juste ma hanche où elle vit belle et bien que je n'avais rien sous ma jupe.
• je te pensais pas capable tu vois, me dit Noémie alors ébahit parce qu'elle venait de voir.
• Et bah si, j'ai voulu essayer, mais est-ce que tu as ce que je te demande ?
• Nan, mais viens à la maison, et au pire, tu envoies un message à ta maman et tu dors à la maison, tu m'as accueillis pour manger toute à l'heure.
• Okay.
J'appela ma mère et elle ne dormait pas et accepta que je dorme chez Noémie.