La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°920)
Marion au Château (suite de l'épisode N°913)
Je comprenais que si je voulais de nouveau avoir lhonneur quIl soccupe de moi, je devais Le rendre fier durant cette soirée, ne pas désobéir, et accepter tout ce qui pourrait être exigé de moi, peu importe ce que ce serait et de qui lexigence viendrait
Je nétais quune salope de chienne soumise MDE et si heureuse de lêtre
Marie avait préparé pour la suite des croustillants de saumon frais au chou vert. Là encore, la talentueuse cuisinière était mécontente car si elle voulait que le plat soit le meilleur possible, elle devait les faire dorer au dernier moment, car le saumon devait rester à peine cuit. Elle ne se gêna pas pour maccuser de trop distraire les Invités et de les empêcher de manger, arguant quune chienne serveuse devait se faire aussi discrète que possible ! Malheureusement, ou pas dailleurs, on ne me laissa que très peu de temps sans sintéresser à nouveau à ma petite personne
Pendant que je servais, jétais régulièrement arrêtée le temps dune claque sur le cul ou les seins, un petit coup de tripotage dun côté, de malaxage de lautre, un doigtage furtif
les Invités avaient légèrement changé de places, et tous ces messieurs, sauf le Maître, sétaient installés de chaque côté du milieu de la grande table. Maîtres César et Wallance avaient écarté leurs chaises de manière à ce que je puisse aisément me tenir entre elles, et le plateau de la table avait été débarrassé, en son milieu dans le sens de la largeur. Une fois toutes les assiettes servies, on mordonna de monter sur la table et de my allonger, faisant ainsi office, en quelque sorte, de chemin de table. Monsieur le Comte dOrlan posa un morceau de croustillants sur le téton le plus proche de lui
Il en prit également un en bouche, et posa ses lèvres sur les miennes afin de me le donner à manger, puis se jeta sur mon sein pour gober le premier morceau en prenant soin de me lécher et de mordiller mon téton dressé au passage.
La main qui me tenait le visage descendit sur mon cou et commença à serrer, pas assez pour m gravement, cétait juste une étreinte mesurée et assez placée pour décupler mes sensations. Un bâton électrique sapprocha de mes tétons et samusait à me provoquer des mouvements désordonnés, et toujours sans le moindre son. Puis toutes les mains se retirèrent et on maspergea deau glacée quon étala sur tout mon corps.
Jen étais à une dizaine de pinces attachées entre le haut de chaque sein jusquau bas de mon ventre. Ma chatte se faisait r à lélectricité, mobligeant impulsivement à refermer mes jambes et à les serrer pour tenter de faire stopper le délicieux supplice. Mon bassin sétait tourné. Jétais toujours sur le dos, mais mes jambes sétaient tournées sur le côté, dévoilant mon cul. On continuait à me poser des pinces, on se mit à me claquer les fesses. Je me faisais embrasser à pleine bouche, ou javais des doigts, voire des mains à sucer, lécher
On me ligota les mains pour les attacher de chaque côté de la table.
- Tu vas pouvoir crier petite chienne et jouir, à trois. Un
Deux
Trois !
Je hurlais dun cri animal lorsquon marracha les pinces dun seul coup en tirant sur la ficelle du côté droit et je jouissais fortement en même temps. Le magic wand était toujours à sa place. Maîtresse Fatalis enleva la pince de ma langue mais avant que je ne puisse hurler elle membrassa langoureusement, tout en caressant mon flanc endolori. Je jouissais quasiment sans discontinuer, attendant quon se décide à menlever la seconde rangée de pinces. La queue que javais dans une main disparue, remplacée par la chatte de Maîtresse Fatalis, on me cracha dans la bouche. Quelquun se saisit de la seconde ficelle, mais ne tirait toujours pas. Et alors quun nouvel orgasme franchissait la barrière de mes lèvres, les pinces furent enfin retirées. Jaurai été incapable de dire si je hurlais plus de douleurs ou de jouissance, probablement un savant mélange des deux ! Je convulsais presque tellement jétais submergée par les différentes sensations.
Au bout de quelques minutes, je fus enfin détachée pour amener la suite, des rouleaux de légumes au curry, accompagnés de tranches de gigot dagneau. Quand toutes les assiettes furent distribuées, on me rattacha à la table, la jambe droite servant de jambe dappui au sol, la jambe gauche étirée et attachée par la cheville au plateau de la table, les mains liées entre elles et étirées jusquà lautre côté de la table, mon cul ainsi bien offert. Le Comte dOrlan me donnait à manger tandis que Maître César me lubrifiait ma rosette de sa langue. Maître Wallance se mit à menfoncer deux doigts dans la chatte. Le Comte dOrlan, ouvrit son pantalon pour en sortir Sa bite déjà dressée et me la mit entre les mains pour que je le branle. Maître Mangini se mit alors à son tour à me donner à manger. Maître César remplaça sa langue par sa queue dans mon cul, senfonçant et ressortant à plusieurs reprises doucement. Puis il mencula avec de plus en plus de vigueur, faisant avancer petit à petit la table sur laquelle jétais attachée. Il avait saisi mes cheveux et me tirait la tête en arrière. Mon cuir chevelu en devenait douloureux. Maîtresse Diamina vint se placer en face de moi, exigea que je garde la bouche ouverte et menfonça trois doigts dans la bouche quelle faisait aller et venir, allant au plus profond quelle pouvait, me provoquant des hauts le cur que je retenais difficilement. Les Maitres se succédaient dans mon fondement, je me prenais un nombre incalculable de coups de bites dans mon cul ou parfois dans ma chatte. Maîtresse Diamina, qui avait enlevé ses doigts de ma bouche, me les faisait lécher alors quavec la Comtesse dOrlan, elles sembrassaient lune lautre goulument comme deux lesbiennes. Maîtresse Cravache qui ne portait pas ce nom pour rien, en attrapa une, et se mit à me donner de petits coups dans le dos, au rythme de celui qui était en train de menculer, alors que la Comtesse dOrlan me mettait une série de claque sur le visage
Jétais terriblement excitée
(A suivre
)
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