Délires Lubriques Assumés Et Jousissif

Délires lubriques

32 ans, célibataire, bel homme, séducteur j’accumule les conquêtes, les fantasmes et les nuits de débauche.
Cependant malgré tout, une chose trotte dans ma tête depuis quelques années, réunir plusieurs femmes, à leur insu, les isolées les unes des autres, et les observer obéir à mes désirs chacune séparément.
Ok, c’est pervers, mais j’assume.
Je me présente, Julien, 32 ans, brun 1m85, 70 Kgs, charmeur, et pas trop mal foutu.
Célibataire, bien pervers par moment. J’habite un pavillon dans la campagne de Metz.
Je suis bien décidé à réaliser mon fantasme, mais pour ça il va me falloir un peu d’imagination.
1/ le lieu, pas de soucis, j’ai un grand garage, une fois ma voiture sortie, il y a de la place
2/ la logistique, il me faut des cabines, hors de question de mettre des rideaux, ou quoi, je vais fabriquer des cabines !
3/ les participantes, ok j’ai quelques plans cul qui adorent jouer, et je pense avoir quelques proie à me mettre sous la dent

Aujourd’hui, vendredi je me mets à réfléchir sérieusement, avant de penser à la logistique, je vais quand même m’assurer d’avoir les filles qui acceptent le jeu, enfin ce qu’elles pensent être un jeu individuel, mais enfaite ….
J’envoie un petit message à chacune
« Salut, j’ai une idée en tête, lors d’une de nos prochaine rencontre j’aimerai te diriger à distance, tu rentres dans une cabine, et à l’aide d’un micro je te dirige tu m’obéis, partante ? Répond mais avec un sexfie »

J’envoie ça à 6 filles, je prévois des refus.
1-Julie, 24 ans, brune super aguicheuse, assumée et « salope » à souhait – aucun doute elle viendra
2-Emilie,30 ans, tout l’inverse, blonde 1m80, discrète, aime le sexe, aime surtout le découvrir, un potentiel de folie, mais pas assez débridée – pas certain, ca dépend de son état d’esprit du moment.
3-Isabelle, 42 ans, femme divorcée, à la recherche de soirées de débauche après un mariage raté avec un coincé, aucunes limites, ses pulsions sont plus fortes qu’elle – elle aussi, presque sûr qu’elle sera là.


4-Capucine, 29 ans, en couple, mari candauliste, son mari l’a transformé en véritable hotwife, elle est accro au sexe, très perverse, à peu près sans limite, tant que son mari est d’accord et lui demande– ce message j’aurai du l’envoyer à son mari, je ne sais pas ….
5-Assya, 32 ans, célibataire, pas follement addict, mais a des besoins combler, on s’entend bien, c’est ma touche d’exotisme, elle est métisse – je ne pense pas que ça l’intéresse, trop pervers pour elle ce genre de plan.
La dernière, c’est ma préférée !!
6-Marie, 30 ans, ronde, avec un 105 C, c’est que du bonheur !! Débridée sur le tard, très coincée au début à cause de son physique, elle a appris à s’assumer et à assumer ses envies, elle a surtout appris à accepter l’idée qu’elle puisse s’amuser sexuellement, et qu’elle ait des envies – je sais pas, mais j’espère qu’elle acceptera.


Ah je vous ai pas dit, étant d’une toute petite ville, elles se connaissent toutes plus ou moins, elles ne savent pas qu’elles ont un plan cul commun.

Vendredi, de retour à la maison après une longue journée de boulot, j’ouvre enfin mon téléphone, 5 notifications messenger.
1-Julie, comme réponse j’ai eu une photo d’elle dans son lit, le boxer humide avec une main en dessous, et un petit texte, tu vois l’état mon boxer rien qu’à y penser, c’est pour quand ??
2-Emilie, non merci, existant mais pas prête mon choux.
3-Isabelle, une photo de sa lourde poitrine dans son soutif, avec ce petit mot, je te laisse me diriger, si j’y aurais le droit une prochaine fois !
4-Capucine, mon mari refuse, c’est une bonne idée mais il voudrait être seul derrière a diriger, mais voilà quand même une photo de mon derrière bisous à bientôt
5-Assya, une photo de ses archives d’elle en bikini sur le ventre les jambes et les fesses un peu relevé, avec un message, je ne sais pas pourquoi, mais je suis partante. Très surpris… agréablement par ailleurs … cool
6- Marie, j’ouvre cette fenêtre de conversation avec une petite appréhension.
Une photo de ses seins découverts, téton fièrement dressé, l’un d’entre eux, titillé ou trituré, je ne vois pas bien, par sa main droite.

Génial, 4 sur 6, et, Marie je suis aux anges.
Je vous préviens, je sais, soit par confessions sur l’oreiller, ou lors de soirées que chacune d’entre elle a déjà évoquée la fantasme du trio FFH.
Elles ne sont donc pas complètement outrées ou fermée au pluralisme….


Parfait, en ce vendredi soir rien de prévu, je vais pouvoir me pencher sur ma création.
Clopes, bouteille de rouge, c’est parti, je fouille sur internet, je dessine, trace…
00h30, les plans sont finis, les quantités sont définies, je m’en vais me coucher.
Au moment de m’endormir, je ne peux pas m’empêcher de sortir mon téléphone, et me branler sur les photos de mes coquines, qui sont loin d’être porno, mais la situation fait que ….

Après deux semaines tout est fin prêt, j’ai changé d’avis et rajouter une vitre sans teint au lieu de caméra, la date est fixée, samedi prochain de 20h30 à 21h15.

Dernière idée bien perverse, bien chelou aussi …. Chacune sera habillée différemment, et chacun a reçu des indications plus ou moins vague.
1-Julie : rien de sexy, habillée casual
2-Isabelle : jean taille basse, chaussures fermées, nombril à l’air
3- Assya : Jupe courte, bas, talons aiguille, chemisier
4-Marie : robe mi longue, dessous sexy exigés

Voilà tout est prêt, le garage est chauffé en continu depuis vendredi soir, je suis passé chez le traiteur, on a de quoi manger, boire, si tout se passe bien.
La consigne est simple, garage ouvert, elles doivent chacune se diriger vers la cabine sans parler.
En attendant j’attends, une fois qu’elle est rentrée dans la cabine, je tire un rideau qui fait apparaître une cabine, et un second que je referme afin de dissimuler la première et ainsi de suite.
Chaque cabine mesure 2 sur 2, heureusement que j’ai un grand garage, et chacune d’entre elle est isolée et équipée, d’un petit sac et d’un tabouret, avec une trappe type passage pour chat en bas.
Chaque pièce est équipée d’un micro et enregistre leurs paroles.
Je m’amuse pendant une demi-heure à les regarder, impatientes excitées, c’est impressionnant les différences de caractère.

On y est, tout le monde est installée, je résume :

Julie la délurée, sans limites et assumée est assise, impatiente, elle trépigne, habillée comme prévu casual. Jeans moulant, et haut rose, queue de cheval et Stan Smith
Isabelle la cougar, qui a du temps à rattr est assise, le regard fixé vers le sol, les jambes croisées, on dirait qu’elle regrette, et ne semble pas à l’aise avec ce jeans qui ne lui va pas, elle fait vulgaire.
Assya la timide, dont je suis réellement surpris de sa présence, tourne en rond, elle se demande ce qui va lui arriver, vêtue d’une mini-jupe, qui laisse entrevoir la lisères de ses bas, ses talons aiguille galbe magnifiquement ses fesses, un chignon, un léger maquillage et le chemiser finissent la tenue.
Et Marie ma préférée, qui se découvre un peu plus chaque fois, arrivée la dernière entre et s’assoie instantanément, un gilet en maille qui ne cache rien de sa robe, plutôt courte, bien décolletée, collant et talons mi haut.

Je m’assois devant toutes les vitres sans teint :

« Lève-toi, ne bouge pas, les mains dans le dos, tu te sens comment ? » je vous cache pas, j’ai absolument rien compris à leur réponse puisque toutes leur voies ce sont mêlées, quelques questions ciblées me permettent d’être sûr de leur éloigner de l’esprit qu’elles puissent être plusieurs.
On va passer aux choses sérieuses, elles connaissent toutes mes délires bizarres, mais savent aussi que je suis reconnaissant de ce que je leur demande.
« Enlève tes chaussures, passe les dans la porte ! »
« Bien maintenant fait glisser le haut ! »
C’est une vue que j’apprécie, Julie avec un soutif rose avec des dentelles brunes, Isabelle, une brassière relève sein, ses pointes déjà fièrement dressée et son visage s’est éclairci, Assya soutif noir standard, et, Marie, soutif sans bretelles rouge avec des finitions dentelées.

« Le bas maintenant, et passe tes vêtements dans la porte »
J’admire désormais, Julie en string ficelle assortie au soutif, et des sokettes rose, Isabelle, un tanga noir, Assya, un boxer semi transparent puisque tout en dentelle, en bas noir, et Marie avec une paire de collants noir et en dessous un shorty en dentelle assortir au soutif.
« Tourne sur toi-même lentement » j’observe
« Tourne toi, face à la glace, relève tête soit fier et expose ta poitrine, dos à la glace, tend bien ton cul »
Toute jouent le jeu, chacune est maintenant détendue, et veulent passer à la suite.
« Dit moi sensuellement le pire truc, le plus douloureux que tu puisses imaginer subir », encore une fois je n’ai rien entendu, mais j’écouterais ça plus tard
« Très bien, maintenant le plus hard, le plus dépravant » on verra plus tard.
« Enlève ton soutif, et remue ta poitrine, de haut en bas, qu’elle claque fort, saute à pied joint s’il le faut pendant 30 secondes » je sais qu’Isabelle avec sa poitrine qui, du a son âge, pend plus va rapidement trouver ça douloureux. Effectivement elle souffre, mais ne s’arrête pas.
« Enlève tout le reste, fout toi à poil, donne-moi tout, et ne traîne pas »
Je me lève, ramasse les dessous de chacune, en vérifie l’état, et sans exception, toutes sont humide.
« Je n’ai pas apprécié tes réponses jusque-là, on va changer, je pose une question, je propose deux réponse, et tu réponds 1 ou 2 ! Qu’est ce qui t’excite ? D’obéir à l’aveugle ou de te voir nue entrain de lâche prise »
Julie, 1 ; Isabelle 2, Assya, 1&2 ; Marie 1.
Je redistribue les dessous, mais les inverse au hasard, en prenant le temps de déchirer, au niveau de l’entrejambe, le collant de Marie.
« Ouvre le sac, sors ce qui se trouve au-dessus, et colle le au mur à environ un mètre de haut »
Chacune sors le gode de 18 cm, certaines sont heureuse, d’autre dubitative.
« À genoux et suce le, tu as 30 secondes pour l’avaler tout entier »
Je vous laisse deviner, Julie l’a avalé de suite, Isabelle a quelques difficultés mais y arrive rapidement. Assya et Marie quant à elles ont du mal, elles y mettent du cœur à l’ouvrage mais malgré toute leur bonne volonté, elles n’y arrivent pas l’enfoncer sans avoir des hauts le cœur.
« Relève toi, frotte ta chatte sur le gode, ne te l’enfonce pas »
« Agenouille toi, et enfonce le, le plus loin possible dans ta gueule et reste planté dessus. »
Leur visage se déforme, j’observe, j’ai passé ma main dans le pantalon, elles m’excitent, autant individuellement mais aussi d’avoir toutes ses filles ensemble se donner pour moi
« Lève-toi, retourne toi, enfonce toi le dans la chatte, et abandonne toi dessus jusqu’à ce que je te stoppe, je veux rien entendre »
Après quelques dizaines de secondes, les coups de reins qu’elles s’envoient sont de plus en plus fort, les yeux commence à se lever, les respirations plus profondes, je passe plus de temps à regarder Marie que les autre, elle qui m’a avoué ne jamais utiliser de jouets, elle s’y prend bien, et commence à y prendre du plaisir visiblement.
Quelques petits gémissements commence a s’entendre, surtout chez Julie, qui à l’image de son ouverture d’esprit, elle est très expressive.
Je lui jette le bas qu’il y a sur ses habits, c’est celui d’Isabelle, elle comprend qu’elle doit se l’enfiler dans la bouche pour son bruit, elle ne semble pas percuter que ce n’est pas le sien.
Au fur et à mesure je distribue les dessous, Isabelle récupère le string ficelle, Assya, le shorty de Marie, et Marie, le boxer d’Assya.
Assya n’a pas fait attention, elle a les yeux clos et elle remue sur le gode, Isabelle quant à elle a vu que ce n’était pas le sien, en fixant la glace, elle jette un regard chaud et langoureux, et lèche tout du long le string et se l’enfile.
Marie a vu aussi que ce n’était pas le sien, elle joue le jeu se le met, mais laisse la partie ou le jus d’Assya à commencer à couler en dehors de la bouche.
« Ferme les yeux, jouit si tu le veux, mais sâche que la soirée est loin d’être finie »
Julie se déchaîne sur le gode, Isabelle, semble gérer sa jouissance, Assya elle ne gère rien, elle a trouvé son rythme la menant a la jouissance, et Marie gère aussi ses va et vient.
Une fois que les deux salopes ne maitrisant pas leur jouissance ait finie de remuer sur leur gode comme le fait une cow-girl sur un cheval je reprends la situation en main
« Ouvre les yeux, et regarde toi dans le mirroir, si tu aimes cette vue, fait oui de la tête comme un âne » les quatre ne se font pas prier, Marie me surprend encore une fois.
« Tu aimes te faire bâillonnée de la sorte ? Si tu n’aimes pas recrache-le par terre »
Je vois dans une seul cabine un tissu recraché et heurter le sol.
La cabine d’Assya, qui en même temps qu’il tombe remarque que ce n’est pas le sien, son attitude est indescriptible.
« Tu es sûre de toi ?? » dans les trois autres cabines je vois les têtes s’empresser de faire oui, Assya elle ne sait pas trop puis fait aussi oui de la tête
« Prend ton bâillon dans tes maison et respire le »
Julie, percute, et éclate de rire « je savais que j’en avais oublié un ici une fois »
Isabelle renifle le string amoureusement et s’intrigue, je ne mets pas de string ficelle
Marie le renifle, mais n’exprime rien
« Il est à toi ? »
Toute le regarde, même Assya a du coup repris le sien, et le renifle, l’observe
Isabelle, Assya et Marie certifie que non, Julie est dubitative, la taille ne lui va pas
« Tu as remarqué quelque chose lorsque tu l’as mis dans ta bouche »
Les 4 font oui
« Quoi ? »
J’entends plusieurs réponse mais seules deux sont compréhensible « il était mouillé », « il a été porté »
C’est l’instant de vérité, je me suis allumé une clope, j’avoue ne pas en mener large, malgré l’excitation la nudité, elles gambergent et elles comprennent qu’elles ne sont pas seules, honnêtement je flippe, je me rends compte que je viens peut-être de flingué 4 plans cul, et surtout un qui me tient à cœur !
Toutes ce sont installer sur leur tabouret, et attendent la suite.
« Ok, vous avez compris, vous êtes plusieurs, 4 exactement et 4 femmes, personne sauf moi ne vous as vu, on fait quoi ? On continue ? Les barrières vont tomber un moment on pourra aviser en fonction des envies de chacune, pour que vous soyez audible, répond quand je frappe contre ton mur »
Julie : « putain, t’es une grand malade toi, un pervers à fond, mais je suis preneuse de tout, tu me connais »
Isabelle : « je veux bien continuer, mais je garde un véto pour ce qui va se passer après »
Assya : « au final l’idée me plait, et merde, si je le fait pas quand je suis seule je le ferais jamais, après tout, tu ne m’a jamais menée que vers ce que je désirais sans le savoir »
Marie : « l’idée ne me répugne pas, mais je ne suis pas prête, à le faire de 1 à plusieurs, et de 2 avec des femmes. Je vais m’en aller là, mais sache que j’ai trouvé cela intéressant et ça ne remet rien en cause, t’es un putain de grand malade mais j’aime ça, tu me surprends à longueur de temps »
Ok, 3 sur 4 ce n’est pas si mal, je m’en sors bien, et Marie ma énormément surpris jusqu’ici. Je suis content.
« Celle qui a un shorty rouge en dentelle en main, va me le rendre et sera la grande gagnant de la soirée, elle devra jouir après tout le monde et mener chaque personne à la jouissance. Si elle n’est pas ache elle devra se faire jouir, seule avec ses doigts devant les autres, clair ? »
Je vois Assya se pencher et sortir le bras avec le shorty rouge, et dire, tu vas morfler avec un sourire en coin.
Je rends le shorty à marie, et lui signale qu’elle peut se rhabiller et que je la retrouve devant la cabine.
« OK, reposez-vous, ou faite ce que vous voulez, je reviens dans 3 minutes. »
Je rejoins Marie, l’embrasse a plein bouche, passe ma main sous sa jupe et fouille sa chatte, elle est trempée « ca ne t’a pas laissé de marbre en tout cas » « je ne pensais jamais prendre autant de bien à m’offrir aveuglément », si nous n’étions que tous les deux je n’aurais que très peu de limite je crois, je ne me suis pas reconnue »
Je l’embrasse et lui dit que sous peu elle aura de mes nouvelles. Elle se retourne, heureuse et en même temps soucieuse, et s’en va.
Revenant devant les vitres, je vois Assya assise, pensive, Isabelle assise et sa main qui se balade sur les seins, et Julie, s’est carrément enfoncé le tanga d’Isabelle dans la chatte et se doigte violemment, en se triturant les seins puis elle ressort le Tanga et le met tout entier dans bouche et semble vouloir aspirer tout ce qui peut en sortir.
« Quelle salope, on la laisse deux minutes et on la retrouve un Tange, pas à elle, dans la chatte et elle finit par le sucer »
Assya fait mine de ne pas réagir, Isabelle prend la parole : « je ne sais pas comment tu fais, mais je me sens chienne au possible, t’arrête pas là »
« OK comment imagine tu la femme a ta droite, elle vient de s’enfiler ton tanga dans la chatte et dans la bouche, t’en penses quoi »
« Je pense qu’il s’agit d’une jeune salope affamée de sexe qui n’a aucune limite, elle ne doit penser qu’à ça, quelqu’un de superficiel et qui base tout sur le physique »
Julie, est vexée, et un peu énervée, car il est vrai que Julie est quelqu’un de cultivé, juste très très ouvert sexuellement sans limite morale.
J’interpelle Julie, et lui demande qu’elle décrive comment elle imagine la femme qui portait ce Tanga, qui au passage est la personne qui vient de s’exprimer
Julie, la vois très froide : « cette femme est une cougar, qui est mal baisée par son mari, a divorcé car il ne elle ne lui apportait rien, et il l’a trompée, aujourd’hui elle sait qu’elle a sa part de responsabilités dans l’échec de son mariage et elle ratt le temps perdu et n’a plus aucune limites, le sexe est devenu contrairement à avant, une des choses les plus importante de sa vie. »
Isabelle, se sent mal, Julie, la femme superficielle venait de tirer son portrait sans même la connaître, pas si bête que ça.
Assya, elle écoute, assise, lascive, on dirait qu’elle n’est pas vraiment là.
« Bon les chéries, vous vous connaissez, ou, vous êtes au moins croisez déjà, voulez-vous faire connaissance les unes avec les autres ? »
Ah, je suis un salaud, je ne vous ai pas dit que Julie est Capitaine de l’équipe de Basket, et qu’Isabelle est l’ex-femme de l’entraineur et continue à assister à chaque match car elle a pris goût au sport et à l’esprit d’équipe, et à des liens rapprochés avec certaines joueuses, dont Julie.
« Je vous met en garde, vous vous connaissez pas plus que ça, mais si tout n’est pas sain les dégâts peuvent être plus grave dans vos vies »
Assya quant à elle, n’est pas spécialement visée, quoi que je suis à peu près sûr que les trois se sont déjà croisée.
Assya, métisse, se fait plus facilement remarquée dans cette petite ville, surtout que le frère de Julie doit avoir à peu près l’âge d’Assya, donc ….

Je toque chez Julie : « écoute, moi j’assume, tant que ce n’est pas des gens de ma famille j’assume, chacune d’entre nous sera assez intelligente pour ne pas le crier sur tous les toits, c’est une occasion en or de s’amuser différemment, je prends !! »
Isabelle : « Laisse-moi réfléchir un instant, lorsque tu dis que ça pourrait changer nos vies, laisse-moi deux minutes »
Assya : « si les deux autres acceptent de prendre leur pied ce soir, et de se taire en ville demain, si cela reste entre nous, ça me va »
Isabelle surenchéri : « Si nous faisons tous le pacte de ne rien divulguer en sortant d’ici, je suis preneuse »
Julie valide : « Ok, on a l’air assez responsable pour se faire confiance, et puis Julien ne nous a pas choisi par hasard, il a bon goût, donc vous devez être bonnes, la preuve il me baise depuis au moins un an ! Quand je vous dit qu’il a bon goût »

« Si tout le monde est sur la même longueur d’onde, faite vous bien salope comme j’aime, sortez dans les 30 secondes afin de séduire vos partenaires »
Je passe devant les portes, je vois celle d’Assya s’ouvrir en premier, nue, une main sur le téton, et entrain de sucer un doigt. Puis celle de Julie s’ouvre, la salope s’est renfoncé le tanga et le laisse dépasser, elle a un regard de braise, aucune des deux n’ose regarder l’autre, et puis les têtes se tournent, elle se salue de loin, je dois intervenir pour qu’elles ne se rapprochent pas.
Enfin Isabelle sort, le string de Julie sur elle, comme pour essayer de se cacher, elle me fixe, n’ose pas regarder les autres, qui elles ne se sont pas gênées, Assya, l’a reconnue, et Julie, s’est littéralement liquéfié, en apercevant, la femme avec qui elle a déjà bu un coup, l’ex-femme de son entraineur.
« Chacune doit tenir son engagement, ce soir, rien ne sort d’ici, ça va toujours pour vous »
Isabelle tourne alors la tête à droite, elle voit Assya qu’elle reconnaît, ses yeux mêlent excitation, et angoisse. Puis elle se tourne vers Julie qui, continue de la fixer, Isabelle change de tête, elle est pétrifiée.
Julie, de son assurance naturelle prend le relais : « Si je savais que tu avais si bon goût et que tu mettais de jolis dessous j’aurais imaginé des choses bien avant ce soir pour nous, tant qu’on y est amusons nous, nous avons fait un pacte »
« Julie, je suis désolé, pour la description que j’ai faite, mais…, comment…, pourquoi es-tu là ? »
« Ok les filles, vous avez découvert qui vous étiez, et oui Isabelle, Julie est très intelligente, et charismatique, mais très ouverte sur le plan sexuel et je ne mentirais pas en te disant qu’elle sait être salope quand elle veut, t’as qu’à regarder ce qu’elle a entre les jambes »
« Putain, mon tanga, dans ta chatte, la capitaine de l’équipe de basket’
« Non chérie, ce soir je suis la plus grosse salope que tu n’aies jamais pu imaginer rencontrer »
« Allons, passons au salon, il y a boire, à manger, et des canapés »
Elles ne savent pas trop comment réagir, Assya prend les devant et se dirige vers le salon, suivi d’Isabelle et de Julie, qui la matte sauvagement, elle dévore littéralement les seins et l cul d’Isabelle, je ferme la marche, et en profite pour tirer un peu sur la ficelle qui sort de la chatte de Julie, elle se retourne, me bouffe du regard, me fait un clin d’œil en m’attirant vers elle et me chuchote, « je vais la bouffer, je veux la posséder, si j‘y arrive je m’offre littéralement à toi, tu feras ce que tu veux de moi. »
Joueur je lui rétorque « qu’est-ce que tu m’as déjà refusé ma salope, je sais que tu es a moi toute entière, t’aime trop que je te baise pour me refuser quoi que ce soit »

Nous avons bu, mangé, l’ambiance était chaude et à la fois tendue.
Je sors de table, att le bras de Julie et vais m’installer sur le canapé, Julie se jette sur mon pantalon, l’ouvre, se met a 4 pattes, tendant bien son cul vers la salle à manger d’où Assya et Isabelle nous observe.
Elle me fait durcir en me léchant de haut en bas, tout en palpant mes bourses.
Elle a un regard de braise, je ne mets pas longtemps à durcir et enfin, elle me suce à fond, ses deux amies ne restent pas insensible, mais sont plus timide et réservée que Julie.
Isabelle s’est rapprochée, elle s’installe sur le fauteuil en face, ouvre grand ses jambes et commence à se toucher, en même temps qu’elle se lèche/mordille les tétons de ses seins lourd.
Assya elle, se lève et fait mine de débarrasser, tout en se cambrant au maximum, elle disparaît dans la cuisine, puis réapparaît après quelques secondes, à poil, avec son boxer qui lui sert alors d’éponge à chatte, elle arrive derrière Isabelle et lui fourre dans la bouche, tout en commençant à tirer ses pointes, une vers le haut, une vers le bas, putain je la pensais pas aussi salope et entreprenante.
Julie m’allonge sur le canapé pour venir au-dessus de moi, elle me présente sa chatte, cette position lui permet de pouvoir observer les deux femmes, surtout Isabelle qu’elle veut posséder.
Apres quelques minutes de ce délicieux traitement, j’ai la bouche inondée du jus de Julie, Isabelle se lève pour observer de plus près, j’aspire le plus de jus possible, le garde en bouche, j’att la tête d’Isabelle, lui fait ouvrir la bouche et lui crache tout ce que j’ai gardé en bouche.
Julie descend et vient se frotter à Isabelle, elles s’éloignent sur le fauteuil et commence à s’embrasser, se palper.
Assya, monte sur le canapé, m’immobilise, et se penche vers moi pour me dire « tu fais de moi une salope affamée, je veux apprendre plein de nouvelles choses avec toi, tu es mon maître »
OKKKKKK, là on va s’amuser, cette phrase a résonné pendant quelques secondes dans ma tête, et je fais abstraction de tout ce qui se passe autour, mon cerveau s’est focalisé sur Assya, elle veut prendre …. Elle va être servie.
Je me lève, la retourne brusquement, elle a les jambes sr le dossier, et la tête sur le dossier, je me positionne au-dessus d’elle, et commence à lui baiser la bouche, doucement, puis plus vite et plus profond, sa bave lui coule sur le visage, son maquillage commence à couler, je la laisse respirer, et tout en jouant avec son bouton, je m’enfonce d’un coup au fond de se gorge et m’immobilise, elle suffoque après quelques petite secondes, s’agite, je me retire, continuer de jouer avec son bouton, je le doigte, je la sens monter.
Au moment fatidique j’arrête, je la sens frustrée, je la fais glisser par terre, ses pieds sur l’assise, la tête au sol, je me mets à la bourriner violemment, jouant avec ses jambes pour ouvrir plus ou moins sa vulve. Elle jouit, je la sens se contracter, essayer de bouger ses jambes, lorsque je me pense je la vois agrippée à ses seins, elle hurle son plaisir, ses yeux convulsent. Une fois l’orgasme passé je la relève, la met à genoux, et lui demande « tu ne m’as jamais avalé, mais as-tu déjà avalé ton ex ou un autre » « no…. » pas le temps de finir, j’ai entendu ce que j’avais a entendre, je m’enfonce dans sa bouche et la baise encore une fois, elle goute a ma bite, a son propre jus, elle ne rechigne pas, elle s’applique pour encaisser le plus possible, je viens, après quelques secondes, je me décharge dans sa bouche, plus je décharge, plus je m’enfonce, du sperme sort des commissures de ses lèvres « si tu as le malheur de recracher tu va le regretter » lui dis-je avec un clin d’œil, elle accepte et avale tout. Elle reste à genoux devant moi, je lève la tête et vois les deux autres femmes en 69, se doigter violemment, Isabelle a presque fourrer sa main dans la chatte à Julie, qui elle joue avec les trous d’Isabelle.
« Laquelle d’entre vous est la plus salope ? » les deux se relèvent comme un seul homme
« Julie, vient lui nettoyer le visage, elle en a partout, et ne gâche rien, Isabelle vient me nettoyer la queue en attendant »
Chacune d’entre elle s’affaire à sa tâche, tout le monde en profite, le tempo redescend un peu.
Julie et Assya s’embrasse amoureusement, Julie s’est positionnée au-dessus d’Assya, Isabelle continue à me pomper.
Je la fait monter debout sur le canapé, afin de pouvoir lui manger le minou, je lui bouffe littéralement, j’aspire, mordille, lèche, je fais rentrer ma langue dans sa chatte, je lèche son cul, puis mes doigts se mêlent à la danse, elle est en transe, lorsqu’elle vient, j’arrête tout, elle descend, je la fait se mettre en levrette sur la table basse, et commence à la besogner sauvagement, comme rarement j’ai eu cet instinct animal.
Je la fesse, se fait se relever en tirant les cheveux pour qu’elle se colle a moi et je lui agrippe les seins et les serre fort, puis je bloque ses mains de son dos et la pousse violemment en avant, sa tête est écrasée sur la table, m’offrant encore plus sa croupe, je continue à y aller fort, je crache sur son anus et la prépare, elle aime pas trop je le sais, mais là aucun signe de résistance, un doigt, puis deux, elle s’élargit, d’un coup, je plonge ma bitte au fond de cette taverne et m’immobilise le temps qu’elle se fasse à cette présence, elle a eu mal, je continue de lents aller-retour, doucement ses gémissements deviennent des gémissement de plaisir, et c’est reparti pour un tour, je lui casse le cul jusqu’à ce que je jouisse. Je me vide dans son cul.
Je me retire, l’empêche de bouger.
« Assya, vient la nettoyer, aspire tout, ne laisse rien tomber et avale tout »
Elle qui était en train de se faire godé énergiquement par Julie qu’elle avait été récupérer dans la cabine.
Je m’installe dans le canapé, observe Assya, la fille qui commençait à s’ouvrir, totalement délurée, possédée entrain de bouffer mon sperme dans le cul d’une femme…
Au tour de Julie maintenant, elle est venue instinctivement me nettoyé.
Les deux nouvelles gouines se lovent, et Julie reprend des forces en me caressant doucement la queue.
Je vais boire, j’ai besoin de quelque chose de frais, et de prendre du recul pour savoir ce que je vais bien pouvoir faire subir à Julie.
En revenant, je récupère le boxer d’Assya, je retourne Julie à l’envers sur le canapé, jambes en l’air, a vrai dire, il n’y a plus que sa tête qui touche l’assise.
J’ouvre ma main, et insère lentement les 3 glaçons que j’ai récupérer dans le freezer, je lui enfile le boxer,
« Garde les bien en toi le temps qu’ils fondent »
Elle est tétanisée, mais je la voit reprendre des couleurs et commencer a se toucher, j’ai fait le tour et commence à lui baiser la bouche.
Apres quelques instant, j’att le gode, et commence à la titiller tout en lui baisant la bouche, elle arrive à sortir ma queue de sa bouche, et se met à aller lécher mon cul tout en me branlant, ni une ni deux, j’enfonce le gode dans sa chatte, et je la laboure.
Rien qu’en me léchant elle arrive à me faire gicler, je m’enlève juste à temps, pose le gode par terre et lui demande « d’un coup, d’un seul tu t’enfile ce gode, tu t’asseois dessus jusqu’à ce que tu touches par terre, va ma salope » et elle y arrive sans aucun soucis « relève toi, garde le en toi, sans tes mains, juste en contractant tes jambes, ta chatte, fais comme tu veux » elle se relève, et là il tombe.
Je le ramasse, la met a 4 pattes par terre par les cheveux, lui enfonce violemment (trop presque) le gode dans la bouche, tu aimes ton gout salope, tu aimes gouter le jus de femme, je vais te baiser sans retenue, pendant que tu boufferas la chatte de tes deux copines, si tu jouis avant elle je te ferais subir une punition que tu n’oublieras jamais »
« Les deux gouines, venez, allongez-vous devant elle, donnez-lui vos chattes et vos culs à manger, si elle jouit avant vous elle a perdue »
Je me positionne derrière elle, Assya s’est presque jeté en dessous Julie pour avoir l’honneur de se faire déguster, elle monte vite, je continue à besogner Julie, récupère le gode sur le canapé, je l’humidifie et commencer a tourner avec autour de son œillet, elle se tend en arrière, elle le veut, je le pousse, d’un coup, Julie ne bronche pas, Assya commence à se tendre, elle mord la lèvre d’Isabelle qui lui palpe les seins, ça y est-elle jouis, elle se tend, hurle de bonheur et tombe sec sur le dos.
Je fais tourner Julie pour qu’elle se retrouve entre les jambes d’Isabelle qui dit en souriant à Julie
« Tu kiffe en avoir de partout, mais tu connais ta punition si tu jouis avant moi ? »
Julie ne dit rien, et s’en va bouffer la chatte d’Isabelle, après quelques minutes je commence à sérieusement fatiguer, Julie essaye de se retenir mais elle ondule dans tous les sens, et Isabelle, fait de son mieux pour ne pas jouir, je la voir s’agripper aux seins d’Assya qui a repris quelques force mais qui ne participe plus.
« Tiens prend ton gode et gode la, elle ne veut pas jouir, elle veut te voire punie »
« Ah non pas comme ça, tu nettoie ca avant de me l’enfoncer dans la chatte » et Isabelle se met à goder la bouche de Julie, elle est à deux doigts de défaillir, je ralentis le rythme.
Enfin elle prend le gode en main, et ruine la chatte de sa copine, tout en bouffant son clito, en lui mordant les cuisses, je vois Isabelle jeter un œil vers Assya, qui se remet à se caresser, cette vision fait défaillir Isabelle, qui prise d’un violent orgasme arrose Julie, elle pisse de bonheur, il y en a partout.
Julie, bien que très débridée et ouvert est très surprise, mais cela la fait venir.
Elle ondule, se jette en arrière, elle me tend le gode, je le plante violemment dans son cul, et là elle feule de bonheur, de long instant, ce qui me fait jouir aussi, je laisse le gode planté, l’att par les hanches et la besogne tout en me vidant en elle.
Je suis épuisé, je m’écroule au sol.
Julie a encore des forces elle je la vois marcher à 4 pattes au-dessus d’Isabelle, le gode dans le cul et lui dire
« T’es une sacré salope, tu ma pissé à la gueule, je n »imaginais même pas que tu puisses être fontaine, maintenant je vais m’asseoir sur ta bouche et tu vas me nettoyer, sa colle de partout, j’ai coulé abondamment, lave moi »
Elle se positionne au-dessus de la bouche d’Isabelle et s’assoit dessus, elle sort le gode de son cul, le tend à Assya, qui le prend sans trop savoir quoi en faire.
Je m’installe sur le canapé, et admire cette scène que jamais je n’aurais pu imaginer, comme le déroulement de cette soirée d’ailleurs.
Ne dit-on pas que les meilleures soirées sont celles qui sont imprévues ?
Je tombe de sommeil sur le canapé, lorsque je me réveille dans la nuit je vois les trois femmes endormies, nues, Assya contre mon torse, Julie, collée à elle et Isabelle sur le fauteuil.
Je pense que tout le monde a pris énormément de plaisir, je me rendors, le sourire aux lèvres.

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