Annie Et Son Amant
Je lattends, il ma fait venir et il nest pas là .
Je porte ma jupe rouge comme il me la ordonné, des bas noirs avec un porte jarretelle, un corsage noir et une petite veste courte par-dessus. Didier mon amant est exigeant sur mes tenues, je dois mhabiller avec des jupes ou des robes courtes et jamais de dessous, cest ses ordres et moi, jobéis.
Mon mari est ravi de mes nouvelles tenues, je lui ai dit que je voulais satisfaire ses demandes passées que javais toujours refusée.
Perchée sur mes hauts talons, je fais des va et viens dans le fond de cette petite place de léglise, avec ma courte jupe je ne ressemble que très peu à une bigote déglise qui attendrait la messe, mais plutôt à une professionnelle du sexe. Un homme sapproche, il me regarde mobserve, me reluque de haut en bas. Jai honte je comprends quil me prend pour une tapineuse cest vrais que ma tenue prête à confusion, et mes vas et viens me donnent lallure dune putain.
Je ressens une forte émotion cette situation dégradante mhumilie, jai honte, mais en même temps, je suis excitée, et sans me rendre compte je me prête au jeu machinalement. Je commence à tortiller mon cul allant et venant dans cette allée ombragée de marronnier. Je le trouve mignon mon admirateur, je lui fais un sourire, je réalise que la honte mélangée au désir me provoque du plaisir qui humidifie ma chatte que le vent frais sous ma jupe fouette la cyprine qui enrobe les lèves de mon sexe.
Je suis arrivée naturellement dans la peau de cette salope qui tapine.
Enfin Didier sapprochait au loin, je me dirigeais vers lui , vers cet amant puissant et dominateur qui me faisais venir à lui suivant son bon vouloir sans même avoir la correction dêtre à lheure. Sa forte autorité masservissait à lui, je ne discutais pas ses demandes, je savais quelles étaient des ordres non-discutables.
Didier mavait tout de suite impressionnée, Il mavait abordée avec assurance et mavait donné rendez-vous pour le lendemain sans savoir si je voulais ou non.
Quand jentendis sa voix mon corps commençait à trembler comme une chienne qui retrouve son maître. Quallait-il encore me faire ou me faire faire, il me parlait avec fermeté. Je sautais à son cou et lui donnais ma bouche, sa main passait sous ma jupe, il contrôlait ma nudité. Nous étions à quelques mètres du type qui me regardait, Didier releva ma jupe pour bien lui montrer que jétais une salope sans-culotte. Javais encore plus honte, Didier invita lhomme à sapprocher. Il fit des éloges sur mon aptitude de salope, sur ma capacité à satisfaire les hommes. Jétais écarlate, et jentendis mon amant dire . Vas-y, tu peux la tripoter elle ne demande que ça cette pute . Ce salaud me faisait toucher par un inconnu qui rentrait déjà des doigts dans mes cavités.
Didier bandait, il prit ma main, je compris que je devais déballer lengin qui grossissait dans le pantalon, il sépanouissait dans ma main.
Quand je me courbais pour prendre mon amant en bouche, car je devais toujours le sucer pour commencer, joffrais ainsi ma croupe à linconnu. Il y plongeait la tête et sa langue me flattait avec douceur ma chatte, il écartait les fesses de mon petit cul et son nez, sa langue rentraient dans ma raie. Jengloutis la grosse bite de Didier dans ma bouche , je mappliquais à le pomper comme il aime, je le rentrais au fond de ma gorge et mactivais comme une bonne pute . Je tortillais mon cul sous le plaisir de ce que me faisait linconnu. Ce nétait pas la première fois que je me retrouvais entre deux hommes, mais jamais en plein jour sur une place déglise. Nous étions seuls mais nimporte qui pouvaient arriver, des gens que je connais, des amis ou amis de mon mari.
Plus il mhumiliait, plus il me mettait dans des situations difficiles, plus je prenais du plaisir . La honte, la peur, lhumiliation, la soumission étaient un tonifiant de plaisir . Je me déchaînais , je devenais la plus grande des salopes , capable de tout . Et quand Didier mordonna de me mettre à quatre pattes dans lallée ,quil voulait me prendre la , comme une chienne, je fis ce quil me dit avec la peur au ventre de me faire surprendre par des connaissances.
Didier me saillit comme il dit, je ne suis quune chienne, lautre me présente sa bite devant ma bouche , je louvre et lavale . Un couple passe, je ne le vois même pas , cest Didier qui me le dit et si cest une connaissance ? Mais soudain je vois des pieds, je relève la tête , deux hommes bites en main me regardent .
Didier sactive, il a quitté ma chatte pour se finir dans mon cul . Je sens son sperme remplir mon cul , ce cul qui était resté vierge avant Didier. Lautre se vida dans ma gorge, il mobligeait à tout avaler.
Jentendis Didier dire aux deux nouveaux visiteurs, allez les gars, finissez-la, soulagez -vous.
Toujours à quatre pattes je me faisais prendre en levrette par un deuxième mâle, je navais même pas vu le visage du type qui me pénétrait.
Puis ce fut au troisième de prendre possession de mes ouvertures. Toujours en levrette ce troisième mâle me saillit avec rage. Quand ces messieurs eurent fini, je me relevais toute honteuse les hommes me toisaient de leurs regards orgueilleux. Didier se régalait de me voir si honteuse, pour accen ma honte, il me présenta aux hommes.
Je vous présente Annie, ne vous méprenez pas messieurs, cest une femme mariée.
Annie ma petite pute , remercie ces messieurs pour ce quils ton donné,. Rouge de honte je disais : merci messieurs .
Didier me prit par la main et me raccompagnait à ma voiture , il me dit, allez, rentre bien, vas retrouver ton mari petite pute.
Je rentrais me disant , cest la dernière fois , ce salaud ne me verra plus . Mais ce fumier mavait encore fait prendre mon pied , et je nattendais quune chose au fond , quil mappelle. Je le détestais , mais il suffirait dun claquement de ses doigts et je me retrouverais à genoux à ses pieds .
Je rentrais à la maison, reprendre ma place dépouse alors que je venais de me faire prendre par quatre hommes dans le fond de la place de léglise.
Annie
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