Katherine 9

Je dormais paisiblement. Je venais de rentrer de vacances d’hiver, et m’étais couché tôt pour être en forme le lendemain. En bon élève sérieux, je ne voulais pas rater la rentrée. De plus, je savais que je devais être en forme, car je comptais, le lendemain soir, après les cours, aller voir Katherine mon plan cul régulier, et je savais bien qu’elle m’épuiserait, elle qui était une amante si torride et si sportive. Aussi, j’avais eu à coeur de préserver mes forces. Ainsi , je dormais paisiblement. Il y eut pourtant quelque chose qui me tira à moitié de mon sommeil : une douce sensation, chaude et un peu humide au niveau de ma nuque, qui se répétait encore et encore. Même à moitié endormi, je reconnus immédiatement les baisers de Katherine. D’instinct, je me reculai légèrement pour me coller contre elle, et sentis avec plaisir son corps se coller contre mon dos. Il me fallut cinq bonnes minutes pour comprendre que quelque chose n’allait pas : Katherine n’était pas censée être là !

Je me réveillai en sursaut, parfaitement éveillé cette fois-ci. Un peu en panique, j’allumai ma lampe de chevet, et eus la stupeur de découvrir Katherine, allongée sur le côté sous mes couvertures, et qui me souriait d’un air coquin. Elle était vêtue de son pyjama sexy, composé d’un mini-débardeur et d’un short.

« Doucement mon grand, tu vas réveiller tes parents ! »

« Mais qu’est ce que tu fous là bordel ? Dis-je encore sous le choc. »

Elle me fit un sourire charmeur, se retourna, et prit sur la table de nuit des clés.

« Tu m’as donné les clés de chez toi, t’as oublié ? »

« Et donc... »

« Donc je suis rentrée discrètement tout à l’heure, et me suis faufilée jusqu’à ta chambre. »

« T’es malade ? Et si t’avais réveillé mes parents ? »

Elle haussa les épaules.

« Tu me manquais. Et puis il était prévu qu’on se voie non ? »

« Oui, demain ! »

Elle eut l’air de se retenir de rire :

« Mais on est demain, dit-elle en montrant du menton quelque chose derrière moi.

 »

Je me retournai. Mon réveil indiquait 3h 40 du matin. Je jetai un regard noir à Katherine, me retenant de hurler.

« Tu te crois drôle peut être ? »

« Oui. »

« Tu l’es pas. »

« Ah ? Heureusement que je suis sexy alors. »

« Tu l’es pas non plus, grognai-je de mauvaise foi. »

Elle éclata de rire.

« Ah bon ? »

« Non. »

Elle sourit, et s’approcha doucement de moi, son visage angélique à quelques centimètres du mien.

« T’es sûr ? »

Je préférai éviter de répondre, et tentant de rester digne, je voulus me recoucher. Je m’allongeai sur le côté, et éteignis la lumière. Il ne se passa pas trois secondes avant que je sente à nouveau la bouche de Katherine m’embrasser de l’épaule à la nuque. J’en frissonnai, mais ne répondis pas à ses avances. Elle se fit alors plus pressante, m’embrassant avec plus d’entrain, et glissant sa main dans mon caleçon, commençant à me branler. Je ne tardai pas à bander, tout en me tortillant légèrement.

« Hmm, tiens ça devient dur, susurra Katherine. Serait-ce que la fille pas sexy te fait bander ? »

« Non. C’est parce que je pense à une autre, répliquai-je. »

« Dans ce cas, on va allumer la lumière pour que tu me voies ! »

Elle me plaqua d’un coup sec contre le matelas, m’obligeant à m’allonger sur le dos, et je la sentis venir sur moi. Elle alluma ma lampe de chevet, me faisant plisser les yeux. Je jetai un rapide coup d’oeil au réveil, il était 3h50.

« Tu veux pas me laisser dormir, bordel ? »

Elle sourit, et me montra ce qu’elle avait en mains : une paire de menottes. Avant que je n’aie pu faire quoique ce soit, elle me saisit les poignets, et me les attacha aux barreaux de mon lit. Elle s’installa confortablement sur moi, et commença à frotter ses fesses recouvertes par son short de pyjama contre mon sexe recouvert par mon pantalon.
Elle me fit ainsi bander si dur que ça en fut presque douloureux.

« Mon pauvre… attaché et chauffé par une moche, t’as vraiment pas de chance... »

Je pris quelques secondes pour l’observer, et me dis que j’étais d’une incroyable mauvaise foi en soutenant qu’elle n’était pas sexy. Surtout en cet instant : à la lumière tamisée, dans son pyjama sexy qui mettait en valeur son corps de déesse, sa taille fine et sa poitrine bombée, elle était plus sexy que l’Enfer. J’avais envie de la prendre sur le champ, mais j’étais attaché. Katherine se pencha sur moi, et m’embrassa le cou doucement, descendant lentement sur le torse, me faisant frémir de plaisir. Elle fit courir sa langue sur mes pectoraux, en me servant un de ses sourires charmeur. Puis, elle remonta jusqu’à ma bouche, et m’embrassa fougueusement, ne rompant le baiser que lorsque je fus hors d’haleine. Elle planta son merveilleux visage à quelques centimètres du mien, et susurra :

« Alors je suis laide ? »

« Non. Tu es la fille la plus sexy du Monde. »

Elle eut un petit sourire de triomphe, et se pencha sur moi pour me donner un petit coup de langue sur les lèvres. Puis, elle se redressa, et se colla contre moi, et me fourrant son buste contre le visage, me collant son décolleté sous les yeux. Je l’embrassai avec fièvre, très excité par ce qu’elle faisait. Elle ne me laissa pas l’embrasser longtemps, juste assez de temps pour que je sois frustré lorsqu’elle se retira. Avec un sourire charmeur, elle se réinstalla sur moi, tout près de mon visage. Elle fit mine de retirer son haut de pyjama et… éteignit la lumière. J’en aurais hurlé de frustration !

Je sentis la bouche de Katherine courir le long de mon cou, puis de mon visage, s’arrêtant un peu sous l’oreille, avant de redescendre, passant sur mon torse et mon bassin. J’en soupirais d’aise, qu’est ce qu’elle embrassait bien ! Elle se mit ensuite à m’embrasser un peut partout, variant les zones de façon aléatoire, m’embrassant tantôt sur l’épaule, tantôt sur le ventre, tantôt sur la bouche, elle me prenait constamment au dépourvu, et j’adorais ça.
Elle me réservait toujours ce traitement quand elle me bandait les yeux, mais là bien sûr, pas besoin de bandeau dans ce noir total. Je la sentis s’attaquer à mon pantalon de pyjama : enfin ! Elle me le retira promptement, je m’attendais à ce qu’elle entame une fellation, mais non : elle saisit ma queue, et s’empala dessus avec un petit gémissement.

Elle commença à me baiser doucement, d’avant en arrière à un rythme lent, mesuré, mais qui faisait un bien fou. Ses hanches donnaient des coups secs, qui faisaient entrer mon sexe profondément en elle à chaque fois, me faisant vibrer. Progressivement, Katherine accéléra le rythme, dansant de façons plus endiablée sur moi. Des vagues de plaisir m’assaillaient et me faisaient tourner la tête, je me tortillais sous les sensations intenses que j’éprouvais, mais ne pouvais trop bouger à cause des menottes. Je sentais ses ongles passer sur mon torse, me griffant, m’électrisant, et m’excitant au plus haut point. Elle me donna soudain un coup de rein plus fort que les autres, et je poussai un petit cri. Katherine me bâillonna alors avec sa main, tout en continuant à me baiser de plus en plus fort et de plus en plus vite. Le plaisir montait et montait en moi, je n’en pouvais plus, Katherine allait maintenant à un rythme très élevé, le lit bougeait se grinçait sous ses coups de reins, et elle même laissait échapper de doux gémissements par moments. Elle se mit à bondir sur mon sexe de haut en bas, me faisant fondre sous l’extase, je ne pus m’empêcher de lâcher un hurlement heureusement étouffé par sa main au moment où elle provoqua un incroyable orgasme en moi. Elle me baisa encore quelques secondes avant de jouir elle aussi.

Elle me détacha, et s’allongea à côté de moi, se pelotonnant contre mon épaule. Incapables de parler après cette baise rapide et intense, nous nous assoupîmes.

Je me réveillai tard dans la mâtinée. Il était déjà onze heures. Maudissant Katherine et ses visites nocturnes, je me levai, constatant qu’elle n’était plus là.
Je m’habillai, et allai dans la cuisine : j’allais me faire un sandwich, je le mangerai dans le train en allant à la fac.

En arrivant dans la cuisine, j’eus un choc : Katherine était tranquillement installée sur une chaise, ses jambes étendues l’air décontracté. Elle portait un peignoir, et je la connaissais suffisamment bien pour savoir qu’elle ne portait rien en dessous.

« Qu’est ce que tu fous encore là ? M’écriai-je presque. »

« J’avais encore envie de toi... »

« Et mes parents ? »

« Relax ! J’ai attendu qu’ils soient partis pour descendre, en attendant je me suis cachée sous tes draps... »

« T’es quand même folle, franchement t’imagines mes parents t’auraient grillé, ou auraient appelé les flics ? Bonjour la galère ! »

Elle sourit, et se leva, avançant doucement vers moi.

« Oui je suis folle… mais c’est parce que ça te plaît. Tu adoores ça. »

Elle s’approcha jusqu’à se coller carrément contre moi, et poursuivit :

« Je me trompe ? »

Elle me tenait par le t-shirt, et me regardait dans les yeux avec un air vicieux… je soutins son regard un moment, puis lentement je me penchai sur elle l’embrassai d’abord doucement, puis de plus en plus langoureusement, m’embrasant délicieusement au contact de ses lèvres si douces. De plus en plus excité, je la soulevai et la plaquai sauvagement contre la baie vitrée de ma cuisine. Je baissais mon pantalon, et la pénétrai vigoureusement alors même qu’elle était encore vêtue de son peignoir. Je la culbutai contre la vitre, tout en l’embrassant furieusement, frissonnant de plaisir à chacun de mes allers retours, me délectant de l’entendre gémir doucement. Elle se mit à enrouler ses bras autour de mon cou, et m’attira contre elle. Elle me piqua le dos avec ses ongles à travers le t-shirt, et je réagis en accélérant le rythme, l’écrasant carrément contre la vitre, la baisant sauvagement. Puis, je la saisis par le menton, et l’obligeai à me regarder pendant que j’accentuais la puissance de mes coups de rein. Elle poussa un grand cri, et presque par réflexe me mordit le pouce. Surpris je la lâchai et elle en profita pour vouloir reprendre le dessus. Je réagis aussitôt, en la soulevant à nouveau, et en l’étalant cette fois sur la table après l’avoir retournée.

Je la pris en levrette sur la table de ma cuisine avec sauvagerie et vigueur. Je la tenais bien par les hanches, et ondulais du bassin pour lui administrer de puissants coups qui allaient au fond de son intimité à chaque fois. Je tirai Katherine par les cheveux pour l’obliger à me regarder pendant que j’accentuai la pression de mes assauts. Je pouvais voir dans son regard tout le plaisir qu’elle éprouvait à se faire baiser ainsi. Elle gémissait et se tortillait, secouant son merveilleux fessier bombé et ferme à souhait, participant elle aussi, rendant cette baise encore plus délicieuse. Plus c’était bon, et plus j’en voulais, aussi j’accélérais le rythme, bien décidé à faire jouir Katherine. Je me mis à aller si vite qu’elle en resta un moment paralysée, le corps cambré, incapable de donner encore des coups de reins. La sentant sur le point de sombrer, je lui administrai une série de coups de reins rapides et puissants qui la firent hurler. Je maintins cela pendant quelque secondes jusqu’à ce qu’elle explose dans un orgasme dévastateur qui la fit s’effondrer sur la table presque inconsciente. Comme je n’avais pas joui, je repris ma baise, lui donnant de gros coups de reins, et la faisant frémir de la tête aux pieds.

Mais elle ne voulait pas se laisser faire plus longtemps. Elle enroula ses jambes autour de ma taille et me poussa sur une chaise. Elle vint s’installer sur moi, s’empalant sur ma queue dressée avec un gémissement. Me regardant bien droit dans les yeux, elle se mit à se déhancher de gauche à droite, de droite à gauche encore et encore démarrant d’emblée sur un tempo rapide, me faisant frémir d’extase. Puis, elle se mit à me donner des coups de reins d’avant en arrière, assez fortement, me poussant contre le dossier de la chaise. Nous nous mîmes à gémir doucement à l’unisson, et je lui saisis les hanches, pour participer à la baise, donnant moi aussi des coups de reins. Nous allions de plus en plus vite, et de plus en plus fort, nous procurant du plaisir à l’état brut, tremblant littéralement. Je sentais l’orgasme approcher en moi, et Katherine décida qu’elle allait diriger seule la fin de la baise. Elle me saisit les mains, et me les plaqua d’autorité contre le dossier de la chaise, avant de se secouer le bassin sauvagement comme dans une danse du ventre très rapide. Elle m’apporta ainsi une brusque vague de plaisir, et je frissonnai très fort, avant de sentir mon corps se cambrer, de vibrer sous le plaisir, et d’exploser dans un orgasme merveilleux, en même temps que Katherine qui en hurla.

Sonnée, elle colla sa tête contre mon épaule, reprenant son souffle. Moi même je me remettais de mes émotions.

« C’était bon mon chéri, j’adore les baises du matin avec toi. »

« Moi aussi soufflai-je, c’était super bon. »

Je jetai un coup d’oeil à l’horloge de la cuisine, et retins un juron : j’étais vraiment en retard. Je préparai en hâte mon sandwich, tandis que Katherine remontait dans ma chambre, certainement pour se changer avant de partir. Une fois que j’eus fini, j’allai vite à la salle de bain faire ma toilette. J’étais pressé de partir.

Soudain, Katherine entra dans la salle de bain. Elle s’était habillée, et était vêtue d’un débardeur noir au décolleté assez large, et d’un jean moulant.

« Tu t’en vas ? Dit-elle d’un ton qui se voulait triste. »

« Oui, j’ai cours. »

« On s’en fout non ? »

« Non. »

« Allez, reste avec moi... »

J’allais lui répondre que j’avais pas envie, mais elle s’était approchée de moi, ses yeux marrons m’observant avec intensité. C’était dingue l’effet que pouvait avoir sur moi un seul de ses regards, j’en avais la gorge sèche.

« Reste avec moi, susurra-t-elle, de sa voix langoureuse. »

« Je peux pas... »

« Mais c’est ce que tu veux, dit-elle en enroulant ses bras autour de ma nuque, ses yeux plantés dans les miens. »

« Plus que tout, dis-je en posant ma main sur son superbe fessier, l’admirant sous son jean. »

« Alors reste ! »

« Je peux pas, j’ai cours... »

« Moi aussi, mais je préfère rester avec toi. Je te promets que tu le regretteras pas. »

« Je sais bien mais... »

« Si tu le sais, reste. »

Elle m’embrassa alors, d’abord doucement, puis de plus en plus fougueusement, et de façon de plus en plus appuyée. J’aurais bien voulu me dégager, mais c’était tellement bon ! Ses lèvres étaient douces, ses baiser avides, elle collait son corps de déesse contre moi, et m’embrassait de façon de plus en plus agressive. Elle aurait même détourné un saint du chemin du paradis, alors me détourner moi du chemin de la Fac ! C’était on ne peut plus facile ! Je lui rendis très vite son baiser, la tenant par la nuque, et la poussant doucement jusqu’au mur de ma salle de bain, me collant contre elle, appréciant notre contact si délicieux. Nous nous embrassâmes un moment, avant que Katherine ne me repousse, et ne me dise, me regardant dans les yeux avec son air de tigresse affamée.

« Alors ? Tu restes finalement ? »

Je souris d’un air moqueur, et lui dis :

« Non ! A plus ! »

Et sur ce, je quittait précipitamment la salle de bain, et descendis en trombe l’escalier. Katherine se lança tout de suite à ma poursuite. Elle me rattrapa au moment où j’ouvrai la porte, et me tira à l’intérieur. Elle m’entraîna à l’intérieur en me tirant par la ceinture du pantalon, et me jeta sur le canapé avec autorité.

Je m’y écroulai, heureux en pensant à ce qu’il allait se passer. Katherine s’avança vers moi, une flamme dans le regard. J’avalai ma salive, un peu nerveux et fébrile, pressé que ça commence. Katherine vint lentement sur moi, et m’embrassa sensuellement, s’installant à califourchon sur moi, pressant son postérieur si ferme et si rond sur mon sexe déjà bien tendu. J’en frémissais de plaisir et rendis à Katherine son baiser, avec la vigueur et la passion qui s’imposaient. Le baiser dura un bon moment, et se finit quand Katherine me tira par les cheveux pour me repousser en me mordant la lèvre. Elle me saisit ensuite par les épaules, et me plaqua contre le dossier avec autorité. Puis, lentement, elle retira mon pantalon. Elle me massa un bref instant le sexe à travers mon caleçon, avant de me le retirer à son tour, et de me prendre en bouche. Elle se mit à me sucer délicieusement, montant et descendant sur ma queue, jouant de sa langue pour me faire vibrer, je dus serrer les dents pour retenir un gémissement. Elle interrompit sa fellation pour me branler vigoureusement, massant encore plus énergiquement le haut de mon sexe. Puis, elle fit courir sa langue sur mon membre, donnant parfois de petits coups dessus pour me faire vibrer, avant de me reprendre complètement en bouche, et de se remettre à me pomper, tout en me massant les boules. Elle me suçait avec de plus en plus d’entrain, si bien que je ne pus retenir mes cris, ce qui la motiva pour accélérer encore et encore. Quand elle s’arrêta, j’étais tremblant de plaisir.

« Ca va mon grand ? »

« C’était excellent ! »

« Tu regrettes pas d’être resté alors ? »

« Si quand même un peu… j’avais des cours intéressants quand même... »

Katherine sourit et dit :

« Alors on va tâcher de faire en sorte que tu regrettes rien. »

Elle se redressa, et retira son débardeur, révélant un soutif rouge, qu’elle retira à son tour, libérant ainsi sa belle poitrine (95c). Elle prit mon sexe, et le cala entre ses seins, les enserrant autour. C’était très agréable, de se sentir ainsi comprimé par sa belle poitrine. Mais bien sûr, ce qui fut vraiment plaisant, ce fut lorsque Katherine se mit à me branler avec ses seins, faisant coulisser mon sexe au milieu d’eux, allant de haut en bas assez rapidement, tout en donnant des coups de langue sur mon gland quand il ressortait de ses seins. Au bout de quelques minutes de ce traitement, j’étais tremblant de plaisir, et ma respiration était sifflante tant c’était bon. Lorsque Katherine se mit à accélérer brutalement le rythme de sa branlette espagnole, tout en me donnant un grand coup de langue sur le gland, je n’en pus plus, et jouis d’un grand jet dans sa poitrine, tout en vibrant de plaisir.

Katherine eut un sourire satisfait, et branla un peu mon sexe, constatant qu’il était toujours dur. Alors, avec une lueur d’envie dans les yeux, elle retira son jean et son shorty, et me tournant le dos, s’empala dessus avec un gémissement de plaisir. Elle se mit à me baiser en me tournant le dos, se déhanchant sensuellement, secouant mon sexe de gauche à droite. Je poussais des cris de plaisir, et lui claquais fesses pour la stimuler, ce qui l’encourageait à accélérer le rythme, pour me baiser toujours plus efficacement. Le spectacle qu’elle m’offrait était tout simplement délicieux, je pouvais admirer son corps de rêve en action, ses hanches s’agiter dans toutes les directions, ses cheveux noirs suivre le rythme de ses déhanchés, et lui donner, de dos, un air de sauvage très excitant, et surtout, je pouvais admirer son magnifique fessier qui s’agitaient juste sous mon nez, et dont les mouvements me procuraient tellement de bien. Katherine se mit ensuite à varier un peu ses coups de reins, et à bondir sur mon sexe de haut en bas, nous procurant une brusque poussée de plaisir qui nous fit crier, et me fit réagir. Je me redressai, et la saisissant par les hanches, je la collais contre moi, lui embrassant l’épaule, la clavicule et la nuque, tout en lui massant les seins. Elle avait beau être entravée par ma prise, elle n’en restait pas moins active, secouant ses hanches avec moins d’amplitude certes, mais avec toujours autant d’efficacité ! Je prenais mon pied comme jamais, et redoublai d’ardeur dans mes massages et mes baisers, la faisant gémir elle aussi. J’aurais bien voulu continuer de la gêner un peu, d’autant que j’adorais masser ses seins, et sentir la douceur de sa peau sous mes lèvres, mais elle désirait reprendre le contrôle totalement, et me saisissant par les poignets me rejeta contre le dossier du canapé, avant de reprendre sa baise avec une rythme plus endiablé que jamais, secouant son fessier mieux qu’aucune danseuse de twerk. Une brusque vague de plaisir me prit, et Katherine me sentant aux portes de la jouissance accéléra et accéléra encore. C’était trop soudain, trop bon, trop intense. Je serrai les dents, et tâchai de tenir aussi longtemps que possible mais les coups de reins de Katherine étaient trop bons, trop rythmés, trop soutenus. Cette fille était vraiment experte, je tins bon aussi longtemps que possible, avant d’exploser dans un merveilleux orgasme en même temps qu’elle, poussant un grand cri de plaisir, et tremblant de la tête aux pieds.

« C’était du bon boulot, belle gosse. »

« Belle gosse ? Alors je suis redevenue sexy ? »

« Potable je dirais... »

Katherine éclata de rire. Elle se retourna et m’embrassa langoureusement, enroulant ses bras autour de mon cou. Je ne tardai pas à redevenir dur, et saisissant Katherine par les hanches, je la plaquai contre le canapé. La belle brune se débattit un peu, mais c’était pour la forme. Je vis dans ses yeux qu’elle se réjouissait de me laisser un peu les commandes pour une fois. Je la fis s’allonger sur le canapé, mis ses jambes sur mes épaules, et la pénétrai d’un coup sec, lui arrachant un petit cri de plaisir. Je me mis à la prendre en enclume vigoureusement, la culbutant si férocement que le canapé en tanguait parfois. Elle m’attrapa par la nuque et attira mon visage contre le sien, m’embrassant avec furie. Je lui rendis son baiser, avant de me reculer, et de reprendre ma baise le plus vigoureusement possible, la regardant droit dans les yeux, ravi de voir son visage se décomposer sous le plaisir que je lui infligeais. « Baise moi mon grand vas y ! Plus vite allez ! ». Je m’exécutai, et me mis à la baiser encore plus fort et plus férocement que jamais lui arrachant de véritables hurlements de plaisir. Katherine était toute tremblante, et je décidais donc de passer à la vitesse supérieure.

Je la retournai, la mettant à moitié sur le dossier du canapé, et la pris en levrette. Je me mis la limer avec vigueur, tout en claquant son merveilleux postérieur, frissonnant de plaisir en le sentant si ferme sous mes mains. Je la pris par la nuque pour accen mon emprise sur elle et lui donnai de gros coups de reins, plus secs et moins rapides mais plus puissants. Ses frissons de plaisir augmentaient à chaque coup, et je la sentais proche de l’orgasme, aussi j’augmentais encore la puissance de mes coups de butoir. Lorsque je me mis à changer de technique, pour lui donner une série de petits coups de reins très rapides, avant de soudainement changer à nouveau pour la baiser puissamment et que je refis ça une fois, deux fois, trois fois, alternant à chaque fois, Katherine se cambra et sembla un instant en proie à un plaisir trop grand pour elle, incapable de crier, incapable de bouger ou même de jouir. Lorsque je lui donnai un coup de rein si fort que le canapé en tangua, avant d’enchaîner sur une rafale de coups de reins rapides, elle vibra de la tête aux pieds avant d’enfin avoir un orgasme si intense qu’en plus de hurler elle s’écroula, saisie de frissons sur le canapé.

Je lui laissais quelques secondes pour se remettre, mais comme je n’avais toujours pas joui, je ne tardai pas à la saisir, prêt à la rebaiser. Mais Katherine ne l’entendait pas de cette oreille. Elle me saisit par les épaules, et me plaqua contre le canapé avec autorité.

Je me débattis, mais lorsqu’elle s’empala sur moi, je poussai un cri de plaisir, et lorsqu’elle commença à me baiser sauvagement, je ne pus que me laisser faire. Elle allait à fond sur moi, d’avant en arrière, de gauche à droite, au gré de ses envies. Je frémissais de plaisir, et tâchai de contrôler l’extase qui montait en moi. Je tentais de reprendre un peu de de contrôle en saisissant ses hanches, mais elle m’attrapa aussitôt par les poignets pour me les prendre et me les plaquer contre le canapé, avant de me donner une gifle. « Tu m’as bien baisée, maintenant c’est mon tour ! » Et pour appuyer ses propos, elle se mit à me donner de gros coups de reins, si puissants et si bons qu’à chaque coup, je vibrais tellement de plaisir que je croyais atteindre l’orgasme. Elle me baisait encore et encore, de plus en plus sauvagement, des étoiles dansaient devant mes yeux, et mon souffle devenait haletant, c’était tellement bon. Elle me toisait de son air dominateur, ses cheveux étaient en bataille, son visage rougi par l’effort et le plaisir, et ses seins se balançaient et ses hanches s’activaient qu’est ce qu’elle était sexy ! Elle se remit à accélérer le rythme, atteignant une vitesse folle, me faisant bouillir de plaisir. Une vague me submergea, et j’eus un orgasme terrible qui me fit presque m’évanouir, tandis que Katherine jouissait en même temps que moi.

Nous restâmes un moment étendus, heureux de cette baise torride.

« Tu m’as énormément de bien tout à l’heure en levrette, dit-elle d’un ton ronronnant. »

« Et toi en me chevauchant tu m’as rendu dingue. »

« C’était le but, me dit-elle avec un clin d’oeil. »

Je souris, et restai un moment étendu sur le canapé, digérant ce nouvel orgasme. Une fois remis, nous eûmes faim, nous nous rhabillâmes, et allâmes manger. Je n’avais plus du tout envie d’aller en cours, de toutes les façons, il était trop tard, alors autant profiter de Katherine le reste de la journée.

Après le repas du midi, nous restâmes un moment sur le canapé, regardant la télé, en attendant que le désir, qui pour l’instant ne faisait que nous asticoter nous soit insupportable. Au bout d’un moment, Katherine me demanda :

« Alors tu vas plus en cours ? »

« Tu sais bien que non. J’ai trop envie de toi. »

« C’est normal. »

« Prétentieuse ! »

« C’est bon mon grand, on sait tous que t’es dingue de moi. Et c’est normal : je suis sexy et je suis hyper douée au lit. N’importe quel mec sécherait ses cours pour baiser avec moi. »

« Et t’oublies l’essentiel : tu es très modeste. »

Elle eut un sourire condescendant et dit :

« La modestie c’est pour les saintes-nitouches. Les bombes comme moi ont pas besoin de modestie. »

Je levai les yeux en l’air, faussement exaspéré par sa prétention qui en fait me faisait craquer. Elle prit néanmoins ça pour un air sérieux, et me lança :

« Ose me dire que je suis pas ton meilleur coup ! »

C’était pas une affirmation farfelue. C’est vrai que Katherine était sans doute mon meilleur coup, mais ça pouvait se discuter, aussi je répondis :

« Tu sais, il y a plein de filles douées que je me suis tapée et .. »

« Je pense pas qu’une seule t’ait jamais sucé comme je le fais, ou t’ai chevauché comme je l’ai fait, affirma-t-elle d’un ton sec. »

« Si. Il y a une fille, Laura qui me suce comme une déesse, et j’ai été chevauché par de vraies amazones, par exemple Francesca un jour m’a chevauché tellement bien que... »

Je m’interrompis car Katherine se leva du canapé d’un coup et se tourna vers moi. Ses yeux marrons lançaient des éclairs, et elle avait un air déterminé que je ne lui avais jamais vu.

« On va dans ta chambre, dit-elle avec une autorité peu commune. »

Je ne pus m’empêcher de rire :

« T’es jalouse ? »

Elle m’attrapa par le t-shirt d’un coup sec et me releva, avant de me regarder d’un air incendiaire.

« Absolument pas. Mais on va dans ta chambre quand même. »

Elle me tira par la ceinture du pantalon, et m’entraîna à l’étage. Une fois dans ma chambre, elle me plaqua contre le mur, et m’embrassa comme une folle, me dévorant presque la bouche. Je tâchai de lui répondre, mais elle y mettait une intensité telle que j’étais dépassé. Elle me jeta sur le lit, je tombai assis sur le bord. Elle vint vers moi, et me saisissant par le menton m’affirma :

« Je vais te baiser mieux que personne ne te l’a jamais fait, ça va être si bon que tu auras l’impression que c’est ta première fois, et quand j’en aurai fini avec toi, tu auras oublié jusqu’au nom de tes pétasses… »

Je dois dire que le programme me convenait plutôt bien… je bouillonnai d’excitation et d’envie rien qu’à l’entendre, j’avais hâte qu’elle passe à l’action. Elle me poussa encore plus loin sur le lit pour que je m’y étale complètement, et vins à califourchon sur moi. Ses yeux brillaient toujours d’une flamme ardente. Elle me saisit par le t-shirt, et me tira vers elle, amenant son visage à quelques centimètres du sien.

« Je te préviens : fais un signe de rébellion et je te fais ta fête, c’est clair ? Je te baise, tu te laisses faire, si tu penses pas pouvoir t’empêcher de faire le malin, dis le moi tout de suite et je t’attache. C’est compris ? »

D’ordinaire, j’avais un tempérament assez dominant. Confronté à une dominatrice comme Katherine, j’adorais me rebeller, voire la dominer si possible. Pourtant, là, devant son air et son ton autoritaire, je n’eus qu’une seule envie, me soumettre et la laisser disposer de moi comme elle l’entendait. Par effroi ou excitation devant son air déterminé, je n’aurais su le dire.

« Non t’inquiète pas. Je suis tout à toi, fais moi ce que tu veux. »

« A la bonne heure. »

Elle attira mon visage contre le sien, et se remit à m’embrasser comme une folle, m’essoufflant quasiment instantanément, tant son baiser était bon, suave sauvage et sensuel. Il annonçait le meilleur pour la suite… Elle me plaqua à nouveau contre le matelas, avant de se lever du lit, et de se mettre debout, face à moi, face au lit.

« Regarde moi, ordonna-t-elle. Je suis pas la fille la plus sexy que tu te sois jamais tapée ? »

Elle était en effet magnifique. Ses cheveux noirs tombaient en cascade autour de son visage d’ange, ses yeux marrons brillaient de désir, ses joues étaient légèrement rougies ce qui lui donnait un air encore plus craquant. Elle était légèrement essoufflée, et son souffle régulier gonflait sa poitrine merveilleusement. Et bien sûr, je savais que de dos, elle était tout aussi sexy.

« Si, reconnus-je. »

Elle sourit, satisfaite, mais elle en avait pas fini. Lentement, elle retira son débardeur, ne gardant que son soutif, qu’elle retira à son tour, dévoilant sa magnifique poitrine qu’elle massa avec emphase, me faisant à nouveau bouillir de désir. Puis, elle se retourna, et retira son short, puis son shorty, dévoilant son magnifique fessier qu’elle agita pour me rendre fou. Ce qui fonctionna parfaitement. Ce ne fut qu’après m’avoir obligé à l’admirer sous toutes les coutures qu’elle vint enfin droit sur moi d’un pas décidé, et vint au dessus de moi. Elle m’arracha mon t-shirt, puis mon pantalon et enfin mon caleçon sans une once d’hésitation.

Elle prit doucement mon sexe en bouche, et se mit à aller et venir, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement, usant de sa langue pour accen l’effet, serrant ou desserrant ses lèvres au gré de ses envies. Par moments, elle allait si vite que j’avais l’impression que j’allais jouir sur le champ, et la seconde d’après, elle allait très très lentement pour me frustrer. Je n’en pouvais plus, j’étais constamment pris au dépourvu, passant d’un plaisir intense, à une frustration immense. Katherine se mit ensuite à lécher mes boules, à grands coups de langue, avant de me les sucer, avec application. Puis, elle revint sur ma verge, et me la lécha de bas en haut, pour ensuite se remettre à sucer avec vigueur, de haut en bas, usant de sa langue en même temps, ou encore, se servant de ses lèvres pulpeuses pour compresser mon sexe avec délectation. Pendant un bon moment, elle se mit à aller et venir encore et encore. Elle s’interrompit, et me donna une série de coups de langues juste sous le gland qui me firent crier, puis, elle repartit à l’ouvrage, avec une telle vivacité que j’eus l’impression que mon cerveau explosait.

J’étais aux portes de la jouissance, et elle s’interrompit.

« Qui est la meilleure suceuse que t’aies jamais eue ? »

« Je sais pas… Laura ! »

Elle donna alors une gifle à mon sexe, me procurant une terrible douleur… aussitôt balayée par le plaisir qu’elle m’infligea en se remettant à me sucer à fond, sur un rythme infernal. Sa langue parcourait mon sexe, sa bouche le faisait frémir de tous côtés, je ne demandais qu’à exploser enfin, mon corps vibrait, j’étais hors d’haleine à force de crier, et Katherine me suçait encore et encore, je n’en pouvais plus ! Elle me suça encore une fois, à fond, et je faillis jouir… c’était imminent maintenant, elle n’avait plus qu’un coup de langue à me donner et je partirai.

« Qui est la meilleure suceuse que t’aies jamais eue ? Répéta-t-elle d’un ton impitoyable. »

Je ne voulais pas capituler tout de suite, mais elle fit courir son doigt le long de mon sexe frémissant, et j’eus un long tremblement de plaisir. Je n’en pouvais plus, j’étais bouillonnant, et la tête me tournait, et Katherine m’observait avec l’air démoniaque qu’elle arborait quand elle savait que j’étais coincé. Elle fit courir à nouveau sa langue sur mon sexe doucement, avec précaution, elle fit monter le plaisir en moi, c’était insupportable, je n’en pouvais plus. Jamais une fille ne m’avait rendu aussi fou avec sa bouche. Je devais au moins le reconnaître.

« C’est toi, t’es la meilleure ! Je t’en supplie fais moi jouir. »

« Dis que Laura est nulle en comparaison... »

« Elle est nulle comparée à toi ! »

Alors, avec un grand sourire de triomphe, Katherine se jeta sur mon sexe et le dévora littéralement. Elle le suça à fond, tout en usant de sa langue et de ses doigts sur mes boules, me baisant avec sa bouche avec une avidité terrible. Je ne pouvais pas tenir plus de quelques secondes à ce rythme là, aussi quand Katherine me suça une énième fois avec vigueur, secouant mon sexe dans sa bouche et l’asticotant avec langue, je ne pus me retenir, et explosai dans sa bouche dans l’un des orgasmes les plus intenses de ma vie, qui me fit hurler et me laissa à moitié évanoui sur le lit.

Satisfaite, elle se réinstalla sur moi, et m’embrassa avec passion, tout en me tenant plaqué contre le matelas. Après quoi, elle me saisit par le menton, me tenant avec ses ongles.

« J’en ai pas fini avec toi… t’as intérêt à rebander très vite si tu veux pas que je me fâche... »

Elle appuya ses propos en frottant ses fesses contre mon sexe, et en me griffant le torse de son autre main. Elle était tellement sexy, à me toiser ainsi de son air autoritaire, ses cheveux en bataille, son visage rougi par l’effort, son regard affamé que je me remis aussitôt à bander comme un âne. Elle eut un sourire satisfait, et me donna une petite claque.

« T’es un bon garçon ! »

Elle se redressa, et s’empala sur ma queue avec un petit gémissement. Elle me regarda droit dans les yeux et me lança :

« Prêt pour la meilleure chevauchée de ta vie ? »

« Oh que oui ! »

Elle me donna alors un puissant coup de rein qui me fit pousser un grand cri de plaisir. Elle me regarda droit dans les yeux, un sourire satisfait de voir le plaisir qu’elle me procurait. Elle se remit à aller et venir, mais à un rythme lent. Je pensais qu’elle allait me faire son truc habituel de me baiser doucement d’abord, puis rapidement après, mais elle avait d’autres projets. Elle se mit très vite à me baiser à un rythme élevé, allant d’avant en arrière comme une folle, me culbutant férocement contre le lit, en gémissant de plus en plus fort.

« T’as intérêt à tenir la distance, lança-t-elle entre deux gémissements. »

J’aurais voulu lui répondre, mais au même moment elle m’administra un coup de rein si puissant et délicieux que je ne pus que hoqueter de plaisir, et ce coup de rein fut lui même suivi d’un autre, et d’un autre, et encore d’un autre. Elle enchaînait ses assauts, sans jamais sembler fatiguée, le plaisir qu’elle m’infligeait allait crescendo, c’était tout simplement indescriptible, je ne pouvais rien faire d’autre que subir ses assauts, me tortiller gémir, et avoir l’impression d’exploser du plus intense et sauvage des plaisir à chacun de ses coups de butoir. Jamais elle ne m’avait baisé comme ça, jamais personne ne m’avait baisé comme ça. Non. Elle ne me baisait pas, elle me violait, littéralement. Elle m’offrait une vision magnifique : son corps de rêve, de ses hanches fines à sa poitrine rebondie, en passant par son ventre plat s’activait à fond, véritable machine à me faire vibrer de plaisir. Son visage, rougi par l’effort était un vrai masque de détermination, et ses cheveux, voltigeant au rythme de ses assauts, lui donnaient un air de sauvageonne terriblement excitant.

Elle mettait énormément d’intensité et de sauvagerie dans chacun de ses coups, comme si à chaque coup de reins, elle voulait me prouver qu’elle était le meilleur coup de ma vie. Et c’était réussi, aucune fille ne m’avait jamais fait ça. Des vagues de plaisir me submergeaient à chaque seconde qu’elle me baisait, elle me faisait littéralement exploser de plaisir et d’excitation, encore et encore, le tout en me regardant dans les yeux avec son air affamé et déterminé à me faire toujours plus de bien.

Cependant, ce n’était pas un robot, même si elle me baisait si bien et si fort, en se fatiguant si peu, qu’on aurait pu le croire. Au bout d’une dizaine de minutes à ce rythme, elle eut un terrible orgasme qui la fit s’écrouler sur moi un moment. J’aurais pu tenter de prendre le dessus, mais j’étais tellement sonné par ce qu’elle venait de me faire que je ne pouvais pas. Comme si de rien n’était, Katherine se redressa, et reprit sa baise.

En quelques secondes, elle avait retrouvé son rythme infernal, et le plaisir me fit à nouveau perdre la tête très rapidement. Je me sentis approcher de l’orgasme, et fis tout pour le contenir, mais Katherine continuait de me baiser sans ralentir, si bien que je ne pouvais plus me retenir.

« T’as pas intérêt à jouir, me prévint-elle. »

« Alors arrête de me baiser comme une déesse ! Hurlai-je. »

« Non. A toi de tenir le choc. »

Elle continuait de me sauter sans ménagement, je glissai irrémédiablement vers l’orgasme. Elle me saisit par le cou et me dit :

« Tiens le choc ! »

« Je… je peux pas… mais.. attends »

« Quoi ? Dit-elle sans ralentir le rythme. »

« Tu m’excites trop, je pense que je peux jouir et être encore dur après. »

« Ok alors vas-y ! »

Elle appuya ses propos en me donnant un coup de rein plus marqué que les autres, ce qui me fit aussitôt exploser dans un magnifique orgasme. Une vague de plaisir me submergea, tout mon corps se cambra, et j’eus l’impression que chaque centimètre carré de mon être était pris d’un feu d’artifice d’extase. Katherine se pencha sur moi, pour coller son visage à quelques centimètres du mien. Elle fit courir son ongle le long de mon torse, me griffant lentement.

« Alors ? Je t’excite suffisamment ? »

Elle me servait son sourire narquois, celui qui me faisait tant craquer, et je ne fus pas long à retrouver toute ma vigueur. Elle me rendait dingue. Elle sourit et se remit à me chevaucher, toujours sur le même rythme infernal.

« Je t’excite à fond, pas vrai ? Tu me veux trop ! »

J’eus du mal à répondre tant elle me faisait du bien, mais je pus quand même articuler entre deux cris :

« Ouuuiii ! Je te veux ! Continue t’arrête pas surtout ! »

Le lit cognait contre le mur, et à nouveau, je prenais mon pied comme jamais. Le plaisir me faisait bouillir de la tête aux pieds, j’avais parfois l’impression de sombrer dans le coma, ma vue se brouillait et les tremblements de plaisir devenaient insupportable. Mais impitoyable, Katherine continuait de me violer, me culbutant violemment m’enfonçant dans le matelas. Elle se déhanchait de gauche à droite, secouant son postérieur comme jamais. Une vague de plaisir, terrible et brûlante me submergea à nouveau, tandis que je la sentis se cambrer et se raidir elle aussi. Elle bondit sur mon sexe de haut en bas, très sauvagement faisant ployer le lit jusqu’aux lattes tout en me donnant une gifle. L’effet fut immédiat : j’explosai dans un nouvel orgasme qui me laissa étourdi et sonné, submergé par l’extase. Katherine eut un orgasme elle aussi, et fut un instant prise de frissons incontrôlables, courbée au-dessus de moi, le visage merveilleusement déformé par le plaisir. Elle s’écroula sur moi, ivre de plaisir.

« Oh la vache, c’était géant ! Souffla-t-elle. »

« Oui, parvins-je à articuler, c’était énorme. »

« J’en veux encore ! Cria-t-elle. »

« Quoi ? »

« J’ai dit encore ! »

Elle me griffa le torse et me mordit le menton. Bordel cette fille était folle. Mais elle m’excitait tellement, que je me remis à bander aussitôt, ce qui lui tira un sourire satisfait.

Je voulus néanmoins reprendre le dessus, par pur orgueil, mais elle me colla une gifle bien sentie, et me tenant par le cou, me plaqua contre le matelas. Elle avait toujours cet air déterminé et sauvage, deux orgasmes ne l’avaient visiblement pas calmée.

Je savais bien qu’en me révoltant, je ne ferais qu’aggraver sa sauvagerie, mais je ne pus m’empêcher de vouloir la provoquer et la pousser dans ses limites. Je lui claquai donc ses fesses bien fermes avec vigueur, lui arrachant un petit cri de surprise, puis, je tenais de la renverser. En réaction, elle me donna un puissant coup de rein, de droite à gauche qui me fit crier, et me paralysa sur place. Elle se pencha sur moi, et me dit d’un air autoritaire :

« Tu te révoltes pas, tu es à moi, tu es mon jouet. »

En guise de réponse, je lui donnai un puissant coup de rein par en-dessous qui la fit sauter légèrement, et pousser un cri de plaisir. Je lui souris d’un air provocant :

« Je suis pas ton jouet, je le serai jamais. »

« Ah oui ? »

« Oui ! »

J’appuyai mon défi avec un autre coup de rein, qui la fit fermer les yeux sous le plaisir que je provoquai. Je voulus lui en donner un autre, mais elle ne m’en laissa pas le temps. Elle se remit à me baiser, allant directement sur un tempo très élevé, me baisant si bien que je fus tout simplement incapable de bouger.

Elle en revanche se démenait sur moi comme une diablesse. Elle allait d’avant en arrière, mettant toute sa force et sa sauvagerie dans chaque aller-retour, comme si elle voulait me faire jouir à chaque coup. Quand elle voulait changer, elle se mettait à bondir sur ma queue, contractant ses muscles vaginaux, enserrant mon sexe délicieusement, mettant en désordre sa belle chevelure, et secouant sa volumineuse poitrine. Parfois aussi, elle se déhanchait comme une danseuse orientale, secouant son corps de déesse dans une danse effrénée, gémissant à pleine voix. J’avais voulu une Katherine le plus sauvage possible, j’étais servi. A chaque fois, elle me baisait si bien que je croyais mourir de plaisir tant c’était bon, vibrant de la tête aux pieds, chacun de mes atomes explosant sous l’extase, criant éperdument. Et elle me faisait ça encore et encore, et encore, j’en devenais complètement fou, le plaisir était trop intense, trop fort, trop long, j’avais l’impression que je ne pourrais pas y survivre, mais en même temps je sentais aussi que si elle s’arrêtait avant l’orgasme final, je ne pourrais pas le supporter. J’étais emporté par un torrent de plaisir qui s’aggravait à chacun de ses mouvements. Elle aussi semblait devenir folle à force de plaisir, elle criait, gémissait, était prise de tremblements, me griffait le torse, me giflait ou frappait le matelas, comme si elle était en proie à quelque chose de trop délicieux pour elle. Quand on se regardait dans les yeux, je voyais son regard incendiaire, presque fou, dans lequel on pouvait y lire un mélange de plaisir, de sauvagerie, d’excitation et de détermination. Car malgré l’intense plaisir qu’elle éprouvait, jamais elle ne flanchait, jamais elle ne ralentissait le rythme, au contraire, elle ne faisait que l’accélérer, encore et encore et encore. Le lit grinçait sous ses coups de butoir, la chambre raisonnait de nos cris éperdus, et ses hanches venaient me culbuter encore et encore déclenchant chez moi des tourbillons, me faisant décoller bien au-delà du septième ciel.

Arriva un moment, où je sentis mon plaisir atteindre un degré tel que je compris que c’était la fin : soit je jouissais dans les plus brefs délais, soit j’allais m’évanouir tant c’était bon. Katherine eut un frémissement terrible, et je compris qu’elle était dans le même état que moi. Nous nous regardâmes dans les yeux, et nous comprîmes que nous allions vivre son dernier assaut, le dernier acte de cette baise inhumaine.

Elle rassembla ses forces, et entama le sprint final. Elle me fit la totale. Elle commença par aller et venir d’avant en arrière me culbutant plus vigoureusement que jamais, ses hanches percutant les miennes avec violence. Puis elle se mit à se déhancher de gauche à droite, si rapidement qu’elle m’entraînait avec elle, tout en plantant ses ongles dans mes pectoraux. Elle avait amené notre plaisir à tous les deux à un point très élevé, jamais je n’en avais éprouvé autant. Il ne lui restait plus qu’à nous donner le coup de grâce, à nous libérer tous les deux. Elle bondit de haut en bas, me culbutant si fort, que, en m’enfonçant dans le matelas, je sentis une latte casser sous la violence de sa baise. Elle s’en foutait, et continua encore et encore à me malmener ainsi gémissant à fond tout comme moi qui criait tout en étant hors d’haleine. Je vibrais comme jamais, le plaisir était brûlant, il me faisait fondre littéralement, je perdais la tête, n’avait plus de souffle, ne voyais plus rien tant ma vue se brouillait, c’était trop bon, trop insupportable, et Katherine qui continuait encore et encore à me baiser comme une folle… je ne pouvais plus me retenir de jouir, mais en même temps, je ne pouvais pas jouir non plus, comme si le plaisir était trop grand pour être évacué. Mais l’heure de la libération était venue. Lorsque Katherine bondit une dernière fois sur moi, retombant avec vigueur sur moi, et enchaînant aussitôt avec un déhanché de sauvage, suivi d’une culbute féroce, qui m’enfonça dans le matelas, je sentis tout ce plaisir se déverser magnifiquement, s’échapper de moi dans une explosion orgasmique tout simplement indescriptible, me laissant secoué de soubresauts, ivre du plaisir le plus intense de ma vie. Katherine était dans le même état que moi, secouée par son plaisir, les lèvres serrées, les yeux fermés comme si elle ne pouvait plus bouger ni crier, en proie à un plaisir trop brûlant pour elle. Dans un dernier hurlement, elle finit par s’écrouler, vidée, épuisée, comblée comme jamais à mes côtés. J’étais dans un état tout proche de l’inconscience.

Nous restâmes très longtemps, étendus, sous le choc, assommés par ce qui venait de se passer. Il se passa une heure avant que je ne puisse sortir de mon état d’hébétude.

« Kat… c’était énorme. »

Elle se tourna doucement vers moi, et posa sa tête sur mon torse.

« J’ai gagné ? J’ai fait mieux que les autres filles ?  Dit-elle faiblement. »

« Tu rigoles ou quoi ? J’ai l’impression que c’était ma première fois tellement tu m’as fait ça bien. »

Elle eut un faible sourire.

« Et je suis sexy ? »

« T’es la plus sexy de l’univers. »

« Je sais. J’ai trouvé ça géant moi aussi mon chéri. »

Je jouais un peu avec ses cheveux, digérant toujours cette baise monstrueuse. Il fallut attendre le soir pour qu’on soit capables de se lever. Toujours un peu faible, Katherine se rhabilla, et après m’avoir embrassé sensuellement, elle repartit. Quant à moi, je retournai me coucher, et même le lendemain, je n’étais pas totalement d’aplomb. Je dus attendre plusieurs jours avant de me remettre de ce qui fut sans doute, la baise la plus incroyable que m’ait offerte ma meilleure amante.

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