La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°926)
Marion au Château (suite de l'épisode N°921)
Et jétais pressée de me reposer, ce diner avait été épuisant, malgré les corvées, le dimanche ne pouvait quêtre plus reposant. Mais jétais loin de me douter de ce que demain me préparait
La nuit passa rapidement. Au petit matin, Walter vint ouvrir le Chenil. Il eut du mal à me réveiller, et seul un seau deau froide parvint à me faire ouvrir les yeux. Jétais pleine de courbatures, et je suivais difficilement à quatre pattes le Majordome jusquà lintérieur du Château. Au lieu de me conduire aux douches communes, dont leau était froide, il me conduisit vers une petite salle de bain, où jeus le droit à une douche chaude, ce qui fit le plus grand bien à mes muscles fatigués. En revanche, il mamena directement faire mes corvées sans passer par la cuisine et la case petit-déjeuner
Je fus assignée au service des chambres, pour faire le ménage et refaire les lits. Je croisais donc plusieurs des Invités présents la veille au soir, mais tous mignorèrent. Je nen fis pas grand cas, et je me mis au travail avec trois autres soumises. Personne ne parlait, suivant ainsi la règle du Château. De toutes manières, nous nous croisions que lorsque nous changions leau de nos seaux
Au bruit que jentendais dans les chambres dà-côté, je compris que mes surs de soumission étaient utilisées, soit par des Dominants, soit par les domestiques surveillants, je ne savais pas. En revanche, je voyais bien quabsolument personne ne se préoccupait de moi. Et je commençais à me poser des questions. Peu importe à quel service un soumis ou une soumise était affecté, jamais je nen avais vu qui pouvait faire son travail sans interruption, sans quon use de son corps.
Je fus contente lorsque lheure du déjeuner sonna. Mon estomac gargouillait sérieusement. Tous nous nous retrouvâmes dans la salle des soumis, nos gamelles posées par terre. Nous prîmes la position de levrette pour manger. La cuisinière passa derrière chacun dentre nous pour nous mettre un plug vibrant dans le cul et des pinces aux tétons, histoire, dit-elle, de ne pas sennuyer.
- Ton comportement sest nettement amélioré, la chienne. Cest bien, mais ne pas crier pour rien et contrôler tes jouissances ne suffisent pas. Désormais, tu auras aussi des séances de sports à faire pour avoir lendurance exigée par Monsieur le Marquis pour tous ceux qui ont lhonneur de porter Ses Nobles Initiales.
Et je dus faire une demi-heure de marche, pour commencer doucement, sur le tapis et un quart dheure de vélo. Après une nouvelle douche, froide cette fois-ci, je fus ramenée en direction de ma niche, assez tôt, ce qui métonna un peu. Mais entre le reste de fatigue du dîner de la veille et la séance de sport, je nétais pas contre un peu de repos
Alors que je pensais enfin pouvoir me reposer, je fus vite désillusionnée quand Walter quitta la direction de ma niche et tourna derrière le Château, se dirigeant tout droit vers les écuries. Une fois arrivés dans celles-ci, lodeur chaude du foin me fut agréable ainsi que la douce température qui y régnait. Un impressionnant stock de volumineuses balles rondes de pailles et de foins occupait sur les côtés tout le fond du long bâtiment. Plus proche, dans leur box, les chevaux paraissaient fort calmes et tournèrent la tête à notre venue. Cette écurie était judicieusement agencée. Une large allée centrale la traversait sur toute sa longueur avec de chaque côté les stalles des équidés. Cette écurie devait être très vieille, je suppose même quelle a été construite en même temps que le Château à voir les anciennes et énormes poutres de chêne entremêlées constituant limpressionnante charpente.
- Regarde bien ces quatre chiens ! Tu pourrais penser quils sont là parce quils sont punis et bien non, cest tout le contraire ! Vois-tu ces quatre chiens vont être récompensés pour leur comportement exemplaire à servir Monsieur le Marquis et aussi afin de marquer leur venue à demeure au Château puisque jusquà présent ils étaient venus ici quépisodiquement. Mais tout dabord, jai plaisir à te les présenter : Il y a de gauche à droite, chien docile, chien servile, chienchien et Vieux chien. Et sils sont là, cest tout simplement quils sont en attente de leur récompense que voici : Sache que dans un bâtiment annexe, est installé un endroit en attente de pouvoir être dans le chenil, cet endroit sappelle LEnclos des chiens. On y installe en principe les chiens (et parfois des chiennes) nouvellement arrivés à demeure et avant de les mettre au chenil qui celui-ci précède un cachot pour les plus méritants. Comme tu vois ici tout est hiérarchisé. Je te fais remarquer que toi, tu as eu la chance daller directement au chenil sans passer par lEnclos des chiens.
Le Majordome sarrêta, repris son souffle, me fit un gentil sourire, ce qui me surprit. Pui il continua :
- En fait il va y avoir ce soir deux cérémonies : Celle donc pour ces quatre chiens en récompense et une autre cérémonie
exclusivement pour toi. En effet, Monsieur le Marquis a décidé deux choses à ton égard. Et je suis autorisé à ne ten dire quune : Ce soir tu vas changer de nom de soumise : Marion MDE nexistera plus, cest le Maître en personne qui tinformera de ton nouveau nom de baptême de soumise MDE. Ce nouveau nom, cest çà que je ne peux pas te dire. En revanche, je tannonce officiellement que la cérémonie prévue pour toi ce soir est ton passage du chenil à un cachot définitif
Récompense suprême pour celle ou celui qui a su servir au mieux le Maître
Mon cur ne fit quun bon, il battait si fort, je baissai la tête et les yeux dhumilité. Mais lémotion me fit trembler tout mon corps dune immense joie, javais limpression davoir une jouissance mentale. Ma respiration saccéléra et subitement jéclatai en sanglots, je ne pus retenir de fortes larmes imputées à cette formidable et bonne nouvelle. Le Maître vénéré avait donc jugé de me récompenser, moi Sa simple et discrète petite chienne
Etre dans un des Cachots du Château du Maître était la plus belle des récompenses, le rêve absolu de tous esclaves du Château, et je ne mesurai pas encore de cette incroyable réalité qui se profilait. Walter attendit sereinement le moment où je me calmai de mes émotions, pour continuer :
- Oui, je vois que tu es très émue, ce qui est normal. Mais saches que si Monsieur le Marquis a décidé de tattribuer un Cachot cest quil a jugé que tu le méritais. Ne loublie jamais et soit toujours très reconnaissante envers Lui de ce quil peut taccorder
Bien maintenant, il te faut soulager ces quatre pauvres chiens qui nont pas éjaculé depuis plus dun mois.
Je m'approchais de chien docile à quatre pattes, encore tremblante et les yeux humides de l'incroyable nouvelle que je venais d'apprendre. Je relevais la tête et nos regards se croisèrent, brillants d'un même éclat. Lui, ainsi que ses trois futurs compagnons, venait également d'apprendre ce qui se préparait pour la soirée. Tous, nous étions si heureux ! Cela se voyait sur nos visages visiblement. Je me redressais sur mes genoux, pour pouvoir prendre son sexe entre mes mains. Je le caressais doucement, le faisant tressaillir. Ne voulant pas le faire languir trop longtemps, je le pris dans ma bouche et commençais à le pomper vigoureusement. Tellement en manque dorgasme, il ne tarda pas à gémir et très vite se vida à longs jets épais au fond de ma gorge bruyamment. A ces cris de jouissance répondirent des coups de cravache.
- Tu vois, la chienne, tu n'es pas la seule à qui on exige le silence en toute occasion, sauf contre ordre ! Écoutez tous. Vous n'avez pas le droit de sortir le moindre son, sinon vous serez puni ! Cette chienne en sait quelque chose, elle a subi quelques séances de dressage avant d'y arriver totalement, quoiqu'il arrive ! Monsieur le Marquis veut que vous ayez les couilles vidangées pour ce soir, mais il ne voudra en aucun cas vous entendre si vous ny êtes pas autorisés, alors autant commencer tout de suite à vous taire, à ne pas brailler en giclant votre foutre de chien
Et là-dessus, sans que je le vois car il se trouvait dans mon dos, il décrocha un fouet de dressage pour les chevaux. Pendant qu'il parlait, attendant qu'il m'ordonne de continuer, je mettais mise en position standard, prosternée, la tête plaquée au sol sur cette dalle de béton froide. Je ne vis donc pas le regard un peu effrayé des quatre chiens lorsque Walter arma son bras, et m'appliqua une dizaine de coups de fouets sur le dos et les fesses, provoquant chez moi un léger tressaillement, mais pas le moindre son. Il me faut avouer que les coups étaient légers. En effet, le Majordome avait reçu l'ordre de ne pas me marquer avant la cérémonie sauf en cas de grave manquement, évidemment !
- Vous voyez, si Vous avez la chance d'entrer un jour au Chenil, puis plus tard si Vous êtes assez méritant, dans un Cachot, Vous serez capable de subir sans un geste et sans un bruit. Bien, maintenant la chienne, continue ! Ils sont tous aussi méritants les uns que les autres et méritent tous d'être récompensés de manière égale à gicler leur foutre.
Je passais donc à genoux devant chien servile, puis chienchien et enfin Vieux chien et les vidais entièrement. Ce fut rapide, tous ayant passait un certain temps sans avoir la possibilité de se vider les couilles ! Javalais tout sans rien laisser. Parfois quelques gouttes de sperme tombait sur le sol alors je me mettais en levrette pour lécher à même la dalle le foutre de ces chiens. Et tous reçurent des coups de cravache, ne sachant pas encore se contenir à némettre le moindre son. À chaque fois j'attendais en position standard, me remémorant les séances douloureuses mais excitantes de dressage avec Walter. Je pensais également au chemin que j'avais parcouru, chienne anonyme le temps que j'avais vécu loin de la France, puis mon entrée au Chenil et le grand honneur, et l'immense joie, d'avoir droit de porter les Initiales du Maître Vénéré, et ce soir l'entrée dans un Cachot, récompense suprême. Je me rappelais toutes les étapes à franchir, toutes les barrières à faire tomber, tant bien que mal... Le chemin n'avait pas été sans embuches, mais le bonheur ressenti chaque fois que Monsieur le Marquis me montrait Sa fierté valait bien toutes les peines du monde ! Et je laissais alors couler de nouvelles larmes, de bonheur, de profonde reconnaissance et de dévotion totale
Walter détacha les quatre chiens. Il leur passa à chacun une laisse, en prit deux dans sa main gauche, deux dans la main droite ainsi que la mienne. Nous nous déplacions tous les cinq alignés, personne n'étant supérieur à un autre que ce soit par son âge, par le temps passé aux pieds du Maître ou par son degré de dressage en tant que chien. Walter nous amena sur la grande pelouse parfaitement entretenue devant le Château.
- Vous ne vous connaissez pas. Je veux que vous fassiez connaissance, comme des chiens en vous reniflant. Je vous laisse dix minutes. Après cela, je vous banderai les yeux et vous devrez être capable de reconnaître celui ou celle que je vous nommerai en allant vous placer devant et en posant votre patte sur son épaule. Celle ou celui qui en reconnaîtra le plus sera récompensé.
Alors nous décidâmes, sans parler évidemment de nous placer en ligne. Le premier reniflait chacun des autres, en commençant par son cul, comme un vrai chien, en faisait le tour et allait se replacer quand il avait fini. Je fus la seule à ne commettre aucune erreur.
- Bien la chienne ! Je n'en attendais pas moins de toi, en tant que chienne la plus ancienne en ce Château. Tu auras ta récompense, mais plus tard...
(A suivre
)
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