Sur Une Aire D'Autoroute
Voilà dix ans jai emménagé dans le sud-est et il me fallait vendre mon pavillon de la région parisienne. Ce qui mobliger de faire plusieurs aller-retours entre ses deux régions.
Un jour que je revenais du nord, et que jétais seul, il mest arrivé un truc étonnant qui ma fait replonger trente ans en arrière. Jai pensé vous conter cette aventure que voici :
oooooooo
Il nest pas facile de rouler quand le soleil est bas sur lhorizon. De plus, aujourdhui il est dun blanc lumineux et je lai en plein dans les yeux. Je larmoie et mes yeux se fatiguent. Je risque laccident si je continue de rouler ainsi. Une aire de repos est annoncée dans deux kilomètres alors je décide de my arrêter.
Laire de repos se trouve sur un flanc de coteau, à lombre de grands arbres feuillus. Le chemin du bas mène directement vers les toilettes. Un autre chemin, réservé au camion, monte sur la droite. Les emplacements sont réduits. Ils peuvent accueillir au mieux quatre ou cinq voitures.
Je sors de mon véhicule pour profiter de lair et surtout pour assécher mes yeux. Puis, même si je nen nai pas vraiment envie, jentre dans les toilettes pour vider ma vessie.
Il ny a absolument personne, cest le silence complet. Comme la chaleur na pas pris possession du sous-bois, jen profite pour visiter les environs.
Je monte les fausses marches de terre qui me dirige vers lair des camions. Ah ! Il y a un gros camion à larrêt du type « transport international » mais personne dans la cabine. Étrange car dans les toilettes il ny a aussi personne et je nai rien entendu. À moins que je lai confondu avec les bruits des passages de ceux qui passent sur lautoroute ? Ou bien il était déjà là à mon arrivé et le chauffeur pionce dans sa couchette. Pourtant aucun rideau nest tiré.
Quimporte
Je longe lorée du bois en direction de lentrée de laire. Après un peu plus de cinquante mètres japerçois, sur la gauche, lamorce de ce qui semble être un chemin.
Les dernières gouttes semblent ne pas vouloir partir car il la secoue en un mouvement qui ressemblerait plutôt à un va et vient. Moi je suis à larrêt et ne perds rien du spectacle.
Il sest déplacé et je la distingue mieux. Il a lair dêtre assez bien monté, mais à cette distance ?...
Il regarde dans les environs proches de son coin puis, tout en continuant de se masturber, il se déplace jusquà quà un tronc darbre couché. Il me tourne le dos et prend appuis sur le tronc.
À voir les mouvements de son bras je sais quil continu de se donner du plaisir. Pour moi cela ne présente plus aucun intérêt. Pourtant sa vue ma fait monter la salive à la bouche et je maperçois que Paupaul cest réveillait. Alors je reprends ma promenade.
Je pense encore au type quand je suis surpris par le quasi demi-tour du chemin.
« Mais je vais me retrouver nez à nez avec mon branleur ? »
En effet, je le vois la bas au bout du chemin. Il a la tête baissée et son bassin part davant en arrière.
« Putain ! Jaimerais bien voir de près son matos ». Alors je presse un peu le pas.
Encore cinquante mètres
Il ne ma pas encore vu et continu à se la secouer. Plus que vingt mètres. Et là
je viens de marcher sur une branche morte. Elle se casse dans un claquement sec. Je stop net ma marche alors que le type relève la tête et me regarde. Il continue de caresser son bâton, et ne montre aucune surprise. Même un sourire lui illumine le visage.
Aussi je reprends lentement ma marche dans sa direction. Plus que dix mètres. Il me regarde puis baisse la tête pour regarder son engin.
- Vous nallez pas jeter à terre une aussi belle marchandise ?
À ses gestes je comprends quil ne parle pas le français. Maintenant il ny a plus quun mètre qui nous sépare et il na pas arrêté de se masturber par de lent va et vient, il me regarde droit dans les yeux.
- Sucer bite ?
Il est vrai quil a un bel outil, du type perforateur danus. Elle est dune longueur au-dessus de la moyenne disons
Environ dix-huit centimètres. Mais cest un beau calibre. Son gland est assez allongé et bien formé, dun rose-violacé sauf derrière la couronne où le bleu est plus profond. La hampe est marquée de grosses veines bleutées et lensemble se tient légèrement au-dessus de lhorizontal.
Je lui sourit mais je nai pas bougé, alors il me prend la main et la plaque sur son vit.
- Toi toucher bite
Bon bite !
Instinctivement je resserre mes doigts autour du phallus. « Putain !... Mes doigts ne parviennent pas à en faire le tour ». Sans réfléchir je commence doucement à faire des vas et vient. Mes yeux sont rivés sur son nud. Je sens une de ses mains se poser sur ma tête. Je me rapproche de lui. Il appui et sous sa pression je plis les genoux.
Le miracle se produit. Jai la salive plein la bouche, les yeux toujours sur son membre. Jen suis tout chose et complètement hypnotisé. Il a compris que je suis partant et attire ma tête vers son sexe.
- Toi, sucer mon bite. Toi, comme pute
Suce !
Je ne me fais pas répéter lordre. Je pose ma langue à la base de sa hampe et remonte jusquà son gland. Je crois quil sattend à ce que jembouche le gland, mais nenni. Je soulève son manche puis, ma langue retourne en direction de ses couilles.
- Schlampe !... Saugen meine Eier !
- « Putain ! Tu ne pourrais pas parler français ? »
- Toi aimes sucer boules ?
- Oui, dans la saucisse tout se mange et jadore.
- Schlampe ! Toi pute.
Par ses gestes je comprends quil veut que je commence par ses couilles. Alors je lève son manche et commence par aspirer lune de ses prunes. Je la fais rouler puis passe à la suivante.
- « Putain mais cest quil aime ça ! »
- Humm, toi savoir faire. Toi bon pute.
Nempêche que le type a une de ces triques ! Elle est trop belle et je décide de remonter par la hampe et cette fois jembouche tout le gland. De surprise, il tressaute et je sens un liquide un peu amer dans le fond de ma bouche. Aussi jentame un long va et vient où je relâche mes lèvres pour lenfoncer et pince mes lèvres sur la hampe quand elle va vers la sortie. Pour lui procurer plus de plaisir ma main droite suit ma bouche en pratiquant des pressions et des relâchements pendant que la gauche caresse ou serre ses couilles.
Maintenant sa pine est devenue une vraie barre de fer. Jai même bien du mal à la maintenir à lhorizontal. Dès que je la lâche elle va se plaquer sur son ventre.
À ses râles et sa respiration je comprends quil est à point, juste au bord de lexplosion. Dailleurs il me prend la tête et il me baise la bouche de plus en plus fort et de plus en plus vite. Il senfonce si loin quil est parvenu à passer dans le gosier et me bloc ma respiration. Jen ai les larmes aux yeux. Je salive une sécrétion toute gluante. Mais jadore et je suis impatient de gouter à son jus.
Les coups de reins deviennent de plus en plus violent et il se met à débiter un tas de paroles dont je nen comprends pas la moindre signification. Mais je ne me fais pas dillusions, je sais que sais un tas dinsultes. Du coup je deviens comme lui jai de plus en plus envies de gouter son nectar alors jaugmente la cadence et cest là que je réalise que jai débouclé ma ceinture et baissé le pantalon pour me palucher.
Ma pine a pris un beau diamètre mais à côté de la sienne je suis un nain. Pourtant je sens le plaisir me prendre le bas ventre. Cela devient de plus en plus pressant.
Brusquement, alors que je suis sur le point déjaculer
Le type me plaque la tête sur son ventre et, dans un râle qui a du faire peur dans tout le bois, il lâche les vannes. Le premier jet minonde le gosier. Il se retire et se branle, une seconde giclée atterrie sur mon front alors que sa barre senfonce de nouveau au fond du gosier pour lâcher la troisième rasade.
Cest là que moi aussi je crache toute ma sauce. Alors jinterdire la pénétration de son vit au fond de mon gosier pour déguster et boire tout le jus quil menvoie en bouche.
Il na plus rien à me donner, je nettoie consciencieusement son matos et pendant quil shabille, de mes doigts, je racle tout le précieux jus que jai lâché pour le prendre en bouche
- Schlampe !
- Houai, je sais. Je suis une bonne salope. Mais jaime être une salope.
- Ja, toi bon slaupe.
Après cette sentence il me tourne le dos et repart vers le camion.
Moi je me reculotte et me dirige vers ma voiture.
Sur lautoroute je repense au type « Cest dommage quil nest pas pensé à me baiser ! Cela maurait fait la complète ».
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