La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°927)

Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°926) –

- Bien la chienne ! Je n'en attendais pas moins de toi, en tant que chienne la plus ancienne en ce Château. Tu auras ta récompense, mais plus tard...

Une fois la tâche effectuée, où je le répète, je fus la seule à ne pas me tromper, et où les quatre esclaves mâles furent châtiés à de multiples reprises par des coups de cravaches pour leurs erreurs de personnes, ayant les yeux bandés et peu de repères, Walter nous emmena dans un autre bâtiment en annexe qui se situait en face des écuries. Un endroit où je n’avais jamais mis les pieds ! La pièce était haute et ressemblait à un hangar aux murs en anciennes pierres mais avec un toit refait visiblement récemment via une charpente métallique flambant neuve. Certainement un vieux bâtiment d’époque du Château à la toiture écroulée et remis en état. Il y avait divers et grands enclos séparés par des barrières. On se serait cru dans une porcherie industrielle, à part qu’il n’y avait aucuns porcs et que les lieux étaient très propres et bien entretenus. De la paille était étalée dans chaque enclos. Mais l’endroit n’était pas vide ! En effet, il y avait trois femelles soumises entièrement nues et assises, couchées ou en quadrupédie et qui semblaient s’ennuyer ou se reposer. Elles arboraient toutes un large sourire, ce qui démontrait qu’elles étaient heureuses de se trouver ainsi enfermées tel du bétail. Le Majordome nous fit entrer tous en file indienne et à quatre pattes dans un de ces enclos où il referma la barrière. Puis s’adressant à moi, il s’exclama :

- Vois la chienne, il te faut encore vidanger tous ces soumis, regarde-les ! Décidément, ces quatre mâles rebandent encore, c’est tellement voyant avec leur nouille droite comme un I ! Ma parole, de véritables petites salopes en chaleur ! Regarde la chienne comme ils sont excités… D’ailleurs, les femelles de cet enclos, idem ! J’en suis certain ! Sache qu’elles n’ont pas eu d’orgasmes depuis un bon mois… Vois-tu, l’été les esclaves ont droit à 2 à 3 heures de promenade dans le parc du Château par jour, mais nous sommes en février, alors tout l’hiver, quand ils ne sont pas utilisés ou affectés à aucunes tâches particulières, ils restent bien au chaud dans ce bâtiment chauffé en permanence, oui ils se reposent ici chaque jour pendant 2 ou 3 heures également.

Ils sont autorisés à se parler, discuter, échanger et évoluer librement dans l’enclos à la condition de rester à 4 pattes, couchés ou assis mais interdit debout. Il y a des mangeoires au fond avec de la nourriture à volonté, de l’eau dans des gamelles et par mesure d’hygiène, ils peuvent sonner pour sortir s’ils désirent aller aux toilettes. D’habitude, ils ont leur cage ou ceinture de chasteté mais aujourd’hui, comme tu vois, ils n’ont rien du tout laissant ainsi leurs orifices bien offerts…

Walter s’arrêta de parler, me laissant à loisir apprécier le spectacle. Elles avaient l’air si épanouies, si heureuses, j’en étais heureuse pour elles. Le Majordome repris la parole :

- Tu vas te déplacer à 4 pattes et désigner des groupes de deux esclaves à la fois, en les touchant de la main. Il faut choisir à chaque fois, un mâle et une femelle. Le mâle choisi devra s’accoupler en levrette et se soulager dans la femelle. Excités comme ils sont arborant leur érection, ils savent tous le cadeau de bienvenu que leur octroie Monsieur le Marquis. Quant aux femelles, comme pour toi, elles seront autorisées à jouir, après ce mois d’abstinence. Cadeau aussi du Maître. Je te laisse donc choisir parmi ces quatre mâles celui avec qui tu t’accoupleras. Allez petite chienne fait tes choix, désigne les couples et réserve-toi celui qui te parait le plus intéressant à te saillir …

J’étais comme subjuguée, par la scène ne me fit pas prier, tellement j’étais excitée sachant que je serai autorisée à jouir. Je m’approchais donc du centre d’enclos, telle une panthère en chasse, se déplaçant doucement en dodelinant de la croupe. Je tournais d’abord, près des quatre mâles arrivés avec moi et qui savaient ce que je venais faire. Chaque mâle me regardaient, ils n’avaient pas le droit de parler pour l’occasion mais leur yeux envieux avaient l’air de dire ‘’choisis-moi comme partenaire’’. J’hésitais tout d’abord mais il fallait bien se décider alors je touchais chien servile puis je m’approchais d’une femelle qui lapait dans une gamelle en levrette, une bien belle blonde aux cheveux long, je la touchais sur l’épaule.
chien servile se dirigea alors derrière la soumise et déjà en forte érection, il sentit la croupe de cette dernière qui émoustillée après sa longue abstinence, écartait aisément les jambes et le mâle esclave enfonça sa queue raidie dans la chatte humide de la femelle en levrette.

Puis je choisis le mâle chien docile, que je fis accoupler avec une autre femelle. Ensuite le mâle Vieux chien avec la dernière soumise. Et enfin je choisis donc pour moi, chienchien. Pourquoi lui ? Parce que je le trouvais plus mignon que les autres et dans ce cas de figure seul le physique pouvait faire la différence. L’aspect de l’intelligence étant exclu. Et puis j’avais laissé parler mon intuition, ce chienchien avait quelque chose qui me plaisait, je ne pouvais pas dire ce que c’était mais je me sentais attirée par lui. chienchien n’osait pas approcher, malgré son érection. Alors sous les yeux de Walter, je me positionnais derrière lui et lui enserrais les couilles tout en les malaxant après les avoir lécher de ma langue. L’esclave mâle gémit et sa réaction ne se fit pas attendre, l’instinct naturel prit le dessus. Il fit un demi-tour rapide à quatre pattes, me contourna et me monta dessus par derrière. Les coups de reins étaient vifs tant il avait besoin de se vider encore les bourses. Je gémissais en silence et excitée d’être ainsi possédée, besognée. Et c’est dans des jouissances pratiquement toutes en même temps que tous les esclaves explosèrent leur jouissance. En concerts de râles, de cris jouissifs concernant les mâles fraichement arrivés au Château. Car aucunes des femelles qui avaient abondement joui comme moi n’avaient laissé échapper le moindre son malgré le puissant orgasme qui nous avait traversé pour chacune d’entre nous.…

Il est bon de rappeler le bon vouloir des esclaves, que le Marquis n’a jamais personne à devenir des animaux mais c’était l’instinct primitif, ce désir puissant d’être traité ainsi, d’être des esclaves qui avaient provoqué ce qu’ils étaient devenus.
Le Noble était simplement celui qui leur permettait de vivre cet avilissement total qu’ils avaient tous souhaité. C’est pour cela qu’ils vouaient tous un véritable culte au Maître vénéré… Et effectivement, plus je vivais à fond ma soumission à Ses pieds, plus je me sentais chienne, plus mes instincts primaires, primitifs refaisaient surface. Sans honte, sans peur, me sachant écoutée et comprise, sans jamais être jugée. Je souhaitais de tout coeur que ces futurs chiens de l'Enclos puissent découvrir ce que le lâcher-prise total pouvait leur apporter dans leur soumission. Mais je savais par expérience que cela pouvait prendre du temps, et ils avaient une chance incroyable que Monsieur le Marquis daigne les accepter comme résidents permanents au Château !

- Je ne vous avais pas précisé le silence absolu pour cette fois, les chiens. Je serais indulgent pour ce jour de fête. Mais sachez qu'en toute circonstance, même pour les cadeaux, vous n'êtes jamais autorisés à émettre le moindre son, sauf autorisation express ! Les chiennes, heureusement pour vous, vous êtes restées silencieuses, comme on vous a appris après maintes leçons pour obtenir votre silence le plus complet. Au vu de votre ancienneté, je n'aurai pas toléré un manquement à cette règle fondamentale !

Ayant tous vécus un moment très fort, et ayant reçu l'autorisation du Majordome d'un quart d'heure de repos, tous nous étions unis par le même sentiment de bonheur assouvis et par un même besoin de chaleur animale. Alors nous nous rejoignîmes contre le mur du fond tous à quatre pattes et nous nous lovions les uns contre les autres telle une réelle meute. Nous profitions tous de ce moment de sérénité à huit, de notre chaleur corporelle partagée. Nous aurions presque pu nous endormir tellement nous étions bien, si ce n'était que nous savions que Walter n'allait pas tarder à nous rappeler. chienchien, qui était contre moi, dans mon dos, m'entoura de ses bras, comme pour me remercier silencieusement.


- Debout les chiens ! intima le Majordome en faisant claquer un fouet dans l'air. Il est temps de vous faire visiter la salle de dressage. chienne Marion MDE, tu viens avec nous. S'ils ont à nouveau besoin de se vider les couilles, tu serviras à quelque chose, sinon tu suis en silence, comme d'habitude !

Nous laissions donc là les trois autres soumises qui se resserrèrent pour prolonger le bien-être post orgasmique. Arrivés dans la salle de dressage, les quatre chiens ouvrirent grands les yeux d'émerveillement. Et très vite leurs queues se remirent à gonfler. Walter éclata de rire.

- Eh bien les putes en chaleur ! Encore la queue dressée ? Regardez bien cette pièce ! C'est ici, qu'il vous faudra apprendre à contrôler vos érections. Mais en attendant... (il claqua des doigts et je vins me prosterner devant lui) cette chienne est là pour vous vider alors allez-y, tous ensemble. L'un de vous devra se contenter d'éjaculer sur son corps et non dedans. Débrouillez-vous pour trouver qui la prendra et comment !

Et après s'être regardé, ce fut par ordre d'âge qu'ils choisirent. Vieux chien s'allongea à même le sol. Je compris et allais empaler ma chatte sur sa verge dressée. chien servile se positionna contre ma rondelle mais hésitait à me pénétrer sans préparation. Alors d'un mouvement brusque du bassin, j'enfonçais son vit dans mes entrailles. chien docile me mit sa queue dans la bouche et j'entendais chienchien commençant à s'astiquer au-dessus de mon dos. Je jetais un regard interrogateur à Walter.

- Oui la chienne, tu as droit de jouir également et autant de fois qu'ils en seront capables avant de se vider les bourses.

S'en suivit alors des mouvements sauvages, parfois maladroits, par l'inexpérience de ces mâles à besogner une chienne à plusieurs. Mais ils réussirent à me faire jouir tout de même deux fois avant de se vider tous les quatre en même temps sur et en moi. Malheureusement pour eux toujours aussi bruyamment, ils lâchèrent leurs plaisirs de mâles éjaculateurs en de longs râles jouissifs. Il faut dire que je partais très rapidement dès que tous mes trous étaient occupés. J'étais tellement heureuse ! Et d'être une récompense pour ces chiens novices et méritants, et de savoir que j'avais satisfait assez le Maître pour qu'Il me trouve assez méritante pour accéder dès ce soir à un Cachot. Et sachant que chaque jouissance était une récompense, un susucre pour mener Ses chiens à toujours se dépasser plus pour Sa satisfaction et Son plaisir, j'en étais d'autant plus reconnaissante ! C'était réellement une journée merveilleuse pour moi ! Et je n'en étais pas encore au bout, je m'en doutais, je le sentais. Je n'avais pas encore reçu ma récompense. L'aurai-je durant la cérémonie ? Avant ? Après ? De la propre main de Monsieur le Marquis, Maître incontesté de ma vie ? Aujourd'hui je Lui appartiendrai définitivement via l’accès à un Cachot ! J'en étais si heureuse que mentalement cela me propulsait loin, très loin... Mon esprit n'était plus dans ce corps assailli de tous côtés. Je planais... Pour les chiens soumis, c'était une journée riche également. Ils venaient d'apprendre qu'ils avaient l'honneur d'être acceptés dans l'Enclos. Ils se demandaient tous s'ils sauraient être à la hauteur des Exigences du Maître. Après ce qu'ils avaient vu, qu'ils qualifiaient pour eux-mêmes d'incroyable et d'exceptionnel en ayant croisé plusieurs chiennes et chiens dans le Château, ils en doutaient un peu. Après une longue période d'abstinence, ils avaient déjà joui trois fois, et de manière bien agréable, il fallait le reconnaître !

- Ah les chiens ! Vous faîtes tout pour me laisser assouvir ma passion de la correction ! Eh eh eh !... Mettez-vous à genoux, dos à moi, un devant moi, un de chaque côté, et un derrière. Toi la chienne, à genoux aussi, dans le coin de la pièce, tête baissée et mains derrière le dos. Mais comme tu n'es pas sanctionnée, ne te mets pas face au mur mais tournée vers nous.

Et tandis que je me déplaçais à quatre pattes pour lui obéir, il se saisit d'une badine, se mit au centre du carré que formaient les chiens, et tout en tournant sur lui-même, leur appliquait des coups sur leurs culs et leurs dos. En fait, Walter faisait tout pour nous tenir éloigner des pièces principales du Château pour ne pas que nous puissions voir la moindre petite chose des préparations des festivités du soir…

(A suivre ...)

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