Hélène 14 : La Machine, 2eme Partie
Hélène 14 La machine 2eme partie
Mon chéri mentraine dans une grande salle. Sur une estrade, la machine mattend
.
Récit de Pierre
La « machine » est composée dun siège annulaire légèrement elliptique, doté dun coussinet de cuir de même forme. Le centre, évidé, laisse le passage à deux leurres métalliques, de taille raisonnable. Cet ensemble est monté sur un système de renvois et damortisseurs qui permet daccompagner les mouvements du bassin de limpétrante, et dorienter le mouvement des verges factices vers telle ou telle zone du vagin et du rectum.
Les deux simulacres sont reliés par un jeu complexe de came et de biellettes à des moteurs électriques
Léquipement est complété par un dosseret et dune barre traversière munie danneaux.
Des sangles fixées sur les montants permettent décarter les jambes de la patiente.
Un faisceau de câbles électriques munis de douilles et de pinces de couleur différentes pend à disposition sur la traverse. Le tout est connecté à un boitier.
Hélène ferme les yeux, elle imagine trop bien les usages de ce dispositif, elle se voit déjà exposée et torturée.
- Je ne pense pas que de trop longues explications soient nécessaires. Fait une hôtesse, très professionnelle.
- Pierre, je veux être mise sur cette machine.
- Sachez aussi que les gods sont amovibles et peuvent être adaptés à toutes morphologies ou à tous les appétits. Si Madame est intéressée, je peux vous aider
- Oui, mettez la taille au-dessus répond la belle.
- Je vais les installer, je vois que Madame est gourmande.
- Non, cest mon standard,
- Félicitations Monsieur. Madame, vous êtes gâtée.
Je magenouille devant mon amour, dune petite tape, juste au-dessus de la lisière des bas, je lui fais écarter ses jambes, et je récupère les deux bijoux qui ornent son sexe.
Ma sultane enjambe le siège et se laisse glisser sur les pals jumeaux.
Des mains gantées lui immobilisent les cuisses, laissant libre accès à son coquillage. Jattache ses poignets et je la crucifie.
Je la vois qui suit, derrière son masque, chacune des étapes préparatrices de son sacrifice. Je sais quelle jouit de ce rituel.
Elle respire doucement
Son bourgeon, ses tétons sont érigés,
Son orchidée suinte doucement autour du pieu qui la transperce.
Récit dHélène.
Voilà, je suis enconnée, enculée, crucifiée.
Jaime ce cérémonial, avant mon supplice, mais Pierre doit en être le seul ordonnateur.
- Mon amour, je veux quil ny ait que toi qui me touche.
La jeune femme en noir se recule, comme au regret ne pas pouvoir participer.
Mon doux sultan sagenouille et plante la fiche électrique dans le support du pénis artificiel qui occupe mon oignon.
Il dégage mes deux lèvres intimes, et les appareille.
Puis doucement, du pouce, il exaspère lérection de mon clitoris. Je frissonne à ce qui mattend. Il enserre mon petit organe entre les deux mâchoires de lélectrode, il les relâche doucement, puis il actionne la molette de serrage. Au début à peine une légère sensation, puis de plus en plus fort, jhalète, mais je veux tenir encore, je ferme les yeux.
Le pincement devient insoutenable.
- Arrête.
Il mobéit, et doucement, il relâche la pression. La douleur reste présente, mais tolérable, elle pulse au rythme poussé dans mon bouton.
Cest le tour de mes seins. Il flatte mon téton droit, ce petit salaud se gonfle et se gorge de sang. Il serre la framboise congestionnée, les dents de la pince mordent mon mamelon, je gémis, je me débats, mais il ne sarrête quau degré de souffrance quil a choisi. Mon autre fraise subit le même sort.
Cest fini, je suis apprêtée.
Mon cruel aimé me laisse me reprendre. Mon souffle se calme. Je profite de ce moment dapaisement malgré les élancements.
- Et cette pince bleue et rouge, elle sert à quoi.
- Vous pouvez lutiliser pour la langue de Madame !
-
.
- Mais il faut aussi utiliser ce mors circulaire, pour éviter que les dents claquent sur la langue de Madame.
Le bâillon en question est un anneau pénétrant dans la bouche, relié à une sangle permettant de fixer lobjet derrière la nuque ce qui permet de bloquer les mâchoires de la victime en position ouverte, tout en laissant la cavité buccale accessible.
- Sors ta langue, ma beauté.
Ce nest pas possible ; mon cur bat la chamade, je vais pleurer. Je mimagine, la langue sortie, avec la pince, la bouche déformée. Je tremble de peur, et aussi dhumiliation.
- Sors ta langue !
Ah le salaud... .Jobéis, au bord des larmes. Jécarte mes lèvres, ma langue dehors, jattends la mise en place de cet immonde mors.
Je sens un pincement sur mon muscle lingual, ce nest pas lélectrode, mais les dents de mon aimé. Puis ses lèvres se posent sur les miennes, sa langue me fouille, un baiser, un doux baiser. Tu mas fait si peur. Si je pouvais, je te taperais mon amour. Je taime quand tu es si tendre.
Puis, sur le ton dune vendeuse délectro-ménager, lassistante explique le fonctionnement de la télécommande.
- Dans cette partie vous avez le contrôle de chacun des phallus : vitesse, profondeur de pénétration.
- Ici vous avez la gestion des électrodes, vous pouvez caler lintensité, et même programmer des rythmes de stimulation.
- Il y a trois sécurités, une intensité maximum des électrodes, une sur la vitesse des gonds, et la durée de la session, limitée à une heure.
- Voilà, vous savez tout. Ah si, Madame va être certainement fatiguée après. Il y a une pièce de repos à coté, elle vous est réservée.
Elle tourne les talons, puis se ravise et revient. Elle se penche vers moi, me caresse la joue de sa main gantée. Et elle me murmure.
- Madame, vous allez être très heureuse ! et elle séloigne en laissant ouverte la porte à deux battants.
Je ferme les yeux. Rien, il ne se passe rien.
Puis je sens le coulissement lent du god dans mon sexe, suivi dun chatouillis dans le sein droit. Une décharge dans le clitoris lui répond.
Un jeu de Ping pong se met en place entre mes deux organes érigés. Le phallus de devant accélère. Le leurre arrière sébranle. Jadore cette double pénétration, je roucoule. Je décolle.
Je crie, mon chéri vient de me foudroyer en plein vol. Lélectricité ma traversée du clitoris à la pointe des seins. Les deux membres sarrêtent.
Je souffre et je suis frustrée.
Puis un petit picotement sur mon bourgeon, et deux autres sur mes seins.
Cest aussi agréable que sils étaient sucés.
Le courant augmente, les ondes de plaisir émises par mes bouts se rejoignent. Elles me font palpiter en rythme. Ma respiration saccélère,
Le leurre qui pénètre mon anneau se remet en route doucement, bientôt suivi par celui dans ma chatte.
Je pars.
Lintensité de la stimulation électrique augmente. Je suis secouée, en phase avec les pulsations que mimpose mon bourreau adoré.
Mon plaisir monte en même temps que ma souffrance. Pierre me maintient sur le fil du rasoir sans basculer dun côté ou de lautre.
Mon électrisation accompagne le jeu des leurres
Le jeu alternatif des deux gods, me stimule. Mes seins sont excités en alternance avec mon bourgeon et mes lèvres. Londe électrique parcourt mon corps en aller et retour, entre mes organes sexuels.
Je narrête plus de geindre. Je mabandonne
Je sens monter lorgasme. Ma tête roule dune épaule à lautre, je crie mon bonheur entre deux halètements. Pourvu que Pierre ne coupe pas ma jouissance en plein vol.
Une effroyable décharge irradie mon anus. Jhurle. Plaisir et souffrance se sont télescopés en moi. Jai joui, mais je palpite de douleur. Jamais souffrance et jouissance ne se sont associées en moi avec une pareille intensité
Je perds pied.
Jentrouvre les yeux, je distingue des silhouettes dans la pénombre dont une assez forte à genoux devant un homme. Marianne ?
On détache mes mains, mes bras tombent sans que jarrive à les soutenir. Doucement, on desserre mes pinces, pour empêcher un afflux de sang brutal et douloureux. Je sens que les doigts de mon bourreau bien aimé massent mes tétons pour ralentir le retour sanguin
Mes cuisses sont relâchées. Mon clitoris est libéré avec les mêmes précautions, pourtant les palpitations qui accompagnent mes pulsations cardiaques, me lancent atrocement.
Il me reste une dernière épreuve. Pierre et un steward me soulèvent doucement, mais le glissement du leurre qui envahit mon anus, menvoie dans un dernier orgasme. Je mévanouis dans un râle de bonheur.
Quand je reviens à moi, je suis dans la pièce de repos, mon amour me veille en me tenant la main.
- On rentre. lui demandé-je
- On passe par la douche, ça te fera du bien.
Nous nous rendons dans une superbe salle de bains commune, mon homme délace mon corset et me débarrasse de tous mes ornements, il minstalle sur un tabouret et commence à me savonner.
Je ferme les yeux. Jadore ces moments de plénitude et de sérénité qui suivent mon sacrifice. Japprécie ces instants où mon seigneur prend le rôle du valet ou du serviteur pour me dorloter.
Dans mon nuage, jentends des petits pas.
Cest Marianne, elle est dans un état pitoyable, ses fesses, ses cuisses, son ventre, ses seins sont quadrillés dune résille rouge, certaines traces virent au jaune et au bleu sale.
Les yeux sont marqués, son visage est barbouillé de son rimmel, son rouge a bavé, des mèches de cheveux dégueulent sur son visage
.
Elle est seule, lAutre ne soccupe pas même delle. Il sen fout.
Je lassois et je rince son visage. Sans la peigner, je rassemble sa chevelure en arrière avec un chouchou. Je fais un signe à mon amant, il me comprend sans un mot. Il prend le gel de douche et masse le dos de la malheureuse, De mon côté, je lui applique ma crème pour le visage, et la débarrasse des stigmates des sévices subis.
Jemprunte le savon et je lui nettoie ses gros seins, puis je glisse sur le ventre.
Pierre soccupe du mollet, mais il sarrête aux genoux, je prends sa main et je la fait remonter sur la cuisse de la pauvrette, il saisit le sens de mon geste et il poursuit son savonnage jusquà laine.
Nous levons la suppliciée. Sans rien dire, nous nous partageons son cul, nous massons chacune une des fesses plantureuses. Un moment, nos mains se touchent dans la profonde raie de la belle. Friponne, jappuie lindex de mon sultan sur le cratère, il senfonce dans lillet accueillant, Marianne laisse échapper un soupir. Nous retirons.
Je finis de rincer la charmante, sa peau est douce, comme du satin.
Je recule, cest vrai, elle est grosse, elle est magnifique. Ses traits sont doux et agréables, elle est vraiment belle.
Je vais pour lembrasser sur la joue, mais elle tourne la tête, et happe mes lèvres, elle menlace du bras gauche et de sa main droite, elle pose mon index sur son bouton damour.
Je la caresse, elle jouit très vite. Nous restons collées un instant sous le regard complice de Pierre.
Un cri, un appel impérieux :
- Marianne.
-
Le salaud, il me la reprend.
La belle me repousse à regret et se dirige vers la sortie. Arrivée à la porte, elle se retourne, trotte vers moi, un bras soutenant ses seins Elle me colle un baiser de cousine sur la joue et repart en trottinant, en me faisant un petit signe de la main.
Puis mon gentil bonhomme memballe dans un peignoir éponge super moelleux.
Nous passons récupère nos affaires. Lhôtesse du vestiaire est celle de la machine.
- Vous partez déjà.
- Nous sommes épuisés. Répond pour moi mon compagnon.
- Oui, je men doute, la machine est très fatigante. Lui répond la jeune femme.
- Madame, Puis je vous proposer une flute ? Continue-t-elle.
Je la bois dun trait. Puis nous regagnons notre voiture. Comme la dernière fois, Pierre abaisse le dossier du siège, et mallonge. Pour compléter le tout, il me couvre de son grand manteau. Le champagne machève.
Je sors de ma torpeur, il ma mis au lit, il ajoute une couette, puis se glisse sous les draps. Je me pelotonne contre lui.
- Mon seigneur et maître, je ne te savais pas si charitable.
- Cest toi qui es une bonne âme, tu tes offerte à ce mec pour donner un répit à la malheureuse.
- Oui, je savais que tu saurais lépargner. Puis je reprends
- Tu crois que nous reverrons Marianne ??
- Hum
. Puis un silence.
- Chéri
La machine
- Oui.
- Tu pourrais en trouver une pour moi
.
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