Le Vent Froid De Février...
Cela fait quelques temps que je nai pas donné de nouvelles, je vais essayer de rattr mon retard. Pour ceux qui nont pas suivi, je métais arrêté au mois de décembre ou mon amante, Françoise, avait fait de moi son esclave.
Au début, je trouvais la situation plutôt excitante. Françoise menvoyait régulièrement des photos érotiques (ou plus) auxquelles je devais répondre. Et puis elle me convoquait chez elle. Jy allais et nous passions du bon temps.
Je ne rentre pas plus que cela dans les détails parce quil ny a pas grand-chose à en dire. Cétait finalement du sexe « banal ». Bon
Un peu plus que cela puisque Françoise était bien plus dévergondée que ma femme. Mais rien dextraordinaire qui vaille la peine de vous le décrire ici.
Le point important à retenir étant que Françoise semblait apprécier mes performances.
De mon côté, je commençais à minquiéter un peu. Ladultère, cest compliqué. Javais de plus en plus de mal à minventer des réunions au travail. Du coup, je prenais des RTT ou des journées sans soldes pour retrouver Françoise mais cela me mettait aussi en difficulté avec ma femme. Et puis il y avait tout le stress quil y a autour : peur que ma femme ne consulte mon portable et ne trouve une photo compromettante, peur de la croiser dans le quartier à un moment où je ne suis pas sensé y être
Bref
Après un mois de janvier très chaud, jai commencé à méloigner de Françoise au mois de janvier, allant même jusquà bloquer son numéro pour ne plus recevoir ses message et prenant la décision de redevenir fidèle vers la fin du mois de février.
Pendant une petite semaine, tout alla bien. Ma conscience se refaisait une vertu et je commençai à déstresser.
Un soir, alors que je rentrai assez tard du travail et alors que je me déshabillais dans le vestibule, jentendais ma femme parler et rire dans le salon. La voix qui lui répondait ne métait que trop familière et je sentis une coulée de sueur froide dans mon dos.
Jentrai dans le salon, inquiet. Pas le choix après tout.
Ma femme me vit : « Bonjour chéri, bien passée la journée ? Je te présente Françoise. Tu la connais peut-être, cest la mère de lune des copines des filles. On a eu loccasion de parler à lécole et je lai invitée à boire un café. Les filles jouent dans leur chambre. »
Françoise était là, assise sur le canapé. Le même que celui sur lequel elle était assise, deux mois plus tôt, alors que je lui léchais la chatte. Elle était là et me souriait. Et me fit un clin dil. Je balbutiai :
_ Bonjour Françoise. Je crois quon a dû se voir à lécole il me semble, oui.
_ Oui, et à Halloween aussi, vous étiez dans la rue avec vos filles.
_ Ah ! oui
Cest ça
Ma femme partit me chercher un café. Pendant ce temps-là, Françoise écarta les jambes et remonta sa robe, dévoilant sa chatte lisse, sans petite culotte. Elle murmura, ou plutôt souffla en articulant exagérément pour que je puisse lire sur ses lèvres : « tu ne me la lèches pas aujourdhui ? » Je lui répondis de la même manière « quest-ce que tu fais ici ? » mais ma femme revint avant que je puisse avoir une réponse, même si je ne la devinais que trop bien.
La dura une éternité. Nous discutions, lair de rien. Ma femme ne se doutant de rien. Françoise profitait du moindre instant de tranquillité pour me caresser lentre jambe, dévoiler une partie de son corps ou me tenir des propos salaces, de plus en plus accusateur et de plus en plus menaçant.
Ma femme mit fin à ce moment de la façon la plus inattendue qui soit :
_ Au fait chéri, Françoise a un petit souci de tuyauterie
_ Une toute petite fuite, ce nest rien du tout
_ Comme elle est divorcée, elle na personne pour sen occuper. Tu ty connais toi, tu pourrais laider, non ?
_ Il paraît que vous êtes un as pour tout ce qui touche aux tuyaux !
_ Euh
bien sûr. Je passerai chez vous à loccasion.
_ Pourquoi pas ce soir. Tu y vas maintenant comme ça cest fait.
Et cest ainsi que je me retrouve une boîte à outils à la main, dans la rue avec ma maîtresse et sa fille qui court devant nous.
_ Japprécie ton aide pour la tuyauterie mais japprécie moins que tu ne répondes pas à mes appels et que tu ne viennes plus à la maison quand je te le demande. Cest pourquoi jai dû venir. Tu as de la chance, jaurais pu faire une bêtise. Gaffer et dire tant dautres choses à ta petite femme
_ Je te lai dit, cette situation ne me convient plus, il faut y mettre fin.
_ Allons
Quest-ce qui te fait croire que cest en ton pouvoir de décider dune telle chose ?
_ Tu as réellement un problème de fuite ?
_ Non, bien sûr.
Arrivés chez elle, elle envoya sa fille devant la télé pendant quelle me montrait la « fuite » de la salle de bain. A peine la porte refermée, Françoise se déshabillait entièrement. Elle saccroupit devant moi, ouvrit mon pantalon et sortit ma queue. Mi molle, elle était à limage de mes pensées : excitée par la jolie femme nue devant moi mais inquiète de la tournure des événements.
Françoise me suça juste assez pour me faire raidir totalement. Puis, tandis quelle me branlait, elle membrassa lintérieur de la cuisse et, avant que je puisse réagir, y déposa un énorme suçon. « Ça, cest pour tapprendre à obéir ! »
Jétais fou de rage et commençait à lui crier dessus, à me lamenter et à la maudire
Elle mit fin à tout ça en me tournant le dos, en écartant les jambes et en prenant appui sur le lavabo. « Baise-moi ! »
Malgré toute ma colère, je bandais encore. Ne sachant que faire dautre, je la pénétrai sans ménagement. Sa chatte était de toute manière déjà trempée. Cette salope était de toute évidence très excitée par la situation.
Pour la première fois avec elle, je ne prenais aucune précaution, ne faisais pas attention à son plaisir. Je la besognais sauvagement, lui donnant de grand coup de reins et lui claquant les fesses régulièrement.
De son côté, elle hurlait de plaisir (elle dût même ouvrir leau de la douche pour atténuer le bruit pour sa fille) et mencourageait à continuer ainsi : « défonce-moi la chatte ! Baise-moi bien ! Tu prends ton pieds, hein ? »
La situation était tellement différente de celle de nos dernières rencontres où jétais totalement dominé et obligé dobéir à ses moindres demandes
Bien que sa chatte fût grande ouverte, je déchargeai rapidement en elle. Mon jet de foutre suffit à la faire jouir et je senti sa chatte se contracter autour de ma queue tandis que je me vidais en elle. Sortant ma queue de sa chatte, jessuyais mon gland baveux sur ses fesses tandis quelle restait pantelante sur le lavabo.
Quelques minutes après, je repartais de chez elle.
_ Ça ta plu, hein ? Tu vas de nouveau me baiser, crois-moi
_ Ecoute
Je nen peux plus de mentir. De cacher des trucs à ma femme, de minventer des réunions
_ Ça tombe bien, tu nen auras plus besoin. Ta femme maime bien et a une absolue confiance en son marie. La conne ! Bref
Je lui ai laissé entendre que javais plein dautres travaux à faire à la maison. Dans son esprit, tu es déjà embauché.
Cest ainsi que je rejoignis ma femme. Celle-ci mattendait avec un repas tout prêt et voulu me récompenser pour avoir été si gentil avec sa nouvelle amie. Jai ainsi dû renoncer à lune de ses rares gâteries de peur quelle ne découvre le suçon !
Alors oui
Je vois votre regard déçu. Pas assez de sexe dans cette histoire. Mais il fallait bien que je vous la raconte pour faire la transition. Parce que quelque chose me dit quil y en aura dautres !
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