La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°928)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) (suite de l'épisode N°925)
Vanessa rejoint le bureau du Maître et patiente au milieu de la pièce son retour. Le Noble revient et sans faire attention à elle, va sasseoir à son bureau pour vaquer à ses occupations.
- Félicitations, tu as été parfaite, lui dit-il soudain, tout en levant la tête pour fixer Sa soumise dun regard fier.
- Merci Monsieur, répond la jeune femme heureuse davoir satisfait le Maître.
- Monsieur ?, accuse Le Maître des lieux.
- Maître, je suis désolée, je vous prie de bien vouloir sanctionner cette faute inexcusable, se reprend-t-elle immédiatement.
- Pourquoi cet écart de parole ?
- Maître, jai manqué dattention, je mérite une sanction pour être plus attentive.
- Et que penses-tu mériter ?
- Je ne sais pas Maître, 50 coups appliqués par votre Majordome, ose-t-elle sans trop savoir ce que vaut une telle faute.
- Hum, pourquoi Walter, ne suis-je pas capable dappliquer les sanctions moi-même ?
- Ce serait trop dhonneur que vous me feriez, Maître, je ne mérite pas votre main.
- Hum, vas te placer debout mains sur mon bureau, cul tendu et, patiente ainsi.
Sans dire un mot la jeune femme obéit promptement, honteuse davoir déçu si lamentablement le Maître. Le Noble décroche son téléphone.
- Mon cher Walter, jaurai besoin de tes services, veux-tu bien venir, avec ce dont nous avons parlé hier soir, jai un sujet pour le tester.
Keira MDE se demande ce dont parle le Maître, et ce quelle va devoir endurer pour se racheter, mais elle est tellement fâchée contre elle-même quelle est prête à tout accepter. Seulement quelques minutes plus tard, le Majordome fait son apparition dans la pièce, mais Vanessa lui tournant le dos ne voit pas ce quil a apporté.
- Toujours aussi efficace, mon cher ami, voilà un cul pour expérimenter ton idée, ce sera 50 coups, je ten prie, laccueille Le Noble en lui désignant la jeune femme.
- Monsieur le Marquis, autant ? Qua-t-elle fait, hésite le Majordome appréciant Keira MDE et ne souhaitant pas la blesser plus quelle ne le mérite.
- soumise, explique à Monsieur Walter, ordonne Monsieur Le Marquis.
- Monsieur, jai manqué de respect au Maître en oubliant comment je devais madresser à lui, je mérite une sanction exemplaire, quelle quelle soit, répond la jeune femme dune voix déterminée.
Walter est surpris quelle ait pu commettre ce genre de faute, il regarde Monsieur Le Marquis dun il interrogateur qui lui fait signe de commencer.
- Bien, alors ce sera 50 coups, inutile de te rappeler que si tu bouges ou si un autre son que le comptage des coups sort de ta bouche je recommencerai à zéro.
Walter passe un gant et se saisit du bouquet dorties fraiches quil a amené. Il prend le recul nécessaire et frappe une première fois le fessier de la jeune femme. Elle sattendait à un coup plus fort mais la brulure quelle ressent quelques secondes après, lui fait comprendre quelle va peiner à supporter la sanction.
- Un, merci Monsieur, dit-elle sur un ton toujours aussi déterminé.
Le Majordome continue, et sans fléchir la jeune femme compte les coups, les brulures sont de plus en plus intenses et sa voix commence à changer, Vanessa contient ses pleurs, étouffe le sanglot qui veut sortir, elle refuse de craquer, elle veut tenir coûte que coûte. Alors quelle compte le cinquantième coup, une larme perle sur sa joue, Vanessa baisse la tête pour la cacher, mais elle tombe sur le bureau du Noble à qui elle néchappe pas. Puis elle sagenouille, fait face au Majordome pour baiser la main quil lui tend et en silence reprend sa position dattente, baissant la tête pour cacher ses yeux humides.
- Eh bien très cher, il semble que ton idée soit efficace, nous en reparlerons, je te remercie Walter, tu peux disposer.
Sans un mot le Majordome quitte la pièce, laissant la jeune femme en compagnie du Maître.
- Regarde-moi, ordonne-t-il dune voix étonnamment douce.
Ravalant sa fierté, la jeune femme obéit et plonge ses yeux dans le regard dominateur du Maître.
- Pourquoi ces pleurs ? questionne-t-il en essuyant ses yeux de ses pouces.
- La honte de vous avoir déçu par une faute de débutante, Maître, souffle-t-elle.
- Seulement la honte ?, accuse Le Noble.
- Et la douleur, Maître, se résigne-t-elle à avouer.
- La faute est pardonnée, lui souffle le Noble en lembrassant sur le front.
Puis la laissant reprendre ses esprits, il la laisse ainsi et repart sasseoir à son bureau pour traiter les dossiers en cours
Après quelques minutes, on frappe à la porte, sur ordre du Noble un homme y entre et vient se placer devant son bureau, patientant debout lautorisation de sasseoir.
- Monsieur le Marquis, Vous avez demandé à me voir ?
- Ah Franck, oui javais besoin de précisions, répond Le Maitre des lieux sans lui permettre de sasseoir. Ne tavais-je pas précisé que la soumise que je tai envoyé hier soir à lhôtel était réservée à un client ?
- Si Monsieur le Marquis, mais
- Et ne suis-je pas suffisamment généreux concernant le personnel soumis que je mets à ta disposition ?
- Si Monsieur le Marquis, mais
- Alors pourquoi ai-je eu la désagréable surprise de découvrir son fessier marqué de TA ceinture ?, gronde le Châtelain.
- Monsieur le Marquis,
elle avait terminé, elle était disponible et patientait à une place qui nétait pas la sienne.
- Ne ta-t-elle pas informé que cétait selon MA volonté ?, accuse Le Noble.
- Si Monsieur le Marquis, mais
- Il ny a pas de mais qui tienne, tu connais parfaitement MES règles et je ne peux tolérer quun de mes directeurs ne les respectent pas scrupuleusement.
- Cela ne se reproduira pas, sexcuse lhomme comprenant quil a outrepassé ses droits.
- Effectivement, puisque tu es relevé de tes fonctions, à partir de maintenant, répond calmement Le Châtelain.
- Monsieur le Marquis, je vous en prie, laissez-moi une autre chance, panique-t-il.
- Penses-tu réellement que je puisse effacer une telle faute comme cela ?
- Non, mais peut-être que vous pouvez me laisser me racheter ?, ose le directeur.
- Hum, ques-tu prêt à faire pour te racheter ?, interroge Le Noble.
- Tout, répond rapidement, trop rapidement, lhomme avant de sapercevoir de limpact de ce mot.
- Vraiment tout ?, sourit le Châtelain.
- Disons que
que
je voudrais parvenir à obtenir votre pardon, hésite lhomme, mais...
- Mais ? interroge Le Noble voyant dans le ton de lhomme quil nest pas prêt à tout.
- Mais
je suis un dominant
- Certes, mais de second choix
Toutefois jentends ta réticence, et je ne ferai pas de toi un chien soumis, ce nest pas dans tes cordes, ni dans ta nature
Je vais donc placer Bruno à la direction par Intérim, un de mes fidèles soumis prendra sa place à la réception. Pour te faire pardonner, tu vas passer une semaine à chacun des postes de lhôtel, en commençant par celui de ramasser les déchets dans le parc, puis tu seras sous les ordres de la gouvernante pour prendre le rôle de femme de chambre, et ainsi de suite jusquà reprendre ta place, si jestime que tu la mérites encore. A chaque fin de semaine, jaurai le rapport de ton comportement et de ton travail, si tu travailles bien, tu monteras au poste au-dessus, sinon tu redescendras au poste en-dessous pour une semaine de plus. Evidemment tu seras payé à la valeur du poste, ton salaire va donc être beaucoup plus bas pendant quelques mois. Mais si tu as une quelconque difficulté pour subvenir aux besoins de ta famille, javancerais les frais et je les retirerais sur ta paie lorsquelle sera plus conséquente.
- Monsieur le Marquis, je
je ne peux pas
être sous les ordres de mes hommes
cest humiliant
je
- Effectivement, mais chaque acte a ses conséquences, je te laisse deux options : Accepter ou partir, à toi de choisir ! Mais tu prends la décision maintenant.
- Monsieur le Marquis, je
jaccepte, se résigne lhomme comprenant quil na pas dautres choix. Et je tiens réellement à vous présenter mes excuses pour mon comportement.
- Eh bien, soit appliqué à tes futures tâches et nous en reparlerons, allez, file, le nettoyage du parc tattend.
Sans un mot de plus lhomme quitte le bureau du Marquis pour rejoindre lhôtel au poste le plus bas qui soit, habituellement réservé aux esclaves du Château. Keira MDE qui patiente toujours en position dattente, les fesses rouges et brûlantes du récent contact avec les orties, comprend un peu plus le fonctionnement des sociétés du Maître, et elle le trouve juste dans la décision quil vient dappliquer. Il a proposé une alternative au licenciement mérité de cet homme, elle comprend que le Maître est un grand humaniste, même sil doit faire preuve de fermeté dans la direction de son personnel
Après de longues minutes à travailler Le Noble quitte son bureau en claquant des doigts pour intimer lordre à Keira MDE de le suivre. Elle se déplace derrière Lui, à quatre pattes jusquau Perron du Château, là il descend les marches et monte dans la Rolls que Walter a garée devant, Vanessa monte à son tour, restant à Ses pieds, et le Majordome ferme la porte avant de prendre le volant. Tout le trajet Le Noble lui caresse tendrement les cheveux, comme pour lui faire comprendre que son écart de conduite est bel et bien pardonné. La luxueuse voiture se stoppe, le Majordome ouvre la porte et la jeune femme découvre sa maison avec son compagnon qui attend sur le pas de la porte, immédiatement, Vanessa baisse la tête honteuse de se présenter le fessier rougit dune sanction, devant lui.
- Laurent, comment allez-vous.
- Parfaitement bien Edouard, je ne pensais pas que vous viendriez en personne la ramener, sétonne le commandant.
- Javais envie de vous rendre visite.
- Jen suis ravi, vous prendrez bien un café ?
- Un thé plutôt, volontiers.
Les deux hommes se dirigent vers le salon, Keira MDE suivant toujours à quatre pattes, le commandant sabsente et revient avec le thé. Ils entament une conversation banale, ignorant la jeune femme. Mais le regard insistant du commandant sur le fessier rougit de sa compagne fait réagir Le Noble.
- Vous vous demandez la raison de ce fessier rougi ? sourit Monsieur Le Marquis.
- Javoue que je suis curieux, je suppose quelle na pas été à la hauteur de la mission que vous lui avez confiée.
- Pas le moins du monde, elle a été parfaite, je naurais pu espérer mieux.
- Alors qua-t-elle fait pour mériter ces marques ?
- soumise, explique à ton éducateur.
- Monsieur, je
jai manqué de respect au Maître ? dit la jeune femme dune voix tremblante.
- Comment ?, interroge Le commandant dune voix terriblement déçue.
- Jai oublié comment je devais madresser à Lui, je lai appelé Monsieur, au lieu de lappeler Maître, explique-t-elle en baissant la tête plus que de raison.
Le commandant se lève, se dirige var la jeune femme, il pose doucement sa main sur la marque des Evans apposée au fer rouge quelques mois plus tôt.
- Hum
tu as mérité cette sanction, jespère que tu as conscience quun tel comportement est indigne dune soumise MDE. Cette marque ne veut donc rien dire pour toi ?, insiste Le Commandant pour déstabiliser sa compagne.
- Si Monsieur, je ne mérite pas de la porter, je suis désolée davoir porté préjudice au Maître et à votre éducation, je Vous prie de bien vouloir accepter mes excuses.
- Il me semble que la sanction a été à la hauteur de la faute, qui a été pardonnée, jespère simplement quà lavenir tu ne nous décevras plus de la sorte, ajoute-t-il pour piquer à vif lorgueil de la jeune femme.
Le Noble samuse de voir son ami déstabiliser sa propre compagne, il est heureux de voir avec quelle facilité il fait la part des choses entre la femme et la soumise. Ils reprennent leur discussion ignorant de nouveau Vanessa, puis Le Noble prend congé, le commandant le raccompagne.
- Tu as bien rougi son fessier, Edouard, quas-tu utilisé ?
- Des orties, sourit Le Noble.
- Comme quoi les anciennes méthodes sont encore parfois les meilleurs, samuse Laurent. Me permets-tu de la soigner, pour atténuer les brulures quelle doit encore ressentir ?
- Evidemment, je ne lai pas fait car je voulais quelle vive la punition jusquà son retour, mais je compte sur toi. Bien, je vais retourner vaquer à mes nombreuses occupations, je te souhaite une excellente soirée.
- Merci Edouard, dêtre venu en personne, à bientôt.
Laurent rejoint Vanessa au salon, après être passé par la salle de bain, il lui intime lordre de se mettre à quatre pattes, ce quelle fait sans tarder. Puis dune main douce, il passe un gant de toilette humidifié à leau froide sur les fesses de la jeune femme, avant dy appliquer une crème. Instantanément elle ressent la chaleur satténuer. Puis, il dépose un peignoir sur ses épaules, retire son collier, et laide à se relever, elle éclate en sanglots dans ses bras.
- Eh bien quest-ce qui ne va pas ?
- Jai été indigne de mon rang, indigne de ton éducation, sanglote-t-elle.
- Je ne vais pas dire que la faute était normale, mais tu as subi les conséquences de tes actes en faisant honneur à ton rang, laffaire est close. Et puis il me semble que tu as remplie correctement ta mission, cest là le plus important, non ?, termine-t-il en lembrassant.
- Oui mais
- Allons, tu en feras dautres des fautes, Miss parfaite, sourit-il. Le Maître ta pardonné et tu vas te rappeler cette erreur quelques jours sur la position assise, tu as été assez punie, ne te pas ainsi lesprit.
Il lembrasse dans un long baiser passionné et ils terminent la soirée en profitant lun de lautre
(A suivre
)
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