Traquenard 1/3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
PREMIER CONTACT
Cela faisait déjà un moment que je recherchais sur le net une femme dominatrice. Il faut dire que j'aime porter une culotte plastique sur mes sous-vêtements et faire pipi dedans. Trouver une dominatrice qui ne soit pas vénale n'est pas déjà chose aisée, mais en trouver une qui m'utilise comme je souhaitais l'être relevait de l'impossible.
Aussi, quand j'ai reçu ce mail m'annonçant qu'une certaine Maîtresse P. avait répondu à l'une de mes nombreuses annonces et qui plus est, qu'elle était dans ma région et désirait me voir, j'ai sauté sur l'occasion.
Le mail était clair :
« Sois lundi prochain à quatorze heures précises debout au comptoir du bar X, je viendrai t'y rejoindre. Je te veux en culotte plastique, trempé, et plugué sous tes vêtements. J'ai toujours rêvé d'avoir une petite salope pisseuse comme jouet. Si tu te montres à la hauteur, je saurai te donner ce que tu cherches. Mais attention, je ne tolèrerai AUCUN écart de conduite de ta part ou je disparaitrai de ta vie aussitôt ! Suis-je claire ? »
Jai immédiatement répondu par laffirmative, me disant quau pire, je pouvais toujours mettre fin au jeu à ma convenance puisquelle men donnait la possibilité. Puis nous échangeâmes encore quelques détails sur mes phantasmes et mes limites avant de nous séparer sur ce rendez-vous.
La nuit de dimanche à lundi fut peuplée de rêves oniriques où de somptueuses créatures vêtues de cuissardes brillantes mexhibaient et mhumiliaient publiquement, et au réveil, une érection terrible mobligea même à me satisfaire afin de calmer mes esprits.
Je pris une douche, madministrai un profond lavement, me rasai de près, puis je mis un plug dune taille raisonnable, une belle culotte en dentelle rose, passai une serviette en pagne dessus en guise de couche, enfilai ma culotte plastique par-dessus et finis de mhabiller.
Lensemble restait malgré tout à peu près discret, et une veste longue finit de rendre ma tenue, quelque peu incongrue, totalement invisible.
Je filai alors à la gare et profitai du voyage pour me lâcher dans ma culotte, assez pour la mouiller, mais sans risquer de fuites et cest donc les fesses bien trempées que jarrivais au bar.
Le bar était plutôt glauque et les quelques clients présents, essentiellement des arabes, avaient tous plus de 40 ans et ne ressemblaient pas vraiment à des cadres supérieurs. Lair était enfumé et il y régnait une odeur spécifique, mélange de fumée froide et de sueur. Mais même si je trouvais étrange que Maîtresse P mait donné rendez vous ici, je me disais qu'après tout, javais dit obéir en tout point à ses directives et que je nallais tout de même pas me faire agresser comme cela, en plein jour et dans un lieu public.
Je me dirigeai donc vers le bar et commandais une bière, étant en avance. Puis je me dirigeais vers les toilettes pour soulager ma vessie pas totalement vide.
Les toilettes en question étaient à limage du bar : sales et pas nettoyées. Le sol carrelé était trempé de ce que j'espérais secrètement nêtre que de leau... Les murs, recouverts de graffiti à lorthographe aussi douteuse que la propreté des lieux, invitaient lutilisateur au stupre et à la luxure en termes crus et obscènes et une odeur de vieille urine agressait les narines. Décidément, quel étrange lieu de rendez vous...
Je retournai au bar, payai ma consommation et savourai ma bière, laissant libre cours à mon imagination en observant les autres consommateurs présents. Tous mes scénarios échafaudés la veille s'écroulaient comme un château de carte : point de superbes filles en cuissardes ni de lieux aménagés, et je commençai à penser que cette histoire sentait le lapin à plein nez... Mais bon, rien de bien grave à priori, jallais finir tranquille ma bière et aviser du reste de la journée.
Je ne prêtai plus guère attention à la salle, ni au téléphone qui sonna, ni au barman qui prit lappel.
" Ya un problème ?
Non, on attend quelquun, mais tu peux finir ta bière."
Ce tutoiement ne me rassurait pas du tout. Et quand le barman sortit de sous le comptoir une pochette avec des photos, je crus défaillir : des photos de moi nu en couches, dautres où j'avais le plug entre les fesses,... Tous les hommes présents sétaient levés et se dirigeaient vers moi. Je commençai sérieusement à ne plus trouver la situation très drôle. Une main se posa sur mes fesses :
" Shouf, il porte vraiment une culotte de bébé !"
Des rires gras, des mains qui me tâtaient les fesses, les premières injures qui fusaient :
" Quelle salope !
Je suis sûr quil est trempé !
Je sens quon va bien samuser avec cette pute !"
La terreur me gagna petit à petit. Impossible de fuir ! Comment avais-je pu être aussi bête ? Jessayais de me dégager, mais ces hommes étaient trop forts et trop nombreux pour moi. Je me retrouvais vite fait torse nu avec mon pantalon sur les chevilles, entrainé vers les toilettes.
" Alors salope ? Tu es venu ? Tu as obéi à mes ordres ?"
Devant moi se tenait Maîtresse P, superbe sur ses talons, en tailleur strict ! Ma peur disparut, javais confiance en elle. Je tentais un timide « oui » et une baffe me coucha sur le sol froid et trempé.
" Cest : « oui Maîtresse ». Et pour eux, ce sera : « Monsieur ». Tu as saisi, sous-merde ? Et pour commencer, voici ce que tu mas écrit. Tu vas le lire à haute et intelligible voix."
Je pris le texte quelle me tendait et lus :
« Je suis une truie pisseuse, Maîtresse, et jaime être humilié et exhibé en public, servir de jouets sexuel aux hommes pour votre plaisir »
" Bien ! Je suis heureuse de te lentendre dire.
Sa voix se calma. Puis sadressant aux mâles :
" Comme je vous lavais promis, je vous offre une bonne petite pute pour vous satisfaire : servez-vous de sa bouche et de son cul à volonté, et sachez quelle aime autant le sperme que la pisse. Sa culotte doit normalement être trempée, je vais vérifier cela de suite, et son cul plugué."
Elle abaissa ma culotte plastique, découvrant mon lange mouillé et ma culotte de dentelle rose.
" Javais dit « trempée », sous-merde, pas humide ! On va tarranger cela tout de suite, nest ce pas, messieurs ? Ils vont te la remplir à tour de rôle et venir se faire nettoyer le sexe par ta bouche de pipeuse. À chacun deux, tu diras : « Merci, monsieur, de me traiter comme la salope que je suis ! "
Elle remonta sans ménagement ma culotte plastique et les hommes, les uns après les autres, vinrent se soulager dedans, la faisant se gonfler de leur mélange durine. Et à chaque fois, je devais nettoyer leur sexe pas toujours propre et répéter la même phrase humiliante.
" Te voilà en condition, salope ! On va pouvoir passer à la suite. Tu vas te mettre à quatre pattes, la figure dans lurinoir et bien écarter ta culotte que lon puisse voir que tu baignes dans la pisse et que tu es plugué, comme une bonne truie en chaleur."
J'obtempérai sans discuter, autant par peur des représailles que par le plaisir malsain de mavilir ainsi devant cette femme hautaine.
Des flashes crépitèrent ! Je me retournai pour protester, il navait jamais été question de photos. Mais un talon aiguille mobligea à replonger la figure dans lurinoir.
" Tu bouges pas, salope, ou ce talon pourrait bien te faire très mal ! Tu voulais servir de pute gratuite ? Être souillé et avili ? Maintenant, assume ta condition. Jusquà présent, je suis content de toi. Et si je veux prendre des photos, je le fais ! Compris ? Tu nas rien à dire à part : « Oui Maîtresse » ou « Merci Maîtresse ».
Le « Oui Maîtresse » ne fut quun glouglou inintelligible, ma bouche baignant dans la rigole odorante qui s'écoulait du trop-plein de ma culotte. Je me résignai, honteux mais heureux à la fois, lorsquune douche chaude marrosa le dos et la tête : Maitresse P. me pissait dessus, devant tout le monde, tout en continuant à prendre des clichés de la scène.
Puis elle retira sans ménagement le plug qui obstruait mes fesses, le jeta dans la flaque durine où je baignais, puis mordonna de le ramasser et de le sucer jusqu'à ce quil soit impeccablement propre.
Encore des flashes. Puis Maîtresse enleva son pieds de ma tête et annonça :
" Voila, messieurs, cette salope est à vous pour laprès-midi, amusez-vous bien mais ne me labimez pas."
Ce fut la ruée. Sous les injures, baignant dans lurine, des sexes de toutes dimensions forcèrent mon cul ouvert et ma bouche, déversant leur semence au fond de mes orifices, me traitant comme un simple objet de plaisir, durant un après-midi qui me semblait ne devoir jamais finir.
Enfin, je fus libéré. Comme une ultime humiliation, lun des hommes me dit :
" Tes vraiment une bonne salope bien soumise comme on les aime ici. Tu vas maintenant te rhabiller et bien sûr garder ta couche pisseuse, puis prendre un verre au bar, tu las bien mérité. Et ne pense même pas à te laver avant, le foutre séché et la pisse te vont très bien au teint."
Au bar, Maîtresse P. mattendait, tout sourire. Devant elle, un verre plein.
" Dorénavant, tu seras ma pute. Je suis fière de toi. À chaque convocation, tu viendras ici. Ahmed se fera un plaisir de faire savoir à ses amies et amis que tu nes quune pisseuse dont on peut user et r. Et cest ainsi que tu serviras en mattendant. Bien entendu, la tenue sera la même que cet après-midi, et interdiction den changer sans mon autorisation. Enfin, pour te remercier, je toffre ce verre : cest un ami SDF qui na pas pu venir, mais qui ta laissé un bon verre de pisse pour se faire pardonner. Tu vas le boire devant nous, puis tu pourras partir et trouver un endroit où te rincer. Tu pues la pisse comme cest pas permis. Ce sera d'ailleurs ton nom ici : « Pue-la-pisse », ça te va très bien."
Toute fierté totalement annihilée, je bus linfâme breuvage sous les railleries et le sourire conquérant de Maîtresse P. et quittai les lieux.
Totalement épuisé, vidé de toute volonté, souillé et avili, je me dirigeai, hébété, vers la gare, espérant pouvoir au moins me laver la figure avant de retourner chez moi, lorsquune voix se fit entendre derrière moi :
" Ho, man, tas pas un euro ou deux pour moi sil te plaît ?"
Un SDF venait vers moi, mendiant la pièce. Franchement, ce n'était pas vraiment le meilleur moment. Aussi je refusai poliment.
" Désolé, plus une seule pièce. Une autre fois !"
Que ne venais-je de dire. Lhomme devint plus agressif et me répondit en haussant la voix :
" Ho la salope ! Faut pas le prendre de si haut ! Tout le monde sait que tu portes une couche pisseuse et que tu tes fait enculer tout l'après-midi ! En plus, tu pues la pisse à 100 m et tu te la pètes ? Moi qui tai payé un verre il y a dix minutes à peine ?"
Il y avait du monde autour de nous, et deux ou trois personnes se retournèrent. Rouge de honte, je fouillai nerveusement mes poches et lui donnai les quelques piécettes qui y traînaient, espérant le calmer. Il me remercia et, tandis que je faisais déjà mine de men retourner, me rappela :
" Attends! Il y a ta Maîtresse qui ma dit de te redonner ton plug. Tu sais où il se range, parait-il..."
Il me jeta le plug au vu et au su de tout le monde et sesclaffa bruyamment. Je ramassai lobjet et courus vers la gare. Il me sembla encore entendre les rires de la foule dans le train qui me ramenait à la maison. Jamais je navais été autant humilié de ma vie. Mais une chose est sure : si Maîtresse P. me siffle, j'accourrai comme la petite chienne soumise quelle a fait de moi, pour son plus grand plaisir et ma plus grande honte.
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