L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 49)
L'Odyssée de la Belle Hélène Sur lîle de Lesbo
La Belle Hélène comprit de suite le pourquoi du comment de cette incroyable histoire si bien narrée par le brave bédouin ! En effet ce qui était arrivé au fils du roi Locros, à Cyparissos était tout simplement, dans lesprit dHélène, un nouveau défi pour elle-même que lui lançait son Epoux, le Divin Apollon. Mais quel défi ? Celui-ci avait donc intentionnellement dirigé ses pas vers ce lieu perdu au fin fond du désert. La Divinité lavait délibérément choisi pour venir en aide au roi Locros afin de rendre à son fils, son apparence humaine. Mais de quelle façon pourra-telle rendre à Cyparissos sa forme humaine ? Elle était bien incapable de le dire pour le moment... Le reste du trajet jusquà Lélèges se passa très bien. Le bédouin avait lair si fier, si heureux que le destin lui ait permis de rencontrer et de ramener auprès de son roi, Celle que celui-ci faisait tant rechercher dans toute la Grèce. Lentrée et la traversée de la ville, jusquau palais royal fut dun accueil spontané fort apprécié. En effet, durant le trajet le bédouin avait envoyé un émissaire rapide à cheval afin quil aille au plus vite annoncer la grande nouvelle de la proche arrivée de la Belle Hélène. Alors spontanément une foule immense se forma dans les rues jusquaux portes du palais du roi. Le bouche à oreille se répandit comme une trainée de poudre et ainsi quand la plus belle femme du monde arriva, les acclamations, applaudissements furent très chaleureux de tous côtés. Hélène était accueillie comme une reine. Il était difficile au bédouin, qui fièrement ouvrait le convoi, de se frayer un passage dans la grande rue centrale, tellement la foule sétait amassée
Les gardes débordés essayaient tant bien que mal à contenir cette foule en liesse. Cest donc sous dinnombrables ovations quHélène aperçut une immense et haute bâtisse au mur marbré comportant de nombreuses niches dans lesquelles des statues de divinités trônaient séparées par des hautes colonnes flanquées jusquau devant de lentrée principale du palais royale
Sur le perron de celui-ci, il y avait déjà beaucoup de gardes et un vieil homme dapparence frêle se tenait debout et avait lair de brûler dimpatience quil lui était difficile de tenir en place.
- Oh, Epouse du divin dieu Apollon, que votre présence ici soit bénie. Vous êtes La Reine de Troie, la plus belle des Reines parmi les Reines
La Volonté Divine a frappé jusquà ma noble famille royale
Je vais pleurer chaque jour au pied de ce cyprès, mon fils tant aimé. Seule vous, pouvez me le ramener selon Apollon que nous vénérons depuis toujours avec tant de dévotions.
- Oui, votre Excellence, votre marchand bédouin ma tout expliqué. Ce quil ne ma pas dit, cest ce quil ne sait pas et que seul, Vous Excellence, savez ! Quest-ce qua exigé exactement mon Divin Epoux ?
- Trois épreuves ! Le Divin Apollon ma assuré que vous ne risqueriez surtout pas de les refuser, afin de Le satisfaire pleinement. Que vous ne prendriez pas le risque de subir son courroux
Oui, trois épreuves que vous devez réussir et mon fils retrouvera son apparence humaine à lissue de la troisième épreuve
Si bien entendu vous les réussissez
- Ah ?.
- Le Divin Apollon ma précisé que je devais vous les dévoiler seulement une par une, cest-à-dire que vous saurez la suivante uniquement lorsque vous aurez réussi la précédente
- Ah ? Bien, si telle est la Volonté de mon Epoux, Apollon
Et donc la première épreuve, quelle est-elle ?
- Vous devez vous rendre, seule, dans lîle de Lesbo pour y rencontrer Ocypète, une des harpies. Elle est la fille de Thaumas et d'Électre. Cest une créature mi-oiseau, mi-femme qui actuellement est en relation amoureuse et passionnée avec Sapho. Apollon a précisé que vous devrez obéir à toutes les exigences dOcypète qui est au courant de votre future visite et vous attend. Si vous arrivez à contenter Ocypète, vous aurez réussi la première épreuve
Afin de ne pas vous faire revenir ici, pour prendre connaissance de la deuxième épreuve, voici un rouleau de papyrus fermé de mon sceau que vous ouvrirez uniquement après la première épreuve. Voici aussi un autre rouleau qui contient la troisième et donc que vous ouvrirez après la seconde épreuve
Ne perdez surtout pas ces deux rouleaux
Je vous en supplie, Ô Belle Hélène Vous êtes mon seul et unique espoir
Faites tout pour que mon fils me revienne
Conclut le roi sur un ton implorant
- Je ne me vois mal désobéir à mon Epoux Apollon et subir sa divine colère
Je nai donc pas le choix
Je vais partir au plus vite pour lîle de Lesbo. Pendant ces épreuves, fussent-elle réussites ?, et puisque je dois my rendre seule, je vous laisse en gage, mes deux esclaves Clytia et Endymion. Vous pouvez en user et r à volonté
- Oh Dame, ce nest plus de mon âge, je suis trop vieux pour des galipettes
Mais mes gardes sauront utiliser régulièrement vos deux esclaves
.
- Parfait !
Autre chose, lîle de Lesbo est très loin dici et je risque de mettre beaucoup de temps pour my rendre et
- Votre Divin Epoux a tout prévu. Vous allez pouvoir vous rendre sur lîle de Lesbo en quelques secondes.
- Quest-ce ? répliqua Hélène
- Apollon a fait apparaitre ce qui ressemble à un simple tapis, mais en réalité cest un tapis volant qui sanimera de lui-même, par magie divine, uniquement quand vous, et vous seule, y serez dessus. Vous naurez alors quà dire clairement où vous voulez aller et le tapis prendra son envol par cette large fenêtre ouverte
Visiblement le dieu Apollon avait pensé à tout. Une heure se passa où La Belle Hélène alla saluer ses deux esclaves leur ordonnant de satisfaire, pendant son absence, quiconque voudrait posséder leur orifices
Ensuite, elle rangea bien précautionneusement les deux rouleaux de papyrus dans un sac de peau de mouton en bandoulière, retourna saluer le roi puis sasseyant sur le tapis, elle prononça simplement
- Lîle de Lesbo
Sans bruit, le tapis se mit aussitôt à bouger et doucement se souleva jusquà la fenêtre puis à une vitesse fulgurante, il décolla allant à vive allure en direction des nuages pour très vite disparaitre de Lélèges sans pour autant faire tomber la Belle Hélène qui, à sa grande surprise, se sentit très solidaire du tapis, très stable comme collée à celui-ci par magie
Le tapis fonçait désormais droit devant traversant les hauts nuages de coton
Il ne fallut pas très longtemps, quelques minutes à peine, quand le tapis se mit à ralentir et entama une douce descente
Du haut de son tapis volant, Hélène aperçut alors une île grecque verdoyante aux falaises inaccessibles, à la forêt méditerranéenne fort épaisse. Au cur de cette touffue forêt, il y avait un vertigineux et haut pic rocheux surplombant lîle de Lesbo. A son sommet, trônait un énorme et vieux baobab qui se terminait par un large et long tronc tout en hauteur qui se détachait visiblement de sa base et devait être, à sa haute extrémité, le point le plus culminant de lîle.
- Je vois quApollon na quune promesse ! Il mavait promis quà cet instant précis, tu devais venir à Mes pattes acérées afin de contenter Mes Exigences
Apollon me doit une sorte de dette et il tient à honorer celle-ci en moffrant ce quil appelle sa petite humaine dépouse
Hélène comprit de suite quelle navait pas à négocier quoi que ce soit, quelle devait simplement satisfaire Apollon et donc satisfaire Ocypète.
- Je suis à votre disposition Ô Reine Ocypète
Faites de moi ce que vous voulez, je suis là pour ça
répondit Hélène
- Pose ton sac et ta tunique sur ton tapis volant et vient ainsi dénudée devant Moi
dit la femme-oiseau dun ton sec
Cest donc nue quHélène sapprocha dOcypète et se positionna devant la créature sans un mot. La harpie avait lair dadmirer, de ses yeux perçants, la parfaite silhouette de la belle Hélène
- Tu devras faire une chose très précise tout à lheure, afin de me contenter.
Mais avant, je vais profiter de toi
Hummmm ! Même ma belle Sapho aurait envie de ton corps si sublime à regarder car comment résister à la femme la plus belle de la race humaine
Hélène impressionnée, se sentit de suite dominée par la prestance de la créature et piteusement resta debout, tête baissée, joignant ses mains dans le dos retrouvant ses premiers et humbles instincts de soumise (lire Les douze servitudes de la Belle Hélène) ... Ocypète s'approcha un peu plus et la força, du bout de sa griffe, à redresser la tête afin de plonger son Regard aussi lumineux qu'intense dans les yeux vifs de dominance de la femme-oiseau. Celle-ci cracha sur le beau visage si fin. La harpie avait lair dapprécier la profonde humilité émanant de cette humaine. Hélène demeurait immobile, légèrement tremblante dans la douce fraîcheur de laltitude... Ocypète prenait plaisir à contempler ce sublime corps aux formes idéalement parfaites, ces hanches bien formées, ces cuisses lisses et fermes, cette croupe ronde, cette taille fine et ces seins lourds mais fermes également et aux tétons saillants. Hélène lui appartenait pour le moment, tel un cadeau du dieu Apollon quil fallait consommer. La main-patte dOcypète se posa sur les fesses dHélène mais pas dans un geste tendre, ni même érotique, simplement un geste de Propriétaire... Les grilles acérées étaient relevées en arrières et ainsi elles suffisaient à ne pas blesser la belle Hélène qui ne pouvait se détourner car un simple coup de ces griffes lui aurait été fatal. La paume de la main-patte caressait doucement le cul dHélène qui commençait à en être toute excitée... Ocypète s'approcha et colla son corps à celui dHélène, qui frémit... La femme-oiseau sentit l'onde de désir qui traversait le corps de sa proie... Elle passa son autre main-patte sur le ventre de la belle, dans une longue caresse qui se poursuivit plus bas... plus intimement... Quand tout un coup comme par magie, la patte et ses griffes se transformèrent en un clin dil en une main humaine avec cinq magnifiques doigts longs et fins. Alors les doigts de La Maîtresse-oiseau s'immisçaient lentement mais inflexiblement entre les chairs humides de l'esclave qui tremblait encore, non plus de crainte ou de froid, mais du plus puissant désir ! La harpie avait saisi les seins dHélène et les pétrissait avec passion, pinçant un téton avec rudesse, elle ramena son autre main dans l'antre humide de la soumise, ce triangle de chair frémissante entre les cuisses qui eut un frisson empli de désirs
Hélène n'était plus qu'une chose ondulante au gré des caresses dOcypète qui ne négligeait aucune parcelle de ce corps offert à Son désir. Sans cesser de peloter ce corps palpitant, la femme-oiseau le coucha et l'appuya contre le large haut du tronc, pouvant ainsi tout à loisir explorer le corps de la Belle qui lui ouvrait la moindre de ses voies... Les doigts fins dOcypète glissaient, investissaient, exploraient... nul orifice qui échappât à ces investigations aussi intimes que poussées. Déjà brûlante de désir à ces mains caressantes, Hélène s'enflammait maintenant sans plus aucune retenue sous les attouchements tendres ou appuyés de sa Maîtresse du moment. Les fouilles intimes de la harpie étaient si savamment intenses, si pressantes ! La plus belle femme du monde mouillait abondamment, inondant la main de La dominatrice, tandis que son cul malléable s'ouvrait sous la pression des doigts longs et fins... Hélène gémissait doucement, sa poitrine se soulevant au rythme de son souffle saccadé... L'écorce rigide et râpeuse du tronc marquait cruellement la peau tendre et fine de son dos. Puis Ocypète fit retourner son esclave, les seins, et le ventre contre le haut du tronc géant, tandis que la femme-oiseau poussait sans ménagement dans le bas de son dos, dans le cul de la Belle, poussant ses mains au-delà de tout retranchement. Lentement Hélène se laissait faire, jusqu'à en écarter largement les cuisses... Ocypète, plaçant ses mains de chaque côté de son visage, lui fit comprendre qu'elle devait maintenant se relever pour être à genoux, face à sa Maîtresse... Celle-ci ne tarda pas à presser ses mains sur la nuque lisse de l'esclave, la forçant à enfouir son visage entre les cuisses... Hélène se laissait diriger avec délices, désireuse de combler l'attente de la créature. Pointant sa petite langue aussi humide que gourmande, l'esclave commença à goûter aux sucs intimes de la harpie... Elle la léchait avec passion, dans un abandon total, inondée de désir comme du plaisir qui s'écoulait sur son visage... Se cambrant et restant ainsi un long moment savourant tous les plaisirs dexcitation quand soudain, Ocypète jouissait de cette douce caresse buccale, toute simple, si naturelle, offrande passionnée d'une esclave qui n'attendait rien d'autre, n'aspirait à rien sinon au plaisir de La divine créature
Ocypète fit de nouveau allonger Hélène, venant s'asseoir au-dessus d'elle, chevauchant son visage. La dominatrice ne se lassait pas du plaisir qu'elle prenait ainsi, le visage de son esclave entouré de ses cuisses, enfoui dans son intimité chaude et humide... Elle frotta longuement son sexe contre ce visage, cette bouche de lesclave, puis elle jouit une nouvelle fois et demeura un long moment ainsi, immobile, assise sur le visage dHélène dont le sublime corps gisait derrière elle, les jambes tremblantes, le sexe inondé mais inassouvi... Immobile, Hélène releva les yeux et regarda la nuit, ce ciel noir dencre, parsemé d'étoiles brillantes, elle laissait la brise légère envelopper son corps nu... Elle humait le parfum de cette brise et de sexe mêlés, loin de toutes les manigances des hommes
mais pas du dieu Apollon ! En effet, Celui-ci qui lavait offerte, elle, Hélène, son épouse mortelle, pour des plaisirs saphiques lesquels Ocypète ne se lassaient visiblement pas... Et pourtant, il lui semblait quau zénith de ce sombre firmament de cette douce nuit étoilée, juste au-dessus de sa tête, une magnifique étoile brillait plus que les autres, une étoile qui lui paraissait plus grosse, plus proche, plus présente et cest à ce moment-là, quelle ressentit un puissant sentiment dêtre observée, surveillée mais aussi protégée par cet astre lumineux qui lui laissait cette nette impression quelle était en la présence Divine du dieu Apollon ? Pour la Belle Hélène, aucun doute là-dessus ! Et cest ainsi, apaisée, sereine sur sa propre destiné, se sentant plus que jamais rassurée, quelle baissa la tête en guise dhumilité sous le regard, sans aucun doute, de la divinité étoilée
Sur elle, Ocypète ne bougeait pas... Le visage inondé du plaisir de sa Maîtresse, Hélène s'abreuvait à cette inépuisable source. Elle ne sentait pas la griffure des écorces dans son dos, mais entre ses cuisses vibrait une onde de désir ininterrompue, tant son corps avait été sollicité, excité, manipulé sans qu'elle neut jamais pu assouvir ce qui enflammait sa plus profonde intimité
Au bout dun moment Ocypète se leva et fit asseoir la Belle Hélène, la femme-oiseau se mit sur ses quatre pattes, qui avaient retrouvé leurs grilles, à ses côtés et lembrassait avec volupté
(A suivre
)
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