Vacances Sur La Côte.

L’été dernier, ma femme Lucie et moi avons enfin réussi à poser nos congés en même temps.
Nous avons décidé de passer nos vacances sur la côte, dans un petit camping situé à 800m de la plage : le rêve !

Comme le petit mobil home que nous occupons est assez exigüe, nous y passons très peu de temps, préférant nous dorer au soleil aussi souvent que possible.

Ce jour là, notre repas terminé, nous enfilons rapidement nos maillots de bain, prenons nos serviettes et quelques affaires puis nous dirigeons à pieds vers la plage.

Nous ne croisons quasiment personne durant le trajet. Il faut dire qu’à cette heure de l’après midi, le soleil tape très fort et il faut être courageux ou fou comme nous pour y aller maintenant ! Nous en avons la confirmation en arrivant devant cet étendu de sable fin totalement désert.

« Nous ferions mieux de trouver un coin ombragé ou on est bon pour une insolation, non ? » dis-je
- ouais, tu as raison, surtout qu’on n’a même pas amené de parasol …
- Regarde, sous ces arbres nous serons à l’abri.

Nous faisons quelques mètres sur notre droite et trouvons un endroit abrité du soleil et des regards par la végétation. Nos serviettes étalées, je propose à Lucie de lui passer de la crème solaire pour protéger sa délicate peau des coups de soleils.

«Ok chéri, mais laisse moi enlever ce maillot qui risque de faire de vilaines traces sur mon bronzage. » dit-elle.

Elle prend un malin plaisir à enlever sensuellement ce petit tissu qui recouvrait ses parties intimes, et s’allonge sur le ventre. J’applique quelques goutes de la lotion et je masse délicatement toutes les parties de son corps qui sont exposées, en prenant un soin particulier sur ses fesses. Mon pouce se glisse doucement vers son petit trou où j’entre sans difficulté une phalange.

« hummm, c’est bon, tu m’excites terriblement, continu s’il te plait.» murmure-t-elle.



J’enduis mon doigt de crème et je continu mes caresses anales jusqu’à entrer entièrement.
Je pratique des mouvements circulaires à l’intérieur de son cul, enlève et replonge mon doigt, ses fesses ondulent en rythme avec mes gestes.

« Hummm ouiii, comme ça, ouiiii, vas – y ! » dit-elle.
- Tu es sûre que tu ne veux pas que je te mette de la crème devant ? Demandé-je.

Sur ces mots, elle se retourne lentement et croise ses mains derrière sa tête, me laissant libre de faire ce que je veux de son corps. Je fais couler un filet de produit sur sa poitrine plantureuse et je caresse ses seins sur toute leur surface, jouant du bout des doigts avec ses tétons bandés par l’excitation.

Après de longues secondes, je descends sur son ventre, son mont de venus, attarde mes caresses sur son clitoris et sa vulve bouillante d’envie. Elle halète, frétille et me supplie de continuer. Ses jambes ouvertes, je plonge un, puis deux doigts dans son sexe humide et prêt à me recevoir. Les mouvements lents et réguliers font, peu à peu, place à de plus amples va et vient, un troisième puis un quatrième doigt rejoignant les deux autres. Elle hurle de plaisir, passe par des phases d’apnée, redressant sa tête puis la basculant violemment en arrière, caressant ses seins avec fougue. Je verse une bonne quantité de crème sur l’entrée de sa vulve, replie mes doigts sur eux-mêmes, englobant le pouce et je la pénètre de ma main entière.

Elle suffoque, gémie, att mon avant bras pour me pousser plus au fond encore, plus vite, elle perd tout contrôle de son corps. Puis, dans un hurlement extrêmement fort, ma main est subitement expulsée par un jet puissant de cyprine qui coule interminablement de son con. Alors qu’elle se recroqueville sur elle-même et essaye de se remettre de ses émotions, un mouvement attire mon regard derrière un buisson.

Je me lève, fais quelques pas vers ce qui a attiré ma curiosité et je tombe nez à nez avec une dizaine d’hommes, bites à la main, visiblement en train de se branler en regardant ce que nous étions en train de faire Lucie et moi.


« On peut savoir ce que vous faites ? » dis-je aux curieux.

- Ben, on profite du spectacle mec ! Si tu ne veux pas qu’on te voit, fait ça chez toi ! La plage est à tout le monde ! Me répondit un des hommes.

Dans un sens il n’a pas tout à fait tord, et je reste là à ne pas savoir quoi lui répondre.

«En tout cas, elle m’a l’air d’une bonne salope ta copine ! Si elle a besoin de bites pour la rassasier, on veut bien se dévouer ! ahahahahah » Dit un autre.

Devant cette vulgarité, je sens la colère monter et je décide de plier bagage. Je me dirige vers Lucie.

« Viens, rhabille toi, on y va ! » lui lancé-je.

Elle ne comprend pas ce qu’il m’arrive.

- Qu’est ce qu’il se passe? Tu ne veux pas que je m’occupe de toi à mon tour ? dit-elle.

- Dépêche toi, on y va, ne discute pas !

Et nous voilà repartis vers notre minuscule mobil home. Une fois arrivés, je lui explique ce qu’il venait de se passer, le comportement de ces voyeurs ayant provoqué ma vive réaction.

«Ce n’est pas bien grave.» dit-elle, «Après tout, ils se font du bien en me voyant jouir, il n’y a rien de malsain !»

- ah ouais ??? Et bien moi ça me met hors de moi ! Répondis-je

Ce soir là, nous avons mangé rapidement sans un mot et chacun s’est endormi de son côté du lit. Au beau milieu de la nuit, n’arrivant plus à dormir, je décide d’aller faire un tour et de prendre l’air.

Sur mon chemin je croise et reconnais un des voyeurs de la veille.
Visiblement, ce n’est pas le plus mauvais bougre de la bande et je décide d’engager la conversation.

«Hey toi, euh excuse-moi, tu étais bien à la plage hier, non ? »

- Bonsoir monsieur. Euh oui, effectivement, mais …
Je lui coupe la parole :
- Je me fous de ce que tu as à dire, c’est toi qui va m’écouter ! J’admets qu’on ait fait ce qu’on a fait dans un lieu public, j’admets que vous puissiez y prendre un certain plaisir à nous regarder.
Mais la façon qu’ont eut tes deux copains là …
- Ce ne sont pas mes copains, je ne les connais pas moi. Vous savez, votre femme hurlais tellement que tout le monde sur la plage l’entendait. Et plus on approchait, plus on se rendait compte qu’elle n’était pas en détresse. Je pense que devant ce spectacle, vous aussi vous vous seriez masturbé tellement elle était excitante.
- Je préfère ta franchise et ta façon de parler. Merci. Effectivement, vu sous cet angle, je comprends mieux. Pourtant la plage était vide quand nous sommes arrivés, je ne comprends pas ?!
- Le match de rugby se terminait à 15h00, on a certainement dû tous arriver après avoir coupé le poste…

Tout devenait plus clair … Pour me faire pardonner, je propose à ce bougre d’aller boire une bière au bar du camping et l’invite à diner le lendemain midi à notre mobil home car il a l’air bien sympathique.

Le lendemain matin, au réveil, Lucie me fait toujours la tronche. Je lui annonce l’arrivée de notre invité vers midi et je n’ai que pour réponse :

« Tu n’as qu’à faire la bouffe toi-même ! Je vais me doucher. »

Paul, mon invité, arrive un peu plus tôt que prévu et je lui propose une boisson. Nous sommes attablés quand Lucie revient de la douche. Le mobil home est si petit qu’elle est e de s’habiller devant nous. (Elle n’est pas pudique)

Paul détourne le regard gêné et je lui lance en riant :

« Et bien pour un voyeur, tu es bien intimidé devant le corps d’une femme ! ahahah »

Lucie se rapproche de la table et intervient :

« Bonjour jeune homme, alors le spectacle d’hier vous a plu ? Vous n’êtes pas du tout comme mon mari vous avait décrit, vous êtes même très charmant ! »

Et elle se penche sur lui pour lui déposer un baiser sur la joue

Paul rougit. Pour le rassurer je lui explique :

« Tu sais Paul, nous sommes un couple très libéré, ne soit pas gêné si Lucie se montre entreprenante, ok ? »

- ah ? ok ok répondit-il intimidé.

- Lucie chérie, occupe toi de notre invité, il n’a pas l’air rassuré.

Et Lucie s’approche, fait tomber la serviette qui masquait sa poitrine, pose ses seins sur le nez de Paul, lui caresse les cheveux et lui att les couilles pour les masser.

Je commente par un « Tu vois ? » et je rajoute « Lucie, tu ne vas pas le laisser dans cet état, suce le donc, ça va le décoincer ! »

Elle s’exécute sans se forcer, Paul étant un beau jeune homme assez bien bâtit.
Sa bouche parcoure toute la bite raidie par les provocations que ma femme vient de lui faire.
Elle lèche ses couilles, passe sa langue délicatement sur le pourtour de son gland, le branlant avec fermeté entre deux gorges profondes. Paul ne tarde pas à jouir dans sa bouche et sur ses seins.

Je lui donne une tape amicale dans le dos et lui dit :

«Ca va mieux, tu es décoincé maintenant ? ahahah »

Il a l’air comblé mais très gêné. Lucie se relève, et nous dit en souriant :
« Bon, je crois que je suis bonne pour une nouvelle douche … Ca t’as plu Paul? »
- euh, oui madame, c’était très bon … Merci …
- Madame ??? Qu’il est mignon… Appelle-moi Lucie mon chou ! A tout de suite les gars !

Pendant qu’elle est sortie je demande à Paul si il serait partant pour nous accompagner à la plage cet après midi ; après tout, il est de la région et doit connaitre des endroits plus … tranquilles. Il accepte (le contraire m’aurait étonné) et nous passons le repas ensemble dans la bonne humeur.

Paul ne quitte pas des yeux ma femme et j’imagine que la pipe de tout à l’heure lui a donné l’espoir de pouvoir la baiser assez rapidement. Nous débarrassons la table et nous nous préparons tous les trois à aller sur la plage.

Une fois arrivés sur le sable, Paul nous dirige vers un endroit très peu fréquenté. Nous nous allongeons sur nos serviettes respectives et profitons de ce calme pour faire une sieste sous ce soleil radieux.

Alors que je dors profondément, mon sommeil est perturbé par des murmures et de légers gémissements. Je fais mine de dormir et entrouvre un œil discrètement. Je trouve Paul, qui n’a visiblement plus envi de se reposer, la tête entre les cuisses de ma femme en train de lui pratiquer un cunnilingus qui a l’air de bien satisfaire ma Lucie. Je profite du spectacle sans dire un mot pour ne pas les déranger et je caresse mon pénis lentement pour ne pas me faire surprendre.

Après quelques minutes et n’en pouvant plus, je décide de me lever et d’aller me plonger quelques instants dans l’eau quand Lucie me dit :

« Tu ne dors plus mon amour ? »
- Je ne dors plus depuis un moment, je vais juste me mouiller un peu, vous venez avec moi ? répondis-je en souriant.
- Euh, non merci mon chéri, je pense que nous allons rester bronzer avec Paul... Ca ne te dérange pas au moins ?
- Pas du tout ! Amusez-vous bien !

Je lui lance un clin d’œil et me dirige vers l’eau. De loin je peux les apercevoir s’embrasser et se prodiguer des caresses interminables. Le reste de l’après midi devrait être chaud !
Je plonge dans une vague et me relève quand je distingue deux silhouettes s’approcher d’eux.
Paul se dresse debout et semble discuter avec les deux hommes. Curieux, je décide d’aller voir de plus près ce qu’il se passe là bas.

« Je vous présente mes deux meilleurs amis Sébastien et Jérémy. » dit Paul.
- Enchanté, vous êtes de la région aussi ?
- oui, j’ai la chance de posséder une très belle villa sur la côte à deux pas d’ici. » me dit Jérémy en me souriant.

Après quelques minutes à faire connaissance, il nous propose d’aller boire un verre chez lui.
Nous ramassons nos affaires et nous voilà en route.

Sa villa est effectivement très belle et dispose d’une gigantesque piscine entourée par des palmiers et des plantes tropicales. C’est un cadre Idyllique.

«Mettez-vous à l’aise, je vais chercher quelques boissons» nous dit-il.

Nous nous installons sur les transats et bavardons en attendant nos verres.
Paul a du mal à cacher sa bite encore raidie par l’excitation que Lucie lui procure depuis tout à l’heure. Sébastien le lui fait remarquer en riant et il ne sait plus où se mettre.
Pour détendre l’atmosphère, je prends la parole :

« Je pense que vous avez interrompu ce cher Paul et ma femme en pleine action, mettez-vous à sa place ! »

Les deux nouveaux restent sans voix, et pour les décoincer, je demande à Lucie qui admire la végétation de s’approcher de nous. Je l’embrasse tendrement, passe derrière elle, fais tomber la serviette qui lui sert de pagne et je m’empare de sa généreuse poitrine que je caresse fermement face à nos hôtes. Devant nous les trois hommes restent bouche bée.

«Vous avez l’intention de rester planté là les gars ? N’ayez pas peur, je connais bien ma femme et elle doit avoir une terriblement envie de se faire baiser. N’est ce pas ma chérie ? » Dis-je en souriant.

- humm, trois beaux mecs pour moi toute seule, j’en mouille déjà ! confirme-t-elle en caressant son clitoris sensuellement.

Nos trois amis ne se font pas prier plus longtemps, s’avancent rapidement vers elle et lui caressent tout le corps.

Je m’installe dans un transat et savoure la scène en dégustant ma boisson. Paul s’accroupi la queue à la main, la langue jouant avec le clito de Lucie pendant que Jérémy et Sébastien lui pelotent les seins et s’occupent de ses tétons tout en lui massant les fesses. Quel plaisir de voir ma femme s’abandonner à ces trois hommes devant moi !

Elle se met alors à genoux sur sa serviette et leur fait signe de se placer autour d’elle. Elle ouvre la bouche, enrobe délicatement la bite qui se présente fièrement face à elle pendant qu’elle branle les deux autres et tourne régulièrement pour savourer les trois queues bien raides à tour de rôle. A entendre leurs râles et leurs souffles, ils ont l’air de bien apprécier ce traitement ! Lucie est une experte de la fellation et je ne doute pas qu’elle doit leur procurer beaucoup de plaisir.

Elle se relève et me rejoint sur le transat, se penche sur moi et tout en m’embrassant elle écarte ses fesses de ses mains pour dévoiler ses trous à nos trois amis qui comprennent rapidement ce qu’elle attend d’eux. Je suis terriblement excité par la situation et je me branle avec entrain en attendant la suite …

Jérémy plonge alors son nez dans le cul de Lucie et lèche ses orifices pour bien les préparer, Paul et Sébastien continuent de se faire sucer en alternance juste au dessus de moi. Je peux sentir le souffle de Lucie s’accélérer et je me régale de voir sa bouche faire des allers-retours incessants sur leurs membres raides.

«C’est bon ma chérie ?» lui demandé-je

- humm oh oui, Jérémy fait ça très bien et je ne me lasse pas de sucer leurs bonnes bites, c’est trop bon !

Ne pouvant se retenir plus longtemps devant ces deux trous accueillants, Jérémy se redresse soudainement, agrippe fermement la taille de ma femme et pénètre son vagin dégoulinant de cyprine. Surprise, elle pousse un cri de plaisir et alors qu’il entame des mouvements de bassin toujours plus rapides qui la rendent folle, elle croise mon regard avec un air malicieux qui me fait comprendre qu’elle prend son pied de se faire baiser de la sorte par cet inconnu.

« Toi t’es une bonne salope, un véritable garage à bites ! » lance Jérémy tout en s’enfonçant toujours plus profondément dans le vagin de ma Lucie.

« Oh oui, oui, oui, je suis votre chienne, plus vite, plus fort, ouiiiiiii » répondit-elle.

J’éprouve une extrême excitation de voir ma femme s’occuper de tout ces hommes et la façon dont ils lui rendent la pareille. Paul halète et Lucie, qui a bien compris qu’il était sur le point d’exploser dans sa bouche, lui prodigue de généreuses gorges profondes jusqu’à ce qu’il pousse un gros râle de plaisir intense et lui déverse toute sa semence qu’elle avale avec délectation. Elle tente de lécher le bâton de chair (pour ne perdre aucune goute) avec beaucoup de difficulté tant les coups de bites violents de Jérémy la font bouger dans tous les sens.

Je décide de me relever pour prendre la place de Paul et tout le monde se relève pour me permettre de profiter à mon tour des caresses expertes de ma Lucie. A présent, Jérémy s’allonge sur le transat, ma femme se place sur lui à califourchon, Sébastien et moi de chaque côté lui présentant nos queues à l’entrer de sa bouche. C’est elle qui impose son rythme, elle mène le jeu. Paul, qui reprend des forces, s’agenouille entre les jambes de Jérémy derrière elle, et lui lèche l’entrée de son anus tout en lui glissant une ou deux phalanges.

« hummm continu, j’ai envie de me faire prendre le cul et sentir vos bites me remplir tous les trous en même temps! » s’exclama-t-elle.

Sébastien me regarde comme pour me demander l’autorisation.

« Qu’est ce que tu attends ? Vas-y ! » Lancé-je.

Il ne se fait pas prier et prends place à l’entrée de son petit trou bien lubrifié par son pote.
Paul qui s’est écarté, se rapproche de Lucie par côté, se penche sur elle et tout en embrassant son dos très sensuellement, il glisse une main sous elle et lui caresse les seins. Alors que la bite de Sébastien s’enfonce doucement dans son cul, Lucie semble crispée et je comprends à son expression faciale qu’elle anticipe le moment où il la pénètrera totalement. Il prend son temps, fait ça avec une certaine douceur et c’est dans un soupir de plaisir que Lucie nous fait comprendre que nous pouvons tous nous remettre en branle.

« OOOhhh ouiiiiiiiiii, je vous sens bien, c’est bon ! Ouiiii Ouiii Baisez-moi ! Ouiiiiii ! » Hurle-t-elle.

Sa tête bouge dans tous les sens, son souffle est rapide et ses gémissements de plus en plus audibles. Tout son corps frissonne de plaisir et je dois avouer que j’ai du mal à ne pas jouir rien que de la regarder prendre son pied. Je contourne tout le groupe et me place à genoux deux mètres derrière eux. De là je peux voir les deux queues entrer et sortir des orifices de ma femme et cette image me surexcite. Paul paraît être dans le même état que moi et il se dresse devant elle, debout sur le transat, s’empare de sa tête et dirige sa bouche sur sa bite en accompagnant son geste à grands coups de reins.

« Suce moi salope, tu m’excites trop, je vais te baiser la bouche ! » prévient-il.

Elle ne rechigne pas la tache et secouée dans tous les sens on peut entendre ses cris de plaisirs à peine étouffés par l’organe qui encombre sa gorge.

C’est alors que Sébastien soudain se retire de son cul pour décharger son foutre sur le dos de Lucie dans un râle rauque et profond. Paul ne tarde pas également à lui envoyer de grosses giclées de sperme chaud au visage.

Jérémy, qui semble au bord de l’orgasme, la soulève et la dépose le dos sur le transat, se place debout à son côté et se branle la queue au dessus de ma femme. Je me place face à lui, de l’autre côté et je fais de même. Lucie se caresse les seins en réclamant notre jus sur son corps. Nous éjaculons simultanément une impressionnante quantité de semence qui recouvre presque totalement la poitrine pourtant très généreuse de ma femme. Elle soupire de bonheur, les yeux fermés et un sourire d’apaisement démontre que nous l’avons satisfaite.

Jérémy nous propose d’aller nous débarbouiller et nous dirige vers sa salle de bain. Une magnifique pièce, assez grande, qui comprend une baignoire immense, une douche à jets multiples pouvant bien contenir trois personnes et une double vasque reposée sur un meuble en bois exotique. Lucie décide de se faire couler un bain, alors que je préfère me doucher rapidement. Une fois terminé, je dépose un baiser sur le front de ma douce qui savoure la détente que l’eau chaude lui procure.

« Je te laisse mon cœur, je vais rejoindre nos hôtes pour voir si ils ont besoin de mon aide pour le repas » lui dis-je.
- Ok, je préfère me détendre encore un peu si ça ne dérange pas. Me répondit-elle.

Je me dirige vers le salon et je trouve mes nouveaux amis avachis dans les canapés, un verre à la main.

« C’est l’heure de l’apéro on dirait ? » dis-je
- ouais, après l’effort, le réconfort ! me dit Jéremy en ricanant, « tu veux boire quelque chose ? »
- avec plaisir ! Une bière me conviendrait parfaitement !

Jérémy se lève, se rend dans sa cuisine, revient et me tend une bonne bière bien fraiche que je déguste.

Paul m’interpelle au sujet de Lucie, il s’inquiète de ne pas la voir arriver. Je le rassure en lui disant qu’elle va surement arriver assez vite. Nous continuons à discuter tous les quatre sur nos exploits sexuels réalisés plus tôt. Je peux deviner que cela a juste éveillé leur appétit …

Au bout de quelques verres, je m’aperçois que Paul a disparu de la pièce et je cherche du regard où a-t-il bien pu passer. Pris par la conversation, je n’y prête plus attention jusqu’à ce que Jéremy annonce qu’il va se mettre au fourneau. Ces bières m’ont rendu légèrement ivre et m’ont surtout rempli la vessie.
« Je peux emprunter tes toilettes Jéremy ? » demandé-je
- oui, oui pas de soucis, c’est la porte juste à côté de la salle de bain ! me dit-il

Je progresse dans le couloir et n’ai pas de mal à trouver l’endroit. Une fois soulagé, je me rends naturellement vers la salle de bain pour me laver les mains et presser Lucie de ne pas faire attendre nos camarades d’avantage.

Quelle fut ma surprise, en entrebâillant la porte, de trouver ma femme le torse plaqué contre une des vasques, jambes écartées, Paul positionné derrière elle, agrippé à ses hanches, en train de la baiser sauvagement. Je referme doucement la porte en laissant à peine de quoi voir sans être vu et je profite de cette scène qui m’excite comme un dingue. Je sors ma queue du maillot qui la protégeait et je me branle au rythme des va-et-vient de Paul.

Brusquement, Paul, accélère, ses râles se font plus puissants, et il étouffe à peine ces mots :
« J’vais jouir, j’vais jouir, oh oui, j’vais jouir ! »
Lucie se redresse alors, se retourne et se met à genoux face à lui. Elle s’empare de ses fesses pour l’attirer vers elle, et engouffre la bite de Paul dans sa bouche, sa tête en mouvement imitant la cadence de son amant. Paul ne tarde pas à se vider les couilles au fond de sa gorge en lui caressant les cheveux. Je jouis à mon tour dans ma main et je suis un peu sonné quand je réalise qu’il faut que je m’éclipse rapidement.

Je me cache dans les toilettes en attendant que la voie soit libre. J’entends, au travers de la porte, Paul marmonner quelques mots chuchotés, ce à quoi Lucie lui répond par un ricanement discret. Puis il sort de la salle de bain et tente d’actionner la poignée de la porte des toilettes.
« Occupé ! » lancé-je
Il passe son chemin.

Je m’extrais de ma cachette pour aller rejoindre ma femme qui fait comme si rien ne s’était passé et se brosse les dents.
« Alors ce bain t’a fait du bien ? »
- oh oui, c’était délicieux, très relaxant. Tu viens ?
- je me lave les mains et j’arrive.

Puis elle quitte la pièce mine de rien.

Jusque là, je pensais que nous étions sur la même longueur d’onde, à savoir que cela nous excite que d’autres hommes puissent participer à nos ébats. Je ne savais pas que de son côté, ma Lucie, me faisait cocu et servait de videuse de couilles dès qu’elle en a l’occasion. Cette nouvelle découverte me surexcite d’avantage qu’elle ne me peine.

Je reviens donc au salon avec les autres, m’assois sur un fauteuil isolé et commence à boire de l’alcool un peu plus fort. Jérémy cuisine, les deux autres rigolent avec ma femme qui semble détendue et très aguicheuse. Il faut dire qu’elle est toujours dans une tenue assez légère puisque nous n’avons pas eut le temps de repasser au mobil home pour récupérer quelques affaires. J’interpelle d’ailleurs Paul à ce sujet :

« Dis moi Paul, est ce que ça te dérangerait de me conduire au camping pour que je puisse prendre de quoi nous changer ? »
- Avec plaisir, c’est vrai qu’il va commencer à faire froid avec la nuit qui tombe. Dit-il
- Je viens avec toi, s’exclama Lucie, j’ai des trucs de fille à prendre et tu ne sauras pas où c’est rangé !

D’un hochement de tête, je valide cette remarque qui cache sans doute une autre raison moins avouable pour Lucie et je dis :

« Ok Paul, je te donne mon numéro de tel, on sait jamais, faites bien attention »

Les voilà partis seuls en direction du camping qui se trouve à une dizaine de minutes d’ici. Je regarde l’heure, il est 21h00. En théorie ils devraient être revenus vers 21h30/21h45 grand max. Je me ressers verres après verres du whisky pour essayer de masquer mon stress né de les savoir en train de baiser dans mon lit sans mon accord.

Le paysage autour de moi commence à tourner sévèrement et je demande à Jérémy si je peux aller m’allonger quelques instants. Aussitôt couché et seul dans la chambre et malgré mon ivresse, je ne peux m’empêcher de me branler en imaginant Paul et Lucie dans des positions érotico-pornographiques. Puis je m’endors sans même m’en rendre compte.

Soudain, une musique familière m’arrache de mon sommeil. C’est la mélodie de mon téléphone ! Je regarde l’heure, il est 3h00 du matin et la personne au bout du fil est à peine audible tant elle est entourée de vacarme.

« Paul, c’est toi ? Où êtes vous ? » questionné-je inquiet
- oui c’est moi, Paul ? ne t’inquiète pas, on est tous partis en boite de nuit, on a essayé de te réveiller mais tu nous as envoyé chier. C’est Lucie qui m’a demandé de t’appeler pour savoir si ça ne te dérangeait pas qu’elle s’amuse un peu …
- s’amuser un peu ? non ça ne me dérange pas, mai qu’elle se protège quand même !
- pas de soucis, j’ai ce qu’il faut, t’es vraiment un gars cool toi, sympa !

Et il raccroche.

J’essaye d’appeler sur le téléphone de Lucie. Pas de réponse.

J’avoue que là, je commence sérieusement à ressentir de la colère et à tourner en rond comme un lion en cage pendant une bonne partie de la nuit ne sachant où ils se trouvent.

6h00 du matin, alors que je les attends de pied ferme, j’entends une voiture approcher au loin. Je comme juste à l’apercevoir quand je me rends compte qu’un deuxième véhicule la suit.

Paul, Sébastien et Jérémy descende de la première et à l’instant où j’allais leur demander où était Lucie, je la vois descendre de l’autre voiture, à moitié nue, des mains baladeuses sur son cul. Au bout de ces mains, un beau black, le caleçon sur les chevilles, un chibre démesuré raide comme un i. Trois autres du même genre descendent à leurs tours.

« Mais c’est quoi ce délire encore ? » m’exclamé-je

Lucie, visiblement ivre, me répond qu’elle avait l’autorisation de s’amuser, alors elle ne s’est pas privée.

« ok, mais pourquoi tu les ramènes ici ? Tu n’es pas chez toi, Jérémy n’a peut être pas envie de ramener tous les inconnus que tu rencontres ! » dis-je sur un ton agacé.
- Hey, lâche-moi un peu, je suis en vacances et je fais ce que je veux ! Et puis Jérémy était d’accord, n’est ce pas Jérémy ? demanda-t-elle en se tournant vers lui.
- Oui,oui, tu sais moi, plus on est de fous … dit-il

Et à peine la conversation terminée, elle s’accroupit pour se mettre à la hauteur des queues de ses nouveaux camarades de jeu et commence à les sucer avidement chacun leur tour et parfois deux à deux.

« Elle était déchainée ... , m’avoue Paul mal à l’aise. Elle a passé la nuit à les chauffer, on s’est même fait virer de la boite parce qu’elle voulait les sucer sur la piste de danse … Ils nous ont suivis dehors et elle leur a promis qu’elle allait s’occuper d’eux dans la voiture. C’est là que Jérémy les a invité à nous suivre pour que tu puisses au moins participer … »

Je sais que la consommation d’alcool chez Lucie inhibe sa timidité mais je ne pensais pas à ce point !

Le groupe est à présent invité à passer à l’intérieur de la villa. Lucie s’installe sur un des canapés et se débarrasse du peu de vêtements qu’elle porte encore.
Les quatre blacks s’approchent d’elle et l’encerclent, en lui présentant leurs larges et longues queues qu’ils tiennent à la main.

Elle sourie et prend un air coquin, elle fait signe à l’un d’eux de s’approcher puis s’empare de sa bite à deux mains pour la guider jusqu’à sa bouche.
Elle s’attarde un moment sur son gland et donne de grands coups de langue le long de ce membre hors norme, puis l’enfonce au plus profond de sa gorge tandis que l’homme lui saisi la tête pour guider ses mouvements.

Un deuxième lui att la main et l’invite à le branler tout en lui caressant les seins.
Elle alterne à présent des fellations profondes en passant de l’un à l’autre alors qu’un troisième se place à ses pieds et commence à lui lécher les orifices et joue de sa langue sur son clito. Ses gémissements sont à peine étouffés par les sexes qui encombrent sa bouche.

« Tu sembles apprécier mon cœur ? » lui dis-je alors que j’éprouve une impressionnante excitation de voir son visage déformé par ces colossales bites.
« hum hum » me répond-elle, que je prends pour une affirmation.

Elle se penche en arrière à présent et s’allonge sur le dos, les fesses au bord du canapé. Celui qui lui léchait le minou se relève et lui présente la queue à l’entrée de l’orifice trempé par l’envie de se faire baiser comme une chienne.

Il prend son temps pour enfoncer son imposant chibre et ne pas la déchirer mais elle est si humide qu’il entre sans peine et prodigue d’amples mouvements en allant toujours plus profondément en elle.

« Oh oui, plus fort, je te sens bien, j’adore ça que tu me défonces, vas-y, encore, oh oui » supplie-t-elle.
- t’aime ça ma salope, hein ? Tu nous as bien chauffé cette nuit, hein ? On va te montrer ce que c’est des vrais mâles ! » lui répond-il

Deux d’entre eux grimpent sur le canapé et se placent de chaque côté d’elle à genoux. Elle branle l’un pendant qu’elle suce l’autre et vis et versa.

« wouw wouw wouw hum hum hum ah ah ah aaahhh » l’entend-on gémir à chaque coup de queue.

Le quatrième qui se branlait en regardant la scène demande à son pote de pouvoir prendre sa place. Son membre est encore plus large que les trois autres et il peine à entrer en elle. Lucie grimace et je crains qu’elle éprouve de la douleur mais je suis vite rassuré par ces paroles :

« Elle est bonne ta queue, elle me remplie bien, oh oui, prends moi, je suis ta pute, j’ai envie que tu me déchires la chatte, oh oui plus fort ouiiiiii »

Il s’exécute et on peut dire qu’il y met du cœur à l’ouvrage ! Il s’agrippe à ses hanches et et l’attire violement vers elle en cadence jusqu’à ce que ses couilles viennent claquer contre les fesses de ma femme.

Essoufflé, il se retire et un des hommes qui se faisait sucer auparavant retourne Lucie qui se place à quatre pattes sur le canapé, la croupe fièrement relevée. Elle prend au passage quelques fessées qui l’émoustillent.

Celui qui venait de la pénétrer s’allonge à ses côtés et alors que son pote s’agite en elle et fait cogner son abdomen contre les fesses de Lucie dans un bruit de chair contre chair intense, il att sa chevelure pour cadencer les mouvements de tête qu’il attend d’elle alors qu’elle le suce goulûment.

Elle se dégage lentement pour enfourcher celui qui était allongé sur le dos. Il lui donne quelques fessées, lui écarte les fesses pour glisser un doigt dans son cul, un des hommes s’allongeant à ses côtés pour se faire branler et sucer par Lucie qui est en demande de bites. C’est alors que l’un des deux autres présente son membre imposant à l’entrée de son orifice anal à peine préparé pour la prendre en sandwich.

« hummm oh ouiiiiiiii, défoncez-moi ! oh, oh, oh, ah, ah, ah, j’aime vos queues en moi, ah, ah, ah, ouiiiii, plus fort, plus vite, hummm, oui comme ça hummmm » s’exclame-t- elle.

Elle continue de s’appliquer à sucer l’autre tant bien que mal, secouée comme elle l’est dans tous les sens.

Le quatrième s’impatiente et s’allonge à son tour avant de demander à ses potes qu’ils pensent un peu à lui.
Les deux autres se retirent et elle s’empale sur lui face à nous en s’appuyant sur ses bras en arrière. Elle fait monter et descendre son bassin pour faire coulisser la bite dans son cul dans le rythme qui lui procure le plus de plaisir, mais sa chatte est tellement ouverte qu’elle ne demande qu’à être remplie. Elle ne restera pas libre longtemps, alors qu’un des hommes debout sur le canapé lui att la tête et lui fourre sa queue dans la bouche, un autre lui relève les jambes et s’introduit dans son vagin brulant d’envie.

Le groupe se fait de plus en plus bruyant, les hommes grognes, ma femme gémie et hurle de plaisir comme jamais je ne l’ai vue auparavant. Elle s’abandonne totalement et des jets de cyprine puissants arrosent ses amants. Ils amplifient les mouvements, leurs cadences et on peut ressentir que tous le monde et sur le point d’exploser.

Cela fait tout de même deux heures et demie que ces lascars s’occupent de ma femme et je suppose qu’elle doit être épuisée de se faire maltraiter de la sorte.
Pourtant, elle ne montre pas le moindre signe de faiblesse et s’applique à pomper les bites qui se présentent à elle alors que sa chatte et son cul sont sérieusement sollicités.

Enfin un des hommes se retire de sa bouche pour se branler ardemment et dans un râle puissant et rauque il éjacule abondement sur le visage et les seins de ma douce avant de lui faire lécher ce qui s’écoute de son gland.

Devant ce spectacle les hommes redoublent d’énergie, se retirent et c’est dans un vacarme de cris et de grognements qu’à tour de rôle ils déchargent leur foutre épais et copieux sur ma Lucie qui gémis et tremble de tout son corps tant le plaisir était intense.

Les hommes se rhabillent et me félicitent d’avoir une femme aussi généreuse et ouverte.

« On revient la baiser quand tu veux ta salope! » me lance même l’un d’eux.

Ils repartent comme ils sont venus, Paul et ses amis ont du mal à réaliser ce qu’il vient de se passer.

J’avoue que moi non plus ! Quel spectacle !

Je relève tant bien que mal Lucie de ce canapé qui ressemble à un champ de bataille et je l’aide à regagner la salle de bain pour qu’elle puisse se laver.

Elle a passé la journée à dormir mais cela ne l’a pas empêcher de s’amuser avec nous dès la nuit tombée et les dix jours qui suivirent

Ces vacances ont été les moins reposantes mais les plus intenses que nous ayons passés. Je me demande si nous n’allons pas y retourner cette année … Qui sait ?

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