L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 50)
L'Odyssée de la Belle Hélène La première épreuve : LOrgie des lesbiennes -
Ocypète devenait de plus en plus douce et entreprenante dans ses désormais doux baisers lesbiens, quand de nouveau elle prit la parole :
- Comme je te lai dit Apollon me devait une petite dette, en effet sache quici sur lîle de Lesbo, seules les femmes sont autorisées à y vivre ou à y séjourner. Tout mâle, humain ou Divinité, pénétrant sur notre Terre est systématiquement tué pour les hommes ou mis en exil pour les dieux mâles. Un jour Apollon, lui-même est venu ici et a séduit une lesbienne. Il a négocié avec moi, mon silence auprès du Dieu des Dieux le grand Zeus afin déviter Sa colère si Celui-ci avait appris quil avait outrepassé La loi Divine interdisant sa présence masculine sur lîle de Lesbo. Apollon ma promis doffrir à Moi et à Sapho la plus belle femme humaine du monde terrestre contre mon silence
En ce qui me concerne, jai savouré ce que je voulais faire avec toi
Maintenant, il te reste à passer lépreuve qui tattend avant que je te libère de lîle de Lesbo : Je vais toffrir à certaines lesbiennes, mes plus proches femelles au Temple de Sapho et Celle-ci en personne va prendre possession de ton corps. Tu devras subir tout ce qui te sera exigé et surtout contenter notre Reine Sapho. Apollon lui a promis de toffrir à elle
Hélène neut même pas le temps de réagir quOcypète se positionna derrière elle. Elle lenlaça fermement en passant ses deux bras sous la poitrine de la Belle. Puis du haut du tronc de son baobab, quittant ce haut pic rocheux, elle prit son envol en battant énergiquement ses ailes pour plonger droit au-dessus de lépaisse forêt afin defflorer durant quelques minutes la canopée touffue, quand tout dun coup une large clairière se dessina avec en son centre un immense bâtiment : le Temple de Sapho. Ocypète déposa doucement la Belle Hélène devant la grande porte principale et senvola dun coup dailes sans dire un mot.
- Je suis la Reine Sapho
amante, ici à Lesbo de la belle Ocypète
Ton épreuve va commencer
tu ne devras dire aucun mot, juste savourer et subir Nos Volontés.
On installa alors la Troyenne sur une couche aux draps de soie où trois belles femmes masquées plutôt fines, sapprochèrent dans une démarche très féline. Leurs mains expertes caressèrent le corps de la belle soumise, tout en retirant les cheveux en arrière et caressant sa nuque, son cou. Telles de petites anguilles, leurs doigts se faufilèrent partout où ils le pouvaient. Puis telle la douceur des plumes, leurs lèvres et bouches saventurèrent sur le corps aux parfaites formes de la Belle Hélène. Ses tétons devenaient durs, excités, dressés. Le moindre millimètre de sa peau fut sollicité, Hélène avait limpression de ressentir chaque influx nerveux, par des petits spasmes excitants sous ces exquises et divines caresses. Une belle rousse au pubis épilé et à la croupe bien développée ainsi quune superbe blonde à la poitrine généreuse sembrassèrent goulument devant la belle Hélène. Elles se caressèrent mutuellement le sexe en même temps. Que de gémissements autour de la Troyenne
. Une brune au pubis parfaitement lisse et aux seins opulents ayant des tétons annelés se caressait ceux-ci tout en fixant du regard, Hélène. On aurait dit quelle assistait à une démonstration des possibilités quont les femmes à se donner du plaisir. La Belle Hélène en était très émoustillée, ces femelles en chaleur avait juste mis en exergue ses sens, elles navaient pas cherché à lui donner trop de plaisir pour le moment. Elles se le donnèrent entre elles de façon très experte, dans la douceur et les caresses sensuelles. Hélène était totalement hypnotisée par tant de beauté érotique, de sensualité et dérotisme qui se dégagèrent de cette lubrique scène entre toutes ces lesbiennes.
Une fois leur exhibition terminée, elles emmenèrent, délicatement par le bras la belle Hélène, rencontrer un deuxième groupe de femelles sur une autre couche.
Peaux contre peaux, Hélène apprécia cette douceur féminine, car dans toute la pièce, par groupe ou mélangées, les femelles firent une véritable orgie entre lesbiennes. En effet ça suce, ça lèche, ça glisse, ça mouille, ça jouit ! Hélène se mêla, malgré elle, à cette débauche féminine en caressant des seins, elle téta, suça, lécha également et elle se sentit tour à tour dominée ou dominante, mais surtout femme ! Elle explora toutes les facettes de sa féminité. Les langues se mêlèrent, un baiser à quatre, des mains qui caressèrent en même temps, des chattes brûlantes, gluantes, dégoulinantes. Des doigts qui senfoncèrent, qui saccélèrent, un puis plusieurs, Hélène avait bientôt tous ses orifices comblés. La petite brunette soccupant de lui doigter le cul bien profondément. Celle-ci insista, elle écarta, dilata lanus dHélène, y fourra sa langue, tandis que la Belle allait mordiller le cul de la belle brune qui saffairait sur sa bouche.
Hélène comprit que cette chienne de femelle lesbienne en chaleur était à elle, quelle pouvait en faire ce quelle voulait, quelle pouvait la baiser devant les autres, montrer comment elle pouvait aussi lui donner du plaisir. Alors la Belle Hélène sapprocha et elle lui donna son sein à lécher pendant quelle lui fourra ses doigts entres ses petites lèvres proéminentes. Cette petite femelle était déjà humide, à lévidence elle attendait que la plus belle femme du monde soccupe delle. Alors elle saffaira comme si elle avait faim et quelle voulait faire sortir de ce sublime sein le lait du plaisir. Elle mordit, lécha, goba laréole avec avidité. La Troyenne décida alors de lui donner plus encore à boire, de lui ouvrir sa chatte dégoulinante, alors elle sassit littéralement sur la petite femelle et la laissa s de gourmandise. Agile, la langue de la soumise fit frétiller Hélène de plaisirs ! Celle-ci avait envie de la faire hurler, envie de montrer quune femme extérieure de lîle de Lesbo était aussi capable de dominer, surtout une femme comme Hélène, possédant déjà des esclaves ! Alors, elle ne la ménagea pas, elle entra directement trois doigts dans sa chatte gluante et les enfonça un peu recourbés à lintérieur de la petite chienne soumise. Celle-ci se cambra, souleva son bassin, à lévidence elle en voulait plus. Alors Hélène la lima avec régularité, lécha en même temps pour quelle souvrit plus encore. La Belle lui stimula aussi son anus, ce qui nétait pas pour lui déplaire. Cétait une acharnée, Hélène avait de la peine à la maintenir tant elle bougea dexcitations jouissives ...
Les masques observèrent et passèrent à laction, la plus belle femme du monde sentit alors quon soccupait delle car des mains se baladèrent, des baisers séchangèrent. Sa chienne était maintenant à quatre pattes et Hélène la trayait avec les mains en lui tirant sur les tétons, la soumise gémit, puis hurla de plaisirs quand la main entière de la Belle sintroduit ensuite dans sa chatte. Une main fine et petite certes, mais un poignet large. Cen est trop pour elle, la petite salope jouit et éjacula de sa cyprine littéralement sur le bras de la belle Hélène, ce qui lui vaudra une volée de fessées par son autre main
Hélène sentit quon la prit de nouveau par le bras et deux femmes lemmènent pour aller rencontrer le dernier groupe de femmes masquées. Hélène était saisie dune certaine appréhension quand elle fut entravée sur la dernière couche, pieds et poings liés
A lévidence dans cette orgie, Hélène fut une fois dominante, une fois dominée ! On linstalla sans délicatesse sur une basse table. Les Dominatrices lesbiennes au nombre de quatre la positionnèrent donc sur ce bas plateau épais en bois où furent installés divers accessoires quelle neut pas vraiment le temps de voir. Leurs masques traduisirent la domination, Hélène ne vit pas leurs visages mais les masques choisis furent en adéquation avec ce quelle allait bientôt subir. Parmi ces quatre dominas, Hélène reconnut Sapho qui avait quitté sa tiare, cétait la plus grande des quatre et visiblement elle dirigeait avec autorité ce lieu de débauche. Hélène neut pas le temps de détailler la silhouette de Sapho quelle reçut déjà une tape sur sa cuisse, puis lune des femmes installa bientôt sur ses tétons dressés une pince à seins composée de deux morceaux de bois croisés et fermée solidement par une bande de caoutchouc naturel. Sur le coup, Hélène eut mal, surprise par la forte pression exercée de cette pince puis la douleur sestompa un peu. Lune embrassa goulument et mordit la lèvre inférieure de la Belle. Puis subitement sans prévenir une des dominatrices lui glissa un olisbos dans lanus alors que deux autres commencèrent à fouetter lentement son entrejambe. Cétait une sensation étrange entre la douleur et le plaisir, ce qui fit mouiller encore un peu plus la Belle. Celle qui lui avait enfilé lolisbos plongea ses doigts dans la chatte dHélène et étala la mouille sur son ventre, lautre lapa ses doigts, et tout ce quelle avait étalé sur la Troyenne. Au bout dun long moment, elles lui détachèrent les pieds, la mirent à quatre pattes et la fouettèrent. Sa peau était douloureuse, certainement rouge, peut-être quelle était punie davoir mouillé ? davoir eu du plaisir ? se pense-telle ! Mais comme on ne lui avait jamais interdit de jouir, elle se laissait aller à la montée du plaisir jouissif. Les lanières du fouet de cuir frôlèrent son entre fesses, quelle sensation, les gémissements dHélène se transformèrent en jouissances sans fin
Ensuite la belle Sapho séquipa dun appareil bien confectionné pour lépoque ! Cétait une espèce dharnais fait de solides branches savamment coupées maintenues entre elles par des lanières de cuir entrelacées. Alors quune autre dominatrice était en train dengluer lanus de la Belle Hélène de graisse de porc en guise de lubrifiant. A lévidence, Hélène allait se faire sodomiser par la belle Sapho, en personne !
La Reine de lîle de Lesbo allait enfin consommer la promesse dApollon !
La sodomie fut un peu brutale. Hélène avait mal, mais elle se retint de crier afin de montrer quelle était capable de subir une saillie anale, à son divin Epoux Apollon qui était sûrement en train de regarder la scène du haut de son nuage ! Une fois ses parois anales dilatées, les sensations devinrent tout doucement agréables. Les autres lesbiennes, pendant ce temps, continuèrent de la frapper sur les fesses, à lui mordre la bouche, les seins. Elles se branlèrent en regardant Hélène se faire mettre par la Reine des lieux, la belle Sapho qui continuait sa profonde sodomie par des poussées de plus en plus fortes et profondes. Lune dentre elle sétait glissée sous Hélène et lui léchait frénétiquement le minou, tandis quune autre colla son pubis contre sa bouche gémissante. La Troyenne narrivait quasi plus à tenir sur ses avants bras, le plaisir jouissif fut tel quil la fatiguait en partie dû aux assauts fulgurants des coups de reins puissants de la belle Sapho, la Reine des lesbiennes. Cette profonde sodomie dura encore très, très, longtemps et Hélène fut à un certain moment véritablement à bout, par le fait de cette saillie sans fin que lui faisait subir Sapho qui, elle, ne fatiguait nullement. Mais aussi Hélène était fatiguée de subir autant de sollicitations sexuelles en même temps, sa peau était devenue ultra-sensible, son entrejambe cuisante, et ce quelle croyait être les derniers coups dans son cul faillirent avoir raison delle ! Alors, malgré sa résistance post orgasmique, elle saffaissa littéralement le nez dans les poils de la domina dans un râle de contentement. Et la sodomie dura encore et encore de très nombreuses heures, sans aucune interruption
Dans un ultime orgasme fulgurant, Hélène nen pouvait plus Elle transpirait, saffaiblissait dheure en heure, elle était aux portes de la syncope quand quelquun qui venait darriver la secoua comme pour la ramener dune somnolence latente
Cest la belle Ocypète
Mais au même moment, Hélène comblée sévanouit, exténuée, épuisée par cette sodomie interminable
Sapho avait conquis la Belle Hélène
(A suivre
)
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