Premiere Rencontre Et Surprise (Episode 2)

P. se gare devant une grande maison. Il regarde le résultat de notre voyage ; moi, les seins au grand air, le visage crispé, la chatte à moitié à l’air, essoufflée. Et lui, collé derrière mon siège, le visage coincé entre la porte et le repose-tête pour voir le mieux possible, la queue sortie du jean. Je ne l’ai pas encore vu. En la découvrant, P. pousse un cri de stupeur.
- Tu l’as choisi au calibre celui-là aussi !? Ma salope ! Quel chibre ! Il est presque aussi gros que le mien !
Je me retourne pour voir cela. Il ne m’a pas menti. Je suis en présence des deux plus grosses queues de ma vie !!! Je n’en reviens pas !
- Oh P. ! Il faut absolument que je vous suce tous les deux. Je veux passer d’une queue à l’autre, agenouillée devant vous. Et puis je veux te sucer pendant qu’il me baise ! Et puis n’oublie pas la double-pen…
- Tais-toi, petite salope ! Tu n’auras que ce que tu mérites, mais en temps, et en heure. J’espère que ton invité surprise a du temps devant lui. Tu l’as voulu, tu l’auras. Mais c’est moi qui décide quand, et comment, tu m’as bien compris ?
J’acquiesce. P. prend mon menton de façon à ce que je le regarde dans les yeux.
- Est-ce que tu m’as bien compris, je n’ai pas entendu ?
- Oui P., tout ce que tu voudras.
- C’est bien.
Là-dessus il pose sa bouche grande ouverte sur la mienne et me roule une énorme pelle. Je frémis, j'ai des frissons sur tout le corps, mes sens sont bouleversés, j'ai très envie de me faire prendre tout de suite, sans plus attendre. Je sens mon entrejambes fondre sous mon string qui ne couvre plus grand chose de ma petite chatte.
P. ouvre sa portière pour descendre. Le jeune homme sur la banquette arrière en fait autant, et avant que P. ait eu le temps de faire le tour de la voiture, il s'est déjà précipité pour ouvrir ma portière. Il me regarde, les yeux pleins de gourmandise. Il m'excite et il le sait. Il va me m'obliger à convaincre P.

de le laisser se joindre à nous dès que nous aurons passé la porte s’il continue de me déshabiller du regard de la sorte.
P. est passé devant, il ouvre la porte et nous fais signe de le suivre. Le jeune fougueux me fait un clin d’œil en rangeant mon sein droit, qui s’était échappé de mon corsage.
Je descends de la voiture, j'ai chaud, je voudrais arracher mes vêtements et leur faire le grand numéro, je veux les faire rebander avant même qu'ils aient franchis le pas de la porte... Je prends mon temps pour remonter le petit escalier qui mène à l’entrée, faisant onduler mon cul sous leurs regards soutenus...
En passant devant P, celui-ci me donne une fessée :
– Entre ! Entre, enfin, jolie muse ! Viens découvrir ce jouet que tu as tant convoité ! Viens que je t'explore, que je te lèche les extrémités. Tu ne sortiras pas d'ici avant d'avoir jouis dix fois, je vais faire de toi une cascade délicieuse... Ton invité ne va pas être déçu, je te le promets.
A peine franchis, j'entends la porte qui claque derrière moi. P. m’att par la taille et me fais me cambrer, après avoir posé mes mains contre le mur. Il se cale derrière moi et commence à se frotter contre mon cul déjà offert ; il a pris soin de remonter ma petite jupe sur mes hanches. Je sens déjà son dard gonfler, à travers ses vêtements.
– Tu sens comme tu me fais envie ? Tu vois l'effet que tu as sur ma queue ? C'est immédiat... Tu as tout ce qu'il faut pour bien m'exciter...
Ses mains se déplacent à une vitesse folle sur mon corps. Il a réduit mes vêtements à de simples bouts de tissus enroulés au-dessus de mes seins et sur mes hanches. Ses mains accélèrent encore leurs mouvements, il m'arrache mes vêtements et les fait voler à travers la pièce où nous nous trouvons. Mon invité surprise a pris place dans un fauteuil. Il se branle en regardant mon chevalier servant s'activer à me rendre dingue. Sa queue dressée me fait mouiller encore davantage. P. retire son pantalon et son slip, et son gland joue avec la ficelle de mon string.
.. Ce gland si gros que j'ai tant convoité ! Le voici désormais à l'entrée de ma grotte ! Tandis que la main gauche de P. malaxe mes seins, l'index de la droite descend et viens appuyer sur mon clitoris. Des petits cercles rapides, exactement ce qui m'excite terriblement au commencement des préliminaires. Je me cambre au maximum, en prenant soin de continuer à frotter mon derrière rebondi sur son sexe épais.
- Tu ne m’as pas menti ! Tu mouilles tellement que mon gland glisse déjà dans ta petite chatte. Attends un peu, tu ne vas pas te faire démonter sans m’avoir sucé ! Et puis je veux gouter ton jus avant de te souiller. Viens t’allonger là sur la table devant notre ami ! Regarde le, il n’en peut déjà plus ! Il se branle comme un fou ! Regarde la, cette petite avec ces gros mamelons ! Je lui ai promis de la dévorer à l’aide de ma grande langue à tête chercheuse. Chose promise, chose due !
Il s’accroupit devant la table sur laquelle il vient de me déposer. Je m’appuie sur mes mains, pour le regarder faire. Il regarde ma chatte avec insistance, de tout près, sans rien toucher ni même effleurer. Je commence à gémir, à bouger lentement mon bassin : je m'impatiente ! Il me rend dingue, mon excitation monte encore, nous sommes là, comme suspendus, tous les trois, à attendre la suite. Je pousse sur mon périnée pour entrouvrir ma grotte devant les yeux grands ouverts de mon amant virtuel. Enfin, le bout de sa langue se pose sur mon clito et commence à s’agiter doucement. Ses mains caressent mes cuisses qui s’écartent davantage pour que mon nouveau partenaire ne manque rien du spectacle. Sa langue folle me titille le clitoris à une vitesse dingue, puis ces lèvres le bloquent. Il tire délicatement dessus, et relâche tout à coup. Une fois, deux fois, trois fois, il ne s’arrête plus. Je sens mon clito grossir, je bande, je dégouline tant sur la table que mes fesses commencent à glisser. Ça a l’air de l’exciter lui aussi. Je sens sa langue se poser entre mes fesses, et remonter lentement, le long de mon sexe, puis jusqu’au nombril.
Il prend au moins 30 secondes à parcourir ce chemin ; il me lèche goulument, avec une sensualité que j’apprécie, et il reprend, infatigable, le même chemin. Je halète, je perds pied, je ferme les yeux et vois défiler sous mes paupières des images toutes plus sexuelles les unes que les autres. Comme si il avait senti que c’était le bon moment, P., sans prévenir, m’enfonce plusieurs doigts dans la chatte. Sans douceur, il commence ses allers et venues, ressortant ses doigts à chaque passage, pour les rentrer à nouveau, toujours plus fort.
- Je vais te faire gicler comme une petite chienne. J’ai bien étudié la chose, les quelques vidéos que tu m’as envoyé sont très instructives. Tu le sens, ton point G, juste là, sous mes gros doigts ?
- Oh oui P. ! Je le sens. Appuye encore ! Masse le bien ! Et surtout n’arrête pas de me lécher pendant que tu me doigtes !
J’ai récemment découvert que, comme toutes les femmes, j’ai cette capacité de recouvrir mon partenaire d’un jus très spécial. Cela m’excite terriblement !
- Quelle salope ! J’ai déjà rentré tous mes doigts ! Hey, toi, l’invité surprise ! Tu ne peux pas manquer cela ! Viens voir ! Tu n’as que le son, il te faut l’image !
Le beau jeune homme se précipite, le pantalon en bas des jambes, la queue dressée.
- Oh P. ! Je t’en prie ! Laisse-le t’accompagner dans ta quête ! Faites-moi jouir tous les deux, à quatre mains, je t’en prie !
- Si cela te fais gicler encore plus, j’accepte. Guide nous ma petite, on le veut notre jet de Genève !
- P., continue de me doigter très fort. Toi, vas-y, frotte ma chatte, encore, plus vite, oh oui, comme cela, exactement, plus fort, oh, je… je… je vais jouir, allez-y !
Je me cambre brusquement sous leurs mains. Chacun d’entre eux me triture un sein, en tirant très fort sur mes tétons qui sont énormes, bien dressés. Leur autre main ne me ménage pas. Je sens une explosion dans mon ventre ; dans un cri, je jouis avec une intensité rare.
Ces deux petits vicieux se régalent, mon jus se répand, sur la table, sur mon ventre, sur le torse de P.. Le plus jeune se met à me laper le ventre frénétiquement, en murmurant des « j’adore ». P. retire ses doigts de ma chatte et viens lécher mes seins, en prenant soin de mordiller mes tétons et de les sucer comme il pratiquerait une fellation. Mon corps retombe sur la table, je tente de reprendre mon souffle… mais je n’ai pas le temps ; P. présente son chibre gonflé devant ma bouche, et l’autre me prend la main, qu’il pose sur son sexe. Je suis ravie, P. le laisse faire. Je vais l’avoir, mon trio tant attendu ! J’observe les deux énormes queues qui se présentent à moi. Je vais déguster !

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