Valérie, Parisienne Et Libertine Chapitre 4

Valérie, parisienne et libertine. Chapitre 4

Il nous restait beaucoup à explorer et à vivre, Justine et moi, avant de « recruter » une nouvelle soumise. Sa deuxième séance serait un bon moment pour en parler.

Son mari absent, Justine vint passer une soirée chez moi ; nous étions toujours en été, elle était venue vêtue d’une jupe légère qui découvrait ses jambes bien dessinées comme ses cuisses déjà bronzées. Elle portait un T-shirt un peu large dans lequel ses seins bougeaient librement.
Lorsqu’elle se présenta à ma porte, je pus déceler au gré de ses mouvements que ses tétons pointaient déjà. Nous échangeâmes un long baiser (elle embrassait si bien !), bassins collés l’un à l’autre, enlacées malgré la chaleur encore écrasante de ce soir-là.
Je saisis le collier et la laisse posés sur la commode de l’entrée que je refermai autour de son cou ; elle m’aida de ses mouvements à le poser.
Je me détachai de notre premier baiser et, sans un mot, d’un simple mouvement de la laisse elle se mit à quatre pattes pour me suivre. Elle releva le buste pour dénuder ses seins et dut, agenouillée, retirer sa jupe et sa culotte.
Trônait sur la table basse un rafraichissoir avec une bouteille de champagne tandis qu’une écuelle remplie d’eau se trouvait posée sur le tapis.

« Tu dois avoir soif, l’eau est pour toi. »
Justine tourna la tête, elle avait un air interrogateur auquel je répondis par quelques coups de badine sur ses fesses.
« Tu boiras en tenant tes fesses écartées »
Penchée en avant, elle ouvrit largement ses globes et commença à laper l’eau tandis que je faisais passer la badine dans son sillon, jouant avec son petit trou et son vagin. Elle buvait maladroitement, j’eus le loisir de jouer longuement.
« Viens maintenant me déshabiller. »
Toujours à genoux, elle retira mon haut, je me levai, elle fit glisser ma jupe sous laquelle je portais une culotte en coton blanc très sage.

Elle leva le regard, je devinai sa demande.
« Commence par l’embrasser »
Je vis la bouche de Justine approcher, poser des baisers, appuyer sa bouche, lécher l’intérieur de mes cuisses. Elle happait l’étoffe et je sentais mon excitation monter.
Je descendis ma culotte à mi-cuisses sans un mot ; Justine y plongea son visage et je pouvais voir ses lèvres, sa langue s’agiter. Le visage empourpré d’excitation, elle s’appliquait presque avec frénésie, j’entendais ses soupirs. Elle se releva.
« J’aime tellement ton parfum de femme. »
Je pris sa tête entre mes mains pour la coller entre mes cuisses
« Tu aimes le parfum de ta maitresse, tu l’aimes petite chienne !
- Tellement, je veux rester entre tes cuisses !
Je caressai ses cheveux et son visage d’une main, plongeai l’autre dans mon intimité pour lui laisser en lécher chaque doigt. L’excitation montait mais avant d’assouvir mon désir je voulais l’initier à d’autres jeux, d’autres épreuves.
« Allonge-toi et relève tes jambes »
J’avais sa chatte exposée devant moi, offerte.
« Ouvre-la »
Je pris la pompe, choisis une « cup » qui épousait largement son clitoris et débutai le pompage ; j’aimais ces moments où je pouvais voir son bouton grossir, s’inscrire dans le récipient, gonfler. Je retirai la pompe et son embout la fit se relever.
« Tu resteras ainsi le temps qu’il faudra et lorsque tu devras te déplacer ne fais que des mouvements doux.
Je pris un miroir que j’avais déposé à dessein et le lui tendit.
« Regarde ta chatte dans ce miroir »
Elle releva lentement le buste et fixa l’image de son clito gonflé, contenu et rouge vif que lui renvoyait le miroir.
« Il ne restera pas comme ça ?
- Il le restera ainsi un bon moment ce soir mais ne t’inquiète pas il reprendra sa forme normale ; lorsqu’il sera prêt, je vais m’en occuper, le travailler comme toute ta chatte.
-S’il te plait ne sois pas trop sévère, j’ai déjà très mal.

- Tu sais bien que ce n’est pas à toi d’en décider ; tu sais aussi que je veux que tu partages mon plaisir. Nous avons un peu de temps devant nous avant que je te libère, viens t’allonger près de moi. »
Justine prit des précautions pour se relever et avança doucement vers moi les jambes écartées d’une démarche obscène que j’observais.
Elle s’accroupit et enfin s’allongea à mes côtés une jambe pliée.
Je n’avais pas encore pris possession de sa chatte ce soir ; j’attrapai l’ourlet de ses lèvres, les pinçai pour les étirer au son de ses gémissements sourds. C’est après l’avoir longuement étirée que mes doigts se dirigèrent vers son vagin. Sa mouille était abondante et épaisse ; je faisais aller et venir mes doigts entre ses orifices et je l’invitai à faire de même. Nos baisers étaient aussi fougueux que nos doigts étaient instigateurs fouillant chattes et culs. C’est ensemble que nous eûmes un orgasme que nous avions longtemps contenu. Sur un nuage, j’entendis ma minuterie m’avertir qu’il était temps de sortir son clito de sa « prison ».
Je le fis avec précaution ; écarlate et turgescent son bouton enflé pointait entre ses lèvres.
« Je vais prendre une photo, ton clito est magnifique ! Ouvre ta chatte ».
Je lui montrai ces photos, surprise de l’effet elle eut une belle réaction.
« Ça te fait plaisir de me voir comme ça ? »
« J’adore ! »
« Alors je suis heureuse, ma chatte t’appartient »
Je ne pus m’empêcher de commencer à saisir son « appendice » ; un constat il était très sensible !
« Allons dans la chambre »
J’empoignai la laisse, Justine me suivit docilement jusqu’à la chambre ; à ma demande elle s’allongea jambes repliées. Je fixai la barre d’écartement sur chacune de ses chevilles. Après avoir noué une corde à l’anneau soudé sur la barre, je la tirai ; les cuisses relevées, écartées, sa vulve était exposée, ouverte et sans défense.
La légère angoisse que je lisais sur son visage n’était pas feinte.
Quand bien même je ressentais quelques pulsions sadiques, il n’était pas question qu’elle me craigne, un peu d’appréhension suffirait.
Je collais ma bouche à son oreille pour lui murmurer des mots :
« Tu l’as dit, ta chatte m’appartient
-Oui Valérie mais… mais rien… je sais que tu vas maltraiter ma chatte, j’ai un peu peur mais je veux te faire plaisir
-Commençons par ça alors, le plaisir »
Je m’accroupis au-dessus de son visage lui offrant ma vulve qu’elle saisit à pleine bouche ; je me penchais vers la sienne et saisis son clito entre mes lèvres. C’était si bon de le sentir gonflé, dur, j’étais au bord de jouir.
Je m’en détachais avec un petit regret , à ma portée se trouvaient le martinet et une brosse ronde et dure ; je la fis aller et venir sur son clito, au fur et à mesure de ses gémissements, j’appuyais, je passais sur ses lèvres encore et encore. Jamais elle n’émit un son ou fit un geste pour m’arrêter.
Je me souvenais de son endurance lors de la première séance ; allons plus loin !
Je saisis le martinet.
« Combien de coups de martinet as-tu eu la dernière fois ?
-10 à chaque fois mais tu me léchais aussi
-Ce sera 15 aujourd’hui »
Elle ne dit rien. Comme chaque fois j’alternai épreuves et plaisirs ; lorsque les coups cessèrent et que ma bouche prit possession de sa chatte, elle jouis vite et bruyamment . Je détachai ses jambes qui retombèrent lourdement sur le lit.
« Ma chatte est douloureuse et en feu et j’aime ces moments.
Je m’allongeai sur elle, les jambes entremêlées nous frottions nos corps l’un contre l’autre, pleine d’envies et de désirs. Nos bouches que nous dévorions portaient le parfum de nos caresses intimes.
« Tu aimes que je te fouette ?
- Oui, beaucoup, c’est nouveau pour moi et je t’avoue que ça m’excite ; et j’aime que tu y prennes plaisir.
-Tu prononces là des vraies paroles de soumise. Ça me plait comme tu l’imagines.
-C’est à la fois déroutant et jouissif d’accepter, de lâcher prise et de s’abandonner entre tes mains
-Je connais bien, ça m’est arrivée avec une femme
-Vraiment, tu as déjà été dominée par une femme ?
-Tu es la première à qui je l’avoue
-Tu as aimé ?
-Oui beaucoup
-Ca ne t’es arrivée qu’une fois ?
-C’était il y a 3 ans avec une femme que je dominais ; elle a désiré à un moment prendre le dessus, je ne m’y suis pas opposée.

-Tu crois que je pourrais avec toi ?
-En as-tu envie ?
-Je ne sais pas encore, j’aime ce que tu me fais mais à en parler, je pourrais aimer te faire subir aussi
-Je pourrais y être prête.
-Je pourrais te faire la même chose ?
-Oui la même chose.
Justine se souleva sur les coudes pour me regarder. Se yeux brillaient et j’y décelai l’envie. Elle défit son collier qu’elle plaça autour de mon cou.
« Valérie, tu veux être ma chienne ? »
Surprise et ravie de ce soudain retournement, je n’hésitai pas.
« Je suis ta chienne, oui maintenant je suis ta chienne mais tu restes la mienne »
Justine s’assit sur le lit.
« Viens à quatre pattes sur mes genoux »
Je posais mon buste sur ses cuisses et je sentis sa main caresser mes fesses, commencer à les malaxer pour ensuite qu’elle s’abatte sur chacun de mes globes, l’un après l’autre méthodiquement. Lorsque mes fesses commençèrent à être brûlantes elle m’ordonna de me placer de l’autre côté de ses cuisses.
« Ma main gauche est enflée par cette fessée, viens que je me serve de ma main droite »
Elle recommença, longuement, je ne dis rien, subissant, dans l’attente de son ordre.
Lorsqu’elle décida d’arrêter l’épreuve, elle me caressa les fesses, s’attarda sur mon petit trou pour y faire pénétrer ses doigts.
« Ton cul est prêt Valérie ? »
« Presque, il est presque prêt »
La complicité était établie entre nous, j’étais déjà en position offerte. Elle vint s’agenouiller entre mes fesses, les écarta pour y étaler généreusement sa salive ; sa langue se promenait, se frayait un petit passage, caresse divine ! Je l’entendis prendre le gode-ceinture comme j’entendis le cliquetis des pinces. Elle avait choisi les pinces japonaises qu’elle plaça sur chacune de mes lèvres. Lorsque le gode fut contre mon anus, ses poussées se firent d’abord timides ; je poussai pour le laisser me pénétrer, mon invitation la libéra, le gode s’enfonça, me laboura tandis que sa main tirait les pinces, m’étirait.
« Tu aimes que je fouille ton cul, ma chienne !
- Hmmm, oui, vas-y, défonce-moi, tire les pinces, plus fort, … »
Justine me prenait avec une douce fermeté, alternant mouvements profonds avec de légères pénétrations ; je sentis cette vague connue monter de mon fondement, m’envahir, je ne retins plus mon orgasme. C’est à son sommet que Justine sortit de mon cul pour s’enfoncer dans ma chatte, puissamment, de ses deux mains elle attrapa les pinces qu’elle tira, je sentis cette morsure étirer mes lèvres tandis qu’elle entrait, sortait, revenait inlassablement. Je pouvais entendre le bruit, ce divin clapotis créé par mon jus de femelle excitée.
Dans un long râle, je jouis et m’affalai sur le dos. Justine se retira doucement, défit sa ceinture et vint d’allonger sur moi.
Je pris son visage et passai ma langue sur ses lèvres dans une longue caresse qu’elle me rendit ; nos bouches se mêlèrent ; je sentais son bassin se coller au mien, onduler, nous étions toutes deux ivres de plaisirs et encore pleines de désirs.
« Tu m’as tellement faite jouir ! Et je te trouve bien habile avec mon gode pour une presque novice. J’aime te sentir salope !
-Hmmm, moi aussi, j’ai aimé te baiser partout. Ca m’a donné tellement envie !
-A moi aussi, je vais te remplir partout, une envie de te dilater.
-Je n’ai jamais été « fistée » ! Ca me fait un peu peur.
-Je ne vais pas le faire mais je vais quand même te dilater la chatte.
Je me levai pour choisir un gode de belle taille que je fixai sur le parquet avec sa ventouse.
« Tu vas t’accroupir dessus jusqu’à ce qu’il entre dans ta chatte »
Une caresse me permit de m’assurer que Justine ne pouvait être plus prête qu’elle ne l’était.
Elle accroupie, j’empoignai le gode tandis qu’elle allait et venait en petits mouvements ; elle se donnait, je la voyais forcer son passage, ce fut long mais la cyprine s’écoulait sur mes doigts qui entourait ce gros appendice. Lentement je le sentis pénétrer, je passai des liens qui entourant le gode vinrent s’enrouler et se nouer autour de ses cuisses.
Justine haletait.
« Viens maintenant sur le lit en position de chienne offerte »
Je pouvais contempler sa chatte remplie alors que je fixais mon gode ceinture.
« Écarte tes fesses »
Le visage posé sur les draps, Justine ouvrit largement ses globes, je plongeai mes doigts dans sa bouche, elle les lécha longuement en y répandant sa salive ; elle avait bien deviné ce que j’allais faire.
Mon premier doigt la pénétra facilement, il me fallu du temps pour faire pénétrer le deuxième. Je « travaillais » son cul le temps nécessaire pour que je le sente enfin se dilater doucement sous mes caresses.
Le calibre qui envahissait sa chatte laissait peu de place sauf à le faire avec patience ; j’en avais !
Lorsque je la sentis prête, agenouillée derrière elle, je plaçais mon « membre » contre son petit trou, il pénétra à peine ; sous mes doux assauts je le vis s’ouvrir et enfin rentrer. Je poursuivis toujours avec douceur lorsqu’enfin je constatai que la moitié du gode avait été « englouti ».
« Tu es bien remplie ma chienne ! Tu aimes que tous tes orifices soient à moi ?
-Oooh Valérie, j’ai un peu mal mais c’est tellement bon !
Son bassin ondulait et commençait à se jeter au-devant de mes poussées. Elle attrapa le gode qui dilatait sa chatte, le faisait aller et venir par de petits mouvements.
-Viens, défonce-moi, viens au fonds de mon cul, ouiiii comme ça, encore, …
Elle partit alors dans un rythme échevelé, moi la pénétrant sans retenue, elle poussant le membre dans sa chatte pour entamer un long râle, marmonnant des mots incompréhensibles.
Elle finit par un long cri, presqu’un sanglot en répétant :
« Je jouis, je jouiiiis, je jouiiiis, …. »

Lorsque je sentis ses spasmes mourir, je retirai doucement les deux godes qui la pénétraient et la serrai dans mes bras. Son corps était humide de transpiration et moi j’étais heureuse de lui avoir donné tant de plaisir.

La soirée se termina tendrement. Il était suffisamment tôt pour nous laisser le temps d’une collation autour du champagne qui était encore très frais.

A suivre











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