L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 51)
L'Odyssée de la Belle Hélène Deuxième épreuve : LHydre de Lerne et le centaure ailée -
Quand la Belle Hélène sétait évanouie, cela faisait plusieurs heures non-stop quelle se faisait enculer par lolisbos harnaché à la ceinture dune Sapho magiquement infatigable. Normalement pour contenter Celle-ci, il fallait tenir au moins la moitié de ces heures, ce qui avait été jusque-là le record détenu par une ancienne esclave athénienne jadis athlète à Olympie et qui par cet exploit avait retrouvé sa liberté. Et donc la Troyenne, sans le savoir, avait eu une endurance encore plus résistante avec ces heures en plus passées à se faire abondement besogner par le cul, à la grande satisfaction de la Reine de lîle de Lesbos. Celle-ci se considérait donc contentée et sa parole faisant loi absolue, elle demanda à Ocypète de ramener Hélène sur son tapis volant. La plus belle femme du monde resta presque 4 heures évanouie avant de se réveiller. Il lui fallut de longues minutes pour reprendre ses esprits et se remémorer toute lorgie des lesbiennes ponctuée par cette interminable sodomie qui avait eu raison delle. Assise sur son tapis, elle regarda autour delle. Il ny avait personne, tout était calme sur le haut du baobab du pic rocheux dominant lîle de Lesbos. Une outre pleine deau et des vivres avait été déposées près de son sac en peau de mouton qui ne demandait quà être ouvert. Cest ce que fit sans tarder Hélène afin de découvrir la deuxième épreuve dictée par son divin Epoux Apollon. Après avoir déroulé le papyrus, elle lut le message doucement de vive voix :
« Se rendre sur les rives du Lac de Lerne, près du Mont Pélion pour offrir ton corps à lhomme sans souvenirs. Obéir à tout ce que celui-ci exigerait. »
Hélène était interrogative ! Peu de précisions étaient retranscrites pour cette deuxième épreuve ! Qui était cet homme sans souvenirs ? Comment le trouver ? Quest-ce quil exigera ?
Et puis un homme sans souvenirs ? Ca lui rappelait, quelle-même a été dans cette situation, totalement amnésique (Voir le tout début des douze servitudes dHélène)
Elle arrêta de se poser des questions se disant que seul la Satisfaction du divin Apollon comptait et quelle se savait surveillée, voire protégée par la Divinité
Bien assise sur son tapis et après avoir bu abondement de leau et sêtre sustentée des denrées bienfaitrices, elle prit une grande bouffée dair frais.
- Les rives du Lac de Lerne près du Mont Pélion
Aussitôt comme pour se rendre à la première épreuve, le tapis prit un envol fulgurant. En seulement quelques minutes aux travers des nuages cotonneux ou dans un ciel bleuté, il arriva à sa destination où il atterrit tout en douceur pour simmobiliser au bord du Lac de Lerne. La végétation y était généreuse, leau du large fleuve était clair à cet endroit au courant plutôt calme. Les lieux aussi avaient lair bien calme ! Mise à part quelques animaux furtifs et peureux, quelques oiseaux criant dans les arbres, aucune présence semblait venir troubler cet havre de paix verdoyant de Dame Nature ! Hélène se demanda que faire ! Comment trouver cet homme sans souvenirs ? pensa-telle de nouveau !
Elle neut pas loccasion de trop y réfléchir car à peine avait-elle faire quelques mètres sur la rive, que du milieu et du plus profond du fleuve surgit soudainement une créature des plus monstrueuses. Un serpent géant dune bonne quinzaine de mètres se dressait sur toute sa hauteur. Il était effrayant car il possédait plusieurs têtes, au moins six ayant toutes des gros yeux ronds et terrifiants. Mais également, pour chacune des têtes, une longue langue pointue se terminant par deux crochets. Ce monstre nétait autre que LHydre de Lerne, Gardien du Lac et dont ses têtes se régénèrent doublement lorsqu'elles sont tranchées. On aurait cru que larrivée dHélène lavait dérangé et il semblait fort agressif quand il sapprocha de la rive où la Troyenne terrorisée fuyait déjà à toutes jambes. Dans des sifflements stridents le serpent géant fonçait droit sur la Belle qui évalua quelle naurait jamais le temps de sengouffrer dans la proche forêt pour essayer de trouver un quelconque refuge
Alors, elle ne trouva quun bien piètre abri de fortune dans le creux dun long tronc vide dun arbre mort couché le long de la berge
Horrifiée, elle ne bougeait plus, fit le silence complet espérant que le monstre ne lavait pas vu se terrer dans cette cachette improvisée.
Quand elle comprit que plus rien ne bougeait, que le silence avait de nouveau prit le dessus, Hélène tenta une timide sortie de sa tanière. Le monstre gisant devant elle, ne bougeait plus. Il avait une longue lance, pointue, plantée en plein cur. Le coup porté fut fatal à lHydre. Quand la Belle tourna la tête en direction doù pouvait venir cette lance, elle aperçut sur un rocher un homme fièrement debout, la tête haute. Il était complètement nu et arborait un corps très musclé, aux biceps saillants. Un visage magnifique aux cheveux longs. Il était très beau, avec une peau hâlé et une musculature très proportionnée. Hélène aurait trouvé le prince charmant que ce naurait pas été mieux ! Lhomme descendit de son rocher et sapprochait de la belle Hélène, sans dire un mot, il lui sourit largement. Il devait y avoir quelques choses de magique, densorcelant voire de Divin car son sourire, son visage, sa beauté mais surtout son regard dun bleu parfait. Car celui-ci hypnotisa la belle Hélène qui tomba instantanément amoureuse sous lincroyable charme du bel homme. Une force quelle ne pouvait maîtriser la poussait à aller vers lui, à le séduire mais aussi à être séduite. Lenvoûtement dune quelconque divinité, certainement devait être à lorigine de ce charme et ainsi avait pour conséquence que toute personne croisant le regard de cet homme devait tomber inévitablement sous son charme !
- Comment tappelles-tu ? lui demanda Hélène arborant une douceur et une séduction évidente
- Je
Je ne sais pas
répondit lhomme tout en regardant la belle Hélène de la tête aux pieds avec un air empli de désirs, comme si cette femme lattirait déjà
- Comment ça, tu ne sais pas ?
- Je me suis réveillé, ce matin, ici au bord de ce lac, nu et une lance à la main.
- Lhomme sans souvenirs !
Hélène comprit ! Elle devait donc soffrir à lhomme sans souvenirs et étant tombée de suite sous son charme, ce sera donc pour elle, la plus belle chose quApollon puisse lui imposer !
- Et toi qui es-tu ? Lui demanda à son tour lhomme sans souvenirs en la regardant encore avec plus denvies
- Hélène de Troie.
- Hélène ? Toi ici ? La fameuse Belle Hélène ! La plus belle femme du monde ! sécria le beau garçon tout en dévorant Hélène dun regard gourmand de désirs
Les mots devenaient inutiles, dailleurs tel un coup de foudre entre amoureux, plus aucun ne fut prononcé. Comme attirés par deux aimants, les deux êtres senlacèrent et sembrassèrent longuement. Leur bouche, leur langue sentremêlèrent dans des baisers fougueux
Il émanait de ce couple quelque chose de surnaturel. Le jeune homme était excité de désir par ce sublime corps de femme. ... Hélène, idem, elle mouillait déjà abondamment à lidée de saccoupler avec lui. Tout en lembrassant dans le cou, sur les seins, dans la nuque, les épaules, il sentait sa queue gonfler, durcir quand enfin, il passa sa main entre les cuisses dégoulinantes des désirs charnels dHélène. Il se dégagea un peu de cette étreinte amoureuse. Puis sa main glissa de nouveau doucement entre ses cuisses et commençait à caresser lintérieur. La main du bel homme remontait sur un de ses flancs, caressa doucement les hanches dHélène, et revenait à lintérieur de lentre-jambes. Hélène, par un petit gémissement, montrait son plaisir à être ainsi caresser et se laissait aller aux douces mains. Elle sentait la verge de lhomme sans souvenirs se dresser un peu plus au fil des caresses quil lui faisait. Leur cur cognait à lévidence dans leur poitrine, encore un peu plus ... La main baladeuse sillonnait son ventre, passait sur ses courbes sensuelles, puis caressait doucement la poitrine de la Troyenne
Le revers de sa main, frôlait, caressait avec désir un de ses tétons ce qui fit extérioriser un nouveau gémissement de la belle, plus affirmé que le précédent, elle se délectait de cette douceur envoûtante.
Il coucha la belle Hélène sur un tapis dherbe tendre au bord de la rive, de manière à être au-dessus delle. Il dévora son visage dun regard amoureux empli de charme. Elle ouvrit amoureusement les yeux, lui sourit, succombant à ce regard et passa ses mains autour de sa taille, lembrassant tendrement
Il poursuivit le long baiser sappuyant de ses 2 mains, de chaque côté de la tête de la belle. Son torse frôlait le sien et de sa propre poitrine, il pouvait sentir que la plus belle femme du monde pointait toujours de ses tétons dressés, et jouait de cela, comme proposant une invitation à aller plus loin ... Leurs baisers se firent plus fougueux, ils sessoufflaient simultanément. Lhomme se collait de plus en plus à elle à chaque jeu de lèvres, désireux de passer au plaisir charnel. Son sexe tendu et gonflé, touchait à lévidence le sien. Il la sentait lubrifier de désirs, alors que son gland tapotait, frôlait presque innocemment le clito dHélène. Elle gémit encore, quand ses baisers bifurquèrent de nouveau vers sa mâchoire, passaient sous son cou, remontaient sur ses lèvres, puis dévoraient avec plaisir le petit creux de son cou si enchanteresse. Tandis que la belle Hélène caressait son torse, doucement, tendrement, comme lamante parfaite quelle était, il échappait un râle de plaisir amoureux. Elle lui sourit de nouveau, provocante envoûtante à son tour... Puis la Troyenne griffa doucement la poitrine de lhomme comme pour mieux le sentir à elle. Un second râle, un peu plus gémissant cette fois-ci sortit de la bouche de lhomme. Satisfaite, elle lui souriait encore tout en le fixant dun regard hypnotisé
Il descendit ses baisers vers son sternum, lécha doucement ce creux entre ses seins, puis jouait dune fausse hésitation, sur un de ses tétons. Ses baisers passaient sur sa petite auréole rosée, repassaient dessus, sa langue bien décidée, sortait à son tour pour se joindre au jeu érotique, évitant le plus possible, de frôler ou taquiner son téton, histoire de la rendre un peu folle de désirs
Appuyé sur un bras, le beau garçon continua son jeu buccal, alors que sa main libre, caressait volontairement son autre sein. Les extrémités de ses seins dressés linvitait à de doux mordillements, sur lun dabord longuement puis sur lautre tout aussi longuement ... Lhomme sexécutait ainsi, dun doux baiser, ou dun coup de langue furtif , ses dents saisirent délicatement le petit téton rose, puis le pincèrent, le mordillèrent, assez doucement pour la lubrifier encore un peu plus dans son bas-ventre ... De leurs gémissements, ils sentirent le plaisir les gagner, aussi bien lui, à jouer de son corps, quHélène, à endurer ses douces s érotiques. De son autre main, libre, lhomme caressait tendrement son sein, la faisant languir, sans pour autant préciser les caresses. Sa verge, à son paroxysme du désir, sétait lubrifiée à son tour, gonflée à souhait, gorgée de sang, tendue à lextrême. Alors il sentit le moment propice arriver, sans dire un mot, il se replaça bien au-dessus delle, puis frôla son sexe humide au sien. Un léger couinement de la belle Hélène ne se fit pas attendre, elle tremblait presque, tandis que la queue parfaitement tendue, caressait une nouvelle fois le clitoris de la belle Troyenne. Les petites griffures reprirent, Hélène prenait un malin plaisir à caresser du bout de ses ongles, sa poitrine, dressant un peu plus les tétons du mâle. Celui-ci ne put retenir un nouveau râle. Il caressait sa vulve trempée de son épais gland, feignant une entrée en elle, Hélène gémit de nouveau. Très excité, lhomme soctroya à nouveau ce petit plaisir quand dun lent coup de bassin, son sexe raidi entra juste un peu en elle. Amoureuse, Hélène saisit son visage entre ses mains, puis comme une nécessité, lembrassa tendrement, alors quil était encore en elle
Tandis que leurs lèvres jouaient, que leur cur semballait, et quils savouraient chaque baiser, il continuait la douce et lente pénétration la verge tendue, un peu plus en elle, suivant des petits mouvements de bassin. En effet, il entrait en elle, en sortait doucement, puis continuait ses lents vas et viens ...
La respiration de la Troyenne était de plus en plus saccadée, elle gémissait plus intensément, mais il ne voulait pas lui accorder le plaisir dun orgasme qui serait trop rapide à venir
. Alors il se retira se retourna pour se retrouver la tête entre les cuisses largement écartées de la belle Hélène. Ensuite lhomme sans souvenirs ouvrit doucement sa chatte de ses doigts, écarta les lèvres intimes qui cachaient le petit bouton rose, il tapissa celui-ci de coups de langues tout autant gourmets les uns que les autres. Il se délectait de cette douceur incomparable, de ce goût délicat et de ses gémissements excités. Sa langue passait et repassait sur sa vulve, tentait dessuyer ce nectar qui nen finissait pas de couler
Sa langue entra doucement en elle et en sortit à multiples reprises, quand il léchait délicatement et assidument le pourtour, puis entra à nouveau. Au bout dun moment, il la fit délicatement se retourner pour enfin la pénétrer profondément dans sa chatte trempée, par derrière. Pour cela, il la fit mettre en levrette et lui fit dabord doucement lamour tout en douceur, lentement, très lentement
Et quand il jugea bon daccélérer le rythme, il donna des coups de reins plus forts, plus puissants, plus pénétrants
Et cest dans des gémissements communs, des râles jouissifs quils lâchèrent enfin chacun mais en même temps leur orgasme foudroyant, puissant, libérateur
Alors il se passa une chose incroyable ! Une fois que lhomme sans souvenirs avait éjaculé abondamment, et seulement à ce moment-là, il retrouva sa mémoire instantanément mais aussi sa forme naturelle qui nétait pas toute entièrement humaine ! En effet, si toute la partie du haut de son corps de sa taille jusquà sa tête ne changea pas ainsi que sa verge qui resta de forme humaine, toute la partie inférieure, sous la taille se transforma en corps de cheval tel un centaure. Mais un centaure ailé car au niveau du garrot, de chaque côté du haut des pattes avants une aile avait poussé. Cette transformation se passa si vite, quHélène neut même pas le temps de réagir. Le centaure senvola tout en la maintenant fermement par la taille de ses solides bras humains afin de ne pas la faire tomber. Hélène, instinctivement pour ne pas chuter, se tenait solidement aux poignets de lhomme-cheval ailé. Et en quelques coups dailes, celui-ci arriva assez rapidement tout en haut du Mont Pélion. Là, il déposa délicatement à terre la belle Troyenne et lui dit avec beaucoup de reconnaissance, de gentillesse :
- Merci, belle Hélène, merci ! Grâce à Apollon et à toi, jai retrouvé ma mémoire et mon véritable corps dhomme-cheval ailé. Oui
tout me revient à lesprit, à présent !
Voila
Je suis Pégase, centaure-cheval ailé et ami de longue date dApollon ! On dit de moi que je suis le symbole de la sagesse et de la poésie
Un jour, une méchante divinité au nom de Chimère, Fille de Typhon et d'Échidna, ma jeté un sort motivé par sa méchanceté envers tous ceux qui sont amis à Apollon, son ennemi juré. Elle me fit captif et me prévint quelle me changeait en homme et me privait de ma mémoire. Et que seule une éjaculation dans le corps dune mortelle me rendrait mon apparence et ma mémoire, mais que ça ne risquerai pas darriver car elle menferma dans le gouffre du Chaos. Apollon mest venu en aide et sil ne pouvait pas conjurer le mauvais sort de Chimère, il réussit à me faire sortir du Chaos et à me faire apparaitre loin du gouffre, soit ici et ce matin. Mais il ne put pas me guérir du sort de mon amnésie chronique et donc même cela je ne men souvenais plus, que cest donc, oui, grâce à mon ami Apollon que je suis en ce lieu. Je ne me souvenais pas non plus de sa poudre divine quil lança sur mon corps dhumain, poudre qui provoque le charme, lamour et lenvie de copuler à tous ceux qui fixerait mon regard et ceci afin que je puisse éjaculer au plus vite pour me retrouver comme avant le sort de Chimère
Je suppose que cest Apollon qui sest arrangé pour que ce soit toi qui vienne me sauver
Pégase arrêta ses explications, tout était dit ! Il arborait un large sourire, cette fois sans que ce soit sous les effets de la poudre Divine qui laurait provoqué, mais un sourire ayant pour cause une sincère reconnaissance envers Hélène. Celle-ci sourit, heureuse car elle comprit que cette deuxième épreuve était, au final, une belle opération de secours envers un ami proche du Divin Apollon et que Celui-ci sest servi delle pour cette bonne cause
Alors elle leva les yeux, heureuse davoir fait lamour à un merveilleux amant, tout en ayant fait, malgré elle, une bonne action ! Elle regarda les nombreux nuages
et un dans le ciel avait lair de se détacher des autres car il avait la forme dun visage bienveillant : La Belle Hélène comprit, alors et sans aucun doute, quApollon était en train de lui faire comprendre quil était content delle ...
(A suivre
)
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