Hébergée Chez Ma Soeur

J’ai trouvé du travail temporaire pour les fêtes près de chez ma sœur et son mari, aussi par soucis d’économie c’est eux qui m’héberge, j’ai dix-neuf ans et ma sœur Judith vingt-six, mon beau-frère Didier trente
Beau-frère n’est pas usurpé, il est magnifique, rugbyman bien gaulé, très viril, parfois un peu macho, j’ai remarqué qu’il louchait souvent sur certaines parties de mon corps, dire que ça me laisse indifférente serait faux, mais je ne veux pas créer d’embrouilles aussi je me tiens à ma place
j’imagine ma sœur aussi fluette que moi entre ses bras, quelle puissance il dégage, quels rapports intimes fougueux … d’autant plus qu’il ne se gêne pas pour lui mettre la main aux fesses devant moi, sans compter le soir seule dans mon grand lit j’entends les cris étouffés de ma sœur qui subit ( façon de parler !) les outrages répétés durant deux bonnes heures ,ce qui fait que je m’endors avec mes doigt et ma toison trempés
Le samedi ils sont habitués à faire la fête, recevoir ou sortir, j’ai l’impression d’être un boulet, célibataire seule dans mon coin, un jour Didier a eu une idée qui ne m’enchantait pas plus que ça mais difficile de dire non lorsque c’est pour me distraire
- Ursula, samedi j’invite Jonathan, un pote célibataire ainsi vous pourrez faire connaissance et plus si affinité
- C’est gentil Didier mais je préfère être seule
- Ne dis pas non, si tu refuses ce weekend nous ne serons que tous les trois à nous bader dans le blanc des yeux !
- Ah … dans ce cas je veux bien te faire plaisir
- Je suis certain que tu le trouveras à ton goût sœurette, en plus d’être bel homme il est drôle et sympas
- Nous allons faire la fête, champagne à gogo !
- Ne vas pas nous souler afin de profiter de nos corps !
- Juste ce qu’il faut pour rompre la chianlie
J’appréhendais cette soirée, Judith m’a proposé de me prêter des fringues que je trouve ‘olé-olé, je n’ai pas l’habitude de me lâcher, mais la présence de ma sœur me rassure et je décide de jouer le jeu quoiqu’il arrive
‘il’ est arrivé cet ami ! c’est vrai qu’il est mignon … mais plus ‘efféminé’ que mon beau-frère, les discutions se mélanges, pluie, beau temps, des explications sur mes études, ça me gave ! jusqu'à ce que Didier change radicalement de sujet
- Parle-nous de tes amours Ursula ?
- Houlàlà ! pas grand-chose à en dire, c’est le grand calme
- Rassure-nous, tu n’es plus vierge ?
- Eh bien chéri ? ce n’est pas une question à poser à une jeune fille !
- Ça ne me gêne absolument pas, non, c’est assez récent mais je ne le suis plus
- Avec un vieux ? un jeune ?
- Un homme plus vieux que moi, qui savait de quoi il parlait, j’en garde un très bon souvenir
- Donc, tu es branchée ‘la trentaine’ ?
- Si tu veux insinuer de votre âge c’est oui, sans contestations
- Hein Jonathan ? nous savons parler aux femmes, n’est-ce pas ?
- J’avoue avoir une certaine expérience, mais je n’oserais jamais faire des propositions déplacées à ta belle-sœur
- Tu as tort, je me la ferais bien, regarde-moi ce p’tit cul
- Chéri ? je suis là !
En disant cela il m’a carrément mit une main au derrière, son majeur en avant m’a fait rentrer le mini string que ma sœur m’a généreusement prêté dans la chatte
- Et alors ? Jonathan n’a qu’à s’occuper de toi, depuis le temps que tu me dis qu’il est super mignon
- C’est vrai Judith ? je suis flatté, je te kif aussi
- Si nous allions nous coucher tous les deux Ursula ?
- Arrête Didier sinon je me laisse faire par ton pote
- Il n’osera jamais !
- Que tu dis, regarde …
Ma sœur s’approche de Jonathan et l’embrasse sur la bouche, celui-ci surpris essais dans un premier temps de se reculer mais je pense que la présence de la langue dans sa bouche l’a fait changer d’avis, ils sont maintenant enlacés comme s’ils étaient seuls au monde, la jambe de l’homme s’insinue entre celles de ma sœur qui ouvre les siennes, les mains masculine pelotent virilement la poitrine, tout d’abord par-dessus le corsage puis pénètre par le décolleté
- Ma parole il va la baiser debout ce con !
- C’est ta faute, tu les as provoqués
- Ça te dirait de faire comme eux poussinette ?
- DIDIER !!!
- Ne joue pas les effarouchées, je sais que tu nous épie le soir
- Bah ! si vous faisiez moins de bruit aussi
Tout en parlant Didier s’est approché a me toucher, il pose son bras sur mon épaule, une onde électrique traverse mon corps me faisant tressaillir, ça ne lui échappe pas, d’un mouvement autoritaire il me tourne face à lui, nos regards s’accrochent, je suis déjà en eau … je passe un bras autour de son cou.

.. J’aime son haleine …c’en est fait de moi, mes genoux s’ouvrent généreusement lorsque sa main se faufile entre mes cuisses, comme dans un brouillard j’entends ma sœur se féliciter à voix basse…
- Regarde ! regarde ! ils sont branchés !
- C’est bon pour nous !
- J’ai envie de ta bite Jonathan
- Sort là moi, elle est toute raide
- Je suis trempée entre les cuisses
- Ursula aussi, regarde, il lui écarte le slip
- J’m’en fous, c’est ma sœur après tout, je vais m’assoir sur le coin de la table
- Allonge-toi Ici, je vais te bouffer le mille-feuille
- Tire sur ma culotte …
- Elle colle à ta chatte !
Je n’ai plus suivit leur conversation… Didier me fouille carrément la chatte, gênée par la présence de ma sœur je me retourne les avants bras appuyés sur le buffet en merisier de la salle à manger, prenant bien soin de reculer mon cul et d’écarter les pieds afin qu’il puisse me ‘travailler’ à son aise, ce qu’il fait sans tarder en retrousser ma minijupe sur mes reins et baisser ma culotte
Que s’est-il passé ? Normalement je devais me faire baiser par le copain ? après tout je préfère y passer avec mon beau-frère, mais ? est-ce que ma sœur et Jonathan ne se connaissaient pas avant ?? en tous cas elle se laisse bruyamment limer la moule sur la table
- Mais je connais ce string ! je l’ai amidonné des fois et des fois ! si ça se trouve je ne suis pas le seul à l’avoir fait ! tu es bien ouverte salope !
Quel pied de se faire tripoter la moule ainsi, je jette un dernier coup d’œil dans le grand miroir pour voir Judith se faire enfiler sur la table, mon amant sait caresser une chatte en l’ouvrant , la doigtant sans trop enfoncer inutilement ses doigts, la pinçant, la grattant juste là où il faut, tirant sur les lèvres
- Espèce de petite sainte-nitouche, en fait tu es une bonne chaudasse, je vais te ruiner la chatounette, ne bouge plus …
Je pose ma tête sur ma main et attend le moment ou son gland va me pourfendre, j’entends qu’il baisse son pantalon, ensuite une main passe devant pour maintenir ma chatte ouverte avec deux doigts tandis que l’autre guide son membre sur mon orifice secoué de spasmes, j’ai le souffle coupé lorsqu’il s’enfonce d’un seul trait dans mon ventre peu habitué a de gros calibres, s’il bouge trop je vais certainement hurler comme le fait ma sœur certains soirs
Me saisissant par le haut des cuisses Didier sort au trois quarts de mon vagin pour y revenir d’un coup de reins viril … premier gémissement, contrôlé, sinon je braillais de joie
- Écoute Jonathan ma sœur se fait troncher par mon mari
- Tu gueule fort toi aussi lorsqu’il te baise ?
- Boff, la plupart du temps je simule
- Comme en ce moment ?
- Idiot tu sais bien que ta queue me fait du bien
- Pourtant elle est moins grosse que celle de Didier ?
- Justement, baise moi donc au lieu de parler pour rien
Quelle salope ! hé bien je vais lui faire voir comment son mec me fait grimper aux rideaux
- Va-y Didier bourre moi le con ! fait moi péter de joie
- Tu vas péter et pisser ! tien !tien !tien ! tien ! tien…….
.TIENNNNNNNNNNN
- OOOOUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIII !je jooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiis !
- Didier ! va doucement avec ma sœur
- Fait toi troncher par ton amant et fout moi la paix, Ursula, vient t’assoir sur le canapé
- Pour quoi faire ?
- Je vais te décontracter l’anus avec ma langue avant de te sodomiser
- T’est fou ?
- Alors je vais le faire à ta sœur, elle en raffole
- Non-non ! je suis d’accord !
Il m’entraine vers le canapé où je me laisse tomber cuisses écartées, je relève mes jambes tandis que la bouche masculine broute goulument mon minou détrempé et souillé de foutre…après avoir fait le ménage la langue se fait dure et dévie deux centimètres plus bas … un vrai délice !
Il entre aussi loin qu’il le peut (et ce mec doit pouvoir se lécher le nez !) avant de remplacer l’appendice buccal par deux doigts qu’il introduit jusqu'à la deuxième phalange, je me sens ouverte et prête à ce sacrifice
- Vient te pencher sur l’accoudoir Ursula
- Je ne pourrais pas m’échapper …
- Évidemment, c’est fait pour !
J’obéis pour tester cet acte et aussi pour défier ma sœur, la croupe en l’air, pied écartés, je suis consciente de ma position indécente, Didier se régale de la vue que je lui offre, il recommence à doigter mes orifices dans un bruit plus que mouillé avant de se coller à moi, il badigeonne l’écoulement qui suinte encore de ma chatte en se servant de sa queue comme d’un pinceau allant d’un trou à l’autre, il teste une ou deux fois mon élasticité en poussant sur mon rectum
- Tu es bonne à prendre...
- Préviens-moi …aaaaaaaaaaaahhhhhh salaud !!!!!!
- Si je t’avais prévenue tu aurais été tendue et donc resserrée, tu as mal ?
- …. Non ….
- Tu encule ma sœur gros vicieux ?
- T’es jalouse ? demande a ton chéri de te mettre son vermicelle au cul !
- Allons dans la chambre Jonathan, laissons les baiser en paix
- Je crois que je vais vous laisser en famille
- Quel con celui-là !
- Aller chérie, laisse le partir, pas d’embrouilles entre nous, vient te mettre à côté de ta sœur je vais vous troncher l’une après l’autre !
- Charmant programme ! ça me va !! pousse-toi un peu Ursula !!

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