La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°929)
Marion au Château (suite de l'épisode N°927)
Et tandis que je me déplaçais à quatre pattes pour lui obéir, il se saisit d'une badine, se mit au centre du carré que formaient les chiens, et tout en tournant sur lui-même, leur appliquait des coups sur leurs culs et leurs dos. En fait, Walter faisait tout pour nous tenir éloigner des pièces principales du Château pour ne pas que nous puissions voir la moindre petite chose des préparations des festivités du soir
Effectivement le Château était en effervescence. Deux salles étaient apprêtées, une pour chaque cérémonie du soir. Lune en bleue et rouge pour lentrée des chiens dans lEnclos, et lautre en bleue et blanc pour lentrée de soumise Marion MDE au Cachot et son changement de nom. Tous les chiens, chiennes, soumis, soumises, esclaves, MDE ou non, sous le joug de Monsieur le Marquis étaient mis à contribution. Outre les décorations, les repas, lentretien de tout le Château, il ne fallait pas oublier que les Invités du dîner de la veille étaient toujours là et quils ne comptaient pas rester à ne rien faire dans cette magnifique demeure ancestrale. Surtout que même si on se rapprochait petit à petit du printemps, les journées étaient encore froides, et ce jour était bien maussade ne donnant pas spécialement envie dune balade sur les Terres du Châtelain. Quoique
Monsieur le Comte et Madame la Comtesse dOrlan eurent envie de visiter les différents bâtiments de la propriété, et en voyant les écuries, ils voulurent faire une balade en sulky. Ils en exigèrent deux, ayant une petite idée en tête, ainsi quune pony-girl et un pony-boy. Certaines disciplines étaient imposées à tout le Cheptel, mais pour dautres pratiques, Monsieur le Marquis, après avoir décelé des aptitudes certaines, poussait certains de Ses soumis dans la spécialisation de lune ou lautre. Deux esclaves arrivèrent, magnifiquement modelés par lexercice, une musculature visiblement acquise après de très longs entraînements.
Au vu des températures, ils eurent le droit de passer un catsuit en latex. On leur plaça un harnais de torse afin de pouvoir être attelés ensuite, après quon leur eu posé auparavant une couverture déquitation. Il nétait pas question que des équidés de Monsieur le Marquis puissent tomber malades pour une sortie mal préparée ! Par-dessus, leur habituel collier en cuir portant leur nom, le Comte leur mit un collier haut, pour un plus beau port de tête et tiré vers larrière. Le catsuit était ouvert au niveau des orifices, ce qui permit à la Comtesse denfoncer dans le fondement de chacun un plug avec une magnifique queue de cheval, brune pour la femelle, noire pour le mâle. Une sorte de camisole tenait les coudes plaqués au torse et pliés à un angle 90°, leur mains-sabots retombant naturellement
Ils furent tous les deux attelés à un sulky, le Comte montant dans celui tiré par le mâle, la Comtesse dans celui tiré par la femelle. La voix du Comte séleva.
- Écoutez bien tous les deux ! Nous allons vous échauffer pendant un quart dheure, et ensuite nous ferons une course. Celui qui lemportera aura le droit de rentrer, nous accompagnant dans nos appartements et pourra jouir à volonté de ce que nous lui infligerons. Celui qui perdra sera fouetter, le temps que nous le déciderons, puis devra assister à nos ébats, dans une position inconfortable, et naura aucun droit à la jouissance. Avez-vous compris ce que lon attendait de vous ?
Et en bons équidés quils étaient, les deux esclaves poussèrent un magnifique hennissement en bougeant la tête de bas en haut pour répondre par laffirmatif à la question qui leurs était posée.
Les deux esclaves furent dételés, puis conduit dans lécurie pour être bouchonnés, tels de vrais chevaux, avec de la paille, étriller, bref, nettoyés après cet exercice difficile, pendant que le noble couple se dirigeait vers le Château après avoir donné des instructions aux garçons décurie, sur ce quils devaient faire des deux équidés. Quand ils furent secs, ils furent conduits dans le Donjon du Château. Le couple était assis dans de magnifiques fauteuils confortables, couverts de velours rouge et brodés dor. Les deux soumis vinrent se prosterner devant eux.
- Toi ! (Sa voix était glaciale et sévère.) Tu as osé me faire perdre devant ma femme. Tu vas ressentir mon courroux, je peux te lassurer !
Le pauvre esclave commençait à trembler, appréhendant sérieusement la colère du Comte. Celui-ci séloigna et dès quil revint, il fit tomber un coup de fouet cinglant sur le dos du puni, qui ne put retenir un cri, nayant pas entendu lhomme revenir et ne sattendant pas à sentir cet instrument sur sa peau.
- Eh bien cabot ! Oublierais-tu les bonnes manières ? Interdiction de pousser le moindre cri, le moindre soupir, animal !
Et il reprit la sanction, fouettant lesclave dabord en position prosternée, position quil navait pas quittée depuis quil était entré dans la pièce. Puis il lattacha à des anneaux pendant du plafond par les poignets, ainsi que les chevilles dans des anneaux fixés au sol. Il tournait autour du pénitent et aucune partie de son corps ne fut épargnée pas même les plus sensibles. La correction était sévère, la lanière du fouet marquait sans relâche la peau, sans pour autant la blesser sérieusement. Le Comte ne se serait pas permis dabimer un des soumis de Monsieur le Marquis. Mais il voulait que le soumis porte les marques de son courroux un certain temps. Il en avait dailleurs informé le Maître des lieux durant le bouchonnage, afin de ne pas commettre de bévues. Il ne sarrêta quau bout dune demi-heure, lorsque son bras commença réellement à se fatiguer. Lexcitation de lesclave était bien visible car être fouetté ainsi lavais véritablement mis en forte érection. Le Comte plaça une planche sur le sol et ordonna à lesclave mâle de sy tenir à genoux, sur la tranche.
- Bien à toi maintenant, belle petite pouliche ! dit doucement la Comtesse. Je suis fière de toi. Jaime gagner les défis que me lancent mon mari ! (Celui-ci souriait, mais on voyait que son sourire était faux, il supportait mal la défaite.) Tu as le droit de jouir autant que tu le voudras, cest ta récompense. Mais il te faut accepter tout ce que nous pourrons te faire.
Lesclave femelle baissa un peu plus la tête en signe dacceptation. Le Comte décida de rester un peu en retrait tandis que sa femme allongeait la soumise sur le sol et commençait à la caresser doucement, puis lembrassa de plus en plus fougueusement. Elle faisait glisser ses mains sur la peau légèrement halée de la femelle. Sa main descendit jusquà son triangle intime. Elle jouait délicieusement avec son clito, pendant quelle lui tétait et mordillait les tétons. Puis elle la doigta, avec dabord un doigt, puis deux, puis trois. Ses va-et-vient saccéléraient. Et alors que la soumise allait jouir, le Comte arriva et retira la main de sa femme de la grotte dégoulinante où elle sétait enfouie. Il lembrassa passionnément, tandis que la jeune femme était frustrée et délaissée. Le couple sinstalla à côté delle sans lui prêter plus dattention et commença des préliminaires sulfureux. Mais la Comtesse qui avait compris ce quessayait de faire son mari, sourit et séloigna pour mettre sa tête entre les cuisses de la soumise, commençant un savant léchage qui amena rapidement la jeune femme au bord du précipice. Là encore le Comte intervint, éloignant délicatement sa femme, et se pencha à son tour sur la femelle. Mais ce fut pour lui mettre des pinces mordantes à ses tétons.
La pauvre passait du chaud au froid, elle bouillait de lintérieur, sa chatte en feu. Le Comte lui faisait payer également sa défaite, et sa femme le laissait plus ou moins faire. Après tout peu importait les états dâmes dune esclave ! Elle avait gagné devant son mari, seul cela limportait ! Tant pis si la jeune femme narrivait pas au moins une fois à jouir ! Cela dura une bonne heure, la Comtesse emmenant la soumise aux portes de lorgasme, le Comte interrompant sa femme et torturant délicieusement lesclave. Et puis il décida de changer de tactique. Il retourna la soumise, et lenfila sans préambule, ce qui se fit sans difficulté vu son état dexcitation et sa chatte littéralement dégoulinante de mouille. Il la pénétra avec tant de forces, la soumise était sur le fil du rasoir depuis tant de temps, quelle jouit instantanément. Il continua cependant à la besogner de toutes ses forces, ça en était presque douloureux pour la femelle, mais cétait tellement excitant pour tous les deux. Elle jouit dailleurs deux autres fois, avant que le Comte ne se vide en elle, pour sécrouler ensuite sur elle.
Le Comte et la Comtesse les laissèrent tous les deux là sans leur donner la moindre instruction. Au bout dune vingtaine de minutes, Marie la cuisinière vint les chercher. Elle emmena avec elle la femelle, et dit au mâle quil devait se hâtait de gagner le bureau de Monsieur le Marquis. A ces mots, il trembla de tous ses membres, se doutant que ce nétait certainement pas pour le féliciter. Quand il frappa à la porte fatidique, il avait la nausée. La sanction lavait affaibli physiquement. Marie, avant de le laisser partir, lui avait enlevé tous ses accessoires, ce qui lui avait arraché des grimaces douloureuses. Sur lordre du Maître, il ouvrit la porte, la referma derrière lui, et se dirigea vers le centre de la pièce à quatre pattes, avant de se prosterner en direction du bureau. Le Marquis, qui y était assis, continua ce quil était en train de faire, sans soccuper du soumis qui tremblait de plus en plus, et transpirait, pendant un bon quart dheure. Puis le Noble se leva, tourna autour de lui, tel un vautour survolant sa proie.
- Je nai pas eu de bons échos à ton propos aujourdhui, ce qui me contrarie sérieusement ! (Ses mots résonnaient dans le silence de la pièce) Je connais tes capacités, ainsi que celles de la femelle qui concourrait contre toi. Vous étiez choisi de manière à satisfaire Monsieur le Comte en particulier, pour des raisons qui ne te concernent pas. Peux-tu expliquer ton manque dimplications dans cette course ? Commencerais-tu à te lasser dêtre sous Mon joug ? Parle, je ty autorise.
- Oh Maître ! Bien sûr que non je ne me lasse pas de Vous appartenir ! Je nai prévenu personne, je ne voulais pas causer dembarras à qui que ce soit. Mais cela fait une semaine que je ne me sens pas très bien. Jai des maux de tête douloureux et persistants, des courbatures, je dors mal, et je dois bien avouer que mon endurance a diminué depuis surtout quand il faut tracter une charge telle quun être humain.
- Bien ! Alors tu as désobéi par deux fois, avant cette course. Tu sais que je tiens à la bonne santé de tous ceux qui mappartiennent pour pouvoir être performant dès que cela leur est exigé. Et dans aucun cas, tu nes autorisé à prendre une décision, telle que de décider si oui ou non tu peux faire de la rétention dinformations ! Et de plus, lorsque Monsieur le Comte dOrlan a voulu te sanctionner, tu nas pas été capable de te retenir de crier, après toutes ces années sous Mon joug. Tu mérites donc une sanction exemplaire. Tu vas être enfermé dans une des caves, tu nauras aucun contact avec personne. Aux heures des repas, tu entendras tinter une clochette. À ce moment-là, tu devras te bander les yeux et te prosterner dos à la porte. Tu nauras droit à aucune parole, aucune activité autre que celle de penser à tes actes. Tu vas aller dans le bureau de Walter, tu vas te mettre à genoux dans langle de la pièce le plus éloigné de la porte, et tu attendras le temps quil faudra quil vienne te chercher pour te mener au lieu où tu subiras ta sanction. Maintenant, va-t-en, et arrange-toi pour ne pas lever les yeux sur Moi, tu ne mérites pas ce privilège.
Le soumis sétait décomposé pendant le discours du Maître, il tremblait comme une feuille, et des larmes silencieuses roulaient sur ses joues. Il savait que les prochains jours allaient être particulièrement longs. Il attendit longtemps le Majordome, occupé avec les chiens qui allaient entrer dans lEnclos et soumise Marion MDE qui allait entrer dans les Cachots. Il arriva le soir, juste avant les cérémonies, et il pressa lesclave pour vite terminer cette tâche, car dautres obligations pour les festivités lattendaient
. La journée se passa donc ainsi, le Cheptel de Monsieur le Marquis uvrant dans le Château à différentes tâches domestiques, les Invités de la veille qui prenaient du plaisir comme bon leur semblait, usant et abusant des soumis et esclaves dont ils voulaient bien soccuper. Et la soirée tant attendue par quatre mâles et une femelle arriva enfin
(A suivre
)
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