Tina Au Cinéma
Fais-toi belle chérie, ce soir je te sors !
Celui qui parle cest Jean, mon mari et amoureux : toujours envie de me faire plaisir, même sil est crevé en ce moment car il ne touche pas terre au boulot.
Cest gentil chéri mais ce nest pas obligé tu sais : si tu veux on se fait une pizza/home cinéma tranquille, je sais que tes fatigué en ce moment.
Non jinsiste, le cinéma on se le fera en vrai ! Mais on va aller manger un morceau dabord.
Cest tout Jean : tendre et affectueux, mais pas romantique pour deux sous, aussi nous retrouvons nous dans un Campanile, au milieu des couples illégitimes et de représentants de commerce en goguette.
Mais bon, nous nous aimons, la nourriture nest pas si mal après tout, et puis il faut dire que certains de ces représentants ne sont pas vilains à regarder : en témoigne ce beau quinqua aux cheveux argentés et à la mise impeccable
auquel Jean tourne le dos et sur lequel mon regard sattarde peut-être un peu plus que de raison.
Horreur ! Il ma repéré et, après un grand sourire cherchant ma complicité, il ne se prive pas de me détailler non plus. Il faut dire quil doit avoir un panorama assez sympathique puisque nous ne sommes pas assis totalement en face lun de lautre Jean et moi, ce qui met ce charmant monsieur dans une parfait position de voyeur de mes gambettes gainées de bas résille (oui, on ne sort pas tous les jours, alors
).
Dailleurs, il améliore ostensiblement sa position dobservation, se déplaçant droit dans laxe de mon entrejambe, pourtant bien protégé par mes cuisses bien serrées, au demeurant.
Allez, concentre toi pauvre pomme, tes là avec ton amoureux et ton esprit divague
Joublie ostensiblement ce dragueur des motels et reviens vers mon amoureux. Comme dhabitude, il me charme et me fait rire, que je laime. Aussi cest dans un élan damour fougueux que je me penche vers lui et lembrasse à pleine bouche.
Mais voilà mon il attirée à nouveau vers mon quinqua dragueur au moment où je me rassieds : il applaudit en silence et me signifie, en désignant son poitrail, que je lui ai manifestement offert une jolie vue en embrassant Jean.
Il faut dire que, dans le même esprit que mes bas, javais mis un décolleté assez plongeant et que dans la position dans laquelle jétais il na pas du rater grand-chose de ma poitrine ! Mais quel outrecuidant ! Et le voilà qui a empoigné son sexe à travers son pantalon de toile, me montrant par là son exact volume, qui me fait faire un « oh » de la bouche !
Je fais mine dêtre contrariée à son attention et reprends ma conversation avec Jean, en essayant de ne pas penser à ce bellâtre. Pourtant, alors que je pense à ses yeux sur mes seins et à cette forme appétissante entrevue dans son pantalon, une douce chaleur minvestit petit à petit et jécarte délicatement mes jambes, sans avoir lair dy penser.
Il veut mater, quil mate ! Cest pas Jean qui dormira sur la béquille ce soir !
Je le vois qui réagit dans mon champ de vision mais mefforce de ne pas le regarder. Je croise et décroise mes jambes sans calculer ce que cette démarche dévoile de mes jambes, et mes croisements sont de moins en moins rapides
.Jai une pensée pour Sharon Stone et je souris
.Mais elle navait pas de culotte, elle !
Jean me quitte quelques minutes pour aller aux toilettes et mon regard tombe, comme par hasard et après un détour savamment calculé, sur mon mateur
..qui nest plus là ! Ah elle est belle lexhibitionniste sans mateur !
Alors que je me moque de moi-même et le cherche quand même des yeux dans le restaurant, jentends une voix derrière moi : » vous avez perdu quelque chose ? »
Je me retourne et vois mon bel inconnu, tenant devant lui un menu du restaurant dune manière un peu étrange.
« Je crois que cest ça que vous cherchez » me dit-il en tournant le menu de manière à ce quil ny ait que moi qui vois son sexe en érection qui menace de déchirer son pantalon.
« Vous pouvez le toucher, si vous le voulez » !
« Mais enfin ça ne va pas, je suis mariée !! » lui dis-je en rougissant pire quune pivoine, et en ayant du mal à quitter des yeux son sexe.
« Oui, et cest pas à ton mari que tu montrais ta culotte, petite salope ! Prends ma bite dans ta main maintenant !»
Ce passage au tutoiement ainsi que cet ordre intimé achèvent de me déstabiliser : « mais enfin, je
.je
» fais-je en approchant ma main, comme sidérée.
Puis soudain en voyant Jean sortir des toilettes je me reprends, et ce voyant, mon bourreau comprends que son instant de chance est passé et se retire prestement, avec son mat de bateau quil cache difficilement, faisant quelques pas de danse qui ne manquent pas de me faire sourire.
Je narrive pas à croire ce qui vient de se passer : il ma ordonné de lui toucher le sexe et jai failli le faire, en public, dans un restaurant, avec Jean pas loin
Jean arrive « ça va chérie, tu es toute rouge ? »
« Oui mon amour, cest leur clim, je vais me rafraichir aux toilettes et je reviens »
Je méclipse donc, passant devant mon mateur-bourreau qui na plus de menu pour se cacher et ne peut me suivre, je jubile ! Il va voir ce quil va voir, je ne vais pas me laisser faire comme ça !
Comme je lavais senti, ma culotte est bien trempée, il ma retourné le cerveau ce coquin !
Je lenlève prestement, un petit sourire au miroir (je suis belle ce soir !) et je reviens en salle.
Passant près du charmant quinqua, je lui glisse « vous savez, jaime follement mon mari, mais je vous souhaite néanmoins une bonne fin de soirée », en déposant ma culotte sur sa protubérance, sans mempêcher dailleurs den éprouver la solidité !
Quelques minutes plus tard nous sommes dehors, en direction du cinéma tout proche, je suis si chaude que lair frais qui vient caresser mon petit abricot libre de toute entrave est un vrai délice.
A ma demande, nous nous mettons plutôt vers le fond de la salle, et à peine la lumière éteinte, je me fais chatte envers Jean qui nen demandait pas tant : en même temps que je lembrasse langoureusement, je défais sa ceinture et les boutons de sa braguette et commence à le caresser avec entrain.
Très rapidement je jette un coup dil alentour et me penche vers lobjet de ma convoitise pour le prendre en bouche.
Mais son sexe, qui était bien dur la seconde davant, ramollit petit à petit sous mes efforts
.je me lève pour demander à Jean si cela ne lui plait pas quand je me rends compte quil dort !!
En même temps je connaissais son état de fatigue, mais bon, ça nen est pas moins frustrant, et mon égo en prend un coup !
Cest alors que je rumine ceci en me demandant quel film on est venu voir déjà que jentends murmurer « cest frustrant hein, quand on a très envie mais quon ne peut pas
»
Je me retourne et vois le commercial du Campanile goguenard qui me regarde avec un sourire entendu dans la rangée de derrière, faisant tourner ma culotte au bout de ses doigts.
De son autre main il me désigne un point plus bas et, bien que sachant que je ne devrais pas regarder, je porte mon regard sur son sexe, cette fois sorti de son pantalon, qui se dresse fièrement vers son ventre quil touche dailleurs : « allez viens
»
« Je
je
. »,
« tu las déjà dit ça ! Viens ! »
Je jette un il à Jean qui dort comme un bébé, son escargot tout remplié et je pense à ce que je viens de voir derrière moi. La raison méchappe : je me lève et fais le tour pour parvenir dans sa travée.
Plus je mapproche de lui et plus je sens ses ondes de confiance irradier autour de lui : ce mec sait ce quil veut, et il obtient ce quil veut, cest comme ça. Et ce constat finit à la fois de mexciter et de me libérer : après tout, ce nest pas de ma faute.
Aussi quand jarrive à quelques centimètres de lui jattends quil me dise quoi faire. Ce qui ne tarde pas : « à genoux petite salope ! ». Telle une automate je mexécute et me retrouve nez à nez avec son engin de compétition, je le regarde dans les yeux »
.. « allez ! »
Et alors plus rien ne compte que ce beau sexe bien tendu : je latt, le malaxe, le masturbe doucement avant de le prendre dans ma bouche et de tenter de lenfoncer le plus loin possible.
Je lentends soupirer daise et je constate quil ne faiblit pas, bien au contraire, son sexe est dune étonnante rigidité que jéprouve en le malmenant un peu, en alternant avec des prises en bouche et des léchages du gland jusquaux couilles. Je fais une pause avec ma bouche, et le branle fermement en le regardant dans les yeux, tout en griffant ses couilles, je sens son périnée qui se tend
« Je te savais » me dit-il en me faisant me remettre debout.
« Viens devant moi et écarte tes jambes ! »
Ses mains passent alors sous mes cuisses et il me soulève comme si jétais un fétu de paille !
Déposant finalement mes pieds sur les accoudoirs il me porte à sa bouche, là, en plein cinéma !!
Cest la panique pour moi : je me fais manger la chatte à la vue de tous, avec mon mari qui dort juste devant !! Je jette un coup dil et ouf
.nous sommes quand même bien au fond, et le film étant plutôt un polar assez noir, peu de lumière parvient jusquà nous.
Mais ces préoccupations laissent vite place au plaisir quil me procure, est-ce la position, lexcitation de la situation, mais je pars à une vitesse folle, je sens que je lui coule sur la langue, il avale tout consciencieusement.
« Tu aimes ça magnifique petite cochonne
» me dit-il en me redescendant des accoudoirs tout en gardant ses bras sous mes cuisses. La position devient vite instable, jusquà ce que je trouve sa bite damarrage sur ma route et quil my dépose, doucement mais fermement.
Centimètre après centimètre je la sens entrer en moi et, à la place de « avez-vous mis un préservatif ? », ou « je ne suis pas celle que vous croyez » je lui dis « ahhhhhhhhhh ouiiiiiiiiii ».
Sa queue est bonne, jen ai des étoiles dans les yeux alors que mes cuisses touchent les siennes et quelle est au plus profond de moi.
Il me regarde avec le sourire : « à toi maintenant ». Alors je commence à onduler autour de son engin, dabord tout doucement, le temps de mhabi au calibre, puis de plus en plus fort.
Accrochée à ses épaules, je monte et descend sans pudeur ni aide extérieure, seraient-ce ses mains qui parfois viennent me malaxer les fesses, mélectrisant de plus belle à chaque fois. Il tente de membrasser mais je ne le veux pas, ça cest à Jean exclusivement, par contre je mapproche de son oreille et lui délivre le plus doux des messages : « ouiiiiii, cest bon, elle est bonne ta queue, oui att moi les fesses encore comme ça, sors mes seins et lèche les moi », je vois quil perd un peu de son flegme et quil commence à accuser le coup aussi : « alors petit vicieux, elles sont bonnes les femmes mariées, hein ??? »
« Oh oui, mais jamais comme toi » me dit-t-il en me bouffant les seins. Alors quil me mort les tétons je pars à nouveau dans un grand feulement contenu dont ne profite que son oreille droite : « je jouiiiiiis ».
« je viens aussi ! » me dit-il avec ce désespoir quont les hommes en prononçant cette phrase !
Alors je sors de sur lui et me remets à genoux devant lui, et tandis quil éjacule à grands traits dans ma bouche, je laspire jusquà la dernière goutte, le laissant les bras tétanisés sur les accoudoirs de son fauteuil !
Me relevant, et ramenant une goutte échappée à la commissure de mes lèvres, je me penche vers lui et lembrasse langoureusement, partageant ainsi avec lui le goût de nos ébats
Eh oui, il faut savoir oublier ses principes parfois, surtout quand cest très bon !
Et je file me rassoir avec Jean, qui séveille me disant « je me suis endormi, cétait bien ? »
« Franchement chéri, je naurais pas vu le film que ça naurait pas été différent ! «
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