Improbable Rencontre - 05

Mes amis s'inquiètent à tort pour moi. Je ne suis pas triste de ne plus être avec Stefan. J'en suis même … soulagé ; et d'autant plus content que c'est moi qui suis parti. Ou plutôt qui l'ai chassé. Cela semblait même lui faire plaisir. Il n'a même pas cherché à se défendre ni à essayer de rester. Pour lui, notre relation était morte depuis bien longtemps ou, plutôt, elle n'avait jamais existé.

Au début, c'était difficile et j'ai essayé de me noyer dans mon travail pour oublier. C'était plus efficace et stimulant. Depuis, je déjeune régulièrement avec Eliott, un de mes amis ; chose que je ne faisais pas avant. Un midi, visiblement embarrassé, il me demande si je peux le remplacer pour la surveillance du concours d'entrée de son école d'ingénieur. Il est témoin au mariage d'un de ses cousins et ne peut pas assurer la surveillance. Espérant me convaincre, il m'annonce que c'est rémunéré. Ce n'est pas l'argent qui m'intéresse (même si c'est toujours agréable d'arrondir ses fins de mois) mais l'expérience que je trouve originale : surveiller des mecs et des filles entre 19 et 25 ans qui s'épuisent les neurones sur leur copie. J'ai envie d'accepter. Provocateur, je réponds à mon ami : « Encule-moi et c'est d'accord ! ». Son visage décontenancé me fait rire.

Cette fois-ci, c'est moi qui l'invite. Je paye au comptoir puis me rends aux toilettes. Alors que je défaisais ma braguette devant les urinoirs, Eliott entre brusquement, me prend fermement le bras pour me pousser dans une cabine et verrouille la porte. Il me plaque contre le mur et se colle à mon dos :
« Avec ou sans préliminaires ? me demande-t-il
- Je dois être au bureau dans 20 minutes, à toi de voir !
- C'est le temps qu'il me faut pour foutre mon jus dans ton cul »

Eliott baisse mon jean et mon boxer sans ménagement. Il défait sa braguette, sort sa queue et crache dessus. Il met de la salive sur le majeur qu'il introduit dans mon cul serré : « Ca fait un petit moment que tu ne t'es pas fait monter Cyril ».

Il a raison. Le plan cul inopiné chez Mathias date de plus d'un mois. Et depuis, je n'ai pas cherché à le contacter à nouveau.

Je gémis à moitié de plaisir et à moitié de douleur quand Eliott me dilate avec un second doigt. Je me cambre encore plus. Je veux mettre fin à cette longue abstinence. Eliott approche son gland de mon trou encore serré. Un gland rose gonflé d'excitation. Je le sens me dilater. Une fois son gland passé, il me lance un puissant coup de rein qui enfonce sa queue dans mon cul. Je ne peux retenir un jouissif cri de surprise. Ses deux mains agrippent mes hanches et il commence à me pilonner. Ses couilles claquent les miennes, ce qui m'excite davantage. Ses hanches heurtent mes fesses fermes et épilées. Je lâche un couinement de plaisir à chaque fois son gland caresse ma prostate. Ma queue se raidit et de la mouille en sort. Je me branle pendant qu'il me pilonne le cul. Ce ne sont pas les coups de reins virils de Mathias mais je sens mon plaisir monter lentement le long de ma queue jusqu'à mon gland qui expulse violemment des jets de sperme qui s'écoulent sur le mur. En jouissant, mon cul se contracte sur la queue d'Eliott qui jouit dans la capote.

« La dernière fois qu'on a couché ensemble, c'était en 2e année de fac' je crois, me dit-il.
- T'es toujours un aussi bon coup, lui réponds-je.
- Mais toi aussi Cyril. Alors c'est d'accord pour la surveillance ? Tu me remplaces ? »

Chose promise, chose due. Le samedi suivant, j'assure le remplacement d'Eliott. Me voilà à surveiller plus de mille candidats dans un hangar sans fin. Je suis le préposé aux toilettes : tout candidat désirant y aller doit se rendre à mon bureau et je dois l'accompagner afin de s'assurer qu'il ne cherche pas à frauder pendant cet « intermède ». J'ai emporté un magasine de peur de trouver le temps long. Ma lecture m'ennuie vite. J'envoie des messages à Eliott pour savoir comment se passe le mariage. J'avoue que je l'allume aussi. Et il ne reste pas sage.
« Je pensais trouver un mec et le baiser dans les chiottes comme toi mais il n'y a que des prudes ou des hétéros. Pourtant j'ai un braquemard de 18cm bien raide dans le boxer qui n'aspire qu'à lever un petit cul ». Ma queue gonfle ; pourquoi ai-je décidé de porter un jean serré ? « T'es bandant quand tu couines Cyril. Une vraie chienne. T'aimes la queue, c'est kiffant. T'entendre gémir m'a fait juter. J'avais encore la gaule le soir. Je démonte ton cul de chienne quand tu veux ».

J'ai envie de me caresser mais je ne peux pas. Une branlette devant plus de mille personnes ne m'attire pas. Mais impossible de ne pas voir que je bande comme une chienne en chaleur. La grosse bosse de mon jean me trahit. C'est alors que j'essaye de penser à autre chose que vient vers moi un candidat vraiment mignon. Un beur de 20-21 ans, le visage émacié, les épaules larges, une bosse intéressant au niveau du bassin. Il est svelte avec une putain de belle gueule. Il me tend sa carte d'identité : il s'appelle Medhi. Il me précède pour se rendre aux toilettes, je mate son cul ferme dans son jean. Un Don Juan qui n'a qu'à claquer des doigts pour avoir qui il veut. Je l'attends devant la porte des toilettes. Impossible de débander. Je l'imagine tenir sa queue de rebeu pour se soulager. Soulever son t-shirt cachant des abdos fins et secs. Je glisse ma main dans mon jean pour déplacer ma queue bandée et essayer de masquer au mieux mon érection. Et c'est à ce moment que Medhi sort des toilettes. Un sourire narquois se dessine sur ses lèvres quand il me surprend. Je rougis de honte … mais je ne débande pas. Cette situation est gênante et très excitante. Je sors vite ma main et quand il aperçoit de la mouille sur mes doigts un air macho de petit domi illumine son visage. J'ai perdu toute autorité. Sans un mot, il retourne à sa place sans m'attendre.

L'épreuve matinale achevée, je dispose d'une heure pour avaler mon sandwich que je mange seul dans un parc. Je raconte ma mésaventure à Eliott :
« Tu aurais dû te le faire, m'écrit-il.
Il avait l'air d'aimer ce qu'il voyait.
- Il avait d'autres idées en tête que de me limer le cul.
- Ca serait bien le seul, me répond Eliott, avec un smiley narquois ».

L'après-midi, je surveille un secteur du hangar. Je ne suis plus le préposé aux toilettes, quel soulagement. Enfin, soulagement relatif puisque Medhi compose dans mon secteur. Ma queue s'agite dans mon boxer. Je tente désespérément de mon plonger dans mon magasine. Rien à faire. Une mi-molle déforme mon jean et ce n'est pas discret. Quelques candidats lèvent la main pour recevoir du brouillon supplémentaire. L'un d'entre-eux est derrière Medhi. Je dois donc passer à côté de lui. Je sens une main me caresser la fesse gauche. Gaule instantanée. Alors que j'allais rejoindre mon bureau, Medhi lève la main à son tour. Ce petit con a attendu que je sois parti pour en demander. Son regard se pose sur mon jean : il a compris qu'il me fait bander. Il pose sa main droite sur son paquet pour me faire comprendre qu'il aimerait me baiser. Quand je lui tends du papier, il me glisse discrètement un papier dans la main. Je regarde autour de moi. Personne ne semble avoir remarqué ce manège. Assis à mon bureau, je déplie le papier : « T'es bandant, j'ai envie de toi ». Il a ajouté son numéro de téléphone. Le beau rebeu qui n'a pas froid aux yeux.

Le concours est fini. Une fois le rangement fini, je me retrouve seul dans ce grand hangar. Je passe aux toilettes avant de subir les deux heures de train qui me ramèneront chez moi. Difficile de me soulager : je n'ai pas cessé de bander. Mon boxer est humide de mouille et ma queue raide me fait mal. Je ne vais quand même pas me branler ici. Pourtant cette idée me fait mouiller davantage. Tant pis. Je suis tout seul, je peux bien me faire plaisir. La première caresse sur ma queue me fait gémir de plaisir tant que Medhi m'a allumé. Je ne serai pas long à juter. Je ferme les yeux, je me branle devant l'urinoir et me laisse gémir librement sans chercher à être discret.
Je pense au corps de Medhi. Je sens mon cul qui commence à mouiller sous l'excitation et le plaisir. J'entends soudain la porte s'ouvrir :

« J'en étais sûr, putain ! Une vraie salope. Ca se la joue sérieux et timide mais en fait, c'est une petite chienne en manque de queue. Une chienne qui veut se faire baiser. Je t'ai vu : tu as été excité toute la journée. Je vais voir si t'aimes la queue de rebeu ! ».

Pris en flagrant délit par Medhi. « Tu pensais à moi en te caressant ? Ca fait trois heures que je t'attends dehors mec ». Je reste tétanisé, la queue raide dans ma main. Il dégrafe son jean qu'il descend à mi-cuisse. Sa queue raide de rebeu en jaillit. Il ne porte pas de sous-vêtement. De la mouille perle sur son gland. « Tu m'excites depuis ce matin avec ton petit cul de chienne. Viens me sucer la queue mec ». Je m'agenouille devant lui et prends sa queue en bouche. Une odeur forte de mâle en rut s'en dégage. Je suce son gland avant de la prendre entier en bouche. « Seule une salope peut gober 23cm du premier coup. T'as l'air d'aimer ça la queue de rebeu. Suce-moi et on verra si tu mérites mon jus ». Sa queue est longue et fine. Je sens chaque veine glisser sur ma langue. Je m'applique à lui faire des gorges profondes mais ses 23cm me font vite suffoquer. De la bave coule de mes lèvres pour tomber sur ma propre queue qui n'a pas débandé. Il bouge son bassin pour enfoncer sa queue plus profond. Puis il prend ma tête à deux mains et accélère le rythme. « Je t'ai dit de sucer, putain. Fais pas ta mijorée et prends bien toute ma queue. Fais pas genre, t'es une chienne. Regarde ta queue. Tu suces un rebeu et tu mouilles ». Il enlève sa veste et son t-shirt puis me pousse. Je tombe assis sur les fesses. Il m'enfonce sa queue rapidement, serre ma tête entre ses mains et me baise la bouche encore plus violemment. Je gémis de douleur. Ma gorge me brûle mais lui aime ça. Son gland mouille et enfonce ce jus de petit mâle dans ma gorge. J'avale avec délice. Il râle et m'insulte de chienne en me baisant la bouche. Et moi j'aime ça. J'aime voir ce rebeu baiser ma bouche de suceuse ; j'aime entendre ses râles de mâle résonner dans la pièce. Il dégage sa queue de ma bouche, crache dessus et la renfonce dans ma gorge. Sa mouille se mélange à sa salive. Je perds pied et me sens de plus en plus chienne. J'aime être soumis aux désirs de ce mec qui n'a qu'une envie : se vider les couilles. Mes gémissements deviennent des couinements. « T'es une vraie pute. Une bite de rebeu te défonce la gueule et tu couines. Regarde ta queue, putain. Pleine de mouille de chienne, t'en fous sur ton jean ». Je prends ma queue en main : elle est raide, gluante et très sensible ; je suis sur le point de jouir. « Te branle pas sale chienne, je t'en ai pas donné l'ordre. Je vais t'enculer avant ».

En me biflant, sa mouille s'étale sur mes lèvres et mes joues. Il me relève et prend ma queue en main. Cette simple pression me fait jouir. Un flot de sperme s'écoule sur sa main. Mes couinements résonnent dans toute la pièce jusqu'à la dernière éjaculation. Je reste autant excité, je veux me faire enculer par ce rebeu bien monté. Medhi me pousse vers un lavabo ; je prends appui dessus et me cambre d'instinct. Il descend encore plus mon boxer « Quelle salope. Ton boxer est trempé. Trempé de mouille. C'est de la mouille de ton cul, mec. Putain, t'es une chienne qui fantasme sur les queues de rebeu ? Je veux t'entendre couiner. Je vais te baiser comme une salope ». Il étale mon sperme sur mon cul qui s'est dilaté sous l'excitation. Il sort une capote de son poche. Il m'enfile sans prévenir et enchaîne sans répit ses coups de reins. Je regarde le miroir : je vois mon visage déformé par le plaisir d'être enculé par un rebeu en rûte. J'accroche son regard. Un air de mâle dominateur baisant sa chienne colore son visage. Je vois ses abdos se contracter pour m'enculer. « Montre-moi que t'aimes ma queue. Je veux t'entendre. Je te baise pas assez fort, c'est ça ? ». Il accélère ses coups de reins. Le plaisir vient de mon cul, comme une chienne. Je me fais enculer par un rebeu de 21 ans qui veut baiser une salope pour se vider les couilles. Et j'aime être monté ainsi. Je sens l'orgasme anal arriver : ma queue n'est plus aussi raide et mon cul me donne un pied de folie. A Medhi aussi : « T'rop bon de baiser ton cul. Montre-moi que t'aimes être la salope d'un rebeu ».

Ses mots m'excitent. Il me pilonne et fait entrer ses 23cm dans mon cul. L'orgasme anal prend possession de mon corps et je jouis en couinant de plaisir. Je jute comme une chienne pendant qu'un mâle rebeu m'encule. Medhi se retire de mon cul, vire la capote, me met à genoux devant lui et jute sur son visage. Son jus de mâle gicle sur mes lèvres, mon nez, mes joues, mon t-shirt. Sa jute la plus puissante arrive dans mes cheveux. Il étale son jus de rebeu avec sa queue encore raide. « T'es la meilleure chienne que j'ai jamais baisée. Rappelle-moi vite. Tu es une suceuse de rebeu ». Il se rhabille et part avec un clin d’œil complice.

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