Kary Partie-13
Jusquà présent je voyais toujours Madame la fin de semaine chez elle, ou cest elle qui venait chez moi la semaine. Mais cette fois ci, Madame ma demandé, ou plutôt ma ordonné daller la retrouver chez elle à 9h00 un jeudi matin alors que jétais en congé. Je métais levée tôt pour être certaine de ne pas être en retard. Comme toujours mon cur palpitait sur le chemin de la résidence de Madame. Cétait toujours le cas lorsque je savais que Madame prendrait possession de la soumise que jétais.
Comme toute les autres fois ou je suis allée chez Madame, une fois passée la grille, jai stationné ma voiture en bordure de lallée, et jai fait le trajet jusquà la maison à pied et complètement nue. Alors que je progressais dans lallée jai remarqué en arrivant près des garages à ma droite quil y avait des voitures de stationnées devant ceux-ci. Mon corps sest glacé. Madame nétait pas seul chez elle? Nous étions en plein jour, je pouvais être aperçu dans mon plus simple appareil. La rougeur de la honte montait dans mes joues, mais je continuais à avancer, je ne voulais tellement pas décevoir Madame. Je devais avoir confiance en elle, même si lacte de foi me demandait tout mon courage.
Jai continué ma marche vers la maison, et linconnu. Il ma semblé navoir vu personne qui mobservait. Arrivé à la maison je suis entrée par la porte de garage qui était ouverte comme dhabitude. Madame mattendait dans le garage. Elle a placé une cagoule sur ma tête. Javais des trous pour les yeux et les narines. Madame ma demandé dattendre dans le garage environ 3 minutes et ensuite aller la retrouver au salon.
Que me réservait-elle? Je me souviens de langoisse qui ma habité lors de cette journée, comme toute les autre fois dailleurs ou madame me prend en main. À chaque fois elle me fait faire un pas en avant dans ma soumission. Je dois dire que même maintenant, même si cela fait presquun an que je lui appartiens, elle trouve toujours le moyen de me surprendre et de me faire évoluer en tant que soumise.
Je me souviens très bien quaprès quelques minutes au garage javais entrepris ma marche à quatre pattes comme Madame mobligeait en sa présence. Le cul bien relevé et la tête basse. Jai donc traversé le corridor qui me menait au salon et en y arrivant jai entrevue Madame assise dans son fauteuil favori. Mais à ma grande stupéfaction autre chose ma figé sur place. Mes jambes sont devenues moles et instables. Je me souviens encore des 5 femmes alignées côte à côte devant Madame au salon. Jamais, je navais encore ressenti une émotion aussi intense que cette fois-là. Que me réservait Madame. Ce matin-là, toutes mes peurs on refaits surface.
-Ne dit pas un mot et vient près de moi kary
Je me suis donc déplacée pour mapprocher de Madame sous le regard attentif des 5 femmes. Madame ma fait placer à genoux à côté delle, face aux 5 femmes. Jétais nue devant elles, par chance Madame avait caché mon visage avec une cagoule. Cétait quand même un signe quelle prenait soins de moi, quelle faisait attention pour ne pas divulgué mon identité et préserver ma vie privée. Tout de même jétais là au côté de Madame toute tremblante, stressée et appréhendant la suite des évènements.
-Mesdames je vous présente kary, ma soumise.
-Bonjour
Cétait un bonjour dit en cur avec une certaine réserve. Ces femmes semblaient être comme des soldats toutes bien droites et observant un protocole bien établi. Chacune semblait avoir un uniforme bien particulier.
-Kary voici le personnel qui soccupe de lentretien du domaine. Carole est celle qui soccupe de lentretien intérieur de la maison, Sylvie est ma cuisinière et diététiste, Stéphanie et Natalie soccupent de lentretien extérieur et finalement Eugénie aide toute les autres selon les besoins ponctuels.
Cest là que jai réalisé que Madame devait avoir du personnel pour soccuper dun si grand domaine et dune si grande résidence. Mais ma grande peur était à ce moment-là quelle serait mon interaction avec le personnel de Madame.
-Allez mes demoiselles retournez au travail et noubliez pas les consignes que je vous ai données.
Sur ses mots toutes les femmes ont rompus les rangs et sont retournées à leurs tâches respective et je suis demeurée seul au salon avec ma Maîtresse. Me prenant par la tête elle ma positionné devant elle et ma regardé dans les yeux.
-Alors kary est-ce que tu connais lune dentre elle?
-Heu!... Non Madame.
-Bien
Cest pour ça que je tai fait porter cette cagoule, au cas où lune de mes employées aurait été une de tes connaissances.
Sur ses mots Madame ma retiré la cagoule et ma expliqué que toutes ces femmes avait un code de conduite très stricte sous peine de renvoie. Elle ma expliqué quelles devraient me voir comme son animal de compagnie et rien dautre, et que tout ce qui se passait sur le domaine restait sur le domaine. Tant quà moi je devais me concentrer seulement sur Madame, faisant toujours tout pour son bien-être et son plaisir. Après cette mise au point et plusieurs autres explications qui avait pour but de me rassurer et de mexpliquer tous les liens et rouages du domaine, Madame ma demandé de la suivre à la cuisine.
Sylvie avait préparé une petite collation pour Madame et à ma grande surprise elle est venue déposer un bol par terre pour moi tout en me flattant les cheveux comme on flatte un chien.
-Elle est bien jolie votre petite chienne madame.
-Merci Sylvie, je suis très heureuse de mon acquisition. Mais il me reste quand même tout son dressage à faire
Allez toi mange un peut, nous allons aller nous promener ensuite.
À quatre pattes jai commencé à manger les petits biscuits et fruits qui se trouvaient dans mon bol.
À ce moment précis je ne connaissais pas les domestiques de Madame. Maintenant cest bien différent. Sylvie est une femme de 42 ans qui est au service de la famille depuis près de 20 ans. Elle est serviable et dévoué comme toutes les autres. Et au fil du temps jai su que Madame les avaient toutes rencontrées et leurs avait exposé les nouvelles conditions relié à leurs travail. Cela sest déroulé quelques mois après le décès des parents de Madame. Seul Eugénie, cette jeune femme de 24 ans, a été embauché après et en fonction des nouvelles règles de la maison. Si ses domestiques voulaient conserver leurs emplois, elles devaient faire preuve de discrétion et être irréprochables. Une seule faute en ce sens et sétait le chômage pour elles. Madame les payait bien, alors elles se devaient, un peu comme un médecin, de garder le secret professionnel, dans ce cas, ne divulguer aucune information concernant leur travail au domaine.
Alors après la collation Madame ma fait revêtir un petit kit quelle avait acheté spécialement pour moi et nous sommes partis vers la ville avec sa voiture cette fois. En passant près de la grille nous nous sommes arrêté pour prendre mon téléphone dans ma voiture et hop
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