Fantasme Inavouable

Chapitre 1

Pour le mariage d’une de ses meilleures amies, Jessica, Sandra avait choisi de porter une longue robe rouge avec des talons hauts de même couleur. Une fois n’est pas coutume elle porterait pour l’occasion un string léopard que la finesse du tissu de sa robe ne parvenait à dissimuler. Elle me demanda si son string n’était pas trop visible. Je lui répondis que non ce qui était bien entendu complètement faux. Je bandais déjà à l’idée de voir tous les regards lubriques des autres hommes se poser sur la croupe de ma copine.

Belle latine d’1m70, âgée de 25 ans, de petits seins fermes et des fesses bien rebondies elle plaisait aux hommes bien qu’elle n’en avait jamais abusé jusqu’alors. Ce n’était pourtant pas faute d’avoir essayé de lui faire comprendre, toujours à demi-mots et de façon détournée, que l’idée de la partager avec un autre ne me déplairait pas. Je n’avais jamais osé lui avouer clairement et de façon explicite mon fantasme de la voir avec un autre homme. J’avais assez vite compris, selon ses propres dires « qu’elle n’était pas ce genre de fille ». A mon grand regret. Mon espoir tenait dans le fait que l’on s’aimait vraiment et que l’on avait déjà fait l’un pour l’autre bien plus que n’importe quel autre couple n’aurait pu faire. Peut-être que si je trouvais lui courage de lui avouer mon fantasme, elle consentirait à l’assouvir.

Par chance, l’occasion se présenta à ce mariage et je la saisis. On était assis à la table des cousins et amis d’amis du marié. Des personnes plus jeunes que nous, aux alentours de la vingtaine. Essayant de faire la conversation, on ne trouva aucun centre d’intérêts avec eux, ni eux avec nous, du reste. Excepté mon voisin de gauche, Romain. De taille moyenne, brun aux yeux bleus avec le barbe, il avait tout du mec sympa et qui inspire confiance. Je vis assez vite que Sandra lui plaisait à la façon dont il s’efforçait de maintenir la conversation. Avenante et charmante comme à son habitude, Sandra récompensa ses efforts en échangeant longuement avec lui.

Assis entre les deux, je commençais à me faire des films. C’était le type parfait pour mon fantasme : je savais qu’elle ne le préférerait jamais physiquement à moi mais qu’elle pourrait se laisser tenter. Il restait discret dans l’effet que lui faisait Sandra car je savais qu’elle lui plaisait : faisant toujours l’effort de m’inclure également dans la conversation. On avait affaire à un garçon aimable et respectueux ; le gendre idéal sans le côté hypocrite et mielleux.

Le problème était peut-être que Romain n’était pas très entreprenant, trop respectueux pour cela, nous insistant parfois à aller danser entre amoureux. Je décidai donc vers la fin du dîner de lui laisser un peu plus de champs libre en allant fumer une cigarette dehors. Lorsque je retournai à la table mon cœur s’emballa : ils n’étaient plus là. Un sentiment de jalousie accompagné d’une forte excitation m’envahit. A la fois je regrettais de les avoir laisser seuls mais au fond de moi je savais que j’avais depuis longtemps fantasmé cet instant. Je les cherchais en vain du regard sur la piste de danse. Ma jalousie commençait à prendre le dessus. Comment avait-elle pu me faire ça ? Et pourtant ma libido espérait bien que c’était précisément ce qu’elle était en train de faire. Je me dirigeai vers les toilettes. Pas un bruit. Je tenais plus. Je décidai d’aller vérifier dans le parc sur lequel donnait la salle de mariage. Je n’entendais plus la musique, seulement les battements de mon cœur. Mes recherches demeuraient vaines et ma jalousie commençait à prendre le dessus sur mon fantasme. Je retournai sur la piste de danse, le cœur serré je continuai à scruter la salle. Après quelques minutes qui me parurent une éternité. Soudain je vis Sandra me faire signe du bout de la salle. Elle était avec la mariée et les demoiselles d’honneurs.
« _ Anaïs a tâché sa robe me dit-elle très concernée comme les demoiselles d’honneurs peuvent l’être dans ce genre de situations.
_ Ah merde, répondis-je conventionnellement mais soulagé de pouvoir encore lui faire confiance.

_ Je me fais chier, j’ai hâte de rentrer.
_ Moi aussi. Tu ne veux pas qu’on aille s’occuper dehors ou dans les toilettes lui dis-je d’un ton coquin
_ T’es fou répondit-elle en rigolant
_ Pourquoi pas ? Tu n’as pas envie de moi ?
_ Mais si idiot ! Mais pas là. On niquera à la maison.
_ Pourtant ce serait excitant de le faire là, on l’a bien fait au ciné une fois.
_Oui mais là on nous connaît. Imagine si on nous surprend. C’est la honte, c’est le mariage d’Anaïs quand même.
_J’en connais un qui aimerait bien nous surprendre je pense
_Qui ça ?
_ Notre voisin de table.
_Ah lui ! Elle rigole puis me demande : pourquoi ?
_Parce que tu lui as tapé dans l’œil et que lui aussi doit se faire chier comme un rat mort le pauvre. 
_Pas du tout, tu te fais des films. Et quand bien même il ne m’attire pas.
_T’es dure avec lui. Il n’a pas arrêté de s’intéresser à nous, il connaissait presque personne ici et toi tu le rejettes. »
Elle rigole encore en allumant une cigarette. Je la regarde avec envie et malice. Au diable cette jalousie, je veux tout lui avouer là maintenant mais rien ne sort de ma bouche.
« _Et alors ? Tu devrais être content que je ne drague pas les autres mecs non ? Me demanda-t-elle en soufflant sa fumée de cigarette.
_Bien sûr mais ce n’est pas ça dont il est question. »
Elle me regarde d’un air interrogateur. Je sens que c’est le moment de lui dire mais je n’ose pas. Comment le prendrait-elle ? Et puis, est-ce que j’arriverais à supporter de la voir avec un autre après la crise de jalousie que j’ai piquée tout à l’heure.
_De quoi il est question chéri ? Qu’est-ce que tu essayes de me dire ?
_Je me fais chier à ce mariage, j’ai très envie de te prendre dans ces bosquets et si quelqu’un nous surprenait la situation pourrait s’avérer aussi excitante que honteuse.
_Oui et bien on en a déjà parlé on ne fera pas de plan à 3 avec une autre fille.
Ni ici ni ailleurs, c’est le mariage de Jessica. Ni avec ce type d’ailleurs.
_Romain il s’appelle.
_Oui voilà Romain. Elle rigole de plus belle puis me regarde du coin de l’œil. C’est ce que tu veux toi ?
_De quoi ?
_De me partager avec lui ?
_Si t’en as envie, et puis on ne le connait même pas. On ne le reverra jamais de toute façon. » Répondis-je en prenant mon courage à deux-mains. Pendant ces quelques secondes durant lesquelles elle tire sur sa cigarette, j’attends sa réponse avec impatience. Cela me semble une éternité.
« _Ouais enfin il connaît le père du marié quand même. »
C’est gagné, Sandra n’a pas dit clairement non pas plus qu’elle ne m’a demandé d’être plus explicite sur mon envie ou non de la voir avec un autre.
« _ C’est vrai… Répondis-je pensivement en laissant ce silence s’installé.
_ Non mais honnêtement chéri tu supporterais de me voir avec un autre ? Moi je ne pourrais pas te voir avec une autre fille tu le sais.
_ Je sais et je comprends très bien car moi non plus je sais si je pourrais en vrai.
_ Ah mais moi c’est certain, je le sais. Pas toi ? Répond-elle curieuse
_ L’idée m’excite mais dans les faits je sais pas.
_ Ah donc tu y as déjà pensé ?
_ Oui
_ Et ?
_ Comme je t’ai dit ça m’excite.
_ Mais qu’est-ce qui t’excite ?
_ Je ne sais pas c’est un tout. C’est un mélange d’excitation et de jalousie de te voir te lâcher avec un autre
_ Ok je comprends. Enfin non, dit-elle en rigolant nerveusement, car moi je ne pourrais pas mais bon si c’est ton fantasme. »
Je me sens soulagé, cette fois c’est dit. A cet instant je me sens si proche d’elle. A la fois excité et inquiet, il me tarde de savoir ce qu’elle compte faire suite à cet aveu. Elle me regarde avec amour et malice. L’excitation monte, je n’en peux plus. Elle m’embrasse frénétiquement. Je sens qu’elle est aussi excitée. Nos baisers devenant de plus en plus explicites, je l’emmène vers les bois.
Elle s’arrête net.
_Où on va ?
_Là-bas on sera plus tranquille. Tu n’en as pas envie ?
_Si mais j’ai peur qu’on nous surprenne.
_ Mais non ne t’inquiètes pas, dis-je en insistant. »
Elle décide de se laisser faire et me suit. Une fois à l’abri des regards je l’embrasse à nouveau langoureusement. Puis elle s’agenouille et sort mon sexe déjà gorgé d’excitation. Elle le prend en bouche et commence à le sucer en me regardant droit dans les yeux. N’en pouvant plus, je la redresse contre un arbre, je relève sa robe et écarte son string pour lui bouffer la chatte. Elle mouille déjà et s’agrippant à mes cheveux me dit :
« _ Dis-moi ce que tu aimerais que je fasse avec lui ?
_ J’aimerais que tu le suces bien comme tu viens de le faire avec moi. Je veux voir tes lèvres autour de son gland.
_ Continue
_ Puis tu lui goberais les couilles et lui lécherais bien l’anus aussi.
_ C’est trop bon. Et puis ?
_ Et puis tu le laisserais te prendre en levrette. Comme une bonne salope tu lui présenterais ton cul. Tu pourrais ainsi entendre ses couilles claquer sur tes cuisses à mesure qu’il te défoncerait. Et quand il serait sur le point de jouir, tu te retournerais et ouvrirait grand la bouche puis recueillir tout son sperme.
_ J’en peux plus. Viens, prends-moi, dit-elle en se retournant. »
Je m’exécute et présente mon gland à ses lèvres trempées. Je rentre seulement mon gland puis le ressort ainsi de suite pendant quelques secondes la forçant à réitérer sa demande. Cette fois j’enfonce mon sexe dans sa chatte et la lime comme un fou furieux. Je lui tire les cheveux d’une main et claque ses fesses de l’autre :
« _ Alors ça te plait cette idée de te faire baiser par un autre mec ?
_ Oui ça m’excite, dit-elle en se retournant pour m’embrasser. »
Ne tenant plus de cette excitation que j’avais toute la soirée, je finis par jouir rapidement en elle. On se rhabille sans rien dire puis on retourne vers la salle, la main dans la main. Sur le chemin elle s’arrête pour m’embrasser et me dit :
« _ Si c’est ton fantasme chéri, je le ferai mais pas avec ce type. Il ne me plaît pas mais je te promets qu’on le fera. »

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