Les Joies Érotiques De La Randonnée Cycliste
A la machine à café à l'occasion d'une pause, Agnès aborda sa collègue Sandrine :
- Comment fais-tu pour être aussi mince ? Moi, j'ai beau tout essayer, je n'y arrive pas.
- Tu fais un régime ?
- Plus ou moins. J'essaye mais il m'arrive de craquer. Et puis, j'ai arrêté de fumer.
- Tu fais du sport ?
- Je vais à la piscine une fois par semaine.
- Et tu veux vraiment maigrir ? Tu sais, tu n'es pas si grosse...
- Mais si. Regarde mes hanches, mes cuisses, mes fesses, mes nichons...
- Et alors ? Ton mari s'en plaint ?
- Non, mais moi si. Je ne m'aime plus.
- Alors, fais du vélo, comme moi.
- Du vélo ? Et ça fait maigrir ?
- Oui, si on en fait beaucoup et souvent.
Agnès devint pensive. Du vélo ? Après tout, pourquoi pas ? Mais pas seule...
- Tu m'emmènerais avec toi ?
- Je ferais mieux. Je t'emmènerais dans mon club de randonneurs. On fait des sorties régulières, en groupe, c'est très sympa. Il y a d'autres nanas. Et bien sûr des mecs, des maris en général. Le mien en particulier, bien qu'il vienne moins souvent.
- Il faut juste que je m'achète un bon vélo. Tu me conseillerais ?
- Bien sûr. Quand tu veux.
- Je vais y réfléchir.
Et les deux collègues s'en retournèrent au travail. Agnès la brune, un peu boulotte et Sandrine la blonde, grande asperge aux longues jambes. Toutes deux quadragénaires et soucieuses de leur forme, pour ne pas dire de leurs formes.
Le lendemain, Agnès avait réfléchi : c'était oui pour le vélo. Sandrine la conduisit après le travail chez un vélociste. Après plusieurs essais, Agnès opta pour une bicyclette plutôt légère, aux pédales classiques et non automatiques, avec de simples cale pieds mais un guidon de course. Sandrine lui choisit une tenue adaptée : cuissard rembourré, maillot et blouson ajustés avec des poches derrière.
- Pas très sexy, regretta Agnès.
- Détrompe-toi. Tu le verras bientôt, mais l'essentiel, c'est le confort.
Agnès manquant d'entrainement, Sandrine l'accompagna dans trois sorties préalables. Les débuts furent durs mais elle constata avec plaisir que le temps lui rendait la selle moins rigide. Son rendement musculaire s'améliorait. A la quatrième sortie, Sandrine lui annonça :
- Maintenant, tu peux venir t'inscrire au club. Mais attention, les sorties sont plus longues, au moins deux heures. Tu vas un peu ramer au début mais ne t'inquiète pas, ça ira de mieux en mieux.
Le grand jour arriva. C'était un dimanche matin. Le rendez-vous se situait sur le parking d'une grande surface. Sandrine fit les présentations. Agnès découvrit Maud, jolie blonde trentenaire, et son mari Alex, grand brun mince; Fabienne, athlétique quadra, divorcée; Corinne, fausse blonde d'une quarantaine d'années et son mari Christophe, au crâne rasé; Julie, plantureuse brune aux yeux noirs, prématurément veuve à 40 ans; Pascale, quinqua aux cheveux très courts, et son mari Pascal (eh oui), solide gaillard aux mains puissantes; d'autres figures masculines qui ne lui furent pas présentées, sauf un jeune homme prénommé Martial, son cousin Damien, tous deux cyclistes chevronnés. A la fin, Agnès s'y perdait un peu mais tous lui parurent très sympas.
Le petit peloton partit sur les routes de campagne. Agnès se positionnait en serre-file avec Sandrine et elle ressentit au bout d'une heure une fatigue qui l'obligea à décrocher, en compagnie de son amie.
- Ne t'inquiète pas, on les retrouvera tous au lieu du pique-nique, continuons à notre rythme, lui dit Sandrine.
Une heure plus tard, le rendez-vous était atteint à la lisière d'un petit bois, où les dames pouvaient aller satisfaire à leur besoin naturel. Sandrine interrogea Agnès :
- Alors, comment te sens tu ? Tu peux continuer ?
- Oui, mais j'ai vraiment mal aux pattes. Et puis... il y a autre chose.
- Quoi donc ?
- Euh, comment te dire... Je ressens une certaine excitation là où je pense. Comment si on m'avait, euh.
Sandrine éclata de rire.
- Eh oui, c'est normal. Bienvenue dans le monde du vélo féminin. Le frottement de la selle excite la chatte. Pas tout de suite, il faut rouler pas mal, mais au bout d'un certain temps, ça fait vraiment de l'effet sur beaucoup de filles. Tiens, regarde autour de toi, il manque du monde auprès des vélos. Viens avec moi, tu vas comprendre.
Sandrine entraina Agnès dans le petit bois. Elles n'eurent pas besoin d'aller loin. Elles découvrirent successivement Maud entièrement nue en train de chevaucher son mari allongé dans la mousse; Corinne le cuissard sur les chevilles, appuyée sur un arbre et possédée par derrière par Christophe, tout aussi déculotté; Pascale besognée en missionnaire par Pascal tout en se tenant les chevilles bien écartées et enfin Fabienne et Julie réunies pour sucer Martial et Damien avant vraisemblablement de passer à l'étape suivante.
Agnès en était restée bouche bée.
- Tu vois, c'est aussi ça la randonnée cycliste...
- Eh ben dis donc... eh ben dis donc...
- Au bout de deux heures de selle, on a toutes envie de baiser. Moi y compris. Mais mon mari n'est pas là. Excuse-moi mais je vais voir si un mec ne peut pas me soulager. J'en ai repéré un très mignon. Si tu veux en profiter...
- Euh... non merci. Va, vis ta vie...
Et la grande Sandrine s'en fut vers le lieu de pique-nique. Agnès la suivit à distance et la vit parler avec un garçon assis par terre qui sirotait son bidon. Au bout de quelques minutes, il se releva et Sandrine le prit par la main, en direction du petit bois. Agnès la suivit des yeux s'enfoncer sous les frondaisons en compagnie de son chevalier servant en cuissard. "Ils vont baiser, forniquer, s'envoyer en l'air aussi naturellement qu'ils font du vélo et moi, je suis là comme une conne à attendre qu'ils aient fini", se dit-elle. Elle rejoignit le lieu de pique-nique où une poignée de cyclistes d'âges divers avaient commencé à déjeuner, sans doute parfaitement averti de ce qui se déroulait près d'eux mais parfaitement indifférents à la chose.
- Alors, la nouvelle, on découvre la randonnée cycliste ? dit-elle, un sourire en coin qui en disait long.
- Oui, c'est étonnant, répondit Agnès, qui se présenta.
- Moi c'est Martine. Je suis une vieille routière de ces randonnées.
- Et vous n'allez pas... dans le bois ?
- Non, plus maintenant. J'en ai beaucoup profité mais à mon âge (j'ai soixante ans), il faut choisir : baiser ou pédaler. Si je me faisais sauter, j'aurais du mal à rentrer en vélo. Mais telle que vous me voyez, je suis en feu. Je me suis masturbée en arrivant mais ça ne m'a pas calmée. On se tutoie ?
- Oui bien sûr.
- Tout à l'heure en rentrant, je vais sauter sur mon mari, il a intérêt à être en forme. Seule une vraie bite peut me calmer, comme les filles dans le bois en ce moment. Mais au fait, toi, tu n'as pas besoin aussi ?
- Euh, si, mais je n'ai pas mon mari sous la main.
- Ce n'est pas un problème, ça. Il y a des hommes ici pleins de vitalité qui peuvent te soulager.
- Mais leurs femmes, leurs copines ?
- Bof, elles ont l'habitude et d'ailleurs, elles ne se gênent pas elles-mêmes pour se passer leur julot. On est tous libertins ici. Un peu par la force des choses car la selle, c'est terrible pour la fidélité.
- J'avoue que je n'avais pas vu le vélo comme ça.
- C'est la position qui veut ça. La femme, quand elle se penche sur le guidon, met ses parties intimes en contact direct avec la selle et à la longue, cela provoque une intense excitation. Peu de femmes y échappent, en tout cas pas moi, même à mon âge. Je dirais même, surtout à mon âge.
- Et pourquoi ?
- Parce qu'à force, on évacue tous ses tabous et on sait qu'on n'a plus de temps à perdre. J'adore baiser et plus je baise, plus j'aime baiser. D'ailleurs, j'arrête d'en parler car je vais être obligée d'aller au bois.
Sur ces entrefaites, les couples sortirent peu à peu du bosquet, le visage réjoui et les vêtements rajustés.
- Je meurs de faim, s'écria Maud en se jetant sur ses sandwiches extraits de son sac à dos.
Sandrine sortit un peu plus tard en compagnie de Pascal, des deux jeunes cyclistes et de Julie et Fabienne. Visiblement satisfaits eux aussi. Sandrine s'assit à côté d'Agnès pour manger elle aussi.
- Ouf, ça va mieux, excuse-moi de t'avoir plantée là mais il me fallait une bite à tout prix.
- Et... tu l'as trouvée, apparemment.
- Oui, Pascale m'a prêté son mari. Elle avait déjà joui et Pascal était encore gaillard. Elle a 53 ans et voulait garder un peu d'énergie pour terminer la rando. Mais Pascal a vraiment assuré, une vraie mitraillette. Remarque, Pascale n'avait rien à me refuser vu qu'elle a bien profité de mon mari aussi en d'autres temps.
- Je suis vraiment épatée que cela vous pose aussi peu de problèmes, ces échanges.
- C'est parce que c'est dans le cadre de la rando. Une fois rentrés chez nous, on se comporte comme des couples normaux. Il ne me viendrait pas à l'idée d'aller baiser chez mes partenaires cyclistes. Le vélo, c'est notre parenthèse libertine. Tu verras, tu t'y feras aussi.
- Je ne crois pas.
- On en reparlera. Bon, maintenant, on mange car il faut terminer le parcours et j'ai les jambes un peu molles. Pascal m'a vraiment défoncée, le salaud. J'avais le nez dans la mousse et il me pilonnait par derrière. Mais que ça m'a fait du bien !
Après avoir frugalement déjeuné, chacun remonta sur son vélo pour terminer la randonnée. Le rythme était nettement moins soutenu (et pour cause) qu'avant la pause si bien qu'Agnès put suivre sans difficulté malgré la fatigue liée au manque d'entrainement. Son esprit vagabondait tout en pédalant. Les images du bois hantaient son cerveau. Les grosses couilles de Pascal ballottant contre les fesses de Pascale, totalement écartelée et criant de plaisir. La longue bite de Christophe entrant et sortant de la vulve de Corinne appuyée sur son arbre et l'encourageant : "plus vite, plus vite, plus vite". Le joli cul de Maud dansant sur la tige de son mari qui ripostait à grands coups de hanche. Les bouches voraces de Julie et Fabienne sur les glands violacés de Damien et Martial. Et un peu plus loin, deux autres couples non identifiés à travers le feuillage mais dont les cris féminins témoignaient de l'intensité de leur coït. Et enfin les propos crus de Martine et de Sandrine qui illustraient leur envie de pénis. Et elle maintenant, Agnès, chaude comme la braise, excitée par les culs de cyclistes mâles en mouvement devant elle, qu'elle imaginait dépourvus de leur cuissard en train de s'agiter entre ses cuisses.
A l'arrivée au parking, elle fourgua vite son vélo dans son coffre, fit une bise furtive à Sandrine, salua la compagnie de la main, et mit le cap sur son domicile. Pourvu que Philippe soit là, se disait-elle.
De fait, il était en train de jardiner paisiblement, un sécateur à la main. Lorsqu'il vit arriver Agnès, toujours en tenue de cycliste, il s'exclama :
- Ah, voilà la princesse du vélocipède. Pas trop fatiguée ?
- Pas du tout. Et toi ?
- Pourquoi cette question ? Tu sais bien que le jardinage me détend. Mais... qu'est-ce que tu fais ?
Agnès s'était lovée contre lui accroupi, écrasant ses seins contre son dos et glissant une main entre ses jambes à la recherche des couilles. Philippe en lâcha le sécateur; Agnès ne l'avait pas habitué à une telle audace, là, dans le jardin, et encore moins à proférer ces propos :
- J'ai envie de baiser, là, tout de suite.
- Mais... pas ici quand même, les voisins pourraient nous voir.
- Je m'en fous, j'ai envie de baiser dehors, dans l'herbe.
Et joignant le geste à la parole, elle fit passer son maillot par-dessus sa tête, dégrafa son soutien-gorge, libérant ses deux lourdes mamelles et, devant le regard éberlué de son mari, se délesta de son cuissard pour apparaitre aussi nue qu'Eve, poussant même l'exercice jusqu'à se débarrasser de ses chaussures et chaussettes. Elle prit son mari par la main et l'attira dans un recoin un peu plus discret avant de s'allonger, cuisses ouvertes sur son pubis abondamment velu. Constatant avec satisfaction que son mari bandait sous le jogging, elle l'admonesta :
- Fous toi à poil toi aussi et baise moi, pas la peine de me préparer, je suis archi prête.
Devant le spectacle de sa femme offerte, coudes au sol, le regard brûlant, Philippe eut à son tour la tête en feu. Il avait toujours aimé le corps de sa femme, aux rondeurs épanouies, mais dans ce contexte agreste, sa belle carnation et les larges aréoles de ses seins généreux lui parurent encore plus désirables. Il se déculotta prestement, obéit à la consigne de se mettre entièrement nu, laissa Agnès s'emparer de son pénis tendu et le guider vers sa vulve béante. Il s'enfonça en elle avec délectation, savourant l'humidité de son vagin et se mit à aller et venir, encouragé par les ongles de sa femme plantés dans ses fesses. Ce fut un coït bref mais torride. Répondant à la demande, il la pilonna avec vigueur, faisant trembler ses seins et déclenchant une série d'onomatopées dont Agnès n'était guère coutumière, elle qui avait plutôt le plaisir discret. Stimulé dans sa virilité, il produisit une rafale de coups de bite sans changer de position dont l'épilogue fut un puissant orgasme vocal de son épouse et de lui-même une abondante éjaculation dont Agnès savoura les dernières gouttes dans sa bouche. Puis il bascula dans l'herbe, épuisé :
- Bon Dieu Agnès, qu'est-ce qui t'a pris ? C'est le vélo qui t'a mis dans cet état ?
- Euh, oui...
- Eh ben dis donc, tu peux en faire souvent, je suis pour...
*******
Pendant toute la semaine, Agnès s'évertua à convaincre Philippe de la rejoindre dans la randonnée cycliste. Sans bien entendu évoquer les arrêts coquins. Elle craignait qu'en en parlant, Philippe lui fasse une scène et l'oblige à remiser son vélo. Elle le voulait d'autant moins que depuis l'épisode du jardin, leur vie sexuelle avait pris une nouvelle intensité. Philippe avait droit à sa pipe du matin au lit et même à une reprise, en l'absence des s, sous la table du déjeuner. Agnès prétendait que sa libido était stimulée par le vélo, ce qui n'était pas tout à fait faux...
Durant cette même semaine, au travail, Sandrine et elle était revenue sur la randonnée vécue en commun. Agnès lui avait raconté ses échecs à faire venir son mari. Sandrine avait répondu :
- Tant pis pour lui, il ne sait pas ce qu'il perd. Et toi ce que tu gagnes.
Agnès n'avait pas relevé mais très bien compris l'allusion. Elle savait que l'arrêt pique-nique pouvait mettre à mal sa fidélité conjugale mais craignait en même temps de ne pas pouvoir résister à la tentation. D'autant que Sandrine ne ferait rien pour la calmer. Elle se demanda un moment si elle devait retourner au rassemblement, s'il n'était pas préférable de pédaler seule. Mais un instinct irrépressible la poussa à honorer le rendez-vous comme la semaine précédente. Et c'est avec joie qu'elle retrouva le petit groupe le matin sur le parking habituel.
*******
Pendant toute la première partie du trajet, où elle se sentait beaucoup mieux qu'une semaine plus tôt, Agnès pensa à la pause. Où allait-on s'arrêter ? Quelle serait la topographie des lieux ? Deux heures plus tard, elle eut la réponse. Le leader du groupe, Damien, entraina la petite troupe sur un chemin carrossable aboutissant à une sorte de petit étang lové au milieu d'une clairière. Tout le monde s'extasia sur le charme du lieu. Comme il faisait chaud, l'eau appelait la baignade, même si ce n'était pas vraiment recommandé pour des pédaleurs. Fabienne, l'athlétique blonde à queue de cheval, donna le signal. Sans crier gare, elle se débarrassa de son maillot, de son soutif, de son cuissard et de ses chaussures et entra entièrement nue dans l'onde avec un soupir de ravissement. Julie l'imita aussitôt, révélant une nudité capiteuse de peinture impressionniste. Les hommes s'y mirent aussi, puis Pascale, Sandrine, Maud et Martine. Ne voulant pas passer pour cruche, Agnès vainquit sa pudeur et entra à son tour dans l'étang dans le plus simple appareil. Jamais elle ne s'était baignée nue et elle ressentit aussitôt une sensation délicieuse autant qu'inédite. Sandrine la félicita :
- Bravo, c'est bien de t'être lancée. Maintenant, je te préviens, ça va baiser dans tous les coins. Laisse-toi aller, pense à ton plaisir.
La prenant au mot, et en compagnie de Martine, dont elle admira la minceur et les muscles malgré ses 60 ans, Agnès s'éloigna du rivage en quelques brasses et passa une dizaine de minutes à profiter de la fraicheur bienfaisante de l'eau tout en papotant avec Martine. Elle ressentait le besoin de se désexciter après les deux heures de vélo et le frottement de son vagin sur la selle. Mais quand elle regagna la berge en s'avançant debout, de l'eau jusqu'à la taille, ce qu'elle vit la prit instantanément au bas-ventre. Devant elle et Martine, les deux jolis dos nus de Corinne et Maud s'agitaient côte à côte au-dessus de deux mâles supposés être leurs maris respectifs, dont elles ne voyaient que les pieds et les couilles gonflées par la pression de leur croupe en mouvement. Mais ce n'était pas tout. Tout contre le quatuor était un trio composée de Pascale, prise en levrette par Pascal mais suçant en même temps le cycliste Martial. Et un peu plus loin, l'autre cycliste Damien besognait Fabienne en missionnaire avec une allégresse du cul qui en disait long sur sa motivation. Bien entendu, les gémissements se mêlaient aux râles et parfois une onomatopée très crue. Cette scène plagiste chavira complètement Agnès et Martine, laquelle s'exclama :
- Cette fois, je crois que je vais craquer.
Et de s'enfoncer dans la clairière, absolument nue, à la recherche d'un mâle...
Au bord de l'eau, Martial savourait la bouche experte de Pascale lorsqu'il vit les deux femmes sortir de l'étang : une filiforme, bien gaulée pour son âge, et une autre qu'il jugea aussitôt comme la quintessence de la Femelle. Comment avait-il fait pour ne pas la repérer, celle-là ? La sortie de l'eau d'Ursula Andress dans le film de James Bond ne lui aurait pas fait plus d'effet. Ces deux obus qui pointaient dans sa direction, défiant les lois de la pesanteur; ces hanches larges cernant un pubis brun abondamment fourni; ces cuisses solides et bon Dieu, ce cul quand elle se pencha pour s'essuyer avec son maillot. Un cul joufflu à souhait, à la raie longue et profonde, fait pour l'enculation. La bite de Martial s'allongea de quelques millimètres dans la bouche de Pascale, qui crut à tort que c'était le résultat de sa technique. Martial se retira prestement et se dirigea pine en avant vers Agnès. Celle-ci sursauta en le voyant arriver mais quand il lui prit la main pour l'attirer à lui, elle ne le repoussa pas. Elle écrasa ses seins contre son buste, répondit à son baiser et ressentit une petite déflagration quand sa bite tendue entra en contact avec son ventre. Elle eut alors une pensée fugitive pour son mari. C'était le moment critique où il fallait refuser ou accepter. Mais la surexcitation vaginale provoquée par la selle, qui s'était un peu calmée dans l'eau fraiche, réapparut de manière irrésistible. Il lui fallait cette bite pour la calmer, l'apaiser. L'image du mari disparut de son esprit. Elle voulait baiser maintenant, tout de suite, comme les autres filles dont les cris d'extase tout proches incendiaient son ventre et Martial le comprit aussitôt.
Il l'entraina dans la clairière où deux couples forniquaient avec enthousiasme. Agnès reconnut Sandrine, dont les longues jambes entouraient le dos puissant et velu d'un quinquagénaire visiblement encore très gaillard. Martine, la sexagénaire avec laquelle elle s'était baignée, avait également trouvé un chevalier servant en la personne d'un jeune homme visiblement peu expérimenté mais qu'elle guidait avec un sens aigu de la pédagogie érotique. Martial allongea Agnès à côté de ce couple contrasté. Au lieu de la pénétrer tout de suite comme elle l'espérait, il la lécha longuement, comme pour savourer le moment présent. Elle croisa le regard de Martine, prise en levrette par le jeune homme, qu'elle admonestait crument comme un prof son élève. C'était la première fois qu'Agnès faisait l'amour en compagnie d'un autre couple et loin de l'inhiber, cette première poussait son excitation à son paroxysme, si bien qu'elle lâcha :
- S'il te plait, baise moi maintenant.
Alors, Martial la prit par les chevilles, les écarta et s'enfonça lentement en elle à genoux, captant son regard énamouré, dosant son va et viens avec un soupçon de perversité pour qu'elle vienne à sa rencontre. Agnès se mit à gémir, à proférer des propos inintelligibles, à ruer dans les brancards, faisant trembler ses seins lourds et Martial lui lâcha les chevilles pour donner toute sa puissance de mâle en rut. Il baignait littéralement dans l'huile et se gavait de ce visage épanoui par le plaisir, de ces nichons plantureux, de ces hanches en mouvement, de ce petit ventre replet qui palpitait sous ses assauts. De son côté, Agnès était enthousiasmée par la rigidité et la longueur du pénis de Martial et le verbalisa avec une crudité qui le surprit. "Je suis tombé sur un coup en or", se dit-il, désormais soucieux de ne pas s'abandonner trop vite à son plaisir afin de se gaver le plus longtemps possible de cette chair juteuse. Aussi décida-t-il de changer de position afin de durer plus longtemps. Il se détacha, s'allongea et invita sa partenaire à venir le chevaucher non pas de face mais de dos, à la fois pour diminuer l'intensité du frottement des deux sexes mais aussi pour voir son cul somptueux en mouvement. Agnès s'exécuta sans barguigner même si elle aurait préféré voir son amant. Au lieu de cela, son regard embrassait les deux autres accouplements, tout aussi intense que le sien. Pendant qu'elle ondulait sur le pénis de Martial, elle découvrit Sandrine en train de chevaucher son partenaire accroupie sur ses longues jambes, se laissant tomber sèchement et se relevant aussitôt sur le plantureux pénis dans un mouvement extrêmement jouissif à en juger par ses cris et son visage déformé par un rictus de jouissance. Martine avait adopté la même position sur son jeune amant et menait la danse avec autorité, les bras posés en arrière et le corps en arc de cercle.
C'est alors que Martial, de plus en plus subjugué par le copieux fessier d'Agnès qui roulait sous ses yeux, décida de lui rendre hommage. Se détachant d'elle une nouvelle fois, il lui intima l'ordre de se mettre à quatre pattes. Puis il lui écarta les fesses et glissa sa langue dans son anus. Agnès ne s'attendait pas du tout à cette initiative. Elle sursauta, protesta mais l'insistance autoritaire de Martial l'emporta, d'autant que la sensation n'était au fond pas désagréable. Du reste, Martial la renseigna :
- Je vais t'enculer. Ne t'inquiète pas, ça va bien se passer.
Agnès se crispa. La sodomie, ce n'était pas son truc et chaque fois que son mari s'y était essayé, il s'y était tellement mal pris qu'il avait dû y renoncer. Mais son état d'excitation était tel, et la manière dont Martial avait de la préparer si rassurante, qu'elle accepta de se mettre en position, genoux écartés et fesses levées. Martial s'insinua en elle à petits coups, sans forcer, jusqu'au moment où comme par magie, son rectum s'ouvrit. Alors, Martial engagea son pénis de toute sa longueur et entreprit un lent va et viens qui produisit chez la récipiendaire un plaisir aussi nouveau qu'inattendu. Au bout de quelques minutes, elle ondula franchement et invita son amant à y aller de bon coeur, d'autant qu'en face d'elle, Sandrine subissait à son tour le même outrage avec le même enthousiasme qu'elle illustrait par des onomatopées très crues. La grande blonde avait compris subissait le même traitement qu'elle et s'exclama :
- On se fait enculer ensemble, hein ? C'est bon, hein ?
Agnès fit oui de la tête, trop concentrée sur son plaisir pour se laisse aller à des commentaires. Surexcités par la situation, le quinqua poilu et Martial se déchainèrent et les peaux claquèrent sous leurs assauts respectifs, faisant crier Sandrine et Agnès à l'unisson. Le quinqua craqua le premier et se détacha du cul de la grande blonde, laissant échapper un baquet de sperme sur son dos. Plus endurant, Martial retourna Agnès, l'écartela en glissant ses bras sous ses genoux et la pilonna sans ménagement jusqu'à éjaculer à son tour sur son pubis fourni, qui prit une curieuse teinte brun argenté. Anéanties, les deux femmes mirent quelques minutes avant de réagir et décidèrent conjointement d'aller se laver dans l'étang, ou les autres femmes les avaient précédé pour les mêmes raisons à l'exception de Julie, la veuve joyeuse, toujours en pleine activité sur la plage avec un sculptural eurasien.
- Alors la petite nouvelle, on s'est bien éclaté ? rigola Martine.
Les autres femmes embrayèrent sur le thème d'un bizuthage réussi. Agnès prit la chose avec le sourire, tout en se demandant comment elle allait pouvoir rallier ensuite le point de départ vu que ses jambes étaient aussi molles que ses pâtes de fruit dans son maillot. Et surtout, comment elle allait réagir devant son mari. Sandrine devina son état d'esprit :
- Ne dis rien en arrivant chez toi, prends ta douche et tu verras que tu passeras vite à autre chose.
********
Il n'empêche : Agnès n'était guère sereine à son arrivée à son domicile et se sentait envahie par un fort sentiment de culpabilité. Après avoir remisé son vélo, elle entra dans son salon, encore en tenue de cycliste. Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir son mari entièrement nu, allongé sur le canapé :
- Alors, ma chérie, on a bien pédalé ? On est encore toute chaude ?
- Euh... qu'est-ce qui te prend à être à poil comme ça ?
- J'ai envie de te baiser, de te la mettre bien profond. Allez, déshabille-toi vite !
Agnès, toute interdite, se demanda quelle contenance prendre. Obéir au désir de son mari ? Le renvoyer promener ? Mais alors, sous quel prétexte après la séance de la semaine précédente ? Et puis, elle devait bien le reconnaitre, son excitation n'était pas encore totalement retombée et la vie de son mari nu, déjà en semi érection, ne la laissait pas indifférente malgré la fatigue du vélo... et de la baise torride avec Martial. Remettre le couvert ? Après tout, pourquoi pas, elle laissera son homme faire le boulot. Sans mot dire, elle fit passer son maillot par dessus sa tête, dégrafa son soutif, baissa son cuissard, et contrôla son vagin heureusement lavé par l'eau de l'étang. Nue, elle s'avança vers le canapé, les pointes de seins déjà dressées sur ses globes opulents en suspension.
- Viens, j'ai envie d'un 69, grogna le mari.
Agnès s'exécuta, priant in petto pour qu'aucun signe du coït quelques plus tôt ne subsiste.
- Tu sens une drôle d'odeur, souffla le mari entre ses cuisses
- Normal, je me suis baignée dans un étang à la pause, répliqua-t-elle tout de go.
Mais cela n'interrompit guère le zèle du mari qui la lécha avec ardeur jusqu'au moment où elle se mit à dégouliner à nouveau sur son menton. Alors, elle se détacha de son emprise et vint s'empaler sur le dard tendu, offrant à son mari le spectacle ravissant de sa croupe abondante en mouvement. Subjugué, le mari décolla ses fesses du canapé, la faisant tressauter comme sur un cheval de rodéo. Puis il se détacha à son tour et l'enfila en levrette avec fougue tandis qu'elle se cramponnait au dossier du canapé, les cuisses largement ouvertes et les pieds dans le vide :
- Je vais te défoncer, salope, cochonne que tu es ! éructa-t-il, totalement surexcité.
Agnès couina sous ses assauts furieux, observant dans le miroir voisin le sexe gonflé coulissant avec frénésie dans son antre intime, ses seins agités d'un balancement irrépressible et lâcha, la tête en feu, en se souvenant d'une vigoureuse interpellation de Sandrine à son amant un peu plus tôt, qu'elle reprit à son compte sans même réfléchir :
- Allez, vas-y, mets la moi jusqu'aux couilles !
L'homme cavala derrière elle en la tenant par les hanches, la relevant, la rabaissant, l'enfonçant jusqu'à la garde, déclenchant chez son épouse un orgasme aussi puissant que celui qu'elle avait ressenti deux heures plus tôt dans la nature. Subjugué, l'homme éjacula aussi sec, arrosant de son sperme le visage de sa femme qui s'était retournée pour avaler sa semence. Et le couple s'affala par terre, vidé.
Au bout de quelques minutes, l'homme soupira :
- Mais qu'est-ce qui nous arrive ? Je ne suis jamais senti aussi bien que depuis que tu t'es mise au vélo. Je crois que je vais m'y mettre aussi. C'est quand, la prochaine sortie ?
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