Julie 4
Antoine,mobsède. Toute la journée, je guette ses SMS, jattends ses coups de fils la boule au ventre. Jessaie de me calmer, mais ny arrive pas. Quand je ne suis pas avec lui, jai terriblement peur de le perdre, quil couche avec une autre. Jen suis malade. Jaimerais marquer mon empreinte sur lui, quil porte mon prénom tatoué sur son sexe, quil porte un cage de chasteté...
En fait, dès que nous sommes ensemble, je mapplique à le vider complètement. Jaime le branler avec du lubrifiant, quil inonde mon corps de sa semence. Désormais, Il a les les couilles et le pubis rasés. La première fois cest moi qui lui ai fait cela, depuis cest lui qui sentretient. Jaime lécher et gober ses boules lisses. Au départ pour le faire grimper, et après quand ,après la baise, elles sont visqueuses de nos jus mélangés.
Il ne met pas longtemps à rebander, et cest toujours dans mon cul quil finit par par partir une deuxième fois. Il est le seul homme à part Laurent à avoir le droit de mr par cette voie là. Jaime quil écartèle mon fondement. Et même si jutilise de la crème pour faciliter lintromission, ça me fait comme une brûlure délicieuse quand son gland force mon passage étroit.
- Je suis ta putain. Inonde-moi le cul. Prouve que tu es mon homme.
Pendant ce temps je me caresse le bouton.
-Vas-y, prends-moi plus fort, je tappartiens
Jai enfoncé deux doigts dans mon vagin et je sens nettement la boursouflure de son gland aller et venir au travers de la fine paroi. Je crois même pouvoir discerner le moment où le foutre jaillit de lui et qui se répand en moi dans un cri rauque.
Que de chemin parcouru depuis le jour où je suis devenue femme
Retour à mon éducation
Mes masturbations régulières parvenaient maintenant à me procurer des orgasmes facilement. Je me comportais comme une gamine en chaleur. Dès que je me retrouvais seule je me faisais jouir.
Cest alors que tu as décidé que je devais devenir une femme selon tes désirs dhomme, Laurent. Je me doutais que lépilation intégrale serait létape de mon entrée dans ton monde. Je passais souvent devant les instituts en me demandant si tous le faisaient. Comment demander la chose? Je me voyais rouge de honte écarter les jambes devant lesthéticienne dans larrière boutique. Tout cela commençait à me faire flipper. Mais je savais que cétait la condition pour avoir avoir enfin laccès à ton corps. La voie pour que tu possède pleinement.
Finalement cest par SMS que tu mas annoncé le rendez-vous. Cétait au centre ville, au premier étage dun bâtiment bourgeois. Sur la porte, la plaque en cuivre indiquait quil sagissait dun salon de coiffure et desthétique. Je sonnais à la porte. Une femme dun certain âge mouvrit. Je lui déclinais mon identité. Elle consulta son cahier. Dans la pièce qui était le salon de coiffure, il y avait environ 4 femmes qui avaient lâge de ma mère et sans doute plus, des bourgeoises bien mises autour des quelles saffairaient des coiffeuses aux mains expertes sur un fond musical discret. Je métais attendue à une boutique bas de gamme, pas à un salon pour mémères.
-Sophie, Sophie. La cliente de Monsieur L vient darriver.
- Tout de suite, madame. Je vis alors arriver une femme denviron la trentaine qui me guida dans un pièce attenante.
- Installez-vous, me dit-elle, en regardant son cahier.
- Et bien, nous en avons pour une petite heure. Déshabillez-vous. Ne gardez que haut et la culotte. Je vais commencer par les jambes.
Jôtai, mon pull et mon pantalon et tirai au maximum sur mon T shirt pour cacher que je mavais pas de sous-vêtements.
- Nayez pas peur, ici nous sommes entre femmes.
Cest comme cela que bande après bande, je me suis laissée débarrasser de toutes mes toisons. Me conformant à toutes les directives de la voix de cette femme douce mais ferme. Je me sentais comme une poupée dans les mains de cette femme. Le masque sur les yeux me rendait sensible à chaque contact, à chaque bruit. Jimaginais que dans la pièce des yeux inconnus et silencieux scrutaient mon entrejambe. Cette sensation de soumission me plaisait tout particulièrement. Je me livrais sans retenue. Et à chaque fois que la bande de cire était arrachée me causant une douleur vive, des doigts inconnus venaient poser sur moi une crème apaisante.
Quand vint le tour de mes parties génitales, le trouble ma envahi. Je sentais au fond de moi que lhumidité gagnait mon sexe. Était-ce la douleur qui conduisait ce réflexe intime ou me comportais-je comme une petite cochonne? Je me sentais gonflée. Javais limpression que mon sexe prenait des dimensions incroyables. Javais honte dêtre excitée et exhibée ainsi. Elle ma mise à quatre pattes pour mépiler entre les fesses. Javais limpression dêtre entièrement ouverte et quelle voyait lintérieur de moi. Il me semblait que des coulées visqueuses s écoulaient de moi de manière continue. Rien ne men donnait la confirmation mais au fond de moi jessayais de retenir ce flot mouille qui séchappait malgré moi. Je serrais les dents pour retenir mes gémissement. Je me sentais rouge de honte, les seins gonflés à en éclater.
-Cest terminé maintenant . Vous pouvez enlever votre bandeau.
Javais toujours considéré lépilation complète comme une pratique régressive. Un retour à la virginité infantile, un refus de sassumer comme femme. Cest pourquoi je ne lavais jamais pratiquée. Dans la glace je pus admirer mon corps sans poil, bien que légèrement rougi par lépilation.
-Vous voyez, il ne fallait pas avoir peur. Et puis, beaucoup de femmes sont entièrement lisses maintenant. Même les femmes que vous avez vue dans le salon coiffure. Et vous seriez étonnée si je vous disait le nombre de femmes qui portent aussi des piercings et des anneaux en bas. Dailleurs si un jour vous le souhaitez, je pourrais vous en poser
Jallais pour remettre mes vêtements. Elle me désigna un sac dun magasin de mode près de la table.
-Monsieur L, nous a apporté ce sac de vêtements pour vous.
Les sous-vêtements étaient noirs fins et soyeux. Jamais je navais porté de dentelles de cette qualité. Il avait ajouté à cela une paire de bas auto-fixant eux aussi de couleur noire. La robe de couleur sobre était courte mais classieuse. Dans la glace, je me découvrais enfin femme.
- Vous avez de la chance davoir un amant qui a du goût et qui en a les moyens. Maintenant permettez-moi de vous maquiller.
Le résultat final était saisissant. Je me sentais jolie et désirable. Javais hâte de retrouver Laurent, de me donner à lui complètement de pouvoir enfin caresser son corps. Jétais incroyablement légère, il faisait beau, jétais amoureuse. Cétait comme un premier rendez-vous. Jaurais sans doute accepté la langue de mon esthéticienne dans ma bouche à ce moment. Javais besoin dune longue étreinte charnelle.
Nous étions maintenant à lhôtel. Le repas et le champagne me tournaient un peu la tête. Jétais prête à te donner mon corps, Laurent. Lorsque je suis ressortie de la salle de bain ou jétais allée me rafraîchir je tai trouvé nu sur le lit. Tu as été mon premier homme. Chez toi, tout était puissance et assurance dans les bras les épaules et les jambes.
-Non, reste habillée. Montre-moi ce que tu sais faire ta bouche.
Jusque là, la fellation navait jamais été mon truc. Juste pour faire bander, je prenais les queues dans la bouche, deux ou trois aller retour. Et une fois lengin bien raide je continuais par une branlette avant de me faire enfiler. Et même si je ne sentais pas grand-chose, cétait important que le mec se vide en moi, son plaisir se substituant à celui que je navais pas.
Cette fois javais vraiment envie de ce sexe de sa peau fine douce et fragile tendue sur ce gland qui nétait pas décalotté. Ma langue parcourait la longueur de la tige de haut en bas et de bas en haut. Je scrutais les soubresauts de la bite maintenant érigée. Jétais excitée et je sentais mon sexe souvrir, mon ventre se creuser. Mes lèvres ont entouré ton gland et jai pu enfin découvrir la chair tendue et rouge foncée et le méat doù perlait une goutte de liqueur salée. Ma langue sest attardée à la découverte de ce nouveau fruit, dabord timidement sur le pourtour puis je lai embouchée pour la sentir enfin à lintérieur de ma bouche.
Jai fait quelques aller retour puis ma main a remplacé ma bouche pendant que ma langue sest mise à lécher tes boules. Tu gémissais sous mes caresses.
-Reprends-moi dans la bouche.
Ta main a pris la mienne tandis que je fais de mon mieux pour faire pomper ton sexe.
-Caresse moi les couilles même temps. Non pas comme ça plus doucement!
Ton bassin sest mis à onduler. Jessayais de synchroniser mes mouvements de tête.
Tu avais lair dapprécier, mais ma mâchoire commençait à se crisper. Tu as alors ma saisi la tête que tu as fait aller et venir sur ton pieu à une vitesse de plus en plus rapide.
Javais la bouche ouverte et javais limpression que tu te servais de ma bouche pour te branler. A chaque pénétration javais limpression que je ne pourrais pas supporter la prochaine. Pourtant tu rentrais à nouveau plus profondément en arrachant de nouveaux plaisirs qui amplifiaient des gémissements qui se sont transformés en cris quand ta semence sest enfin répandue entre mes lèvres. Nous étions tous les deux vidés. Mes yeux remplis de larmes avaient fait couler mon maquillage. Cest ce jai vu quand jai vu mon visage dans le miroir.
- Jai bien aimer baiser ta bouche de salope. Javais gardé un semaine de foutre en prévision de la soirée. La prochaine fois il faudra être plus endurante. Mais pour première fois cest plutôt bien.
Tu ma tendu un petit paquet. Il contenait un petit collier de cuir muni dun anneau métallique.
-Ce collier tu lauras en permanence dans ton sac. Et le portera à chaque fois que je lexigerais. Il sera un des gages de ta soumission.
-Et puis maintenant que tu sais trouver le plaisir toute toute seule, tu dois apprendre à te contrôler. Donc maintenant, tu nauras plus le droit de jouir sous tes doigts ou avec un vibro. Tu te caresseras uniquement pour te maintenir le sexe en état dexcitation. La condition que je te donne pour prendre ton pied cest davoir fait partir mec auparavant.
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