Série Insolite. Épisode 11 : « William ». Le Cocu Prend Plaisir À Voir Sa Future Femme Se Faire Baiser. Partie 2/13
Je mappelle William, lors de la première partie mon histoire, dans la série insolite N°10, je vous avais expliqué comment javais pris un grand plaisir à me masturber en voyant mon épouse me cocufier, ce qui avait ruiné ma vie de couple. En effet en 2009, le soir même où Stella avait couché avec le jeune maçon, elle voulut me faire lamour, pour me prouver le contraire. Je nen avais plus trop lhabitude, malgré mes caresses et mon cunnilingus, je ne parvenais pas à la faire jouir. Pour ma part, je bandais mou, je nobtenais pas lérection nécessaire pour lui fournir un orgasme pendant le coït. En repensant aux insultes quelle demandait à ses amants, je fis ce quelle avait exigé à Anthonio en la prenant en levrette :
Allez salope ! Je vais tenculer comme une pute.
Cela navait pas eu leffet escompté, Stella se fâcha et en se relevant, me mit une gifle en me demandant ce qui marrivait, quelle nétait, ni ma salope, ni ma putain :
Pour qui te prends-tu William ? Plus jamais, tu ne me traites ainsi. Cest bon ! Je vais dormir à côté, tu nes quun minable qui se branle en me matant me faire baiser.
Je compris tout de suite que lapprenti mavait vu et quil lavait dit à son patron. Le maçon ne sétait pas gêné de vendre la mèche. À partir de là, je savais que Stella ne maimait plus, elle devait rester uniquement avec moi pour les s et son bien-être. Elle ne travaillait pas car elle avait financièrement, tout ce dont elle avait besoin. Je me demandais pourquoi je la laissais me faire autant de mal. Je ne laimais plus, je men apercevais, je vivais toujours avec elle car je voulais montrer une bonne image de moi. Celle dun homme comblé professionnellement et sentimentalement, toutes ces tromperies étaient pour moi le moyen dassouvir mes fantasmes.
Ce fut Agnès qui le lendemain, mavait ouvert les yeux en devenant ma première maitresse, après 16 ans de mariage.
À lépoque, javais 32 ans, je nétais pas encore directeur mais je commençais à avoir de bonnes responsabilités. Ayant une très mauvaise réputation, javais tenu quAgnès reste avec moi pendant les cinq jours de stage. Elle ne mavait pas quitté, javais trouvé la gamine très impliquée et mavait confié son mal-être. Ce fut la raison pour laquelle, lorsque nous dinions chez sa mère, nous avions continué à beaucoup parler ensemble. Quatre ans plus tard, après son Bac, quelle avait obtenu, désirant son autonomie en rentrant dans la vie active, elle me supplia de lembaucher. Je venais de devenir le bras droit du Directeur, jappréhendais beaucoup de le faire. Néanmoins, je désirais laider avant tout, Agnès et moi étions devenus encore plus proches, elle était comme ma petite sur.
Elle mavait promis de bien se comporter et de se donner à fond dans son travail. Elle fut embauchée au départ sur la chaine de fabrication, Agnès se montra courageuse, ponctuelle et très assidue, elle était heureuse et cela se ressentait dans son travail. Toujours souriante et très respectueuse, tout le personnel lappréciait. Ce fut la raison pour laquelle, je navais pas hésité de la faire gravir plusieurs échelons et dernièrement, je lavais envoyée en stage afin quelle devienne ladjoint du responsable de qualité de production qui partait en retraite trois ans plus tard.
Si sur le plan professionnel elle était parfaite, je savais que dans sa vie privée, cétait une petite coquine. Elle changeait souvent de copain, sans être considérée comme une trainée, il se disait delle dans la ville quelle nétait pas bonne à marier, elle aimait trop le sexe pour être fidèle.
Elle était venue discrètement dans mon bureau à midi, lorsque la secrétaire était partie et me demanda ce qui se passait. Jétais avachi dans mon fauteuil la tête déconfite, me voyant déprimé ainsi, elle vint sassoir sur mes genoux et me secoua un peu : « William dis-moi ce qui ne va pas, je naime pas te voir comme ça. » Il ny avait quen privé quelle me tutoyait et cétait la première fois au travail. Je navais pas trop envie de lui dire car javais honte de moi, cependant devant son insistance, je lui dis que Stella me trompait : « Vlà seulement que tu le sais ? Je croyais que tu le savais. » Je ne répondis pas, javais les larmes aux yeux.
Agnès pris mes joues entre ses deux mains, nos visages nétaient quà quelques centimètres lun de lautre : « Stella ne te mérite pas William, je taime moi, depuis le début. » Me dit-elle en déposant une bise sur les lèvres : « Mais Agnès que fais-tu, tu es comme ma petite sur voyons. » Elle ne me laissa pas finir, sa bouche se colla à la mienne, sa langue força le passage. Je me laissai allé et nous nous étions embrassés : « William, tu nes pas mon grand frère, tu mas entendu ? Je taime. » Me répéta-t-elle en menlaçant et en me déposant une nouvelle bise sur mes lèvres : « Allons déjeuner et nous irons chez moi, jai envie de toi mon amour. »
Nous navions pas déjeuner ce jour-là, nous avions passé deux heures à faire lamour. Je compris immédiatement quAgnès maimait de tout son cur et que je tombais sous son charme, je fus très vite amoureux de ma petite protégée. Avec Stella nous ne nous aimions plus, mais sous les conseils de ma jeune maitresse, nous continuions à vivre ensemble afin de ne pas perturber nos s.
Comme Agnès me lavait dit, mes employés savaient pratiquement tous que jétais cocu, maintenant je ne me gênais pas pour venir lui faire une bise devant tout le monde, lorsque jallais dans latelier de fabrication. Vu ma position avec les s, je ne pouvais rester dormir chez ma maitresse, nous nous voyions que trois soirs dans la semaine. Néanmoins cela navait pas lair de lennuyer, à ma grande surprise, elle me restait fidèle et je navais aucun doute. Un soir, lorsque nous faisions lamour, je lavais traitée de salope, pensant quelle aimerait aussi :
Pourquoi dis-tu cela William ? Si je taime cest parce que tu nes pas comme tous ces types, jaime ta délicatesse, ton affection, reste comme tu es. Me dit-elle en membrassant passionnément.
Excuse-moi ma petite chérie.
Mais si tu as besoin de ça, je suis prête à accepter, je sais cest assez excitant, cest vrai. Je suis prête à tout pour toi mon amour et si tu veux me traiter de putain, fais-le.
Avant de rentrer à la maison ce soir-là, je lui avais demandé si le fait de faire lamour que quelques fois par semaine, lui suffisait. Ce fut avec une grande franchise quelle me répondit : « Bien sûr que non mon chéri, mais cest la vie, jattendrai. Jaimerais que tu viennes bien plus souvent et que tu restes toute la nuit. Tu vois ce soir, jai encore envie de toi. » Cela mavait perturbé un moment, javais très mal dormi. Le lendemain, lorsque jen avais parlé à Stella, celle-ci était contre que je passe toutes les soirées chez Agnès, cétait pour léquilibre des s, de son côté, elle faisait de même.
Un an et demi plus tard, jétais parti en congé avec femme et s, nous étions rentrés le dimanche.
Je taime plus que tout mon amour, mais moi non plus je ne te mérite pas. Je tai trompé, jen suis vraiment désolée. Me dit-elle en tombant dans mes bras en pleurant.
Ma panique se transforma en un drôle de sentiment, bien entendu dapprendre dêtre une nouvelle fois cocu ne me plut guère sur le coup mais je sentais quAgnès ne me le disait pas pour mhumilier, elle était franche et semblait le regretter sincèrement. Dun autre côté, je désirais secrètement en savoir plus. « Viens ma chérie ! » Je lui pris la main et lemmena au salon afin que lon sinstalle sur le canapé. Agnès se blottit dans mes bras, elle nosait pas me regarder : « Dis-moi ce qui sest passé. » Je sentais quelle avait honte et appréhendait ma réaction, cependant sapercevant que javais gardé mon calme, elle tourna son visage vers moi et je déposai un baiser sur ses lèvres avant de lui répéter : « Naies pas peur ma chérie ! Dis-moi tout, si tu veux que je te pardonne. »
Agnès eut quelques difficultés à commencer son récit, cependant se sentant rassurée, elle se lança dans son récit. Elle avait profité de ses deux semaines de vacances pour refaire son appartement, peinture et papiers peints, elle était allée au cinéma, à la piscine avec son amie. Mais sa mère Martine lui demanda de sortir en discothèque le samedi soir. Dans la boite, elle était en train de danser lorsque deux trentenaires se mirent à la draguer. Sa mère vint sur la piste aussitôt, elle navait pas envie de rentrer seule. Si Agnès ne se laissait pas approcher, ce ne fut pas le cas de Martine, très vite elle navait pas hésité de jouer la « cougar » de service.
Sur les fauteuils, les deux types leur paya un verre et un des deux, Olivier, le plus vieux âgé de 38 ans, embrassa Martine à pleine bouche qui se fit peloter pendant toute la soirée. De son côté, Arnaud qui fêtait le soir-même ses 35 ans discuta avec Agnès qui avait gentiment repoussé ses avances, prétextant que son cur était pris. Le plus jeune avait insisté toute la soirée sans jamais être irrespectueux mais sétait vite rendu compte quil navait aucune chance, contrairement à Olivier qui avait trouvé chaussure à son pied avec une femme mûre, encore bien conservée.
Au moment du départ, sa mère invita les deux garçons chez elle en insistant afin que sa fille laccompagne mais celle-ci ne voulait pas tenir la chandelle : « Ne me laisse pas aux prises avec ces deux hommes dans mon lit. Viens, tu boiras un verre avec Arnaud. » Cest vrai, ce gars était un type bien moralement et physiquement il plaisait à Agnès. Avant de connaitre William, elle naurait pas hésité une seule seconde pour coucher avec lui. Agnès avait un peu bu, son homme lui manquait et davoir vu sa mère dans cet état lavait très excitée : « Jai accepté dy aller, la suite tu la connais. »
Contrairement à ce que je pouvais penser, je nétais nullement fâché, cependant jétais très frustré, mon problème psychologique ressurgissait, je désirais en savoir plus. Enfin tout et jinsistais pour le lui demander, Agnès ne comprenait pas, elle était gênée de parler de ça. Elle ne répondait pas à mes questions : Comment Arnaud lavait embrassé, caressé, si elle avait pris son pied : « Mais William ! Tu es vraiment bizarre, arrête tu me fais peur ! Quest-ce qui ne va pas chez-toi ? » Voyant que je nobtiendrai pas ce que je voulais, je lui dis que je rentrais et rajoutai en prenant un risque : « Écoute Agnès, tu ne veux pas libérer ta conscience, je dois faire le point avant de te revoir. »
Oui Mon amour ! Jai beaucoup joui mais pas comme avec toi. Reste William ! Sil te plait !
Dois-tu revoir Arnaud ? Tu sais
Mais non voyons ! Me coupa-telle presque fâchée après moi.
Je laimais trop pour la laisser dans cet état, je devais à mon tour être sincère, je lui avouai mon problème de voyeurisme, en lui expliquant ce qui métait arrivé avec Stella : « Mais William ce nest pas ça ! Le voyeurisme consiste à sexciter en regardant, à leur insu, deux personnes qui pratiquent un rapport sexuel. Tu es candauliste
Le candaulisme est une pratique sexuelle dans laquelle une personne ressent une excitation en exhibant ou en partageant sa conjointe à un ou plusieurs partenaires. »
Jétais perplexe, pour me tester, elle me raconta tout ce quArnaud lui avait fait et comment elle avait pris son pied. En effet, je lavais pris dans mes bras dans un baiser passionné, elle constata par elle-même que je bandais comme un taureau : « Ne me dis pas que tu veux que je prenne un amant ? »
Pourquoi pas sil parvient à tapporter du plaisir et que je prenne le mien, si tu me racontes tout ce quil te fait. Je pourrais même vous regarder le faire.
Non mon chéri, je ne suis pas prête. Viens jai très envie de toi.
Après avoir fait lamour où nous avions pris beaucoup de plaisir, javais une nouvelle fois relancé le débat. Devant le nouveau refus de sa part, sapercevant de ma déception, elle accepta avec bien des difficultés de revoir Arnaud qui lui avait proposé un rendez-vous quelle avait gentiment décliner. Pour une première fois, ne tenant pas à ma présence à ses côtés, je décidai quAgnès reçoive son amant au chalet où je pourrais les regarder baiser par la fenêtre en laissant les volets ouverts. Elle ne voulait pas me perdre, elle insista en me spécifiant : « Si cela te fait mal de me voir dans ses bras, nhésite pas à nous interrompre. »
Ce fut bien plus excitant quavec Stella qui me trompait car Agnès savait que je la regardais faire lamour avec un autre et elle prenait son plaisir en me procurant le mien. Elle mavoua quelle avait adoré quelle navait pas cessé de me regarder la mater, ses jouissances étaient bien plus fortes. Arnaud était fortement membré, il lavait prise deux fois avec beaucoup dardeur sans aucun sentiment. Lorsquelle attendait son amant dans le chalet, elle était déjà très excitée, elle était toute mouillée. À son arrivée, il ny eu pas eu de temps mort : « Ça ta plu samedi hein ? Tu en redemandes petite coquine »
Il ne savait pas que jétais à lextérieur en train de les mater et que la fenêtre étant entrouverte, jentendais tout ce quils se disaient. Arnaud pris la main dAgnès et la plaça sur son membre : « Touche un peu la bête ! » Il dégagea sa queue volumineuse, longue et épaisse déjà bien raide en tirant sur la peau du prépuce pour faire saillir le gland. Il était fier de lui exhiber son phallus en érection et il lui ordonna de le sucer. Agnès regarda par la fenêtre, rassurée de me voir cligner les yeux, docile, elle empoigna sa queue, la branlant entre ses doigts, tout en lui léchant le bout puis la hampe pour les mouiller de sa salive.
Arnaud grognait de satisfaction pendant que sa langue glissait sur son sexe et ses bourses. Il caressait sa nuque en lui disant : « Cest bon continu comme ça ! Tu es une bonne suceuse de bites. » Sa queue toute entière disparue dans la bouche dAgnès avant de ressortir et après quelques va et vient glissant son pieu de chair entre ses lèvres, il lui dit : Fous toi à quatre pattes Agnès. » Dès quil avait commencé son cunnilingus, elle jouit puis elle prit son plaisir au moment de la pénétration. Ce fut à ce moment que mon sperme atterrissait par de longues saccades sur la façade en bois.
Après avoir pris un quatrième orgasme en me regardant lorsquil éjacula pour la seconde fois dans sa capote, Agnès le congédia. Jétais de nouveau prêt pour rentrer en action. Ce fut à ce moment-là que quelque chose sétait brisé, nous avions fait lamour, cependant elle navait plus le cur à cela. Elle décida de ne plus participer à mes délires quelle trouvait pervers. Nous étions encore restés six mois ensemble à nous voir trois fois par semaine jusquau jour où elle me dit gentiment quelle avait rencontré un garçon de sa génération et quelle désirait faire un petit bout de chemin avec lui. Nous nous étions séparés, néanmoins nous avions tenu à rester en très bons termes.
Jusquà mon divorce prononcé en décembre 2010, tous les quinze jours, Agnès et Jérémy son petit copain, minvitaient le vendredi soir à diner. Pour ma part, je mis ma vie sexuelle de côté pour me donner à fond dans mon travail car André G le PDG de la société mavait promis quun jour, je le remplacerais à la tête de la maison mère à Boulogne Billancourt. En 2011 jétais enfin directeur de lagence régionale, jallais régulièrement assister aux réunions trimestrielles au siège de lentreprise. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme William, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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