Maud 3
Je mappelle Camille. Après avoir racontée mes aventures, voici le 3ème épisode de la copine de mon copain. Comme à chaque début dépisode, voici léchange quil y a eu entre Maud et moi.
« Maud, jai le sentiment que ce nest pas tes pulsions qui te guident mais que tu es une vraie nympho. »
« Tu as sûrement raison, sinon, jamais je naurais jamais couché avec Marceau. Je ne dirais pas nympho mais nymphette. Quoique, je me suis vraiment dévergondée par la suite. Nympho, peut-être pas vraiment dautant que je naime pas ce terme mais salope cest sûr. »
Un jour, jétais en copie dun mail du client de Lyon à Marceau. Il se plaignait de la livraison et du matériel livré. Marceau avait répondu quil corrigerait cet incident et quil y aurait une compensation.
Marceau me convoqua dans son bureau pour mannoncer quil ne pourrait pas se déplacer à Lyon et quil menvoyait seule corriger cet écart. Il me fit comprendre que cétait une marque de confiance et quil ne sinquiétait pas de ma compétence pour gérer cette situation. Il annonça au client de Lyon ma venue pour le lendemain.
Je pris donc le train de bonne heure. Arrivée à Lyon, je suis allée directement à lentreprise avec ma valise voire le client. Il était un peu plus de 13h. Il maccueilli :
« Je suis ravie de la compensation promise par Marceau. »
« Il y a méprise, Monsieur, je ne suis pas la compensation et je ne coucherai pas avec vous et vous êtes pas du genre à violer une jeune femme »
« Ni jeune ni plus âgé, chère Maud. Mais vous vous êtes laissée peloté la dernière fois et je vous pari que cette fois, vous me demanderez de vous baiser. »
« Ni comptait pas »
« Nous verrons »
Nous avons passé laprès-midi à régler lincident. La négociation avec le responsable de la production fut difficile mais vers 19 heures, javais obtenu une nouvelle livraison pour dans 3 jours avec la livraison, le retour des pièces défectueuses gratuites et 15% sur les nouvelles pièces.
« Vous voyez, Monsieur, vous lavez votre compensation. »
« Bravo Maud et pour fêter ça, je vous invite à dîner au restaurant de votre hôtel. Je vous y dépose, vous prenez votre chambre et je vous attends dans le hall. »
Jétais heureuse du dénouement et jai accepté. Arrivée dans ma chambre, jai sauté sur le téléphone pour débriefer Marceau qui me félicita. Puis jai téléphoné à Yohann qui était content pour moi. Après une douche, jai mis la tenue que javais prévue. Une jupe droite, blanche, arrivant à mi-cuisse, un chemisier bleu nuit avec un décolleté plongeant et des dessous sexy. Je savais quil allait baver et quil serait encore plus frustré de rentrer bredouille même si son assurance me troublait un peu.
Il mattendait au bar.
« Désolé, jai été un peu longue »
« Lattente valait la peine, vous êtes magnifique Maud. Mais passons à table »
Il avait réservé une table ronde à lécart. Evidemment, nous étions proche lun de lautre. Il avait déjà commandé une bouteille de champagne et tout en parlant du dénouement de laprès-midi, il ne laissait jamais mon verre vide. Connaissant leffet de ce breuvage sur moi, je commençais à apprécier ce vieux beau et lui trouvais un certain charme. Si bien que lorsquil posa sa main sur ma cuisse entre lentrée et le dessert, je lui retirai une première fois avant de la laisser la fois suivante. Sa main chaude sur ma peau nue avait son petit effet sur moi. Assise, ma jupe lui permettait de caresser le haut de ma cuisse à la limite de ma culotte. Tout en caressant ma cuisse, il se pencha à mon oreille pour me demander de défaire juste un bouton supplémentaire de mon chemisier. Nous avions fini la bouteille de champagne et tout en riant, jai défait lentement le bouton. Jai cessé de rire lorsquil déposa un baiser sur ma bouche. Je lui en fis un à mon tour. En repensant à ce quil mavait dit en début daprès-midi, contrarié je mavoué quil avait raison. A laddition, je lui dis
« Je mavoue vaincue »
« Que voulez-vous dire, Maud »
« Vous le savez très bien »
« Je veux vous lentendre dire »
« Vous pourriez vous abstenir de mhumilier en plus.
« Jespère ne pas être déçu »
A son oreille, je lui chuchotais, « mon mari me trouve très cochonne »
« Ça promet, allons-y »
Dans lascenseur, il ne perdit pas de temps et me caressa les seins en membrassant. Arrivé à ma chambre, javais deux boutons de moins à mon chemisier. Dans lentrée, je lui offris à nouveau ma bouche et entrepris de lui défaire son pantalon. Il se détacha et dans les yeux me dit « suce moi ». Je me suis exécutée. A genou, je commençai à lécher son sexe avant de le prendre en bouche et de le sucer avec désir. En vrai macho, il attrapa ma tête pour rythmer ma fellation. Surprise, jappréciais dêtre traitée de la sorte. Le tutoiement fut utilisé pour les échanges suivants.
« Quest-ce que tu suce bien, jai presque envie de me vider dans ta bouche »
« Tu peux, si tu assures après. »
« Ne tinquiète pas. Oh oui, avale ça »
Il fallait que je me montre cochonne, alors jai gardé son sperme dans ma bouche et en le regardant, jai avalé.
« Merci Maud, cest un bon début. Relève-toi et fais-moi un strip-tease »
Il sest déshabillé et sest allongé sur le lit.
En me dandinant, jai défait les derniers boutons de mon chemisier. Puis, je me suis caressé les seins, le ventre et mes cuisses au-dessus de la jupe, puis en dessous en la remontant. Ensuite, jai défait ma jupe que jai glissée lentement le long de mes jambes. En dessous, jai fait un tour sur moi-même pour quil madmire entièrement.
« Très jolie dessous, Jadore »
Jai posé une main sur ma culotte et remontant le long de mon corps, jai caressé mes seins. Jai dégrafé le soutien-gorge et je me suis retourné avant de lenlever. Je me suis remis face à lui avec les mains sur les seins. Je le voyais se caresser et reprendre vigueur. Jai découvert mes seins gonflés par le désir. Puis attrapant les côtés de ma culotte, je lai descendu. Nue devant lui, je me suis approché du lit.
Comme il lavait souhaité, je lui dis : « Baise moi, maintenant ».
Il remonta pour se mettre sur moi. En membrassant, dans un baiser passionné, il me pénétra. Je gémissais durant ses va et vient en prenant vraiment du plaisir. Il me voulait cochonne et jai fait tout pour quil soit satisfait et quil me donne du bonheur. Je lui fis comprendre que je voulais quil me prenne en levrette. Jétais à genou et lui les mains sur mes hanches, il me besognait et jatteins mon deuxième orgasme. Une fois calmé, jattrapas son sexe pour le présenter à mon petit trou.
« Prends-moi mon petit cul, je veux te sentir par-là »
Il ne fit pas prié et sest enfoncé délicatement. Une fois bien au fond, il sactiva et me fit crier de plaisir. Jaime la sodomie et je jouis souvent par là. Jai eu mon troisième orgasme lorsquil se vida dans mes entrailles. Il sallongea, repus, à mes côtés.
« Maud, tu es vraiment belle avec un corps magnifique et tu es vraiment bonne à baiser »
« Alors satisfait, je suis assez cochonne »
« Tu es faites pour le sexe. Tu tes totalement donné, cétait parfait. Franchement, je ne pensais réussir à te faire craquer et jen ai éprouvé dautant plus de plaisir.
« je tai cédé une fois mais je ne coucherais plus avec toi »
« Je sais, bonne nuit »
Je me suis réveillée le lendemain, satisfaite et sil avait été encore là, jaurais aimé baiser à nouveau.
Je prends le train avec cette envie. Je téléphone à mon mari espérant quil puisse venir me chercher à la gare et me faire lamour. Il ne peut pas une réunion le retiens. Déçu, je jette mon téléphone dans mon sac. Cest alors que je surprends mon voisin den face mater mes jambes. Cest un homme dune quarantaine dannées, en costume cravate avec son portable sur les genoux.
« Vous aviez lair énervé tout à lheure, rien de grave jespère. Une jolie fille comme vous, ne devrait jamais être triste. »
« Si ça vous intéresse, jespérais que mon mari vienne me chercher à Nantes et passe laprès-midi avec moi »
« En manque damour ? »
« Si vous dis en manque de sexe, vous allez me proposer vos services »
« Vous êtes direct »
« Je vous choque »
« Disons que je nai pas lhabitude dautant de liberté dans la bouche dune femme »
« Vous avez laissé passer votre chance, je vais regagner ma place »
Javais envie de sexe mais je nai pas réussi à mimaginer me faire sauter dans les toilettes dun train par un inconnue. Lhomme a regagné également sa place sans insister.
Arrivée à Nantes elle eut la surprise de voir Thomas lattendre. Il était le collègue de Yohann et avait assisté à la conversation entre Maud et Yohann. Il sétait débrouillé pour connaître lheure darrivée de Maud. Elle lui sauta dans les bras et lembrassa avec fougue. Toujours cette envie de sexe, elle lui dit « suis-moi ». Elle choisit une toilette handicapée et le regarda. « Saute moi comme une salope »
Il la retourna, releva la jupe, écarta son string et la pénétra sans ménagement. Il la tenait par les hanches et se déchaina dans le sexe humide de Maud. Elle tentait de ne pas être trop bruyante mais tellement excitée, elle eut un orgasme lorsquil déchargea en elle.
« Ramène-moi chez moi, sil te plait »
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