La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°933)

soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°911) -

J'étais en position d'attente pendant que le Doc posait maintenant le verre vide sur la table de nuit située à proximité du lit. Je sentais ses mains glisser le long de mes bras dans une caresse légère. Il défit les menottes de mes mains et ensuite se dirigea vers mes pieds ou il effectua les mêmes gestes. Je ne bougeais pas d'un pouce, j'attendais les prochains ordres du Dominant.

- Maintenant, je veux te prendre le plus profondément possible. Alors en levrette les bras tendus devant toi et la tête sur le côté !, m'ordonna Marc.

Je me mis en place. Quand quelqu'un frappa à la porte. Marc descendit du lit et ouvrit la porte avec force dans son geste montrant ainsi qu’on le dérangeait.

- Quoi ?, rouspéta-t-il mécontent.

Je tournais ma tête de façon à voir la personne présente sur le pas de la porte. C'était un esclave du Maître à genoux sur le sol.

- Que veux-tu, esclave ?, Tu ne vois pas que tu me dérange ? s’exclama le Dominant en retenant sa colère.
- Pardonnez-moi, Monsieur mais Monsieur Le Marquis, le Maître de Ses lieux m'envoie vous chercher car un problème et survenu dans l'enceinte de Son Château et cela requiert la présence d'un médecin.
- Ah ? … Bien… Je comprends… Je te suis. Je passe un pantalon et j'arrive, dit-il avant de fermer la porte.
- soumise Cypris MDE, nous allons faire une pause vu que je suis demandé ailleurs car je ne peux pas faire attendre Monsieur le Marquis. Pendant mon absence, tu peux manger ou boire encore un peu mais aussi te reposer pour reprendre des forces car au moment où je reviendrais, nous reprendrons là où nous nous sommes arrêtés, m'expliqua-t-il.
- Bien, Monsieur. Je vous attendrais avec impatience, avouais-je.

Le Doc attrapa un pantalon dans une valise aux pieds du lit et une chemise avant de rouvrir la porte et de sortir avec un sourire sur son visage.

La porte resta grande ouverte dans l’empressement du Doc et j'entendais ses pas pressés dans le couloir pendant un moment encore. Je compris encore une fois que le Maître, Monsieur le Marquis possédait vraiment l’admiration générale, un respect de tous, même par les Dominants pour que le Doc court comme un lapin à sa rencontre. Une fois que le calme fut revenu, je suivis les recommandations de Marc. Je mangeais un peu et bus à nouveau du jus fruit. Je m'installais à nouveau dans le lit sur mon côté de façons à avoir la porte ouverte de celle-ci dans mon champs de vision. Je commençais doucement à partir dans un sommeil reposant quand je distinguais une personne marchant dans le couloir. Je pouvais distinguer que ce personnage cherchait quelque chose car prestement il ouvrait et fermait les portes les unes après les autres et paraissait bien énervé voire agressif. Arrivé là où j'étais, l'homme rentra directement et ferma la porte à clé avec une rapidité surprenante. Il se dirigea vers moi et j'eus peur. Son expression et son regard était tendu et se voyait sur son visage et sur un de ses poings. On eut cru à un homme en fuite suite à une bagarre. Je me reculais terrorisée. L'homme devant moi laissa un rire glacial exploser.

- Toi, la salope, tu vas venir maintenant ici et me contenter. Je t'ai observée pendant ta petite danse et pendant que l'autre te prenait sur la scène. J'étais tellement excité que j'ai du baiser la première esclave/soumise que j'ai trouvé. Une fois mon affaire finie, j'étais encore excité rien quand pensant à toi mais ce mec t'avais emmené pour ne t'avoir que pour lui. J'ai donc du te chercher partout et en discutant avec la personne qui m'a permis de venir ici avec elle ce soir, j'ai su que celui qui t'avais accaparé était médecin. Il ne m'a fallu ensuite trouver un esclave et de le frapper en le faisant du nez pour le faire sortir d'ici et te chercher pour t'avoir à ma guise... Tu m’as rendu fou, catin… Je te veux à moi, je veux ton cul, ta chatte de salope, de petite pute…, rajouta-t-il d’un ton plus qu’agressif.

- Monsieur Le Marquis va vous faire rechercher partout dans le Château, si vous avez blessé intentionnellement un de mes frères de soumission et il saura vous le faire regretter, crachais-je
- Ce Marquis ne me fait pas peur. Et oui !, ajouta-t-il avec un nouveau sourire. Quand j'en aurai fini avec lui et l'article que je vais écrire à son encontre et ceux de ses invités si particuliers, il sera ruiné et perdra tous. Mais malheureusement, tu ne seras plus en état pendant un moment pour dire quoi que ce soit, s'exclama-t-il en continuant de s'approcher de moi avec une agressivité qui me laissai penser le pire.

Je cherchais désespérément comment me protéger. Je regardais la porte de la salle de bain en me demandant si j’aurai le temps d’y accéder afin de m'y enfermer. Alors que je me dirigeais d’un bond vers celle-ci en courant, il attrapa mon poignet et me jeta sur le lit.

- Au secours !, hurlais-je à plein poumons.
- Crie autant que tu veux, salope, ils sont trop occupés pour venir à ta rescousse !, dit-il en faisant tomber son pagne et en prenant sa verge dans sa main.
- Non ! M'exclamais-je en bougeant dans tous les sens la tête et mon corps.
- Tu vas arrêter, Salope de petite pute et te laisser faire, ajouta-t-il en m'envoyant une violente gifle dans le visage qui fendit ma lèvre et me fis voir des étoiles.
- Noooonnn ! Au secours, hurlais-je alors que j'entendais du bruit venant du couloir.

On frappait violemment contre la porte fermée à clé. Pendant ce temps, l’homme agressif me redonna une nouvelle gifle en maintenant mes bras au-dessus de ma tête et en s'installant entre mes jambes. Il m’empêchait fortement de serrer mes cuisses et me frappait à intervalle régulier. Il embrassa ma bouche et me mordit au sang la lèvre inférieur. Je fermais mes yeux fortement car je savais ce qui allait arriver. Au moment, où il tenta de me pénétrer, la porte céda dans un fracas et on entra en force. Il fut empoigné très rapidement et fut éjecté de dessus mon corps et propulsé contre un mur.
Je pus sentir des mains sur moi et alors que j'allais hurler de nouveau, j'entendis la voie douce du Maître Vénéré, ce qui m’apaisa quasi de suite.

- Cypris MDE, ouvres les yeux !, m'ordonna le Maître.

J'ouvris mes yeux avec difficulté et je pus voir ceux du Dominant me regarder avec une expression que je ne pus définir.

- Jetez-le en dehors de ma propriété, cria-t-il.
- Non, Monsieur !, hurlais-je.
- Cypris MDE, pourquoi cris-tu ? C'est fini, il ne te touchera plus, m'expliqua-t-il doucement.
- Je suis désolée d'avoir crié, Maître, ajoutais-je rapidement. Mais il m'a expliqué qu'il était journaliste et qu'il allait faire un papier sur vous. Il veut nuire à toutes les personnes présentent ici mais à vous aussi en vous ruinant par ce papier.
- Comment sais-tu tout cela, Cypris MDE ?
- Il me l'a dit lui-même en ajoutant que de toute façon je ne serais plus en état de parler pour le dire à qui que ce soit pendant un bon moment. Vous êtes arrivés au bon moment Maître Vénéré. Je suis désolée, je n'ai pas su protéger ce qui vous appartient, Monsieur, ajoutais-je en baissant mes yeux remplis de larmes.
- Tu n'y es pour rien, Cypris MDE, me dit-il en caressant mon visage meurtrie avec une douceur inouïe.
- Monsieur le Marquis, que devons-nous faire de cet individu ?, demanda Walter qui tenait toujours l'homme étroitement serré sur le mur par une poigne de fer.
- Enfermé-le dans une des cellules du sous-sol ! En attendant de savoir ce que nous allons faire de lui ! Oh et Walter ne soit pas doux, pas la peine, il ne le mérite pas, faites-vous plaisir ! Quand il sera bien séquestrer, aller chercher Le Doc pour qu'il vienne examiner Cypris MDE.
- Bien Monsieur ! Je n'en aurais pas pour longtemps !, dit-il alors qu'il crocheta le bras de l'homme dans son dos pour le faire avancer.
- Vous n'avez pas le droit. Les lois me donnent l'autorisation de faire ceci. Je suis journaliste et la constitution m'autorise décrire ce papier, s'époumona-t-il en se débattant.

- Vous pouvez écrire tout ce que vous voulez mais pas de tenter de violer une personne !, cria Le Maître en se levant.
- Ce n'est qu'une Salope qui aime se faire baiser alors ce n'est pas un viol, cracha-t-il avec dédain.
- Si s'en est un, elle vous a dit non ! Mais vous avez aussi battu un autre de mes esclaves ! Emmène le, Walter !
- Attendez ! hurlais-je, en me levant difficilement du lit.

Les trois hommes me regardaient en attente. Je fixais l'homme qui m'avait fait du mal et lui donna le plus fort coup de poing que je pus et lui lança un coup de pieds dans l'aine. Walter le releva sans ménagement et le fit sortir avant que je ne m’évanouisse.

(A suivre ...)

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