Le Vélo De Tonton ...
Cet été plutôt que daccompagner mes parents dans un camping naturiste, a 18 ans ça me gonfle de me pavaner devant des mecs qui nont quune idée cest de zyeuter votre minou et vos nichons a longueur de journée alors jai préféré aller passer quinze jours chez tatie Jeanne, la sur de maman et tonton Georges qui habitent un bled paumé a la campagne
Pourtant jadore me mettre nue et chez ma tante ce nest pas facile, tonton Georges est très gentil , un homme affable, mais je ne sais pas comment il réagirait devant une minette à poil, alors une idée plus que saugrenue a germé dans ma tête
aller faire un tour un soir juste avant la tombée de la nuit dans le petit chemin qui passe derrière chez eux avec le vélo de course de tonton
Partir à poil de la maison ? Non ! cest trop risqué même impossible, je vais emprunter une blouse a tatie une de celles dont elle se sert pour faire le ménage entièrement boutonnée devant sans rien dessous, même pas un slip
dailleurs je me demande comment est vêtue tatie lorsquelle fait le ménage car lorsque tonton passe derrière elle il lui promet un bon coup de trique !
Faire du vélo ce nest pas le but premier mais de pédaler en danseuse afin de faire rouler mon clitoris sur le bout de la selle, javais déjà testé a larrêt pour voir si je joins les pédales, juste à bonne hauteur, ça doit être super chouette
Généralement ils vont se coucher (faisant chambre à part car tonton ronfle trop fort) vers neuf heures neuf heures trente ça me laisse une heure avant que ne tombe la nuit, je vais faire ça ce soir ! il faut que je prévois un linge pour mettre sur la selle autant pour mon confort que pour ne pas tacher la selle
je mouille rien que de penser à mon escapade !
Ce soir-là il ny a rien dintéressant a la télé ils me laissent le choix de la regarder ou daller me coucher, neuf heures un quart ? Cest le moment idéal, je leur dis que je vais dans ma chambre, javais pris soin de récupérer la fameuse blouse, fébrilement je me déshabille totalement, mes seins pointent déjà sous le tissu, je passe par la fenêtre, referme les volets provisoirement et vais sous la remise pour enfourcher le vélo
Dès le départ ma chatte est sollicitée de gauche à droite car cest à peine si je joins les pédales, me voici hors des maisons, après un kilomètre je commence à dépatter plusieurs boutons, lair chaud me fait du bien au corps, personne à lhorizon, les deux pans de la blouse flottent désormais de chaque côtés comme un étendard, il me suffit de me pencher pour titiller plus ou moins mon clitoris
wwwwwwooooooooaaaaaauuuuuhhh ! cest le pied !
A la moindre descente je me relève et arrête de pédaler pour palper mes seins et menfoncer des doigts dans le vagin désormais ouvert à toutes tailles de verges, je fais un effort pour ne pas mabandonner au plaisir et fermer les yeux, mes seins durcissent, ma chatounette coule abondamment, heureusement que jai prévu un linge absorbant sur la selle, je vais jouir sur la bicyclette !
Le feu entre les cuisses a peine apaisé il est temps de rebrousser chemin, la nuit arrive vite, je pédale tranquillement savourant le succès de mon expérience quand soudain un lapin traverse devant moi, impossible de léviter, cul par-dessus tête je me retrouve assise sur la berne éraflée au sang sur un genou, une épaule et à une fesse plus blouse déchirée
et, le plus grave cest que la roue avant est en huit
je fais les derniers cinq cent mètres avec le vélo heureusement très léger sur lépaule, MAIS
.
- Qui va là ? stop ! arrêtez ou je tire !
- TONTON !! cest moi Lisa, fait gaffe !
- Bondieu de bondieu ! que fait tu avec mon vélo ? je suis sorti prendre lair et je me suis aperçu de sa disparition
mais tu me las bousillé ? MERDE DE MERDE ALORS !! sacrée gamine
- Je suis allée me balader, un animal a traversé devant moi et je suis tombée
- Mon dieu tu es blessée ? fait voir ? et en plus tu as chouré et déchiré une blouse à ta tante ? si elle apprend ça
suis moi dans la remise nous y verrons plus clair, il ne faut pas réveiller tata sinon cest direct chez toi, sort cette blouse que je vois mieux tes blessures
- Non ... je ne peux pas lôter tonton
- Ah bon ? et pourquoi donc ?
- Je nai rien dessous
- Tu étais avec un garçon ?
- NON ! je te jure que non, je ne peux pas texpliquer
- Bon, jveux pas savoir, ôte moi ce chiffon je nen perdrais pas la vue
- Comme tu veux
Dun geste décidé je déboutonne la blouse devant Georges qui fait semblant de regarder ailleurs mais ne perd pas une miette du striptease que je lui offre, sa respiration sest soudain accélérée
- Faire du vélo dhomme à poil jaurais tout vu ! bon, voyons cela
hhhhuuuuummmmmmmm, cest pas beau, faut désinfecter tout ça, ya des graviers dedans, ne bouge pas, assied toi sur le matelas où je fais la sieste, je vais a la maison
- Merci tonton
- Tu me dois une roue !
- Je te rembourserais
- Et comment ? bouge pas de là polissonne, et serre un peu les jambes sil te plait, je ne suis pas de bois
- Oh ? excuse-moi !
Il ma semblé voir une bosse au niveau de sa braguette
il revient vite avec de quoi nettoyer mes plaies
- Monte-moi ton épaule
juste une éraflure ça va être vite fait ça pique ?
- Un peu
- Cest bienfait pour toi ! le genou à présent
boff demain il ny paraîtra plus rien
- Cest la fesse
- Oui je sais, allonge toi sur le ventre.
Il reste un long moment avant de parler et de commencer à nettoyer
- Que fais-tu tonton ? cest grave ?
- Heeeuuuu
. hein ? non, ça va aller mais cest juste dans le pli je vais devoir écarter
- Écarte Georges... je vais ouvrir les jambes... ça va comme ça ?
- Houlà ! largement, reste ainsi, ne bouge plus
La plaie nettoyée les doigts semblent ne pas vouloir quitter la zone
je dirais même quils se rapprochent de ma vulve, surprise mais pas outrée jessaie de meubler
- Ça vaut cher une roue de vélo tonton ?
- Ben oui pardi ! mais tu nas pas de fric
- Et si je te récompensais autrement ?
- Et comment ?
- Si par un malheureux hasard tes doigts déviaient sur ma fente je ne dirais rien
- Mais voyons Lisa ! quelle drôle de proposition
tu ne dirais rien ? rien à personne ?
- Rien du tout, et puis je crois que ça me pique dedans
- Ha ? ça change tout ! écarte les cuisses pour voir ? je vais écarter tes lèvres un caillou sy es peut être logé
- Vérifie de bien prés
- Remonte les fesses, quel beau petit vagin
je vais enfoncer un doigt
- Il est fragile, tu devrais plutôt passer la langue dedans
- Alors retourne-toi
- Comme ça ?
- Effrontée, tu me fais tourner le sang
- Hhhhhhaaaaaaaaaaaaaooooooooooouuuuuuuuuiiiiiiiii !!!
- Nameute pas le quartier que diable !! mord ton poignet, je recommence
Sa langue me fouille comme jamais un garçon na sus faire, et quand deux doigts viennent à la rescousse je me tords de jouissance sur la paillasse qui sent sa sueur, ce qui ajoute à mon excitation
- Baise-moi Georges ! baise-moi !
- Tu as le diable au cul toi ! je te préviens ce nest pas une quéquette de minet qui va te pourfendre
- Montre-là moi ?
- TIENT !
- Mmmmmuuuuuuuuummmmm, quel engin ! approche je vais lui faire la bise
Je lui tiens le manche à deux mains et aspire le gland suintant de rosée damour, il continue à me doigter bruyamment tant que je pompe sa verge, je la secoue énergiquement pour lui faire cracher son venin, il râle, cest bon signe.
- Recrache là vite, ça vient
trop tard
rrrrrraaaaaaaaaahhhhhhhhhhooooooouuuuuuiiiii
- Ce nétait pas mauvais tonton !
- Qui tas appris à faire ça ?
- Cest mon secret, tu me prends dans quelle position ?
- Garde la position grenouille cest très beau et très accessible
- Tu bande encore très bien pour ton âge !
- A cinquante ans ? je ne suis pas fini, je baiserais un régiment de pucelles ! pose tes jambes sur mes épaules poussinette
- Je crois que je vais la sentir passer !
- Prend là dans ta main et guide la toi-même entre tes lèvres je pousserais quand tu me diras que tu es prête
- Je suis prête tonton ! attend
voilà ton gland est pile sur le trou
Wwwwwwooooooouuuuuaaaaaaaaaahhhhhhh !!!! quelle bite, je la sens bien, dès que tu bouges ça me fais des frissons partout !
Les mains accrochées aux bords de la paillasse pour supporter les coups de reins il me secoue comme un prunier, ma tête et mes seins ballottent en tous sens, mais quelles sensations, mes muqueuses sont à vif, le feu a peine éteint de la séquence du vélo remonte à la surface, orgasmes sur orgasmes, je ne sais plus où jhabite, Georges galvanisé par létroitesse de ma chatounette décharge a longs jets sans fin
Enfin rassasiés il se laisse tomber à mon côté, morte de fatigue moi-même je suis obligée de le secouer sinon il va terminer sa nuit ici
- Tonton ? TONTON !! va te coucher !
- Hein ? quoi ? ah oui, merci pour le dédommagement de la roue ma puce, jen ai de rechange, si tu veux demain soir je temmène faire une virée
- Nue sous la blouse déchirée ?
- Oui, assise sur le cadre ! et pas nimporte quel cadre
cest popaul !
- Ouuuuuaaais
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