Terma-11- Expérience Au Bain Maure
Dans mes aventures sexuelles, en quelques années, je me suis lié avec quelques connaissances dont leurs terma étaient aussi affamées que la mienne en sodomies. Jai même découvert un cadre qui travaillait avec moi dans la même entreprise. Et un jour nous avons eu, en commun, une aventure très excitante.
Nous étions en retour de mission commune dans ma capitale, et on nous avait donné une voiture de service du garage central. A mi-chemin, dans une ville de lintérieur, on sétait arrêté pour un café chaud puis lorsquon a voulu repartir, la voiture nous a fait faux bond. Il était déjà plus de 20h du soir et il neigeait légèrement avec un vent froid glacial.
On a visité deux hôtels du voisinage mais tout était complet. On avait alors décidé de dormir dans la voiture, mais un homme, emmitouflé dans son manteau nous a conseillé daller dormir dans un bain maure pas très loin et qui sert de dortoir la nuit. Je navais pas très confiance dautant plus que le gars me semblait assez louche de prime abord, mais mon collègue qui commençait à grelotter de froid, comme moi dailleurs, ma convaincu de suivre lhomme.
Il nous a aussi proposé de mettre la voiture dans le parking du dernier hôtel que nous avions visité en vain. Le vieux gardien de lhôtel a accepté moyennant une certaine somme et nous y avons poussé la voiture. En nous voyant repartir avec lhomme, nos deux sacs à la main, le vieux gardien avait un regard désapprobateur mais in a hoché la tête sans rien dire.
Nous avons suivi lhomme, pendant deux ou trois rues désertes, neigeuses et froides, puis il a cogné à la porte dune bâtisse. On nous a fait entrer rapidement et tout de suite, nous avons senti agréablement une belle chaleur qui nous a convaincu que nous étions effectivement dans un bain maure. Une grande salle pleine de matelas par terre, un bureau de réception et trois hommes seulement à lintérieur.
Lun était un vieillard, la soixantaine ou plus et chargé du hammam pour la nuit, cétait lui qui nous a fait entrer puis il sest mis derrière son bureau.
Ce dernier nous a jeté un coup dil insistant puis il a semblé approuver de la tête. Alors il nous a informé du prix de la nuit, nous a demandé de choisir nos matelas et si nous voulons prendre un bail, il faudrait aussi payer. Il nous a rassuré sur la sécurité du lieu et nous a montré la licence collée au mur avec tous les renseignements quil fallait pour nous tranquilliser. Puis on a payé et on sest installé.
Il faisait non seulement bon et même un peu chaud et cest pourquoi nous avons décidé, nous aussi, de se mettre en tricot de peau et en pantalon jogging et on sest allongé. La lumière dun vieux néon derrière le bureau, était assez douce et donnait une pénombre assez suffisante pour distinguer lensemble mais pas tous les détails.
Lhomme qui nous avait guidés, ayant voulu prendre un bain sest déshabillé complètement, devant nos yeux et, nu, avec une grande serviette à la main, il sest dirigé vers lautre chambre des eaux chaudes. On distinguait parfaitement son long sexe qui se balançait avec érotisme et même provocation entre ses cuisses et on voyait aussi quil avait des fesses et des cuisses poilues. Le tout était très excitant et personnellement jai été remué de la terma mais je suis resté tranquille.
Et ce qui était étonnant, cest que personne na pipé mot dans la salle comme si cette tenue était parfaitement normale, habituelle dans un bain maure. Jai jeté un coup dil à mon ami et jai remarqué quil avait, autant que moi, déjà tiqué sur la longue queue de lhomme, pourtant non encore assez bandée.
Dès son regard, je savais que mon copain, dont la terma était encore plus chaude que la mienne, allait faire une bêtise.
Son beau derrière laiteux et bien charnu balançait droite gauche dans sa course vers le plaisir quil convoitait. Jai remarqué que cette fois aussi, personne na tiqué dans notre chambrée. Jai attendu mon ami pendant un bon quart dheure. On entendait quelques bruits assez confus et étouffés de la salle des eaux mais rien de distinct.
Ny pouvant plus, je me levé et, tout habillé, jai voulu aller voir ce qui se passait. Mais le gèrent ma dit que si je voulais me laver, il faut me déshabiller et payer plus tard. Malgré que jai répondu pour voir seulement mon ami, il a insisté pour que je sois à poil, cest la règle. Alors, je me suis désapé et prenant une serviette du gèrent jai pénétré dans la salle des eaux.
Elle était assez éclairée par une grosse lampe couverte en plein milieu de la salle et jai eu, devant mes yeux exactement le spectacle auquel je mattendais. Mon ami était courbé sur la dalle du milieu, bien penché avec les cuisses écartées et lhomme le sodomisait en lui tenant les hanches et en lui donnant des coups de reins acharnés ponctuée de hans de plaisirs.
Connaissant mon ami, et moi-même, je savais ce qui allait se passer, mais la scène dans cette atmosphère assez chaude et ces deux corps qui brillaient de sueur ont ébranlés mes sens sexuels et ma terma sest réveillé pour me démanger.
Je suivais leurs mouvements en me branlant légèrement et me frottant le sillon des fesses, attendant avec espoir mon tour. Je voyais ce zob long et gros, monstrueux qui sortait et rentrait dans le cul de mon ami et jappréciais déjà ce quil allait me donner ensuite. Soudain, un autre homme, complètement nu, pénétra dans la salle, cétait lun des deux hommes de la salle, le plus âgé.
Jai tout de suite remarqué que son zob était déjà gonflé et bien droit, prêt pour le plaisir.
Lhomme ma regardé en souriant, alors, ma terma affamé de désir, jai pris la même position que mon ami. Bien penché sur la dalle et le dos très courbé, jai écarté largement mes cuisses. Il doigté le sillon des fesses, y a collé son zob pour le frotter plusieurs fois en insistant seulement au niveau de mon anus.
Il a rentré un doigt puis deux dans mon anus et enfin il a pointé son zob sur le trou. Ensuite il a poussé avec énergie et sa queue na eu aucune difficulté pour me pénétrer et se glisser tout au fond de mon cul. Il sest accroché à mes hanches et ma pilonné le cul plus dune vingtaine de fois. Javis complètement oublié mon copain et son amant.
Les coups de zob dans mes entrailles, aidés par notre sueur glissaient et frottaient avec délice mon sphincter. Ma terma vivait des instants de bonheur formidables et le plaisir montait dans mes entrailles. Javais aussi oublié ma bite et je suivais les hans du gars avec ma respiration qui sessoufflait de plus en plus vite.
Enfin, le gars sest crispé sur mes hanches et je savais quil allait minonder. Alors jai serré les fesses et mon sphincter et enfin jai reçu avec chaleur les rafales de spermes tout au fond de mon cul.
On est restés très peu collés ensemble puis le gars sest retiré. Je me suis retourné et cest que jai vu mon ami, les jambes en lair, qui débutait avec son homme une seconde sodomie par terre et face à face.
Je me suis accroupi pour évacuer rapidement le sperme de mon cul et jai fait signe à mon homme si on pouvait faire comme les autres. Son zob, toujours assez gonflé était une réponse positive.
Puis on sest installé pas très loin des autres et on a fait de même. Le sol était assez agréable, pas très chaud et agréablement humide. Jai levé les jambes et lhomme sest agenouillé entre mes cuisses, le zob bien droit à la main et il me la planté dans lanus.
Comme tout à lheure, la queue sest glissée en vitesse tout au fond de mers entrailles et les couilles de lhomme me battaient les fesses au rythme de ses coups de reins. Cétait encore plus beau et plus jouissif que tout à lheure. Javais envie de crier de plaisir et comme jentendais mon ami hurler son plaisir, jen ai fait autant et tant pis pour les gars de lautre salle.
Lorsque je devinais que le gars allait juter, je larrêtais avec les mains un moment, puis, on reprenait notre danse de lamour. On a répété ce jeu trois ou quatre fois et lorsquil mon homme na plus pouvoir sarrêter, il sest enfoncé encore plus dans mes entrailles et il ma bombardé de ses jets de sperme.
Cette fois ci, la quantité de sperme était sans commune mesure avec la première, jai du lui vider tout le fin fond de ses couilles et ses muscles se sont bandés au maximum pour tirer tout son jus.
Je sentais le sperme dégouliner de mon cul malgré que le zob fût encore à lintérieur. Lhomme, épuisé, pompé, sétait écroulé sur ma poitrine, et il avait les yeux fermés. Moi, jétais tellement satisfait de cette sodomie que jai serré lhomme contre moi et je lui ai prodigué plusieurs baisers de reconnaissance.
Jai jeté un coup dil vers mon ami mais il ny avait plus personne dautre dans la salle. Alors on sest redressé, puis je me suis vidé au maximum du sperme de mon cul. Enfin on sest lavé mutuellement, on sest savonné et on sest bien rincé. Pendant cet exercice, lhomme a continué à me caresser les fesses et moi son zob mais on a décidé de ne pas continuer.
Jai osé lui poser la question qui me taraudait depuis un bon moment. Je le soupçonnais dêtre aussi lamant du jeune homme qui était allongé à coté de lui. Il a souri très largement et ma dit queffectivement, cétait en quelque sorte sa femme quil venait, dailleurs, de baiser dans la salle dortoir, juste avant notre arrivée.
Mais comme il avait pressenti que mon ami, par son comportement et ses regards affamés sur le zob de lhomme, avait le cul en feu et quil allait se faire sodomiser, il est venu pour tirer un coup sur un cul nouveau. Puis, quant il ma vu lui faire mon invitation, il a plongé sur ma blanche et large terma aussi chaude que celle de mon ami.
Après nos deux sodomies, il ma avoué quil avait rarement baisé une si belle terma, chaude et douce, blanche et large nettement plus bandante que celle de son ami-femme et quil sera toujours à ma disposition dans ce dortoir.
Puis on sest essuyé et on a rejoint la salle. Tout le monde semblait dormir et même le néon ne diffusait plus quune faible lumière. Jai remis mon tricot et mon jogging et rapidement, très fatigué, je me sis endormi du sommeil dune bonne terma bien satisfaite.
Le lendemain vers 6h, le gèrent nous a rendu largent quon lui a remis hier soir et nous a informé que tout a été déjà payé, même les bains. Il nous a aussi invité à revenir dans son dortoir à notre prochain passage dans sa ville, et nous avons accepté avec enthousiasme.
Nous avons téléphoné au siège qui nous ont conseillé de confier la voiture à un garage et de leur donner son téléphone. Ils ont discuté avec lui en notre présence, alors, rassurés, nous avons pris un taxi de la station pour finir notre route vers notre entreprise.
Bien entendu, avec mon ami, nous avons beaucoup parlé de notre aventure dans ce hammam-dortoir et confié nos plaisirs ressentis et nos fantasmes. Nous nous sommes promis de revenir à ce hammam ensemble à la première occasion, les souvenirs de ces gros zobs et de ces sodomies nous ont tenus compagnie durant tout le voyage de retour au travail.
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