Élise Libertine 41 - La Panne De Voiture
Bonjour Je suis Élise mariée à Alan depuis 1973. Je vous raconte avec son aide un dépannage particulier arrivé au début de juin 2004. Pour mieux nous connaître retrouvez notre évolution de libertins dans nos autres aventures sur le site dans la série : Élise libertine
Ce matin comme les températures sont douces pour le travail jai un tailleur dété vert amande jupe droite et courte avec une veste cintrée sur un corsage blanc soutien-gorge push-up blanc et string blanc en dentelle
En fin de matinée Agnès ma collègue de travail nest pas très bien elle est pâle et a de la fièvre. Ce matin elle est venue avec son mari qui devait la récupérer après sa journée. Elle est donc sans voiture pour rentrer. Comme je ne travaille pas cet après-midi vers 11h30 la patronne, me demande si je peux la ramener à son domicile. Jaccepte volontiers Agnès et moi prenons ma Clio et direction Salleboeuf à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux
Une fois arrivées ma collègue insiste pour que je déjeune avec elle. À 13h15 je prends le chemin du retour pour rentrer chez moi.
Peu après Fargues un voyant rouge sallume sur le tableau de bord. Un peu affolée je marrête sur le bas-côté et je ne sais pas pourquoi je lève le capot (si par hasard jétais devenu mécano la nuit dernière) je regarde les niveaux des différent bocaux sans rien comprendre et je ne suis pas plus avancée sauf que je tache ma jupe. Je ne sais pas quoi faire. Cest alors quune dépanneuse qui passe sur la route sarrête à coté de mon véhicule. Lhomme côté passager minterpelle « on peut vous aider ma ptite dame »
Moi : « volontiers jai un voyant qui sest allumé je ne sais ce que cest » (dans ma tête je pense : journée de merde)
Lhomme dans la cinquantaine descend, pendant que lautre gare la dépanneuse devant ma voiture, il regarde mon tableau de bord puis vient vers moi « cest un problème de refroidissement je vais regarder de quoi il retourne» il plonge sous le capot.
Le chauffeur est descendu il se met prêt de moi et interroge « papa verdict ?» le père se redresse et en me regardant « rien de bien grave, le ventilateur est HS donc le moteur nest plus assez refroidi, vous avez bien fait de vous arrêter sinon cela aurait pu devenir grave. »
Moi : « je vous remercie je vais appeler mon mari pour quil récupère la voiture ce soir »
Le fils, environ 20/25 ans un visage dange aussi grand que son père mais plus svelte, me demande : « vous habitez loin » Je donne mon adresse
Le fils : « papa cest pas loin du garage, on peut emmener la voiture et changer le ventilo au garage comme cela elle naura pas à déranger son mari et elle pourra récupérer sa voiture dès ce soir»
Moi : « non merci ! Cela risque de me coûter trop cher ! »
Le père : « cest mon jour de bonté je ne vous fais pas payer lenlèvement je ne facturerai que léchange du ventilateur, ça vous vas ? »
Moi : « je ne voudrais pas r monsieur vous êtes trop aimable. Finalement cest mon jour de chance»
Le père : « Fabien on monte la voiture sur le plateau ». le fils sort les rampes pendant que son père sinstalle dans la voiture.
Je demande : « pardon monsieur je peux me rendre utile »
Lui : « Je mappelle Georges mais ne bougez pas vous risquez de vous blesser et vous allez voir cest très rapide » En effet un vrai travail déquipe en un rien de temps la voiture est montée et attachée sur la dépanneuse.
Fabien reprend sa place au volant et Georges maide à monter dans la cabine, il faut reconnaitre quune jupe droite nest pas ce quil y a de plus pratique pour ce genre dexercice. Ma jupe remonte un peu permettant à Georges de se rincer lil et dun coup de main au cul il me projette en hauteur je nai plus quà me pousser au milieu pour permettre à mon chevalier servant de sassoir près de moi.
Lair de rien Georges donne une petite tape sur mon genou qui disparait sous la paluche du mécano : « voilà une affaire rondement menée ! Direction la bastide »
Nous arrivons au garage il est 14h10 les deux hommes déposent la voiture dans latelier. Georges vas dans son bureau un instant puis revient : « Fabien regarde le ventilo de la Clio accidentée si il est bon prend le, et monte le sur la celle de la dame, je la raccompagne chez elle. »
Il mentraine vers un Citroën C15 bien dans son jus et me raccompagne chez moi. Il arrête le C15 devant la maison et me dit : « on vous ramène votre voiture dans laprès-midi dès quelle est prête. »
Moi: «Georges je vous remercie cest très gentil, vous prendrez bien un café »
Georges : « ce nest pas de refus ma ptite dame ce sera avec plaisir»
Je le devance, pendant quil verrouille sa camionnette, jouvre la porte de la maison. Il me rejoint je ferme la porte il est bientôt 14h30.
Moi : « entrez dans le salon je vais faire le café en cuisine»
Lui : « la cuisine ira très bien si cela ne vous gêne pas heu cest quoi votre prénom »
En partant dans la cuisine « mon prénom cest Élise »
Je tire une chaise pour mon invité puis je fais les cafés. Il me demande sil peut se laver les mains je le guide à la salle de bain et lui donne une serviette lorsquil a terminé je lui dis : « allez dans la cuisine je vous rejoins »
Dès quil est parti je retire ma veste et ma jupe pour nettoyer la tache de graisse. Cest à cet instant quil arrive je suis en string et mon corsage nest pas assez long pour cacher mes trésors.
Lui : « Excusez-moi jai laissé ma montre sur létagère »
Moi : « désolée, jaurais dû fermer la porte pour me changer »
Il récupère rapidement sa montre et repart dans la cuisine.
Lui me regarde en souriant, il me détaille de la tête au pied avant dajouter : « je mexcuse pour tout à lheure ».
Moi : « ce nest pas grave il ny a pas mort dhomme. Vous êtes tout excusé »
Lui : « je mexcuse mais ne regrette pas, la vue était fort agréable, vous êtes si belle que jai dû me retenir »
Moi : « ha ! Vous retenir de quoi ? »
Lui : « de vous prendre dans mes bras pour vous embrasser et peut être plus »
Moi avec un sourire et le regard coquin : « qui sait après tout vous mavez dépannée je vous suis redevable ! »
Nous commençons à boire notre café, je sors mon téléphone prends un selfie massurant que Georges est bien sur la photo. Puis jenvoie un sms avec le cliché à Alan (peut-être mon amant cet après-midi ?).
Entre deux gorgées Georges me regarde interrogatif. Je le rassure : « cest un deal entre mon mari et moi je linforme dun éventuel amant sil téléphone il dit non sil répond par texto cest ok » mon téléphone vibre je souris en lisant le message à haute voix (amuse toi bien tu me raconteras ce soir je suis en réunion).
Georges : « si jai bien compris cest mon jour de chance à moi aussi »
Je mapproche de lui et massieds sur ses genoux. Je passe un bras autour de son cou dans lautre main mon café que je bois dune traite afin me débarrasser de la tasse. Jenlace le garagiste puis lembrasse à pleine bouche. Sa main droite me caresse les fesses tout en me tenant alors que sa main gauche caresse ma poitrine. Nos langues sagitent nos salives se mélangent.
Je me lève tire Georges par la main : « Allons dans la chambre nous serons plus à laise. »
Dans la chambre damis je me déshabille, Georges fait de même. Jouvre le lit, il me prend dans ses bras et mallonge sur le drap puis me rejoint en membrassant sur tout le corps.
Je tends la main pour me saisir de son sexe. Son pénis est bandé et dur.
Georges : « tu as la peau douce, jaime ton parfum et le goût de tes lèvres. Jaime sentir ton corps vibrer de plaisir»
Moi : « laisse-moi te sucer à mon tour, jai envie de faire jaillir ta source»
Tout en douceur il me pousse vers son membre dressé. Ma bouche souvre pour accueillir le membre turgescent mes lèvres se referment sur le gland ma langue joue avec ce sexe qui déjà libère un filet de liquide pré-séminal preuve de lexcitation de mon garagiste. Ma bouche va et vient le long de sa tige puis se retire pour venir honorer ses deux grosses couilles avant de revenir pour mieux le sucer. Ses mains continuent de me caresser ses doigts prennent possession de ma chatte trempée de désir. Sa bouche embrasse la moindre parcelle de ma peau à sa portée.
Georges : « Élise ta bouche est douce et chaude tu suces comme une reine je ne vais pas pouvoir tenir longtemps »
Moi : « laisse toi aller ne tinquiète pas jadore ça. » lorsque je le sens près de la jouissance je tempère ma succion. Après plusieurs arrêts je me décide à mener ma fellation à son terme
Georges : « tu es diabolique, attention je viens ! »
Je sens sa queue tressauter dans ma bouche les jets de sperme sécrasent sur mon palais et au fond de ma gorge. Je mefforce davaler le précieux nectar tout en suçant la lance pour en extraire les derniers jus.
Georges mattire entre ses bras et me roule un patin digne dune scène de grand film. Je me blottis entre ses bras si rassurants en caressant sa nuque.
Lui : « merci pour cette pipe de compétition, cétait très bon »
Je sens ses doigts courir sur mon corps ses mains remonte sur mon cou, il saisit mon visage et me regarde dans les yeux il me bascule à côté de lui et sans me quitter du regard Nous discutons un bon moment histoire de recharger les batteries.
Enfin sa main caressante descend vers mon sexe ses doigts glissent dans ma chatte humide il me baise avec ses doigts. Nous échangeons un baiser je sens son membre durci contre ma hanche.
Je tends la main, saisis un préservatif sur la table de nuit je me redresse pour extraire la capote de son étui. Je me penche sur sa queue je la coiffe du préservatif que je déroule avec la bouche sur le sexe tendu. Je mallonge à côté de lui et lui demande : « tu veux bien me baiser jai envie dêtre à toi maintenant je veux te sentir en moi. »
Lui : « Tu es sûre de ne pas le regretter»,
Moi : « non tu as entendu le message de mon mari je lui raconterai tout ce soir il nen sera que plus aimant, maintenant nous allons baiser pour le plaisir il ne peut y avoir que du sexe plaisir entre nous. »
Lui : « tu es une drôle de bonne femme alors soit, faisons nous plaisir »
Il se déplace et avec assurance se glisse entre mes cuisses. Sans avoir besoin de le guider son chibre prend possession de ma chatte. Il se met sur les coudes et tout en membrassant il me baise avec ardeur. Je sens son sexe me pénétrer avec force, son pubis vient frotter mon clito. Il me besogne pendant près dun quart dheure variant sa cadence et la façon de me pénétrer. La sueur commence à couler sur ses tempes il me regarde avec tendresse prêt à me donner du plaisir. Jessaie de tenir face aux assauts de mon amant mais mon corps commence à me trahir je suis prise de petits tremblements incontrôlables annonciateurs de ma jouissance.
Moi : « george hoooouiiiii je jouiiiiiis »
Lui : « vas-y moi aussi je viens aaarrh »
Je sens encore sa queue se contracter plusieurs fois avant quil se retire. Il est essoufflé et tout comme moi il cherche à récupérer. Il retire son préservatif rempli de sperme, il en noue lextrémité et le pose dans le cendrier.
Après un moment de calme blottis lun contre lautre il se tourne vers moi membrasse tendrement: « je te remercie pour ces instants magiques je resterais bien mais il faut que jy aille, jai un garage à faire tourner et mon fils vas me croire perdu»
Il se lève je lui propose de prendre une douche il refuse poliment en précisant quil la prendrait à latelier. Il se rhabille et me dit : « Élise si tu veux je te ramène ta voiture pour 18h00.»
Moi : « Peut-être que ton fils apprécierait lui aussi dêtre remercié de la même façon »
Lui : « Dans ce cas pas de souci, je suis sûr que ça lui plaira mais tu veux peut être quil vienne plus tôt »
Moi : « non non ! 18h00 cest parfait »
Il est à peine 15h30 quand Georges part, je mimagine déjà avec le fils tout à lheure et quAlan va rentrer et nous trouver dans la chambre. Je file dans mon armoire, que vais-je mettre ? Hé puis zut je mets juste mon déshabillé en voile blanc après tout il va savoir par son père quil va me baiser.
Jenvoie un SMS à Alan :(mon, visiteur viens de partir mais vers 18h00 cest son fils qui me ramène ma voiture et vient recevoir sa récompense). Je reçois aussitôt sa réponse : (OK je ne rentrerai pas avant, envoie moi une photo je rentrerai par le sous-sol)
Je trouve la fin daprès-midi très longue, je range le lit en le laissant ouvert je vide le cendrier et maintenant je tourne en rond. Je mets un peu de musique et je vais boire un thé dans la cuisine.
Il est tout juste 17h45 quand la sonnette retentit il semble que le fils soit impatient de me rendre ma voiture. Je file vers la porte contrôle par le judas. Cest bien Fabien il a mis une combinaison de travail toute propre pour loccasion. Jouvre en restant derrière la porte afin que les voisins ne voient pas ma tenue. « Entre Fabien »
Le jeune homme entre tourne la tête pour mapercevoir, je referme la porte derrière lui, il me regarde les yeux écarquillés la bouche entrouverte. Je lui dis : « ça va ? Tu ne vas pas faire un malaise ? »
Lui : « Non madame, heu cest-à-dire que je nai pas trop cru mon père quand il ma dit que vous vouliez me remercier en nature et quand je vous vois jai envie de me pincer pour être sûr de ne pas rêver »
Moi : « pour commencer tu ne mappelle plus madame mais Élise, ensuite tu viens membrasser »
Fabien sapproche de moi et membrasse sur la bouche en me serrant dans ses bras. Je lentraine vers le canapé et lui dis : « assied toi sur le canapé ! Veux-tu un café ou autre chose ? ».
Lui : « je préfère un coca si vous avez »
Je vais chercher un coca, un verre et la tasse de thé que nai pas terminée, je pose le tout sur la table basse. Je massois près de lui, je sers le coca. Je prends mon téléphone, je me colle à lui et demande : « passe ton bras derrière moi » ce quil fait aussitôt. Je prends sa main, la pose sur mon sein. Il me regarde je tends le bras pour faire un selfie nous deux enlacés que jenvoie vite à Alan. Il minterroge : « tu nas pas peur que ton mari tombe dessus »
Moi : « non au contraire cest pour lui cela lui fera un souvenir » je fini mon thé
Pour se donner une contenance il boit son coca lentement jen profite pour venir caresser sa queue qui tend le tissu bleu du vêtement de travail. Je constate quil a retiré son sous vêtement car la queue est libre de toute entrave, je saisis la tirette du curseur et remonte la fermeture à glissière avec précaution pour ne pas mutiler le membre bandé.
Sitôt libéré le bel appendice se dresse fièrement, ma main sen empare, un peu plus long que son père mais aussi épais sa toison est moins fournie. Je me penche sur ses cuisses et prends en bouche la belle gourmandise que je suce une ou deux fois avant de me redresser et dentrainer ce jeune amant vers la chambre damis.
Arrivés dans la chambre nous sommes vite nus et allongés sur le lit. Fabien me demande si jai un préservatif jen att un il nen est pas à sa première vu la vitesse avec laquelle il le déballe et lenfile. Cette fois je crois que les préliminaires vont passer à la trappe, le jeune étalon piaffe dimpatience.
Il membrasse, sa main descend fouiller mon sexe, je mouille abondamment cest pour lui le signal de la saillie. Effectivement il mécarte les jambes et vient se loger entre mes cuisses. Sans hésitation il me plante son chibre dans la chatte. Il se lance dans une course effrénée il me laboure la chatte sans faiblesse. Puis soudain il se plante au fond de moi arrête de bouger il me fixe dans les yeux : « excuse moi je suis trop tendu et excité mais je vais tattendre pour jouir»
Il reprend ses mouvements avec douceur, me dit des mots gentils et maladroits comme souvent à cet âge. Par contre avec sa queue je trouve sa façon de faire de plus en plus agréable je commence ressentir des fourmillements dans le corps, et lâche mes premiers gémissements, il me fouille le vagin avec minutie sa bite va à droite à gauche dans chaque recoin tout en me couvrant de baisers, sur le visage, dans le cou.
Cest à ce moment que japerçois Alan dans lencadrement de la porte qui me fait signe chut avec son doigt sur la bouche en souriant il regarde mon jeune amant sactiver sur moi. Je suis encore plus émoustillée jembrasse Fabien je lencourage je lui dis : « Oui jaime comme tu me baises continue fais-moi jouir je sens que je viens »
Lui : « Élise que cest bon de te baiser, ta chatte est chaude, je suis prêt à jouir avec toi »
Moi : « baise-moi plus fort maintenant comme au début je nen peux plus »
Il me baise plus énergiquement et jai un premier orgasme qui arrive : « oh putain que cest bon oh ouiiiiiiiiii »
Lui accélère encore et lance dans un grand cri « je jouis ! Que tu es bonne » je sens sa bite éjaculer dans son latex.
Il sécroule sur moi et membrasse avant de se laisser glisser sur le côté. Il fait un bond en voyant Alan qui se met à applaudir : « bravo ne bougez pas pour moi, je nai pas voulu vous interrompre. Je vous laisse continuer. Élise je descends dans mon bureau jai des papiers à classer et vous jeune homme faites comme si je nétais pas venu.»
Fabien va pour se lever je le retiens « reste avec moi tu as bien entendu Alan ta dit de continuer »
Le pauvre garçon regarde sa verge qui sest recroquevillée avec le préservatif, garni de sperme, qui pendouille. Je récupère le latex et le pose dans le cendrier, puis je le regarde : « oublie Alan je moccupe de toi et tu vas retrouver la forme »
Je me penche sur le sexe ramolli je le prends en bouche tout en le branlant, sous mes caresses il nest pas long à retrouver sa bandaison même si comme chantait Georges (ça nse commande pas).
Le vit étant à nouveau dressé je lui demande : « que veux-tu maintenant je te suce, tu mencule ou les deux»
Lui : « Je veux bien les deux, enculer je lai jamais fait, mes copines nont jamais voulu»
Je reprends son sexe en bouche et le gratifie dune fellation en gorges profonde. Il prend bien du plaisir car maintenant il me tient la nuque afin de senfoncer plus encore dans ma gorge pendant que je lui malaxe les couilles. Il ne résiste pas autant que son père, rapidement il se vide au fond de ma gorge et est étonné que javale toute sa semence.
Après un petit moment je lui dis : « maintenant mon cul est à toi.» il retrouve la forme illico
Je lattire vers moi, avec ma bouche je lui enfile le préservatif ce qui le surprend et je me mets en levrette.
Je le guide : « trempes tes doigts dans ma chatte pour les mouiller puis après tu les mets progressivement dans mon anus pour préparer mon petit cul à ta visite. Cest bien baise moi un peu la chatte comme cela ta bite et le préservatif seront assez lubrifiés, maintenant tu mencules avec moi pas de problème mais pour tes copines il faudra les préparer plus longtemps et ensuite pénétrer doucement quand ton gland est passé tu progresses doucement en tenant compte de la réaction de ta copine, il faut un peu de temps pour quelle shabitue. Ne la force jamais mais reviens toujours avec patience et douceur. »
Cette fois pas de doute il me sodomise, je lencourage : « encule moi plus fort je suis habituée à me faire prendre le cul. » Le petit apprend vite il me baise avec beaucoup dardeur je sens que sa bite est de plus en plus grosse et raide il me dit : « ça fait bizarre cest bien plus serré que ta chatte, jaime tenculer cest bon ! »
-« je suis heureuse que tu apprécies ton cadeau ».
Je me mets à donner de coups de cul pour venir à la rencontre de sa bite, jéprouve de plus en plus de plaisir de sentir ce jeune étalon me défoncer le petit et je sens sa bite durcir encore. Pour une première fois je crois que ce ne sera pas sa dernière tellement il prend du plaisir à me ramoner le conduit.
-« Que cest bon de tenculer ! Toutes les filles doivent le faire ou seul les salopes et les putes le font ?»
Il narrête pas de parler et pose beaucoup de questions le garçon mais au moins en parlant il ne sarrête pas de me perforer lillet et cest plutôt bon. A cette cadence je ne vais pas tarder à jouir du cul jessaie de lui répondre mais jai de plus en plus de mal à suivre la conversation.
-« Tu me classes dans quelle catégorie les salopes ou les putes ? »
-« ce nest pas ce que je voulais dire madame »
-« on en reparle plus tard alors ramone moi plus fort défonce moi le cul je vais jouir »
Fabien se tait et accroché à mes hanches il me pilonne plus fort encore. Son chibre va et vient à une vitesse surprenante parfois il sort totalement de son fourreau pour mieux y revenir. Dans cet effort pour le final il souffle grogne jusquà ce que je jouisse et là il jouit à son tour il crie « whouhaou quel pied.»
Je me mets également à lâcher des onomatopées en jouissant longuement.
Mon étalon sécroule sur mon dos et membrasse dans le cou en me disant « merci ! Que cest bon.»
Nous basculons sur le côté, son sexe sort de mon fondement, il att le préservatif garni et le pose avec lautre puis se tourne vers moi me regarde : « je mexcuse pour ce que jai dit tout à lheure.»
-« ce nest rien je te dirais quune pute le fait pour largent, moi je dis que je suis une salope qui aime beaucoup le sexe, je dis tout à mon mari et lui demande son autorisation doù le sms que je lui ai envoyé avec notre selfie »
-« Mais ton mari il ne dit rien ? »
-«non parce quil sait que jen ai besoin et quil en profite après ».
-«on pourra se revoir ? »
-«non fin de la récompense et du doit être discret ne parle de cela à personne. Maintenant si tu veux prendre une douche cest la porte à gauche»
-« merci mais je vais rentrer à latelier prendre ma douche, là-bas jai mes habits de ville je dois retrouver des potes au Mac-Do»
Il est presque 19h00 jenfile mon déshabillé, il enfile son bleu de travail le voilà prêt à partir. Quand nous sortons de la chambre japerçois Alan qui sactive dans la cuisine il tourne la tête vers nous : « bonsoir jeune homme »
Fabien « bonsoir monsieur »
Arrivés à la porte je lembrasse pour lui dire au revoir, avant douvrir la porte aussi discrètement quà son arrivée. La porte refermée je vais dans la cuisine je me pends au cou de mon homme et lembrasse amoureusement. Il me demande : « tu as passé un bon après-midi ?»
-« Oui cétait plutôt agréable et marrant de comparer le père et le fils, le père avait le savoir-faire et lassurance de son âge, le fils plus fougueux et baiseur en devenir je lui ai fait découvrir la sodomie mais je te raconte tout après le diner Je file sous la douche» Alan: « cest prêt dans dix minutes »
Après le diner nous allons dans notre chambre et je lui raconte mon après-midi en plusieurs épisodes nous sommes si excité que nous reproduisons en partie les actes sexuels de cet après-midi avec mes amants.
Deux jours plus tard jai reçu la facture acquittée du dépannage :
Travaux : dépannage, échange ventilateur.
Main duvre : 3h00 Pièce : super occasion
Total : surprise très agréable Règlement : en nature ! Le garage vous remercie de votre confiance.
A bientôt pour de nouvelles aventures sous la plume dAlan
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