Mon Médecin Traitant

Quand j'étais plus jeune, j'ai traversé une période de convalescence m'obligeant à me balader en béquille, une longue période qui à durée 9 mois. A l'issu du 8ème mois, mon beau quinquagénaire de médecin traitant m'appelle pour qu'on fasse un check up, afin d'observer les effets de cette longue période, me soulignant que c'était une période où il était bon de vérifier certains éléments. Il me demande si j'ai déjà eu des relations sexuelles.
- "Oui, en effet, et des deux bords". En effet durant cette période j'ai longuement exploré le sexe homosexuel avec un couple d'ami, ainsi qu'avec quelques amis.
- "Etais-tu protégé à chaque fois?"
- "Non, mais nous avons fait des tests ensemble avec des amis, et je ne le fais sans qu'avec eux. Mais je suis en couple depuis peu, alors je me suis calmer, et on se protège en attendant de refaire les tests".
Il me posa ensuite d'autres questions avec ce qui nous intéresse là.

J'arrive donc à son cabinet, dans la salle d'attente, ou je m'assois, sans me douter de ce qui allait arriver. Mon heure arrive, on échange des banalités le temps qu'il se remémore le pourquoi de ma venue. Il est toujours aussi beau, les cheveux grisonnant, les mains larges, des yeux bleus perçants. Une immense bibliothèque derrière lui. Tout en lui m'attirait, il et avait habité de nombreux moment où mes doigts exploraient mes entrailles. Quelques instant plus tard je me retrouve nu sur le banc d'auscultation, il me palpe à droite à gauche, la routine. Il me demande si ça a été dur d'arrêter le sport d'un coup, si j'ai des soucis de digestion, des questions de médecin. Alors que ces mains touchent mes hanches, je rougis, je sens que j'ai chaud, étant récemment initié au sexe gay, et très fan de ça. Ensuite, on parle un peu de cette relation, on en vient à parler du sexe, et il me dit qu'il doit vérifier mes bourses. Horreur, et si je bande?? Je lui signifie d'un signe de la tête qu'il peut y aller, en me mordant la lèvre et en regardant dans un coin.

Il me demande à quel genre de relations sexuelles je m'étais exposé. Je lui explique pour mon amie et son mec, un noir bien membré.
- "C'est classique, ce n’est pas rare chez les jeunes d'essayer, j'espère que ça ne t'angoisse pas?" me demande-t-il.
Il a ses deux mains autour de mon sexe pour faire un garrot. Il enlève une de ses mains pour décaler mon gland qui rougit de plus en plus, je sens l'érection venir. Il se met à caresser mon scrotum, puis mes testicules, délicatement, mon sexe commençant à gonfler.
- "Et bien un peu, je vous ai parlé d'un groupe avec lequel je ne protège pas. Il s'agit en fait de garçons de mon âge, qui habitent dans ma rue, on est 5 en tout, et c'est d'un autre genre. En fait, on est 2 à se faire sodomiser, et généralement on fait des jeux de rôles". Il avait lâché mon sexe, qui était dur comme fer. Il approcha son visage si près que je pu sentir son souffle chaud sur mon sexe. Puis il empoigna mon sexe comme pour me masturber, et regarda mon gland.
- "Tout à l'air correcte" dit-il en lâchant mon sexe. "Plis les jambes s'il te plait" ajouta-t-il en partant enfiler un gant en latex. Donc tu as déjà fait de la soumission?"
- "Pas vraiment, répondis-je, c'est un peu brutal, mais rien de particulier, pas attaché, pas de fist etc, ils ne sont pas trop pour." Il était debout à côté de moi, en me regardant. Il posa un tube de lubrifiant sur la tablette à côté de lui, avec plusieurs autres éléments.
- "Et toi, est-ce que tu aimerais être soumis?" demanda-t-il avec simplicité. Je me senti rougir d'un coup, mon sexe eu des contractions, quelques gouttes se mirent à perler de mon gland.
Il prit alors un bon peu de lubrifiant dans sa main recouverte de latex, et masturba mon gland doucement. J'avais honte de dire, d'avouer, d'admettre.
- "Oh que oui".
- "Veux-tu essayer aujourd'hui?"
- "Bien sûr !" répondis-je avec enthousiasme, un fantasme devenant réalité.
- "Donc tu vas m'obéir, mais donnes moi des indications que je ne te brusque pas non plus".
Il changea de main sur mon sexe. Le contacte de la peau de sa main sur celle de mon gland me fit frissonner. Sa main ganté alla explorer mon anus, dans lequel il glissé deux doigts gantés, qui entrèrent, par la force de l'habitude, très facilement. Il s'interrompit pour prendre un garrot avec lequel il entoura mon sexe et mes bourses. Il s'écarta et me dit :
- "Mets-toi debout devant la table d'auscultation, le torse sur le lit, le fesse vers moi et les mains dans le dos".
Je m'exécutais en étant véritablement impatient de voir ce qu'il adviendrait. Il attachât mes mains avec un autre garrot, Puis entreprit de réintroduire 2 doigts dans mon anus en enduisant grassement de lubrifiant. Je pris peur, allait-t-il me fister? Ce n’est pas ment quelque chose qui m'attirait, mais sexuellement parlant, je ne peux rien refuser ! Cela m'excitait autant que cela m'effrayait. Je respirais fortement. Alors qu'il me doigtait avec maintenant 3 doigts, il se fit à me mettre des fessées, qui me délivrèrent autant de plaisir que d'excitation. Il retira se doigts, pour revenir à la charge avec la main, avec laquelle il fouilla ardemment mon anus. Il se retira à nouveau.
- "A genou je te prie"
- "Bien sûr" répondis-je.
Je me retournais en arborant un sourire radieux, heureux de mon sort, excité au point que mon gland était dégoulinant. Je me mis à genou en regardant sa ceinture avec envie. Il entreprit d'enlever son pantalon, et me révéla un sexe mi-dur, d’une belle épaisseur, pas trop long, brouillant, circoncit. Puis il s'approcha de moi. Collant son gland à ma bouche. Je me mis à lécher sa verge avec douceur et envie, m'arrêtant à la base du gland, remontant jusqu'au poil, faisant ainsi jusqu'à ce que son sexe soit perpendiculaire au sol. À ce moment-là je me mis à lécher baveusement son gland, surtout au niveau des vestiges du frein. Son sexe grandissait de plus en plus, il devait faire au moins 20 centimètre maintenant. Il était très dur.

Je descendis vers ses testicules en laissant trainer ma langue, pour venir gober ses boules. Je me remis face à son gland, pour venir l'enfourner dans ma bouche en avançant petit à petit le plus loin possible. J'arrivais avec peine à la moitié. Puis je fis ses mouvements amples en aspirant de plus en plus fort.
- "Tu es vraiment doué c'est surprenant. Reprends la première position que je puisse entrer en toi".

Avec difficulté je me mis le torse sur la table, en écartant mes fesses avec mes mains, attachées dans mon dos. J'espérais que cette fois sa main entrerait totalement dans mon cul, alors je ne culpabiliserais plus de me le faire à moi même parfois !
Mais au lieu de ça, je senti son gland se faufiler entre mes fesses, passer mon anus avec aisance, pour venir buter à la limite que ses doigt avait atteinte, il se mit alors à forcer, m'arrachement un long couinement, jusqu'à être entièrement enfoncé en moi. Puis il se mit en m'enculer avec des mouvements très brutaux en me mettant des fessées qui claquaient fort. Il ne fallut que peu de temps pour que je sens ses deux mains entourer mon cou, me tirer en arrière et m', me laisser tout de même respirer. Il callait ma nuque sur son épaule, sa main gantée au tour de ma gorge serrant toujours. Son autre main vint serrer mes boules, avec vigueur. Je couinais à n'en plus finir, mon anus se contracta autour de son sexe, pendant un long moment, alors qu'il serait toujours mes testicules. Beaucoup de sperme coula! Il me fit le lécher en empoignant mes cheveux. Il bourrinait toujours ! Je léchais mon sperme tant bien que mal espérant avec rapidement le sien. Il se retira brusquement, et me dit de m'allonger. Je m'exécutais, alors qu'il se mit à se branler, plaçant mon visage où il le désirait sur la table. Puis il éjacula, tant dans ma bouche ouverte, que sur le banc, pendant que je léchais ce que je n'avais pas directement.
Après nous être rhabillé, il me dit qu'il avait plusieurs amis qui se ferait une joie de bloquer une après-midi pour traiter mon cas ensemble. Je lui ai répondu que j'y réfléchirais et nous reprime rendez-vous pour la semaine d'après, que nous.