La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°938)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°937)
A la suite de ce déjeuner succulent, il faut lavouer, nayant pas eu droit à la bouillie des soumis mais au même et succulent repas que le Châtelain. Repas coupé en morceau pour que je puisse lingérer dans ma position de chienne. Puis le Maître me reconduisit dans mon Cachot, mintimant lordre de me reposer jusquau lendemain matin, et cette fois-ci, je neus aucun mal à mendormir
et, de plus est, si heureuse
! Chaque Cachot possédait une lucarne en soupirail donnant sur lextérieur. Lorsque je me réveillais, la nuit était tombée. Javais donc dormi longtemps, même sil me restait encore quelques heures avant quon ne vienne me chercher. Dun coup, les nuages qui peuplaient le ciel sécartèrent, laissant apparaître une magnifique pleine lune, dont la lumière tomba sur moi. Jeus lenvie irrépressible de me prosterner, en pensées devant le Maître, ne le pouvant pas, je le fis devant la lune, et je laissais couler mes larmes. Ce week-end avait été très intense, remplis dépreuves, démotions, et de la plus belle récompense ! Après être restée ainsi un long moment, remerciant la Destinée qui mavait menée jusquici, remerciant de toutes la force de mon âme, Monsieur le Marquis, espérant quelle serait assez forte pour pénétrer Ses songes pour quIl puisse mentendre, je décidais de me recoucher, en chien de fusil, et étrangement, je me rendormis très facilement
Cette nuit-là fut peuplée de rêves érotiques de soumission tous autant intenses les uns que les autres
Les jours passèrent, se ressemblant, mais sans jamais être banals, sans jamais être monotones. Le matin, Walter venait me chercher avec mes surs de soumission. Nous prenions notre douche, puis il nous amenait aux cuisines pour le repas des soumis sous les ordres sévères de Marie la cuisinière. Ensuite, nous étions chacun affectées à des corvées, jusquà lheure de retrouver le Maître pour la partie « professionnelle », souvent entrecoupée par Ses exigences, dune nature ou dune autre.
- Bien petite chienne ! Tous ceux qui sont entrés dans un des Cachots de ce Château sont passés sous mon fouet. Monsieur Le Marquis est un ami avec qui je travaille depuis longtemps, et Il aime visiblement les dessins que je laisse sur la peau de Ses femelles. Alors je vais te faire prendre les positions que jexigerai, et je veux que tu te taises ! Je ne veux pas entendre le moindre son de ta part.
Il commença par mattacher les bras à un anneau accroché à une poutre du plafond, mes pieds touchaient à peine le sol. Je me préparais déjà à ressentir une vive douleur lorsque je le vis armer son bras. Mais à ma grande surprise, les coups étaient légers et ne marquaient pas. En fait, ils étaient très excitants. Monsieur Whip tournait autour de moi, et aucune parcelle de mon corps nétait épargnée. Il avait une manière de manier son instrument qui commençait à me rendre folle, folle dexcitation, folle de désir. Je mourrai denvie de le supplier de me prendre. Je tenais à peine sur la pointe de mes pieds, mais jarrivais pourtant à bouger mon bassin, à « danser » pour essayer de lappeler à me baiser. Quand il revint en face de moi, il sinterrompit, me regarda dans les yeux tout en glissant ses doigts entre mes cuisses.
- Humm, bien, tu es trempée ! Lèche mes doigts, nettoie les biens, et ne me quitte pas des yeux !
Jobéissais. Javais limpression quun lien commençait à se tisser entre nous, mais je naurai pas su le définir. Jétais comme hypnotisée. Monsieur Whip séloigna et arma de nouveau son bras, après mavoir embrassée langoureusement, je dirai même embrasée ! Et le fouet recommença à tomber, beaucoup plus sec, cinglant, et véritablement marquant. Mais la douleur ne mimpactait pas tant que ça, les coups préliminaires mavaient comme anesthésiée, et tellement surexcitée que je laurai presque réclamée ! Je me laissais totalement allée à la morsure du fouet.
- Ce travail est aussi endurant pour le Maître qui sy emploie que pour la soumise qui subit. Viens, suis-moi !
Et alors que je me plaçais en quadrupédie, une nouvelle fois, il me releva et me prit par la main pour me conduire au travers des couloirs du Château, jusquaux chambres. Il en ouvrit une, la sienne car il venait de loin, et nous entrâmes. Jétais toujours nue. Il me conduisit jusquau lit.
- Après une telle séance de marquage, jaime faire lamour à la soumise qui sest donné à mon fouet !
Encore sous les effets excitants des coups préliminaires que javais reçu, toujours ce sentiment dhypnose, de lexistence dun lien entre nous, il fit ce quil avait dit. Je crois bien que je navais jamais ressenti autant de douceurs, de tendresse, avec un inconnu. Jamais je navais ressenti quelque chose daussi intense du temps où jétais mariée. Seules les relations avec le Maître, quand il voulait me récompenser, étaient supérieures à ce que jétais en train de vivre.
- Bien, maintenant que jai eu la femme, je veux revoir la chienne. Alors sors de ce lit, qui nest en aucun cas ta place, et place toi à quatre pattes à mes côtés.
Après que jeus obéi, il saisit ma laisse quil avait enlevé avant que nous nous accouplions en de torrides ébats, et la replaça sur mon collier. Puis donnant une impulsion sur celle-ci, il me ramena, nue dans la salle de réunion. Visiblement, je navais pas été la seule à avoir dû satisfaire un Dominant présent à la réunion. Il y avait quelques personnes habillées, et plusieurs nues comme des vers. Un Dominant frappa dans ses mains afin dattirer lattention de tous ceux présents.
- Bien, maintenant que cette longue « récréation » est terminée, remettons-nous au travail. Notre Hôte attend des résultats rapides. soumise Aphrodite MDE, de ton côté, cest la partie financière qui tincombe. Retourne donc dans le bureau qui est mis à ta disposition, et prépare la situation financière actuelle. Nous te transmettrons les devis, et tout ce quil te faudra pour que tu puisses indiquer à Monsieur le Marquis la faisabilité du projet financier. Tu repars évidemment à quatre pattes, sans vêtements !
Je saluais les personnes présentes. Un homme, dominant au vu de ses vêtements, mouvrit la porte et me claqua les fesses lorsque je passais devant lui. Je frappais à la porte du bureau du Maître. Sur Son injonction dentrée, je poussais la porte et allais me prosterner au centre de la pièce.
- Eh bien, eh bien ! Tu mas lair bien « dessinée » ! Lève-toi et tourne sur toi-même, tête baissée, afin que je regarde luvre de mon ami.
Il mobserva longuement. Les marques du fouet avaient perdu toutes leurs boursoufflures, et les marques étaient bien visibles.
- Cest vraiment magnifique ! Avant que ces traces ne disparaissent, tu vas me suivre dans le petit salon, qui est bien éclairé. Un photographe attend pour immortaliser ces dessins, et jen suis sûr, les émotions fortes que tu auras ressenti entre les mains de mon ami.
Le photographe me fit prendre plusieurs poses. Il était exigeant, et à son ton, je me demandais sil nétait pas également Dominant. Le Maître sétait assis dans un fauteuil confortable dans un coin de la pièce. Je sentais Son regard posé sur moi, et javais du mal à me concentrer sur les directives du photographe. Quand il sarrêta de me mitrailler et commença à ranger ses accessoires, le Châtelain se leva et sadressa à lui.
- Mon ami, je vous laisse ma chienne pour vous remercier. Faites-en ce que vous voulez !
Et il partit. Le photographe ne fit aucunement attention à moi le temps quil rangeait. Je métais mise en position dattente, à genoux, près du canapé où il avait pris quelques clichés. Quand il eut fini, il séloigna le plus loin possible de la pièce, et mordonna de le rejoindre en rampant. Je mexécutais, essayant de rendre ma démarche reptilienne aussi gracieuse que possible, mais cétait un exercice que je navais encore jamais pratiqué. Et visiblement je ne devais pas réussir à faire ce que je voulais, car les rires moqueurs de lhomme maccompagnèrent jusquà ce que je sois à ses pieds.
- Bien, je dirais à Monsieur le Marquis que Sa chienne a besoin dun sérieux entrainement ! Maintenant à genoux, et occupe-toi de ma queue, qui commence à se sentir à létroit !
Je me mis à genoux, et je commençais à défaire la ceinture de son pantalon, ouvrit le bouton, et jallais descendre avec mes doigts sa fermeture éclair, quand il marrêta.
- Non, pas avec les doigts, avec les dents !
Jobéis donc, et poursuivis jusquà ce que son sexe soit libéré. Je memployais alors à lui faire une divine fellation. Si, lorsque le Maître mavait pris sous Son joug, cétait une pratique qui métait quasiment inconnue, jétais devenue plutôt habile dans cet exercice, et effectivement le photographe ne tarda pas à se vider dans ma bouche.
- Je suis pressé, je ne moccuperai donc pas de toi comme je laurais voulu si javais eu plus de temps ! Mais ce sera pour une autre fois, peut-être !
Et il partit sans plus un mot. Jattendis de ne plus entendre le bruit de ses pas dans le couloir, et je me dépêchais de retrouver le Maître dans Son bureau. A Son sourire, je compris, que je lavais satisfait. Il mordonna de me mêtre au travail. Je travaillais donc toute la semaine sur les comptes, les bilans, avec les devis que menvoyaient les différentes personnes qui allaient intervenir sur le projet du Châtelain. Le vendredi soir, alors quIl me faisait venir à quatre pattes à Ses pieds, comme chaque jour, pour avoir un compte-rendu de mon travail effectué durant la journée, je pus Lui confirmer, après lecture des énormes financements acquis, que Son projet était réalisable, du moins pour les informations que nous en avions, ne sachant toujours pas exactement ce que voulait faire le Maître de cette aile du Château.
- Bien ! Ce que tu mannonces me réjouit ! Hummm, il ny a pas de vacances scolaires de prévues avant un mois, tu vas donc pouvoir maccompagner et mêtre utile en tant que secrétaire particulière, sans être sur une période où tu pourrais avoir tes filles à garder ! Cest bien, je vais donc préparer tout ce quil faut. Maintenant va rejoindre Walter pour les corvées du soir !
Et il sortit, me laissant sur ces mots énigmatiques. Même lorsque je gardais mes filles, depuis la villa quIl voulait bien me laisser occuper, je continuais à travailler. Alors pourquoi voulait-Il que je sois libre de toute autre obligation pendant un mois ? Je décidais de ne pas trop me poser de questions, et de ne pas traîner pour rejoindre le Majordome, afin de ne pas mériter de sanction, après une journée qui avait été assez longue, voulant à tout prix boucler mon travail avant le week-end pour satisfaire au mieux le Maître...
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!