La Pétanque
J'étais dans le living-room assise sur une chaise devant Alfred. J'avais quitté mon déshabillé ainsi qu'un bas et en nuisette le talon posé sur le bord du siège, m'appliquait à passer du vernis rouge sur les ongles de mon pied gauche. Cette position ouvrait ma chatte et l'exposait entièrement aux regards de mon vieux patron. Mais pour l'instant, il n'en avait que faire. Il visionnait, sur limmense écran de la télé, le film que Victor avait tourné, lors des soi-disant sévices que, la semaine précédente, le fermier et son gros rejeton m'avaient infligés en présence de Gérald. Il leur avait même acheté à prix d'or les rushes qu'ils avaient tournés avec leur I-phone, et les avait montés pour terminer le film. Il regardait, en se masturbant doucement, la dernière séquence ou l'on voyait le monstrueux sexe noir tenu d'une main par son propriétaire, palpiter, les testicules se contracter, puis déverser un flot de sperme dans mon vagin tenu grand ouvert par Ludo et son père. Il glissait ensuite jusquà la garde au tréfonds de ma chatte, et Gérald avec un cri bestial s'écroulait sur moi.
« Putain, j'éjacule encore... s'écria Alfred... Petite Salope cela fait deux fois qu'en te regardant te faire baiser, tu me fais jouir. C'est vrai qu'il est monté comme un étalon ton copain ! En plus, je sais que tu adores te faire baiser par un noir... Avec les bites démesurées de Gérald, de mon copain noir, le gynéco, de celle de Victor, tu as de quoi t'éclater...
- Et tu oublies celle du maraîcher, et même celle de son fils qui si elle n'est pas aussi longue au niveau de la grosseur... huummmmm !!!
- Au fait, je voulais te demander, lors de la visite de Gérald, vous avez évoqué sans vous y étendre, une partie de pétanque ! Tu n'as pas des précisions à me raconter... ce doit encore être un moment mémorable non ? Mais auparavant vient me lécher les mains et la queue, j'ai mis du sperme de partout !! »
Après avoir consciencieusement nettoyé avec ma langue, la vielle bite qui pendouillait flasque maintenant, je commençais mon récit, tout en reprenant avec application mon délicat travail de peinture avec le vernis à ongles.
C'était encore au temps où je travaillais dans la même boîte que Gérald. J'avais aussi, un autre amant, Maxime... et ces deux-là étaient comme des larrons en foire... Ils s'entendaient à merveille et me partageaient, sans aucune animosité l'un envers l'autre bien au contraire...Alfred, tu as dû lire l'histoire « Les Basketteurs ».
Ce fut Gérald qui eut l'idée de la pétanque, il m'en parla...
« Trixie, il y a un gars qui travaille avec moi Guy, c'est vraiment un bon copain ! Il va partir à la retraite. Ce mec, il est fou de toi.
Il s'est retrouvé un jour au distributeur à boisson en ta présence. Rappelle-toi, tu avais mis pour venir me retrouver pour l'inventaire au sous-sol, une robe jaune complètement transparente, et tu étais nue dessous. Il buvait un coup à la machine à café et depuis, il n'arrête pas de me faire la description de ce qu'il a vu ce jour-là ! En plus, il t 'a surpris, toujours au même endroit, mais cette fois, tu étais seule avec Maxime, les jambes largement écartées, la jupe en haut des cuisses, en train de lui faire admirer ta jolie chatte bien épilée. Vous étiez tellement accaparés par votre petit jeu, que vous ne vous êtes même pas aperçu que quelqu'un vous matait !! Là aussi m'a-t-il dit, il a largement eu le temps d'étudier ton anatomie intime... Il m'a avoué que depuis il n'arrêtait pas de se masturber en pensant à toi ! Alors j'ai pensé que comme cadeau de départ pour ses 60 ans, si tu étais d'accord, tu pourrais être sa prime de départ. J'ai un copain qui tient une sorte de petite guinguette, nous arrivons aux beaux jours et lors d'un de ses jours de fermeture, pourquoi ne pas organiser une partie de pétanque avec Maxime ? Nous mangerions au resto après... il nous fera bien une omelette...
- Oui, je vois bien de qui il s'agit, ce n'est vraiment pas un Apollon, mais si j'ai aussi droit à ta queue pourquoi ne pas être son cadeau de départ !! »
Rendez-vous fut pris pour le vendredi suivant à 17 heures 30 après le boulot, les jours étaient grands
maintenant !! Tout le monde se retrouverait au petit troquet ! Gérald me dit de l'attendre à la sortie du travail, il memmènerait avec sa voiture.
Ce jour-là, il faisait très beau, j'avais mis sous une veste tirant sur le fushia, un petit débardeur d'un violet très léger, deux bretelles très fines s'attachaient sur mes épaules, je ne portais pas de soutien-gorge, on devinait mes tétons sous le léger tissu. Par contre, j'avais mis des bas noirs et un porte-jarretelles assorti. C'est ce qui excite les hommes ! Non ?
Et c'était le jour... Ma jupette blanche assez ample s'ouvrait jusqu'à la taille sur le devant, des talons aiguilles complétaient ma tenue, pas bien pratique pour jouer à la pétanque... mais le jeu de boules serait-il vraiment par terre ? Je m'installais dans la voiture, et bien sûr, ma jupe s'ouvrit en grand dévoilant les attaches de mon porte-jarretelles et la peau nue de mes cuisses au dessus de mes bas.
« Bien ça, Trixie, tu as mis des bas et un porte-jarretelles, tu le gâtes, il rêve de te revoir ainsi !
- Et toi, ça te fait bander ?
- Tu as mis un string ?
- Oui, pourquoi...
- Tu peux le quitter... !
- A condition que tu me montres ta queue, il me semble que tu bandes... »
Tandis que conduisant d'une main, il sortit son énorme sexe noir, qui commençait à se tendre, je me contusionnais pour enlever ma petite culotte.
« Laisse bien le pan de ta jupe ouvert, et écarte bien tes cuisses que je puisse admirer ta chatte pendant le trajet. Tu sais Guy, il est vraiment obsédé par ce qu'il a vu... Il t'a même pris en photo à la sauvette et a affiché ton portrait sur la porte de son vestiaire. Il est arrivé à se persuader que le jour, ou il t'a vu monter ta chatte à Maxime, et ou m'a-t-il dit, tu te masturbais le clito, tu t'étais rendu compte qu'il t'observait, mais que tu avais continué quand même...
- Peut-être qu'il a raison... oui, je l'ai entre aperçus derrière la porte... mais je ne suis pas arrêtée pour autant, tu sais bien que ce genre de petit jeu m'excite à mort !!
- Je pense que tu vas en prendre plein la chatte.
- Putain, mais tu m'excites là, touche... je commence à mouiller !»
La main de Gérald se posa sur le haut de ma cuisse, et son majeur entra dans mon vagin.
« C'est vrai que ma petite Salope mouille... Attends, je vais te mettre en condition avant d'arriver, on n'est plus très loin maintenant et on est en avance... »
Il avisa un endroit tranquille, se gara, descendit, ouvrit la portière de mon côté. J'écartais largement les cuisses, il recula mon siège et me fit poser la jambe gauche sur le tableau de bord.
« Ce n'est pas l'envie de te baiser, qui me manque, mais on n'a pas le temps... Attends petite Salope, je vais faire un doigter, qui va t'émoustiller, je sais que tu adores !! Tu vas prendre ton pied avec ce qui va se passer, j'en suis sûr... Trois mecs pour toi seule... le nirvana... tu te rappelles la séance au gymnase avec mes copains !! »
Tandis qu'il me parlait, il avait entré le majeur et l'index dans ma chatte et me caressait le clitoris avec le pouce. Ce qu'il m'avait raconté, m'avait passablement excitée, je haletais...
« J'aime tes doigts, ils sont longs, enfonce les encore...oui, oui, plus vite, plus vite... met ton pouce et tes deux autres doigts dans ma chatte... oui, oui, c'est ça... c'est bon... enfonce encore, oui encore... »
Je lui attrapais le poignet et poussais sa main dans mon vagin. J'étais tellement lubrifiée qu'elle entra à moitié, je hoquetais de plaisir.
« Petite Salope, tu aimes ça... »
Et il fit lentement deux ou trois allers et retours, qui me tirèrent de gémissements de plaisir, mais il me dit qu'il fallait s'arrêter, car nous avions un rendez-vous à ne pas rater. Et il ôta sa main.
« Putain Gérald, regarde ! Tu m'as fait jouir, j'ai tâché ton siège !!
- Pas grave !! Mais au fait, on est bien d'accord la pétanque, ça sert à ce tu ne fasses zéro point dans la partie, pour que mon pote puisse, non pas embrasser la Fany.
Il dégagea mes épaules de ma veste, défit les ganses des fines bretelles, les remplaça par deux simples nuds.
« Voilà, comme ça lorsque tu vas quitter ta veste ton débardeur devrait tomber, et tu vas lui en mettre plein la vue ! Reboutonne bien ta veste... »
Il ne nous fallut pas longtemps pour arriver à destination. Il ferma à clef le portail qui barrait laccès. C'était effectivement désert, jour de fermeture oblige. Maxime et Guy nous attendaient. Le terrain de boule était caché des regards par des haies assez touffues, nous serions tranquilles !
Je m'approchais, embrassais Maxime à moitié sur les lèvres, puis allais voir le copain de Gérald. C'est vrai, ce n'était pas un Apollon, il avait l'âge de la retraite 60 ans, maigre avec des lunettes, des cheveux blancs, je me demandais s'il avait une grosse queue. Je le serrais dans mes bras en lui faisant claquer deux bises sur les joues. Tout intimidé par ma présence, il me bredouilla un bonjour.
Je me reculais légèrement et devant lui, prétextant qu'il faisait chaud déboutonnais ma veste, pour la quitter. En la tirant vers l'arrière, je pinçais le tissu du débardeur, les nuds cédèrent sans effort et le léger débardeur tomba sur mes hanches.
Mes seins encore tout émoustillés par les caresses de Gérald pointaient fièrement leurs deux mamelons durcis en s'offrant à ses regards. Je restais comme pétrifiée par ce qui m'arrivait.
« Ooooooohhhh, je n'avais pas bien du serrer les nuds, dis-je en riant...
- Ohhhhhh.... Putaaaiiiiiinnnnn !!!!!
- Eh bien Guy, dit Gérald... Tes rêves prennent tournure !! »
Ce fut le cri du cur qui sortit de la bouche de Guy, médusé. Avec une lenteur toute calculée pour bien le laisser jouir du spectacle, je déposais ma veste sur la table en bois, puis remontais mon débardeur et renouais les minces lanières sans les serrer pour que lorsque je me pencherais, le devant puisse bâiller et laisser apercevoir mes seins.
« Bon, dit Maxime honneur au retraité, Guy, je pense que tu veux faire équipe avec Trixie...
- Oui, oui... dit-il les yeux brillants... mais je ne suis pas un super champion...
- Tant mieux dit Gérald en riant... Trixie a pas mal de cordes à son arc... »
La partie démarra, C'est moi qui lançais le but, je l'envoyais à la limite minimum des 6 m. Je jetais ma première boule, raté... Maxime pointa... sa boule se positionna à 4 cm du cochonnet... J'allais au cercle, mes deux boules suivantes ne s'approchèrent pas à plus de 50 cm. Comme désappointée, j'allais près du but.
« Guy, je vais te guider... tu vois, il faut jouer... »
Je m'accroupis, mis un genou à terre, remontais ma jupe et écartais les jambes, il s'était accroupi
dans le cercle. Il leva les yeux et se figea, ce n'était pas le jeu qu'il fixait si intensément, mais mon entrejambe, exposant ma fente rose à ses regards. Il avait la bouche ouverte de stupéfaction, mais aucun son ne voulait en sortir. Il resta ainsi longtemps, comme s'il ne voulait pas rompre le charme. Puis voyant que je ne bougeais pas, il décida de lancer sa boule... trop fort. Son regard était toujours fixe lorsqu'il joua sa seconde... trop courte ! Il savoura le spectacle encore un bon moment et comme à regret, il fit rouler sa dernière boule qui buta sur un caillou et dévia de sa course !
Gérald me murmura en souriant.
« Tu peux rester ainsi quand j'irai jouer !! »
Leurs six boules gagnèrent six points... Maxime envoya le cochonnet assez loin, sûrement pour que je rate mes trois boules, ce qui arriva. Mon partenaire pris place à son tour dans le cercle. A côté de lui, je posais mon pied sur le banc en bois, relevais ma jupette comme pour réajuster l'attache de ma jarretelle. Cela lui donna une vision complète de ma chatte bien épilée, qui avec ce petit jeu commençait à devenir humide, je le regardais en lui souriant tendrement. Il était a nouveau tendu, comme la bosse qui déformait son pantalon. En caressant la lanière noire de mon porte-jarretelles, je le regardais intensément en passant ma langue sur mes lèvres.
« Allez Guy, joue... »
Il lança ses trois boules, en direction du but, mais ses yeux suivaient mes gestes... pour les boules, ce fut un fiasco, nous prîmes encore 6 points dans notre musette ! Douze zéro !! La dernière mène ne fut qu'une formalité pour nos adversaires... Comme prévu, nous n'avions pas marqué de point.
« Bien dit, Gérald, on dirait que c'est Fany !! Et vous savez ce qui se passe lorsqu'il y a Fany... Normalement, on l'embrasse !! Mais aujourd'hui, vu que nous avons une superbe Fany sous la main, pas vrai Trixie ! Nous allons changer les règles et nous allons Baiser Fany... Tu es d'accord Trixie ?
- Tous... Tous les trois demandais-je, faisant semblant d'être étonnée et légèrement effrayée !
- Oui, bien sûr répondit Maxime... et honneur au perdant... Allez Guy, elle est à toi...
- Vous... Vous croyez !!
- Oh oui bien sûr, regarde... elle t'attend »
J'avais relevé ma jupe sur mes fesses, et leur présentais mes deux globes fermes, attendant que Guy vienne les embrasser. Il se dirigea lentement vers moi, se mit à genoux et enserrant ma taille, il posa ses lèvres sur ma peau nue.
« Allez, on a dit qu'on baisait Fany... pas qu'on l'embrassait... dit Gérald
- Je... je peux Trixie...
- Mais oui... on a perdu... !! »
Il s'enhardit ses doigts se glissèrent sous le lanières de mon port-jarretelles, sa langue parcouru mes fesses, qu'il écarta doucement avec ses pouces pour dégager mon anus, il lécha le pourtour et la pointe de son appendice buccal s'y enfonça à plusieurs reprises, ses caresses m'excitaient, je mouillais de plus en plus, un insertion plus profonde me tira un gémissement de plaisir.
Il était toujours à genoux, je me retournais, appuyant mes fesses sur le bord de la table, je relevais lentement le devant de ma jupe. Mon sexe se trouvait à hauteur de son visage, de ma main droite, j'écartais les lèvres de mon vagin.
« Regarde, touche... comme je mouille... tu vas lécher le nectar qui coule ma chatte... aspirer mon clitoris...
- Oh merde, je rêve... »
Il passa ses mains sous ma jupe, les plaqua sur mes fesses et sa bouche se colla à ma fente trempée.
Tout d'abord, il aspira mon clitoris, le dégageant de son petit capuchon, il le titilla de sa langue, le pressa entre ses lèvres, le mordilla légèrement de ses incisives. Il me fit légèrement basculer sur la table, puis sa langue descendit sur mon raphé partant de mon anus, il le lécha remontant jusqu'à la base de ma vulve. Continuant sa progression, il taquina à nouveau mon petit bouton rose. Je frissonnais de plaisir sous la caresse. Puis il cracha dans ma fente et sa langue s'insinua entre mes lèvres, s'enfonçant, explorant mon orifice vaginal. Il la remuait avec beaucoup d'agilité me tirant de petits cris de plaisir. Son majeur titillait mon petit gland rose, puis il le descendit lentement remplacer sa langue. Il l'entra le plus profondément possible, et lui adjoignant l'index commença de savants va et vient tandis que son pouce me massait doucement le clitoris. Je me tortillais dans tous les sens, je haletais. Il me fit subir cette caresse, alternant doigté et coups de langue pendant un temps qui me parut interminable, mais j'en redemandais, je sentais le plaisir m'embraser le ventre. Je n'allais pas tarder à jouir. Mes deux amants s'étaient approchés, ils restaient cois devant le plaisir que Guy tirait de mon corps.
Au sortir d'un profond doigté, je sentis ses deux doigts glisser vers mon anus, il cracha dessus et les enfila délicatement, son pouce vint les remplacer dans mon vagin et il commença des va-et-vient de plus en plus rapides. A ce rythme, le plaisir croissait, je me dis que je n'allais pas tarder à exploser.
Je le repoussais, doucement... c'était trop tôt pour jouir !
Je dégrafais le bouton qui fermait ma jupette, l'écartais et la laissais tomber. Puis le regardant en souriant, avec des yeux de velours, je dénouais les nuds des bretelles de mon tee-shirt. Lentement, je dénudais un sein, puis l'autre... Seule la respiration saccadée de Guy et le cri des cigales trouaient le silence. Je quittais mon débardeur mauve, je n'étais plus vêtue que de mon porte-jarretelles noir, de mes bas et mes talons aiguilles, mes mamelons brun foncé étaient tendus au maximum, de la chair de poule pigraillait mes aréoles. Je mis les mains sous mes deux globes fermes et durs et lui les présentais en offrande.
« Tu veux bien sucer et mordiller mes tétons... regarde, ils le réclament à corps et à cris... Allez
s'il te plaît... »
Les tétons sont chez moi, une zone extrêmement érotique, Maxime parvient à me faire jouir rien qu'en les triturant... Le copain de Gérald ne se le fit pas dire deux fois, il se rua sur les fruits offerts et avec empressement les lécha et les suça, cela me tira encore énormément de gémissements de plaisir. Tandis qu'il s'occupait de mes pointes tendues, ma main était partie sur la bosse qui déformait son pantalon, je caressais son sexe à travers le tissu. Mes doigts déboutonnèrent sa braguette, et le vêtement tomba sur ses chevilles, je baissais délicatement son slip. Il bandait énormément, sa queue loin d'être aussi grosse et longue que celle de Gérald était bien proportionnée, un peu plus grande que la moyenne, lorsque je le branlais doucement, ce fut lui qui frissonna et gémit.
A suivre
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