Thomas Sur Une Aire
Le long des nationales subsistent encore parfois, mais cela devient malheureusement trop rare, des aires de repos avec toilettes. Cette aire est connue pour être un lieux de drague, et c'est sciemment que je m'y arrête. D'ailleurs pour ne rien vous cacher, j'ai fait exprès le détour. Il est 17 heures et seuls une voiture et un poids lourd sont stationnés au bout du parking. Moi je choisi de me garer non loin de la friterie, fermée à cette heure ci et pratiquement face aux toilettes. Une voiture est stationnée devant moi.
Je distingue un mec à l'intérieur sur le siège conducteur, mais le soleil mempêche d'en voir davantage. Je descends de mon véhicule, le verrouille, et je passe la main sur mon paquet en montant vers les toilettes qui sont à 10 mètres à peine. Je vois très bien que le mec m'observe dans son rétro extérieur. Je me retourne vers lui au moment d'entrer pour qu'il comprenne ce que je viens chercher. Le coté homme se compose de deux cabines et d'un lavabo prés de l'entrée. J'entre dans une cabine, la seconde qui est la plus éloignée de l'entrée. Je laisse la porte ouverte et me positionne de profil et ouvre ma braguette.
J'entends distinctement le bruit d'une portière claquer.
Je lève le regard et je vois un minet arriver. Un très jeune mec qui me dira après avoir 21 ans. Il mesure 1m68 environ pour à peine 60 kilos il est châtain foncé, porte des lunettes, une coupe courte. Il est vêtu d'un pantalon en toile gris et un pull léger bleu marine. Il me mate et ouvre sa braguette aussitôt en tendant la main pour choper ma bite. «Salut»lui dis je, il me répond et je l'attire à l'intérieur et verrouille la porte. Le lieux est glauque, l'odeur d'urine qui s'en dégage pas top, mais il m'excite, ce mec. Moi je suis un chasseur dans lâme.
Ce que j'aime c'est limer un bon boule et son petit cul moulé dans le coton du pantalon, ne me laisse pas indifférent.
Et je caresse sa peau . Quelle douceur, ma main se régale, cette peau est soyeuse, il est imberbe. Il frémit car je descend mes doigts lentement comme pour profiter de chaque centimètre carré. C'est à ce moment que je lui demande son age, car je me doute qu'il est très jeune. Ma langue part rejoindre mes doigts et je tourne autour de ses mamelons que l'on ne voit qu'à peine. Je les mordille à tour de rôle délicatement , un petit râle se fait entendre. Puis je poursuis ma descente et tourne autour de son nombril. Ses abdos se contractent, j'adore apporter des sensations aux mecs avec qui j'entreprends quelque chose. Sa jeunesse et son ardeur renforcent mon envie de lui apporter un max de plaisir. Quand c'est comme ça je me surpasse. Le mec doit comprendre qu'avec mon expérience il a tout à gagner. Et le pari est en passe dêtre gagné. Il ronronne le p'tit mec. Je ne marrête pas là et ma langue poursuit sa descente pour tourner à distance raisonnable de son bas ventre. Susciter sans ne rien précipiter, telle est ma devise. Il a beau donner un coup de reins dans le vide, je l'emboucherais quand je le déciderais.
Thomas accompagne les mouvements de ma tète avec ses mains, je lèche sa hampe en tirant la langue pour venir épouser son gland décalotté et turgescent. Il soupire, je lève les yeux vers lui, son visage exprime le bonheur. Je sais que je suis un bon suceur et je lui donne un max de sensations. Il ne souhaite pas que j'aille trop vite et m'invite d'un geste à me redresser. Et nos bouches se soudent, ma langue force ses lèvres. Forcent c'est beaucoup dire car Thomas apprécie et sa langue s'enroule autour de la mienne. Chaud bouillant ce mec, j'adore. Nos lunettes gênent mais tant pis, nous inclinons le visage dans un sens ou dans l'autre et je le colle à moi pour qu'il sente ma virilité. Je maintiens une main dans son cou pour l'embrasser avec ardeur. Lui sintéresse à ma queue et la paume de sa main att ma queue et effectue de grands va et vient. Il caresse même lurètre avec son pouce, ce qui me stimule davantage. Je lui mordille le lobe de l'oreille et lui souffle de venir enfin me sucer.
Il ne se fait pas prier, il caresse la toison de mon torse et descend. Il tire sur mon fut pour découvrir entièrement mes jambes. Et sa bouche vient enserrer en douceur mon gland.
Pas besoin de lui dire deux fois. Il se redresse , je l'invite a se positionner au dessus des toilettes à la turque, jambes écartées. Je prends une capote dans la poche de mon pantalon, ainsi qu'une pochette de gel. Je la déroule sur ma bite bien ferme. J'enduis son postérieur de gel et mon doigt le fouille à l'intérieur. Il est prêt et écarte bien ses jambes. Ma queue bat sur ses fesses, mon gland effleure son trou pour lui faire comprendre que c'est moi qui vais décider du moment ou je vais m'introduire. Mais je me fais leurrer et le voilà qui d'un coup sec, s'empale sur ma teub. Quelle bonne salope. Sacré numéro. Ah la vache que c'est bon , de se sentir englouti ainsi. Et le voilà qu'il entame des vas et vient sur mon sexe. Je ne vais pas le laisser faire longtemps.
Merci Thomas, c'est trop cool. J'ai l'impression de vivre un rêve. Je repars de plus belle je m'enfonce à fond et m'acharne sur son trou. Je souffle, je soupire, Thomas lance des oui, oui oui. Il aime, je dé-cule et me renfonce en lui, pas besoin de guider ma teub , le trou est béant elle replonge et je donne des coups de reins puissant qui le secouent pour taper le fond de ses intestins. Je ne vais pas tarder. Thomas à passée une main par dessous et me saisi les testicules. Qu'il est trop bandant cette petite chienne. C'en est trop je me mets à éructer et je lâche la gomme. J'ai chopée sa bite également et le branle avec vigueur. Il vient aussi. C'est top on éjacule au même moment. De longs jets qui montent tel un flot. Mes jambes flagellent. C'est la première fois que je vit cela, de jouir en même temps que celui que je lime . On souffle ensemble, nos respirations sont courtes. C'était trop bon. Quel plaisir je viens de prendre avec mon partenaire qui reprend aussi ses esprits. Il se retourne et nous nous embrasons langoureusement comme pour nous remercier de ce moment de partage. On remonte nos pantalons, Thomas a giclé sur mon fut. Pas grave ça fait un souvenir. Une fois habillés j'ouvre le verrou. Nous nous séparons à regret et je lui dis qu'il m'a bluffé par sa jeunesse et sa fougue. Je me dis que je reviendrais en remontant au volant de ma voiture. En tous cas il promet.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!