Ma Copine Lili 2/2

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

- Avance un peu tes fesses…. Voilà n’ai crainte je ne vais pas enfoncer de doigts
- J’ai envie de vous voir …
- Mais bien sûr, suis-je bête, il est normal que tu découvres ce qui va faire de toi une femme, j’espère qu’il te plaira, va t’allonger sur le lit je vais me déshabiller ensuite je te dénuderais comme une princesse
Je me lève pour faire comme une automate les deux pas qui me séparent de ma couche ‘nuptiale’, dans un brouillard je vois Lili, robe retroussée une main entre ses cuisses, l’homme impatient tire sans la dépatter chemise et teeshirt par-dessus sa tête, je reste admirative devant ses pectoraux poilus, il fixe ma réaction lorsque le pantalon tombe à ses chevilles, reste le boxer dressé telle une toile de tente, afin de garder le suspense il le réajuste et vient à genoux près de moi , sa ‘grosseur’ est à portée de main mais je n’ose pas y toucher…
- Aide-moi à tirer sur ton pull sinon je vais tirer les mailles… reste ainsi je vais dégrafer ton soutien-gorge... voilà, étend toi … Hooouuuuaaaaa quelle paire de lolos, je vais te téter...
- Mmuuummm ! oouuuuuuuuiiiiiiiii
Tandis qu’il aspire bouts après bouts une main cherche vainement la fermeture de ma jupe...
- Tu n’y arriveras pas comme ça frérot ! laisse-moi t’aider, soulève ton cul Daphné !
- N’enlève pas ma culotte s’il te plait…
- Mais non ! ton amant va se faire un plaisir de l’ôter, entre parenthèses elle ne cache plus grand chose ! bon, moi je continue à me toucher !
La main du garçon repart aussitôt à l’aventure se glissant sous l’élastique du slip il arrive vite à mon mont de vénus pour débusquer mon clitoris prêt à éclater, des décharges électrique me secouent, l’homme pense que je suis impatiente et se détache de ma poitrine pour lécher mon nombril, a présent son membre encore bloqué dans sa prison est à quelques centimètres de mon visage …une odeur suave de mâle effleure mes narines, quitte à me faire rabrouer j’avance une main pour me saisir de cette poche difforme, il accuse le coup mais ne cherche pas à se soustraire , au contraire il modifie sa position de sorte qu’il puisse embrasser mon minou et moi dégager sa verge, chose ardue , là encore Lili vient à ma rescousse et tire le slip de son frère afin de dégager ses fesses ’ l’engin’ libéré bondit tel un ressort , je l’observe avant de l’empoigner , je suis surprise de constater qu’il est entièrement rasé, testicule comprises, l’odeur musquée est plus présente, d’instinct il cherche à me le mettre dans la bouche, je ne refuse pas et ouvre la bouche pour sucer le bout façon sucre d’orge, lui-même bécote te mordille mes lèvres et mon clitoris, il se sert de ses coudes pour remonter mes cuisses très haut ainsi dégagée ma vulve est à sa merci , je vais connaitre mon premier soixante-neuf
Je me tords lorsque sa langue entre en action fouillant l’entrée de ma chatte, aspirant son jus, une onde encore inconnue monte pour éclater en feu d’artifice, mon clitoris est devenu douloureux impossible de m’échapper il me maintient et insiste encore et encore dans ma chatte en feu, petit à petit je m’apaise et reprend mon souffle toujours coincée sous lui, il fait bouger sa queue afin de me rappeler qu’il n’a pas jouis … je reprends mes sucions avec plus d’ardeur en secouant ce membre vivant, soudain il arque son bassin, je le retient à mon tour par les couilles pour ne pas qu’il s’échappe … mauvaise idée … un déferlement dégouline dans ma gorge, je reconnais le goût épicé du sperme que j’avais testé deux jours avant, héla mes efforts sont vain pour tout avaler
Immédiatement le membre rétrécit dans ma main au point de devenir insignifiant et flasque, son propriétaire se soulève afin de me rendre ma liberté
- Désolé ma poupée mais je ne vais pas pouvoir te dépuceler
- Pourquoi ?
- Eh ben ! tu vois bien que je ne bande plus !
- Ça te reprend frérot ? tu ne peux toujours pas ‘assurer ’deux fois ?
- Hé non
- Tu devrais consulter, en attendant regarde ma copine dans l’état où tu la laisse !
- Appelle notre demi-frère, c’est la seule solution pour ta copine
- Tu en pense quoi Daphné ?
- J’ai trop envie, je vais enfoncer mon poing dans mon ventre pour me calmer
- Ne fait pas ça, ce serais dommage ! appelle-le vite ! dit lui que c’est pour une urgence
- Allo Freddy ? vient vite dans la chambre de ma sœur il y a une nana qui se pâme, elle veut être dépucelée immédiatement… oui ? OK merci … non ! déconne pas ! pas ma sœur aussi ! rien que son amie ! à toute ! hé ben, il veut vous sauter toutes les deux !
- Moi j’dis pas non …
- Non Lili ! c’est pour Daphné, sinon j’le dis à papa
- Hoooouuu le jaloux !
- Bon, j’me barre il va arriver
Pendant ce temps je me languie sur ce lit qui commence à sentir le cul, pour entretenir mon excitation je me touche le clito devenu ultrasensible, Lili vient à genoux mon côté pour m’embrasser et m’encourager en massant mes seins, elle n’a pas vu entrer son demi-frère qui me fait signe de ne rien dire, il sort sa bite en ouvrant sa braguette, il bande ! mais ?.

...... que fait-il ? il approche de Lili et braque sa queue entre ses cuisses exposées sans pudeur, avant qu’elle n’ait eu le temps de parler elle est embrochée, maintenue par les hanches elle ne peut que subir l’assaut du jeune mâle, finalement elle se met en position pour obtenir le meilleur de cet accouplement inattendu
- Baise-moi ! baise-moi !!
- Il y a un moment que je ne t’avais pas eue salope !
- Tu me fais du bien
- Mais c’est qui la nana à poil dans ton lit ?
- Normalement c’est elle que tu devais dépuceler !
- Merde ! je n’ai rien compris à ce que ton frère me disait ! tant pis je vais me soulager dans ton con
- Et elle ?
- Je verrais si j’ai encore du jus
Excédée j’allais me lever pour partir lorsque la porte s’ouvre violement, j’ai juste le temps de rabattre le drap sur ma nudité, un homme barbu fait son entrée en vociférant
- Qu’est-ce que c’est ce foutoir ? vous voulez transformer la maison en lupanar ? retire-toi de ta sœur Hugo !
- Ma demi-sœur papa !
- Je m’en fous ! ces frères m’ont raconté je ne sais quoi... qui est cette pimprenelle qui se cache sous le drap ?
- Ma copine, Gustave
- Ta copine ? et d’abord rhabille toi espèce de dévergondée
- Tu ne dis pas toujours ça beau papa chéri !
- Tais-toi donc … bon raconte-moi tout Lili
- Hé bien voilà, mon amie Daphné est venue pour se faire dépuceler mais aucun des garçons n’est capable de lui rendre ce service
- Quelle bande de nazes …laissez-moi seul avec elle, je vais lui parler
- Tu viens dans ma chambre Lili ?
- Que veux-tu faire avec ta sœur ?
- Finir ce que j’avais commencé avant que tu nous interrompes
- Fait gaffe que sa mère ne vous entendent pas
- Elle est partie sinon tu ne serais pas là !
- Impertinent, foutez le camp et vite !... fermez la porte … alors petit fille ? tu es encore vierge ?
- Oui monsieur
- Appelle-moi tonton Gustave, tu veux bien que je retire le drap qui te couvre ?
- Beeeeeeenn …..
- Je comprends, tu as été déçue trois fois alors tu veux des références sur la ‘marchandise’ ? je vais te montrer mon matériel … alors ?
- Impressionnant, vous êtes encore plus gros que les garçons !
- Et bien plus efficace ! montre-toi pendant que je me déshabille
Après tout je n’ai rien à perdre, avec mes pieds je refoule lentement le drap dévoilant lentement mon corps, l’homme siffle d’admiration tandis que son membre grossit et se relève par à-coups jusqu'à tenir à l’horizontale secoué de pulsations régulières qui le rendent impressionnant de virilité, comme par magie mes jambes s’ouvrent pour offrir une vue imprenable sur ma chatte, il me scrute l’entrejambe sans aucune gêne
- Tu as quel âge Daphnée ?
- Dix-huit et demi Gustave
- Hummmm … tu parais à peine formée … je ne veux pas d’ennui, tu me comprends ?
- Oui tonton Gustave, je me sens prête …
- En tous cas ta chatte l’es
- Prenez-moi je vous en prie
- Tu veux quelques préliminaires avant ?
- J’en ai eus assez pour aujourd’hui merci
- D’accord, je vais tout de même te caresser de haut en bas avec ma verge ainsi tu sentiras sa texture
- Allez-y ….
Je ferme les yeux lorsqu’il avance son membre décalotté de mon visage, le tenant d’une main ferme il le frotte sur mon front, sur mes yeux, mon nez, ma bouche qui ne peut s’empêcher de s’entrouvrir a son passage, voyant cela il insiste, ma langue lui sert de coussin, je suis prête a le sucer mais tenant parole il bifurque sur mes seins, mes tétons sont frictionnés, mes seins tapotés par la bite raide et dure comme du béton, en un mouvement il se retrouve sur mon pubis
- Ton abricot est éclaté, il est mûr …tu veux garder cette position ?
- Oui Gustave
- Bien, remonte tes genoux sur tes seins afin de me laisser le champ libre, si tu veux assister à ton dépucelage glisse un oreiller sous ta tête
- OUI ! je veux tout voir !... je suis prête …
Petit à petit il avance entre mes cuisses, sa verge se dandine de droite à gauche au moindre mouvement, à moitié allongé il pose une main à côté de ma tête, l’autre lui sert à guider son bout sur ma fente
- Ça va aller petite, respire profondément je vais frotter mon gland afin de te décontracter et je pousserai sans te prévenir d’accord ?
- D’accord … vous êtes sûr que ça va rentrer sans me faire mal ?
- Tout au plus une brulure fugace vite remplacée par l’extase, je suis en place …prête ?
Les yeux exorbités je vois l’œuf qui me parait démesuré par rapport à ma fente, mes grandes lèvres le couvrent a moitié et …. à ma grande surpris il disparait en une seconde ainsi que la moitié de son tronc
- Tu as eu mal daphné ? tu veux que je ressorte ?
- NON-NON ! surtout pas, reste en moi Tonton Gustave !
- Bouge ton bassin, apprends à me sentir dans ton vagin
- Wouaaaaah, c’est drôle ce corps étranger qui gonfle dans mon conduit !
- A mon tour de bouger, je vais commencer doucement pour aller de plus en plus sèchement
La chose frotte aux bons endroits, j’ai envie de crier mon bonheur, mes doigts se crispent sur le drap sinon il va me propulser sur la tête de lit, mes mollets se nouent autour de ses cuisses, mon bassin décolle afin de me plaquer au maximum à mon amant, nous ne faisons qu’un, très vite je sens ses bourses taper lourdement sur mon œillet, nos lèvres se soudent, nos dents s’entrechoquent, je perds quasiment connaissance lorsque l’orgasme éclate, je pisse de joie lorsque son membre lâche sa première fusée ravivant ma jouissance, je mord sa langue jusqu’au sang puis je retombe inerte, en sueur , essoufflée , mais ce n’est pas finit durant son éjaculation interminable il n’as pas cessé ses mouvements, son érection n’a pas faibli d’un millimètre, je ne sais comment je me suis retrouvée à quatre pattes , sa verge raide a servi de pivot
- Je vais te faire faire un petit galop, pose ta tête dans l’angle du bois de lit
- Ooooouuuuuuiiiiiiiiiii ……
Dès le premier coup de rein mes cervicales ont dérouillé, une fois bien cambrée je suis prête à subir ses assauts et même à y répondre, voyant ma détermination mon amant s’enhardit a chatouiller mon anus qui accepte son pouce, nouvel orgasme, de la sève mêlée coule le long de mes cuisses, ses cuisses claquent bruyamment sur mon cul déformant les paroles osées qu’il me dédie
- SALOPE ! petite putain ! je vais t’enculer comme ta copine !
- Vas-y maquereau ! baise-moi comme une morue !
- QUOI ? pour une pucelle tu as du vocabulaire ! prend ça et encore ça !
- Oui-oui-oui-oui-oui-ouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! je veux sentir ton foutre gicler gros porc
A moitié consciente il continue à me limer et encore me limer, soudain il se bloque au plus profond de mon ventre, son pouce entré entièrement dans mon anus tourne, frotte, s’il veut me sodomiser je n’aurais pas la force de refuser … un premier jet me rassure, puis d’autres très violents provoquant un ultime plaisir et de nouvelles fuites sur mon entrejambe, il me lâche, je retombe à plat ventre, mon vagin fait un bruit d’évier en recrachant son trop plein de sève humaine
À moitié endormie j’entends Gustave refermer la porte, une minute plus tard elle se rouvre
- Ça va Daphné ?
- OOOOOOOOuuuuuuuiiiiiiiii ….laissez-moi dormir
- Réveille-toi c’est Lili !
- LILI ????? AAHHHHH, je suis en compote !!!!!
- Hoooulàlààà mes draps !!!!!! à mon avis tu n’es plus pucelle ?
- NOOOOONNNNNNN !!!!! c’esst boooooooonnnnnnn !
- Rassure-moi … ton anus est ouvert et boursoufflé …
- Non, pas enculée !
- Enfin pas encore … Gustave t’invite samedi soir, maman sera de service
- Il veut encore me baiser ?
- Oui, mais cette fois nous seront toutes les deux, il va nous faire ‘notre fête’, c’est ce qu’il a dit !
- Tu t’es faite toute la famille ?
- Joker ! …..