Maud 4

Ce sera le dernier volet de l’histoire de Maud.
« Maud, je ne comprends pas comment tu as pu te donner à cet homme que tu n’aimais pas. Tu avais dit je déteste ce genre de vieux beau, coureur de jupon et sure de lui. »
« Je ne sais pas, Marine, mais sur le coup je me suis laissé prendre au jeu. Je ne voulais pas qu’il gagne le défi qu’il m’avait lancé et pourtant à la fin du repas, j’ai eu envie de lui, de lui montrer que je pouvais être très cochonne. Je vais te raconter à quel point je pouvais être une vraie salope ».

Nous devions, Marceau et moi » allait à Strasbourg voir un nouveau client. Marceau m’avait autorisé à me soustraire au diner traditionnel et à dormir chez les amis que j’avais sur place. Je suis donc allé voir la comptable pour qu’elle ne réserve qu’une chambre. A la fin de la journée, Marceau, toujours très prévenant m’avait proposé sa chambre pour que je prenne une douche et que je me change avant d’aller voir mes amis. Evidemment, il n’y avait pas d’amis. Je me suis donc arrangé pour partir avec le badge de la porte de sa chambre. Il en trouvera un autre à l’accueil, je ne m’inquiétais pas pour ça. Je suis allé manger dans une pizzeria et je me suis faufilé pour qu’il ne voie pas du restaurant de l’hôtel. Dans sa chambre, j’ai enfilé une chemise de nuit puis me suis couché sous les draps. L’attente était un peu longue et j’ai eu peur de m’endormir mais lorsqu’il est entré, il a fait une tête en me voyant !
« Que fates vous là Maud »
Avec un grand sourire et sur le ton de la plaisanterie, je lui répondis.
« Je vous fais économiser le prix d’une chambre. En fait, je n’ai pas d’amis à Strasbourg, juste de la famille, et je m’offre à vous pour la dernière fois car je veux avoir un avec Yohann et je vais arrêter la pilule. C’est mon cadeau avant un éventuel arrêt maternité ».
« Surtout prenez votre temps, j’ai besoin de vous. Merci pour ce magnifique cadeau »
« Je suis toute à vous, faite de moi ce que vous voulez ».


« Attendez-moi quelques minutes ».
Pendant qu’il était dans la salle de bain, j’ai retiré ma nuisette. Lorsqu’il est sorti nu, il bandait déjà à moitié.
Il s’est glissé sous les drap et nous avons échangé un baiser. Je caressais son sexe qui grossissait entre mes doigts. J’ai retiré le drap et je l’ai léché son sexe avant de la prendre en bouche. Il m’a fait passer au-dessus de lui pour un 69 magistral. Il m’a mordillé le clitoris, avec sa langue il pénétrait mon vagin, y enfonçait des doigts. Sa langue toujours active, il enfonça un doigt mouillé dans mon anus. Un deuxième ouvrit un peu plus mon petit trou. Là, j’ai joui et n’ai pu garder son sexe dans ma bouche. Il m’a basculé et entre mes jambes écartées, il a dirigé son sexe pour me pénétrer de toute sa longueur. Je gémissais sous ses va-et-vient de plus en plus profonds et rapide. Il a relevé mes jambes et ainsi écartelée, j’ai jouis une nouvelle fois. Appuyé sur l’arrière de mes cuisses, il enfonçait lentement son sexe avant de le ressortir entièrement puis renouveler le mouvement. Puis, il descendit son sexe pour le présenter à mon petit trou. Il marque un temps d’arrêter et m’interrogea de ses yeux.
« Oui Marceau, je veux la sentir par-là. Sodomisez-moi »
Il attrapa son sexe et l’enfonça lentement dans mon cul. Tout au long de son intromission j’ai grimacé mais ce fut ensuite un vrai bonheur de le sentir coulisser dans mes entrailles. Soudain, il me retourna et me sodomisa d’une traite. En écartant mes fesses, il me sodomisait avec force. Je caressais mon vagin en même temps et j’ai eu un véritable orgasme. Il me prit ensuite en missionnaire avec tendresse. Lorsque j’ai senti son plaisir monter, je l’ai retiré et je l’ai sucé jusqu’à l’éjaculation. J’ai avalé la moindre goutte de son sperme. Après un tendre baiser du bout des lèvres, nous nous sommes endormis. Au milieu de la nuit, recroquevillé dos à lui, je l’ai senti me pénétrer à nouveau. J’ai très vite mouillée alors je l’ai laissé manœuvrer jusqu’à ce qu’il jouisse en moi.
J’ai joui aussi. Au matin, je l’ai réveillé avec une fellation et j’ai à nouveau avalé son sperme. Il me dit qu’il avait passé une nuit formidable.
Trois semaines plus tard, Marceau fêtait ses 50 ans et avait convié tous ses employés dans un restaurant avec au sous-sol, une boite de nuit. Le matin, Yohann s’est bloqué le dos. Je lui ai fait un massage et lorsqu’il s’est retourné, j’ai remarqué que cela lui avait fait de l’effet. Je lui ai taillé une pipe et lorsqu’il a éjaculé, il s’est tendu et a souffert du dos. J’ai appelé un ami ostéopathe qui l’a débloqué mais lui a ordonné de se reposer. Yohann m’a dit d’aller m’amuser car avec le cachet que l’ostéopathe lui avait donné, il allait faire que dormir.
Je me suis donc préparée. J’ai mis ma robe de soirée à fleur. C’est une robe bleue à fleurs, sans bretelle qui se porte sans soutien-gorge puisqu’il y en a un intégré. Elle s’évase à la taille et est assez courte. Sous cette robe, j’ai mis une culotte sexy blanche. Je me trouvais super sexy. Marceau et François allait devenir fou mais accompagné de leur femme ne pourront que me regarder, ce qui me rassurait.
Me voilà partie après un baiser à Yohann qui dormait déjà. Je vous passe le discours, le repas, la remise des cadeaux. Vers minuit, nous sommes tous descendu à la boite. Après avoir dansé seule bien que toujours entouré de garçons, je fus invité par un commercial noir pour une lambada. Lorsque c’était un peu trop suggestif ou que les mains étaient baladeuses, je le calmais lui disant que c’était une soirée entreprise.
Vers 2 heures du matin, la boite s’était bien vidée. Je suis sortie prendre un peu l’air car entre les danses et l’alcool, un peu de fraicheur me ferait du bien. Deux commerciaux me retrouvèrent dehors et me proposèrent de prendre une taffe de leur pétard. Après deux taffes, moi qui ne fume pas, j’ai ressenti le besoin de m’assoir. Nous sommes donc redescendus dans la boite où nous rejoignirent mon danseur noir dans le carré VIP formé d’une banquette autour d’une table ronde et d’une piste peu visible du reste de la boite.
Inhibée, je riais bêtement de leurs blagues et ne réagissais pas lorsque des mains se posèrent sur mes cuisses. Leurs mains ne progressaient pas, se contentant de caresser mes cuisses à l’endroit où elles étaient posées. L’un deux m’embrassa et je répondis machinalement au baiser. Le deuxième fit de même avec la même réaction de ma part. le premier m’entraina sur la piste de danse où il ne suivait pas du tout le rythme de la musique pour se coller à moi comme pour un slow. Les mains furent plus baladeuses. Une main sur une fesse, l’autre sous un sein et il me faisait des bisous dans le cou. Je me sentais bien dans ces bras. Puis, le deuxième le remplaça. Lui, plus audacieux passa une main sous la robe pour malaxer les fesses à travers ma culotte. L’autre main malaxait un sein à la limite de le faire sortir de son balconnet. Lorsque sa bouche chercha la mienne, je l’embrassais ardemment. L’effet du pétard s’estompait et j’étais consciente de mes actes. Le black vint à son tour. Il me caressa sagement le dos et écartant mes cheveux, me caressa la joue.
« Tu es lucide de tes actes où c’est le pétard qui éveille tes sens ? »
« Non, ça y est, je suis bien éveillée »
« Parce que je ne voudrais pas profiter de l’état d’une femme pour r d’elle. Je la préfère consentante »
« Je le suis »
« Tu sais que on envie de toi tous les trois «
« Je n’en doute pas »
« Ça te fait peur ? »
« Pour être franche, oui ça me fait peur mais c’est aussi un fantasme »
« Embrasse-moi »
Je l’embrassais presque amoureusement ou plutôt comme on embrasse en faisant l’amour. Il se colla à moi pour me faire sentir son sexe contre ma jambe. Il passa une main sous la robe et me caressait les fesses d’abord au-dessus de ma culotte puis en dessous. Il atteignit mon sexe qu’il trouva bien humide. Puis il me retourna pour me positionner face aux deux autres. Il caressa mes seins à travers ma robe puis passant une main dans mon dos, la dézippa. Il fit jaillir mes seins qu’il malaxa à même la peau.
La robe finit de glisser à mes pieds dont je me débarrassais d’un geste. Je passais une main dans mon dos pour le défaire de son pantalon et de son boxer. Son sexe se cala entre mes cuisses, se frottant à ma culotte. Les deux autres nous regardaient en se masturbant.
« Suce-moi, Maud, j’ai envie de sentir ta bouche sur ma queue »
Je me suis agenouillée et avant de le sucer, je l’ai débarrassé de ses chaussures, chaussettes, pantalon et boxer. Jamais je n’avais sucé une telle bite avec cette odeur si particulière des blacks. J’ai aimé ça et n’est pas pu me retenir que de passer une main sous ma culotte. Ensuite, il m’a redressé, a retiré ma culotte et m’a entraîné vers la banquette. Je les ai sucés alternativement tous les trois. Puis mon premier danseur m’allongea sur la table. Le cul au bord de la table, il me tenu les jambes et me pénétra. Je n’ai pu retenir un gémissement de plaisir. Il me besogna quelque temps avant de céder la place à l’autre puis ce fut le tour du black. De passer d’une queue à l’autre me fit atteindre mon premier orgasme. Il me laissa récupérer puis me dit
« Pratiques tu la sodomie »
« Oui, j’aime ça et j’en ai aussi envie »
« Retourne toi alors »
« Oh, mais tu es déjà dilaté. Ça va être facile »
Il se présenta devant ma rosette et bien que gros, il entra son sexe lentement mais entièrement. Il ressortait pour admirer l’ouverture de mon anus et replongeait dedans. Ils me sodomisèrent chacun leur tour et j’atteignis mon deuxième orgasme alors qu’ils étaient encore tous les trois en forme. Je me suis redressé et pendu au cou du black, je lui chuchotais.
« J’ai envie d’une double pénétration mais c’est ma première fois »
« Tu vas alors commençais avec les deux autres. Je te prendrais après »
Ils comprirent et l’un deux s’allongea sur la table. Je me suis empalé sur sa queue et il me malaxa les seins. Le second vint se placer derrière et lentement me sodomisa. Je criais tant c’était bon. Jamais je n’avais connu pareille jouissance. Ils coulissaient dans mes deux orifices comme s’ils avaient toujours fait ça. Pour se tenir en forme, le black vint se faire sucer. Etre prise par ces trois bites me procurait une véritable jouissance. Mon enculeur laissa la place au black et vint aussi se faire sucer. Au bout de quelques instants, il éjacula dans ma bouche et j’avala sans rechigner. Pendant que mon black me sodomisait à grand coup de bite, l’autre me demanda.
« J’ai envie de jouir en toi, je peux »
« Oui, j’arrête la pilule qu’en fin de semaine prochaine »
Bien qu’il soit surpris de ma réponse, j’ai senti son sperme se répandre dans mon ventre ce qui m’a provoqué un troisième orgasme. Le black s’assit alors sur la banquette et je me suis empalé sur sa bite. Il m’embrassait, me caressait ou me mordillait les seins tout en me faisant coulisser sur son pieu. Puis, il me fit mettre à genou et se branla devant ma bouche qui attendait son nectar. Lorsqu’il éjacula, j’ouvris grand la bouche et garda son sperme avant de l’avaler en le regardant.
Nous nous sommes rhabillés et ils commandèrent une bouteille de champagne.
Le black s’assit à côté de moi qui était au bout de la banquette. Il me caressait la cuisse remontant encore plus ma robe. Lorsque le serveur vint avec la bouteille, il avait une vue sur ma culotte.
« Je vais t’aider à l’exciter » me murmura le black
« Non, s’il te plait »
« Laisse-toi faire, ma belle »
Pendant que le serveur débouchait la bouteille, il passa son autre main derrière moi pour atteindre un sein et le découvrit. Il baissa l’autre balconnet et me voilà devant le serveur, la poitrine à l’air et une main sur ma culotte. Lorsque le serveur me donna ma coupe, je la bu d’une traite. Il s’approcha alors de nouveau de moi pour m’en servir une autre. Comprenant ce que voulait le black dont je m’étais un peu éprise, je déboutonnais le pantalon du serveur. J’en extrait un sexe bandé et me mis à le branler. Le black poussa ma tête vers cette bite. J’ai sucé le serveur qui n’en demandait pas tant. Il en profita pour me caresser les seins. Le black jugeant que ça suffisait, congédia le serveur.
Quelques temps après, ils me laissèrent partir.
Voilà, aujourd’hui je suis redevenu fidèle et je suis enceinte de Yohann mais je garde un souvenir impérissable de ces moments de débauche. Pour être honnête, je ne regrette rien mais tout ça ne me manque pas.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!