Premier Émoi...
Préambule
Je m'appelle Emma.
Je suis mince, grande avec de longues jambes, des yeux bleus, des cheveux longs châtains clairs. De petits seins en train de se développer. Une fourche déjà bien touffue que j'entretiens avec soin. Je ne connait du plaisir sexuel que celui que je me donne seule.
... Jusqu'à ce week-end chez Tess,
Tess, de 6 mois mon aînée, est ma meilleure amie depuis l'enfance. Depuis la maternelle nous suivons la même scolarité, dans les mêmes établissements. Nous avons une telle complicité quau lycée, on nous surnomme "les inséparables"
Ce week-end-là, donc
*****
Le samedi après-midi, nous avons fait les fofolles dans sa piscine. Jouer à des jeux vidéos avant de dîner et puis en soirée, nous avons regardé un film à la télé en compagnie de ses parents, avant d'aller nous coucher comme deux filles bien sages.
Dans sa chambre, nous nous sommes apprêtés pour la nuit sans aucune pudeur, car nous connaissons nos corps par cur, à force depuis petites, de nous détailler, de nous comparer... Et même, curiosité de petites filles, de nous ausculter.
Tess, les cheveux châtains foncés, des yeux noisette, des formes qui lui donnent déjà l'allure d'une jeune femme, à par contre, au contraire de ma foufoune, une entrejambe parfaitement rasé et lisse
«... Pour faire plaisir à Léo » mavait-elle dit le jour où elle me l'avait montré.
... Léo, c'est son amoureux. Il fait partie de notre bande d'amis. Avec une place particulière. Nous le connaissons "depuis toujours". Petites, il partageait nos jeux. Je me souviens même qu'il avait vu un jour ses parents en train de faire l'amour et comme nous étions curieuses, il nous avait montré comment "ils faisaient" en frottant sa quéquette sur nos fentines. Plus grandes, nous étions, toutes les deux, amoureuses du beau Léo... Qui a choisi Tess.
Sur son lit, vêtue chacune d'un t-shirt ample et d'une culotte, nous avons papoté, plaisanté, fait des papouilles, pincés nos tétons, lutter pour nous mettre de petites fessées.
La lumière de la chambre éteinte, sa mère à peine sortie, Tess à enlever son t-shirt, prétextant «... Qu'elle avait trop chaud » suite à nos pitreries.
De mon côté, tous ces jeux dadolescentes, en apparence anodins, m'avaient mis en émoi. Pourtant, ce n'était pas la première fois que nous agissions de la sorte dans un même lit lors d'autres "soirées pyjamas" mémorables, sans que je ressente un tel trouble..
Dans le noir de sa chambre, face à face, prise d'une pulsion soudaine, j'ai posé sensuellement mes lèvres sur les siennes. Tess n'a pas eu de mouvement de recul, au contraire ! Elle a ouvert sa bouche pour un baiser devenu vite impétueux
Des papillons ont envahi mon bas-ventre et je me suis senti devenir très humide
C'est Tess qui a rompu ce baiser. Mais j'ai vite compris pourquoi, quand elle a fait voler mon T-shirt par-dessus ma tête, que sa bouche s'est porté sur ma poitrine et que ses lèvres ont emprisonné un de mes tétons. J'étais déjà haletante, la culotte mouillée, quand Tess s'est mis à sucer un puis l'autre mamelon, tout en pressant ou caressant mes globes.
Jamais je n'aurai pensé que ma première expérience sexuelle serait avec Tess, tant étions proches. Car il n'y avait plus de doute, je l'avais aguiché, elle avait suivi, certainement aussi émoustillé que moi ... Et nous allions "le faire" le point de non-retour était franchi avec ses caresses buccales sur mes seins et surtout nos clitoris qui pulsaient et annihilai toute notre raison..
Contrairement à moi, inexpérimentée sur "ces choses", Tess avait un peu plus d'expérience sexuelle. C'était devenue "une grande" depuis qu'elle avait perdu sa virginité l'été dernier avec Léo. En tant que confidente, je savais tout de ses coucheries. Chaque fois "qu'elle le faisait" elle me racontait sans en omettre le moindre détail.
Tess a abandonné ma poitrine et d'une main derrière la nuque à guidé ma tête sur ses nichons. J'ai compris ce qu'elle voulait
Et c'est ce que je voulais aussi : goûter à ses nénés, plus gros que les miens. Quand je l'ai entendu geindre alors que je lui mordillais un téton, j'étais fière du plaisir que je lui procurais.
Je me suis enhardi. Pendant que ma bouche s'occupait de ses seins, j'ai glissé une main dans sa culotte, sa respiration s'est accélérée. Tess a ouvert sa fourche pour me faciliter laccès a sa minette chaude et déjà bien mouillée. Je savais ce qu'elle attendait, mais, je souhaitais qu'elle me fasse la même chose pour se masturber réciproquement et jouir ensemble.
Ma bouche est revenu vers son visage, dans l'obscurité nos nez se sont cognés nous faisant pouffer avant de recommencer à nous bécoter
Et enfin ! j'ai senti la main de Tess glisser dans ma culotte, caresser ma fente avant de m'écarter les lèvres à la recherche de mon bourgeon.
Son doigt qui me sondait doucement, me faisait gémir dans sa bouche. À son tour, elle a poussé une plainte de plaisir quand avec deux doigts joints, j'ai commencé à branler son bouton. Haletantes, dans le noir, nous nous sommes masturbé l'une l'autre, laissant par moments sourdre quelques gémissements que nous narrivions pas à .
Au bord de l'orgasme, Je geint un «... OH ! » de frustration... Tess à sortie les doigts de ma chatte, s'est dégagée de mon emprise pour m'enlever la culotte, puis la sienne. Une fois qu'elle nous eut débarrassées de nos derniers remparts, sans paroles, à tâtons, elle m'a fait coucher sur le dos pour venir semboîter sur moi. Seins contre sein, cuisses pressant nos sexes. C'est dans ce frottement mutuel, alors que nous couinons de plaisir tout en nous bécotant qu'elle me dit :
-Emma, je veux te lécher la chatte !
Je l'ai vu sur un porno que j'ai "chipé" à mon père.
Je hoche la tête en signe d'assentiment
Mais Tess n'avait pas attendu ma réponse, elle était déjà sur mon ventre et léchait mon nombril. Puis ses baisers et léchouilles se sont portées sur l'intérieur de mes cuisses, avant d'atteindre laine et me faire frissonner.
À peine, sa langue est entré en contact avec mon bourgeon que j'ai basculé d'en une sorte de transe extatique. Rien à voir avec mes jouissances solitaires, je n'avais jamais connu une telle sensation de bonheur. Il a suffi de quelques coups de langue à Tess, pour qu'une vague de plaisir extrême m'envahisse, et que je jouisse secouée de la tête aux pieds par un violent orgasme, en emprisonnant sa tête dans mes cuisses tellement cétait fort !
- Emma ! .. Hé bien, tu es une rapide toi ! ... Me dit-elle en pouffant de rire.
Puis elle rajoute, mutine :
- Je n'ai même pas eu le temps de faire comme dans le film porno et de profiter de ton abricot ! ....
Stupéfaite dêtre venue aussi vite, et encore en extase, je ne peux répondre que par un rire nerveux.
Je ne suis pas encore sortie de mon nirvana que la langue de Tess est revenue dans mes nymphes toutes ruisselantes de ma jouissance.
Dans la pénombre de la chambre, je devine son regard inquisiteur cherchant à déchiffrer les effets que me procuraient sa bouche. De toute évidence, elle devait trouver mes réactions à sa convenance, car elle n'a rien changé à sa façon de faire. Par contre, j'ai senti un de ses doigts sinsérer dans ma vulve et commencer à me doigter.
C'est au moment ou gémissante, arquée sous la jouissance qu'elle me procurait, que Tess marque un temps d'arrêt pour murmurer :
-Humm !
Ta chatte est si bonne Emma !
J'adore ton goût !
Qu'est-ce que tu coules, je suis toute barbouillée et poisseuse de ta liqueur !
Ne sachant pas quoi répondre, je me contente de rire bêtement...
Un deuxième doigt est venu rejoindre le premier pendant que sa langue repartait titiller mon bouton.
J'avais du mal à retenir mes râles de plaisir. Bouche fermée, je couinais, je sentais que j'allais exploser de partout, plus fortement que tout à l'heure. Avec ses parents qui dormaient juste à coté J'avais peur d'être bruyante, «... Que vont-ils dire s'ils m'entendent ? ... Est-ce que sa mère va venir voir ce qui se passe ? »
Puis, au moment où je viens, arquée, tremblante, râlante, prise sous les spasmes de l'orgasme qui éclate dans mon bas-ventre et me submerge, Plus rien ne compte, que ma jouissance que je laisse s'extérioriser librement... Tant pis pour le bruit, c'est trop bon de se laisser aller !
Tess, tout en me parcourant de petits baisers, est remontée sur moi pour m'embrasser et m'offrir ses doigts tout poisseux de ma mouille, que je lèche goulument...
- Bon, maintenant c'est à toi de me manger la chatte, m'ordonne-t-elle en laissant fuser un petit rire.
Je ne pouvais pas refuser à Tess de lui faire connaître à son tour «... Ce que ça faisait de se faire lécher la chatte par une fille ». Même si je ne l'avais encore jamais fait. Alors avec l'appréhension d'une première fois, je me suis glissée entre ses jambes.
Dès que j'ai eu ma tête dans son compas, il a suffi de l'odeur enivrante de son sexe moite pour que mon anxiété s'évapore et laisse la place à une excitation incroyable. Je me suis mise à laper sa fente comme une petite chatte. Elle avait un goût différent du mien, un peu comme du pop-corn salé. J'aimais. Quand ma langue s'est insinuée dans ses chairs intimes, Tess s'est mise à gémir et ses doigts se sont crisper dans ma chevelure.
Émoustillée, j'ai planté ma langue dans son con aussi profond que je le pouvais, mon nez frottant son clitoris. Son corps s'est mis à trembler, signe que ce que lui faisais était à son goût. Comme elle me l'avait fait, j'ai inséré un doigt dans son vagin. Tess a tremblé un peu plus fort. Forte de ce signal, j'ai joint un second doigt tout en continuant de m'occuper de son bourgeon avec ma bouche, sure que ce qui m'avait fait jouir, allait également la faire jouir.
Ma main libre a dégagé son capuchon et quand je me suis mise à aspirer, lécher, sa petite perle ainsi exposé, l'effet fut immédiat. Tess s'est mise à se tortiller, remuer des hanches, se cambrer sous l'effet combiné de ma bouche et de mes doigts avant de se laisser aller dans son orgasme, sans pouvoir comme moi avant, retenir ses râles quand le tsunami l' a emporté.
Couchée cote à cote, Tess à saisie ma main pour la porter à ses lèvres et goûter sur mes doigts poisseux son propre jus de chatte... Puis heureuses et comblées par nos jeux cochons, nous nous sommes endormis dans les bras l'une de l'autre, sans même remettre nos culottes et tirés un drap sur nous...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!