Jeanne, La Bourgeoise Soumise
Assise à deux tables de moi, cela fait une demi-heure que cette femme me fait de lil. Au début j'ai cru à un hasard, mais une fois que mon regard croise celui de quelqu'un, je ne peux pas m'empêcher de vérifier toutes les deux secondes si la personne me regarde toujours. C'est son cas, elle m'a même gratifié d'un grand sourire tout à l'heure.
Elle a la quarantaine, soit au moins dix-huit ans de plus que moi. J'aime les femmes mûres, et elle, elle me plaît. Beaucoup.
Ses longs cheveux blonds très légèrement bouclés, tombant sur ses épaules comme pour indiquer le chemin vers sa poitrine lui donnent un air angélique. Et quelle poitrine, deux énormes mamelons comme j'en ai rarement vus, ses seins ont manifestement été gonflés par l'allaitement, elle doit être maman, on distingue même ses boutons qui pointent, étirant légèrement son chemisier. Elle est habillée très classe, madame est une bourgeoise. Une bourgeoise bien aguicheuse à ce que je vois.
Voilà que madame se lève et vient à ma rencontre. On dirait qu'elle n'a pas de temps à perdre, pourtant il est tôt, il fait encore jour.
" - Bonjour, Jeanne enchantée."
Je me présente, lui fais la bise. Elle a une petite jupe taille haute bien moulante dans lequel rentre son chemisier et dont débordent deux longues jambes bien fermes qui me fileraient presque le vertige, perchées sur ses talons hauts. Elle est sacrément bien foutue.
Sa façon de parler un peu maniérée, sa gestuelle, son vocabulaire, ses vêtements... Elle a tout de la petite bourgeoise bien coincée. Pourtant elle a l'air plutôt extravertie.
On converse un peu, j'écoute à peine ce qu'elle dit, captivé par les mouvements de ses lèvres pulpeuses. Mes yeux font l'aller-retour, contemplant tantôt sa bouche, tantôt son décolleté outrageux, et tantôt ses magnifiques yeux bleu d'azur. Elle a bien remarqué mes regards insistants, à peine dissimulés. Elle croise les bras, soulevant sa poitrine, la mettant en valeur.
Bingo !
À peine arrivés chez elle, un gigantesque maison meublée avec beaucoup de goût en plein centre-ville qui, soit dit en passant, doit probablement coûter plus cher que ce je pourrai gagner dans ma vie entière, elle débouche une bouteille de Roths et m'en sert une flûte.
" - Je suis pas trop branché champagne mais je vais me forcer pour toi.
- Comme tu préfères, j'ai d'autres boissons si tu le souhaites."
On discute un peu, mais elle ne tarde pas à me sauter à la bouche pour m'embrasser langoureusement. À croire qu'elle est pressée. Soit, ça me va aussi bien. Je lui malaxe les seins pendant qu'elle me roule goulûment des pelles, elle a un sacré coup de langue. Ses seins sont incroyablement fermes pour leur taille imposante, ça me fait un effet dingue, je commence à être bien à l'étroit dans mon futal.
Soudain, elle détache sa bouche de la mienne, à mon plus grand regret, et murmure :
" - Attache-moi."
Qu'est-ce qu'elle me chante celle là.
" - Pardon ?
- Regarde dans le bas du placard là-bas, voici la clé. Prends la boite qui est cachée derrière les boites à chaussures. Tu y trouveras tout le nécessaire. Fais de moi ton esclave."
Une bourgeoise salope et soumise, quel délice ! Elle est bien tombée, Jeanne, je vais exaucer son souhait comme personne.
Esquissant un sourire lubrique, je lui caresse la joue et le menton.
" - Je vois... Bon, à genoux, jambes écartées, mains dans le dos. Tu restes dans cette position sans broncher, je vais jeter un il à ta boîte à perversions."
Je change complètement de ton. Les mots sont secs, la diction saccadée. Je donne toute l'autorité nécessaire à ma grosse voix grave.
Elle sursaute presque à mes ordres, puis un sourire pervers se dessine sur son visage et elle exécute la sentence. Bien droite, la poitrine tendue, offerte.
Qu'est-ce qu'elle est bandante.
Je met la main sur sa boite et la ramène devant elle. Je l'ouvre sous ses yeux pour découvrir un attirail complet, on dirait que Madame la Comtesse a l'habitude de s'abaisser sous le Petit Peuple.
Collier d'esclave, cordes, pinces, fouet, cravache, plugs... j'en passe et des meilleures. Une sacré dévergondée la Jeanne.
" - Très bien Madame la Comtesse, tu vas enfiler ce collier. Je te rappelle que les privilèges de la noblesse ont été abolis en 1790. À partir de maintenant tu es ma captive, et je vais te faire redescendre sur Terre illico. C'est bien compris ?
- Oui Maître."
Elle enfile le collier d'elle-même, se plaçant ainsi de son plein gré sous mon joug puis elle reprend aussi sec à sa position de soumission. Elle a déjà les réflexes, on dirait que le dressage ne sera qu'une formalité.
Je la récompense d'un sourire. Je fais le tour du propriétaire, l'inspectant sous toutes les coutures, sans qu'elle ne bronche. Je lui tâte les seins, les soupèse, lui tire les tétons. Elle soupire brièvement mais ne laisse pas échapper un seul cri. On dirait qu'il va lui en falloir un peu plus.
Je tourne autour d'elle, puis m'arrête, debout dans son dos. Sa posture parfaite, bien droite, cambrée au possible, fait ressortir son cul délicieusement rebondi. Je m'accroupis et lui palpe les fesses. Malgré leur volume elles sont d'une fermeté à couper le souffle.
Elle a décidément tout pour plaire, Jeanne. Une véritable créature idyllique dont chaque parcelle est un comble de perfection.
Je la gratifie d'une claque sur la fesse droite, puis me relève.
" - Alors, par où commencer... Tiens, je vais commencer par tester ta poitrine, elle m'aguiche depuis tout à l'heure et je n'ai pas envie de me retenir plus longtemps. Qu'est-ce que tu en dis ?
- Faites ce que vous voudrez de mes seins, Maître. Ils sont à votre disposition.
- Bien, alors voyons ce qu'ils donnent vraiment."
Je défais les boutons de son chemisier que je sors de sa jupe.
" - Dégrafe ton soutien-gorge qu'est-ce que t'attends, ce n'est pas à moi de faire des efforts.
- Je vous prie de m'excuse, Maître, j'aurais dû prendre les devants."
Elle dégrafe son soutien gorge et le retire, libérant ses énormes seins de leur prison de tissu.
Vision irréelle. Sa poitrine gigantesque, très subtilement tombante, ferme, ronde, s'offre à moi, soulignée par la posture de soumission que Jeanne a adopté à nouveau dès que son soutien-gorge fût tombé.
De ma main, je fais le tour de l'un de ses seins, j'en étudie la forme. Je le caresse, le palpe, le serre fermement. Puis, sans prévenir, je saisis le petit téton qui pointe au bout de ce mont, et le tourne brutalement, lui arrachant un soupir de jouissance. Elle apprécie la douleur.
Je fouille dans la boite et m'empare de deux pinces, reliées par une petite chaînette.
" - Alors c'est à toi ça ?
- Oui Maître.
- Tu joues souvent avec ? Tu aimes te les coller sur les tétons ?
- J'adore ça, Maître. J'aime me r les tétons, m'infliger des sévices corporels.
- Ça me plaît. Tu vas être gâtée."
Puis, sans prolonger le suspens, je lui colle une pince sur chaque téton, laissant la chaîne pendouiller sous sa poitrine.
" - On dirait que tu supportes plutôt bien la douleur.
- J'aime la douleur, Maître. Elle me rappelle ma condition d'esclave.
- Bien. Je vais t'attacher, tu es d'accord ?
- Maître, mon avis ne compte pas. Il n'y a que votre volonté qui importe. Si vous le voulez, je suis d'accord."
Elle a déjà été dressée. Et très bien dressée. Peut-être a t-elle déjà eu une relation suivie. Plusieurs ?
Je ne suis pas très doué en encordage, mais j'ai quelques notions que jai lues dans un livre dédié au shibari, elles devraient suffire.
" - Maintenant tu es tout à fait captive, soumise à ma volonté.
- Merci Maître. Cest un honneur pour moi."
Je saisis le chat à neuf queues qui se trouve dans la boîte et m'approche d'elle, collant presque ma braguette à son visage. Je défais mon pantalon, laissant s'échapper ma verge gonflée à bloc par la vulnérabilité de Jeanne, par son corps sublimé par le jeu de cordes qui l'enserre.
" - Tu sais ce qu'il te reste à faire je crois.
- Bien sûr, Maître."
Elle tend la tête pour essayer de prendre mon sexe en bouche. Mais ce dernier se dérobe sous sa tentative de le sucer. Je joue avec elle. Je recule quand elle avance sa tête.
Elle essaye deux fois, puis marque une pause, tournant vers moi un léger sourire accompagné d'un petit regard excité, avant de se remettre au travail.
" - Bon alors. J'attends, Jeanne. Ne me fais pas trop patienter."
Elle redouble d'ardeur pour y arriver. La vision de cette bourgeoise attachée, à demi nue, essayant vainement de me gober le chibre est à la fois ridicule et parfaitement jouissive.
Magnanime, je finis par la laisser sucer. Je vois à son regard qu'elle est ravie d'avoir enfin pu y arriver.
La difficulté qu'elle a eu à parvenir jusqu'à ma bite la pousse visiblement à mettre d'autant plus de cur à l'ouvrage. Elle suce à la perfection. Les lèvres humides, serrées, la langue activée autour de mon gland. Et déjà un mince filet de salive commence à perler de sa lèvre inférieure, pour venir couler sur ses seins.
Inapte à utiliser ses mains, la gymnastique qu'elle est contrainte de faire pour exécuter sa besogne font remuer tout son corps, ses seins se balancent de droite à gauche, la chaînette qui lie les pinces sur ses tétons marque le contretemps, son cul gesticule, avec grâce toutefois, et tout ça dans une allure générale ondulante, fluide. En guise de touche finale à ce magnifique tableau, je lui assène un coup sec de fouet sur le cul, qui lui arrache un gémissement étouffé dans sa bouche par mon sexe envahissant.
" - Plus fort, Jeanne. Applique-toi. Ne me déçois pas."
Le coup de chat à neuf queues est très vite suivi d'un autre. Puis d'un autre. J'entame une série de coups, réguliers, en cadence. Elle gémit, encore, et encore, mais jamais ne s'arrête de me sucer. De temps à autres, je feinte et ne lui donne pas le fouet, cela la fait sursauter, se cambrer. Je joue avec elle.
Sentant la jouissance approcher, je saisis ses cheveux, et force son labeur de grands coups de bassin. J'accélère la cadence, encore et encore, jusqu'à finalement me retirer pour jouir sur sa poitrine.
" - Merci, Maître."
Me lance t-elle en relevant les yeux vers moi. La bouche dégoulinante de salive sur ses seins luisants d'un mélange de sperme et de salive.
Je reprends un peu mon souffle, puis m'assois dans le canapé.
" - Dis-moi, c'est du cognac que je vois là-bas ?
- Oui, mon mari était un grand amateur. Moi je n'en bois pas, je n'aime pas ça.
- Bon, je vais me servir un verre. Toi, tu garde ta position de soumission, compris ?
- Oui Maître."
Je me sers un verre de cet excellent hors d'âge que j'imagine sans aucun mal hors de prix, et je commence à siroter.
" - Ce serait dommage de gâcher un nectar aussi fin.
- Vous avez tout à fait raison, Maître. Vous savez apprécier les bonnes choses.
- Tu as parlé de ton mari au passé. Dis m'en plus sur toi, sur ta famille."
Elle entame un long monologue, et me raconte qu'elle vit seule, son mari étant décédé depuis quelques années, ses deux s ayant quitté le nid depuis peu. Elle me dit qu'elle vit sur sa fortune personnelle, laquelle étant assez élevée pour lui permettre de ne pas travailler. Je l'écoute, sans l'interrompre. Lui faisant signe de poursuivre lorsqu'elle marque une trop longue pause.
La scène doit être très étrange vue de l'extérieur. Moi, assis dans le canapé, sirotant un verre de cognac. Elle, à genoux sur le sol, à demi-nue, attachée, me racontant sa vie, son histoire.
Cela dure un petit moment, et jamais elle ne se plaint de l'inconfort de sa position. Pas une doléance, pas un signe trahissant quelque désaccord avec sa condition. Elle est merveilleuse.
" - Bon, lève toi un instant, on va te retirer cette jupe qui me voile ton intimité. Je veux que tu me sois totalement offerte."
Elle se lève, je retire sa jupe pour m'apercevoir avec stupeur qu'elle porte un string parfaitement scandaleux. Sous ses allures de bourgeoise BCBG, Jeanne porte des sous-vêtements de catin dévergondée, qui l'eût cru !
" Reprends ta position, dépêche-toi."
Elle s'exécute. Je l'observe un instant, ses cuisses rondes, sa chatte intégralement épilée bien offerte. Je passe derrière elle pour admirer son cul déjà rougi par le fouet, même à travers la jupe.
Je me ressers un cognac, puis l'observe en silence. Je la fixe dans les yeux, sans rien dire. Balayant de temps à autre l'intégralité de son corps dévoilé à mon regard.
Puis, finalement :
" - Je vais prendre une douche et visiter la maison. Toi, tu restes ici, tu ne bouges pas. Si j'apprends que tu as bougé ne serait-ce que d'un centimètre, tu le regretteras. J'espère avoir été clair.
- Parfaitement limpide, Maître. Je ne vous décevrai pas."
Avant de partir faire ma visite, je prends la chaîne qui lie les pinces sur ses tétons, la tiraille légèrement, puis la coince dans la bouche de Jeanne. Ceci a pour effet de tirer les pinces vers le haut, augmentant la douleur infligée à ses boutons.
" - Si cette chaîne est tombée de ta bouche à mon retour, tu le regretteras également. J'espère que tu es patiente, car j'ai l'intention de prendre mon temps."
Pour seule réponse, elle marmonne sans pouvoir articuler, de peur de faire tomber la chaînette, et acquiesce du chef.
Je tourne les talons, et sors du salon convaincu que jai déniché une perle rare.
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