La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°941)

soumises prêtées au Château – (suite de l'épisode précédent N°940) -

Elle se retourna vers moi et me regarda en me faisant un tout petit sourire.

- que vont ils nous faire ?
- je ne sais pas, mais l'ami de Monsieur le Monsieur le Marquis me terrifie ! Si j'avais pu je l'aurai tué tout à l'heure ! J'ai cru que j'allais mourir, c'est un sadique !
- Ne dit pas ça Marie, on pourrait nous entendre !
- m'en fiche, je le pense !

Puis nous nous plongeâmes toutes deux dans un silence plein d'angoisse, restant là à genoux, ne sachant pas ce que l'on allait faire de nous. Soudain des pas firent crisser les graviers de l'allée. Nous étions tendues de savoir qui apparaîtrait. Ce fût Monsieur le Marquis qui entra le premier dans la pièce, mais il était suivi du Comte, de Walter et de la cuisinière aux yeux sadiques.
Ils se sont tous mis devant nous contre le mur, nous regardant. Je n'osais pas lever les yeux.

- la quelle d'entre vous à incité l'autre aux caresses ce matin ? demanda le Monsieur le Marquis. Je ne dis rien et baissa encore plus la tête.
- qui a commencé ? ! hurla-t-il en faisant un pas vers nous.
- c'est … c’est moi Monsieur le Monsieur le Marquis, souffla Mélanie, c'est moi qui ai commencé, Marie ne voulait pas.

- bien Walter, menez là au pilori. Elle y restera tant que Monsieur le Comte et moi-même seront absents, nous avons à faire avec l'autre femelle !
Je jetais un regard perdu vers le Monsieur le Marquis.

- non pas lui ! Monsieur le Marquis, punissez moi vous, j'accepterai tout, je ferai tout ce que vous désirerez, mais pas lui, s'il vous plait !
Je m'étais jetée à ces pieds lui entourant les jambes de mes bras, je pleurai, le suppliais .... mais il ne voulut rien entendre.

- je fais de toi ce que ce je veux, et pour le moment ce que je veux et de te prêter à Monsieur le Comte. De plus il m'a apporté tout un harnachement de jument que je compte bien essayer tout de suite avec son aide !

Le comte souriait avec perversité de toutes ses dents, il allait pouvoir faire de moi ce qu'il voulait pendant que Monsieur allait sortir en promenade avec sa jument.

Il ne serait pas là s'il m'arrivait quelque chose de grave. Il m'abandonnait à ce sadique qui en jubilait d'avance. Je m'attendais à le voir baver tant on voyait la luxure luire dans ses yeux.

Je me retournais vers Monsieur le Marquis, mais déjà il faisait signe à Walter de l'emmener. Le pilori, j'en frémis. Quelle était donc cette nouvelle ?

- Monsieur le Marquis avant d'aller aux écuries, ne pourrions-nous pas assister à l'installation de la chienne sur son pilori, j'apprécie beaucoup ce genre de spectacle ! Que je vois comment vous savez calmer les chaleurs d'une chienne lubrique ! dit le comte
- Mais bien sûr, suivons les, lui répondit-il en m’attachant les mains dans le dos avec un lien de cuir qu'il sortit de sa poche. Il en prit un autre et le tendit vers Walter lui demandant de faire pareil avec Mélanie, ce qu'il fit dans un empressant et une maîtrise des nœuds qui n'augurait rien de bon pour elle.

Walter pris ensuite sa laisse qui pendait à son cou et l'obligea à le suivre. Monsieur le Marquis se saisit de la mienne et je me levais, la tête basse mais la rage dans le corps. Nous sortîmes par la porte par laquelle ils étaient tous entrés. L'allée de graviers me meurtrissait la plante des pieds et je ralentis le pas.

Monsieur le Marquis se retourna et me regarda avec colère en tirant sur la laisse si fort qu'il me fit trébucher et je tombais de tout mon long et de tout mon poids sur les graviers qui me meurtrirent tout le coté. Les mains liées, je n'avais pas pu amortir ma chute et ma tête heurta, elle aussi, les graviers. J'en vis trente six chandelles. Le Monsieur le Marquis s'approcha de moi et m'aida à me relever en passant une main sous mon bras :

- fait donc un peu attention femelle, ou tu reprendras du fouet.

Je le regardais, fis non de la tête et essaya de me tenir juste derrière lui. Nous arrivâmes sur le perron de l'entrée que nous avions franchi avec tant d'espoir ...

Walter, qui était devant avec Mélanie, en ouvrit la porte et pénétra dans la grande entrée.
Le Monsieur le Marquis s'effaça devant le Comte pour le laisser entrer en premier. Il tira sur ma laisse, me tirant à lui, se pencha vers moi et me dit à l'oreille :

- quoi qu'il se passe je ne veux pas entendre un seul mot, pas un seul son sortir de ta bouche, as-tu bien compris ? Me demanda t'il froidement en plongeant son regard dans mes yeux.

- oui Monsieur le Marquis, j'ai compris.
- bien, que je n'ai pas à te le redire, entre !

Il me tira et je pénétrais dans le château derrière lui. Une nouvelle fois je fus émerveillée du faste de la demeure. Tout y était beau, sans ostentation, mais pourtant avec beaucoup de raffinement. Je n’eus guère le temps d'en admirer plus avant les toiles, la dorure des tableaux, la finesse des sculptures, la beauté des meubles ou l'épaisseur des tapis. Nous ne fîmes que traverser cette salle.
Walter nous reconduisait vers l'escalier en colimaçon que je reconnu tout de suite et mon coeur et mon corps frémirent au souvenir du fouet qui avait dansé sur mon corps .

Nous arrivâmes quand Walter se dirigeait vers une espèce de tréteaux étranges avec deux planches placées en accent circonflexe . Mélanie eu un geste de recule en voyant que c'était vers cela que Walter l'emmenait.

Monsieur le Marquis me fit mettre à genoux à ses pieds après s'être assis près du Comte dans un des fauteuils du petit salon de la salle rouge et demanda à sa cuisinière :

- Marie ! s'il vous plait, servez-nous un cognac et apportez-nous la boite de cigares.

Walter se tourna vers Monsieur le Marquis comme pour demander un accord muet . Monsieur le Marquis baissa la tête, me caressa nonchalamment les cheveux comme on caresse un chien qui vient de se coucher à vos pieds.

Walter empoigna Mélanie, la releva, il lui détacha les bras, lui fit passer les mains au travers de drôles de menottes. Elle pouvait serrer une petite poignée qu'il lui referma fermement autour de ses poignets .
Il voulu lui mettre un bâillon dans la bouche mais Mélanie tourna la tête dans tous les sens essayant d'y échapper . Il l'a gifla à toute volée . Je vis à ses yeux qu'elle en en était toute étourdie . Il en profita pour lui faire ouvrir la bouche et y glisser une énorme boule caoutchoutée et traversée d'un lien qu'il lui attacha derrière la tête.

Walter actionna ensuite une commande. Une poulie descendit lentement du plafond avec un cliquetis de chaînes. Mélanie leva les yeux et la regarda venir se placer au dessus d'elle. Walter lui pris les mains et attacha l'anneau des menottes au crochet de la poulie . Il appuya sur un autre bouton et la poulie remonta. Les bras de Mélanie se levèrent. Elle fut bientôt sur la pointe des pieds. Encore une pression et elle fut suspendue en l'air par les mains . Ses pieds ne touchant plus le sol, elle tourna doucement sur elle même.

- Attendez un peu Walter ! Demanda le Monsieur le Marquis en se levant, et, se saisissant de sa cravache se dirigea vers Mélanie. On vit la peur s'installer dans ses yeux.

- Je dois te punir pour ce que tu as fais ce matin. Il commença par lui donner des petits coups de cravache. Il gardait la main souple et les coups ne semblaient pas puissants , juste rapides. Walter la faisait tourner lentement pour que chaque partie de son corps ainsi offert en ait sa part. Progressivement, on voyait sa peau changer de couleur et prendre une teinte rose, puis rouge. Mélanie prenait une correction à laquelle elle ne pouvait rien faire pour s'en soustraire. Elle continuait de tourner. Elle secouait la tête en un non impuissant et muet. On l'entendait juste geindre. Elle suait. Elle pleurait. Les coups continuaient de tomber sur son dos, sur ses fesses, sur ses seins, sur son ventre, sur ses cuisses et parfois même sur son sexe, selon l'envie du Monsieur le Marquis et pour le plaisir sadique du Comte qui ne perdait rien du spectacle et le savourait avec délices.

Le Comte demanda à Walter de tenir une des jambes de Mélanie pendant qu'il se saisissait de l'autre et les lui écartèrent ensemble, lui ouvrant le sexe et en facilitait l’axé .
Monsieur le Marquis visa tout de suite ce sexe ainsi exposé et le frappa à plusieurs reprises. Mélanie se tordit entre ses liens et les mains de Walter et du Comte. Mais il continua un long moment à la frapper juste à cet endroit là sans relâche, avec méthode. Monsieur le Marquis s'arrêta un instant et glissa une main dans l'entre jambes de Mélanie.

- elle est trempée, s'esclaffa-t-il ! Il mis un doigt, puis deux, puis trois dans son vagin qui s'ouvrit tout seul sous la caresse. Le Monsieur le Marquis revint et pinça le clitoris tout gonflé. Mélanie sursauta. Le Comte voulu voir aussi et mis ses quatre doigts dans le sexe de Mélanie. Elle se figea mais la moitié de la main du Comte était déjà rentrée et la remplissait vicieusement. Il la ressorti entièrement et l'a rentra de nouveau. Il fit ainsi plusieurs allés et retours, poussant toujours plus loin sa main. Les plaintes de Mélanie se transformèrent peu à peu en gémissements.

- c'est bien, dit le Monsieur le Marquis, elle est prête, montez-la Walter et installez-la confortablement, lui demanda t'il en souriant.

Walter repris la commande et pressa sur le bouton, fit monter Mélanie. Lorsqu'elle fut suffisamment haute, il la poussa légèrement et la poulie pivota, l’emmenant pile au dessus de l'étrange chevalet. Il pressa un autre bouton et elle commença à redescendre. Elle serra les jambes et posa les pieds sur le chevalet pour essayer d'éviter l’inévitable. Monsieur le Marquis et le Comte se placèrent de part et d'autre d'elle, lui saisirent chacun une jambe. Walter la fit descendre lentement pendant que les deux hommes lui maintenaient les jambes ouvertes au dessus du chevalet. Elle descendait ainsi jusqu'à ce que son sexe repose sur les planches en biais. Juste avant qu'elle ne soit posée, le Comte et Monsieur le Marquis lui écartèrent le sexe. Walter fini de la descendre. Mélanie eu l'impression que son sexe se fendait en deux . La douleur la travers de part en part et explosa dans son cerveau en milliers d'éclairs fulgurants la plongeant dans un état second, où seule n'existait plus que son sexe martyrisé .

Elle reposait maintenant entièrement sur son sexe ouvert, écrasé par son propre poids. Mélanie se maintint aux poignets en tirant dessus pour se soulager. Elle appuya ses pieds de part et d'autre pour se soulever un peu, mais Walter faisait le tour du chevalet, lui saisi une jambe, lui mis un bracelet de cuir muni d'un mousqueton, et fit de même avec l'autre pied. Ensuite, il prit une barre métallique sur un râtelier et en passant sous le chevalet il la fixa aux mousquetons. Mélanie se retrouva ainsi les jambes écartées au maximum. Le sexe entièrement posé sur l'angle que formaient les planches et même si l'arrête en avait été arrondie elle lui meurtrissait les lèvres et le clitoris. Elle se retenait aux poignées qu'elle avait dans les mains, mais elle savait bien que si elle restait là un long moment, elle n'aurait pas la force de se retenir comme ça longtemps.

Monsieur le Marquis, satisfait retourna s'asseoir. Le Comte en fit autant et ils finirent leur Cognac en regardant la pauvre Mélanie se tortillant sur le chevalet. Au bout d'un moment se lassant le Comte demanda :

- et si nous la laissions là et que nous allions essayer le matériel que je vous ai apporté ce matin cher voisin ?
- excellente idée, allons-nous dégourdirent les jambes en faisant une agréable promenade, Marie, je vous demanderai de rester ici jusqu'à notre retour. (et me regardant) Walter emmenez cette femelle là aux écuries, installez-là dans une stalle, nous arrivons tout de suite, répondit le Monsieur le Marquis en lui tendant ma laisse.

- bien Monsieur le Marquis, aller vient par là toi, me dit-il en prenant la laisse. Je le suivis, inquiète.

Nous redescendîmes et retraversâmes la grande salle. Walter me fit tourner sur la gauche et me guida vers les écuries que l'on apercevait sitôt le château contourné. L'allée de graviers avait fait place à une piste de terre battue plus souple sous mes pieds.
L'odeur me parvint bien avant que nous ayons franchit la porte des écuries. Lorsque nous y entrâmes la pénombre me surprit. Walter se dirigea vers une stalle vide. Il attacha ma laisse à un anneau fixé à une mangeoire, il ne me détacha pas les mains :

- repose toi, me conseilla-t-il, tu en aura besoin ! Ah ! ah ! …

(A suivre …)

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