Complexe Vaincu 2
Un jour donc, limpossible est arrivé. Jai pu comparer
voir, toucher
un modèle différent
Commençons par le début. Le lundi soir et le jeudi, après le travail, pour garder la forme, entretenir notre corps, Robert pratique dans un club dathlétisme la course à pied et moi, Simone, je fais des longueurs de bassin à la piscine olympique de la ville pour entretenir ma ligne. Ce lundi il y a foule à la piscine, toutes les cabines côté femmes sont occupées, la caissière menvoie côté hommes. Jessaie une clenche, la porte souvre, jentre à reculons, je pousse le loquet, je me retourne et me trouve en face dun homme nu occupé à se frotter les cheveux vigoureusement, les deux bras levés, les mains sur sa serviette de bain qui cache son visage.
Mais cest un homme et quel homme, seigneur ! Enfin ce que je vois en baissant les yeux ne permet pas le doute. Sous lhirsute toison brune au bas de son ventre, sur lépais coussin de ses testicules, pend une verge molle, au repos, de dimensions impressionnantes, longue, large, épaisse, un truc incroyable. Du jamais vu, de linimaginable. Je ne réussis pas à détacher mes yeux de cet attribut sans doute hors du commun. Force est de le constater, une queue comme celle-là, ça existe! Cest époustouflant, incroyable, sidérant. Mais
mais
- Mais que faites-vous dans ma cabine? dit la face sortie de la serviette.
Il voit mon regard planté sur son sexe, fasciné comme loiselet devant un serpent. Son sexe fait un bond, prend des dimensions nouvelles, sallonge, épaissit encore et se redresse. Cest une arme, une menace. Je veux fuir, dans mon trouble je ne trouve pas le loquet, je me heurte à la porte et je sens sur mon épaule une main ferme qui me retient
- Nayez pas peur, je ne vous ferai aucun mal. Excusez-moi, jai dû oublier de verrouiller la porte. Vous pouvez vous retourner, ma serviette cache linstrument qui vous fait fuir. Pour me faire pardonner, je vous invite à prendre un verre avec moi au bar de la piscine.
Ce type ne manque pas daplomb. Je le regarde. Le visage est agréable, agrémenté dune fine moustache soignée, souriant, peut-être ironique. Il a des cheveux bruns, jaurais pu le deviner à la vue de ses poils pubiens. Il sort de leau, cest un sportif qui sentretient ; en somme un bel homme doublé dun charmeur.
-Allez mattendre au bar, je vous rejoins immédiatement.
Je sors, je me dirige vers le bar. Cest idiot. Pourquoi boire un coup avec un type qui ma peut-être tendu un piège? Pourquoi lui obéir aussi facilement ? Je ferais bien mieux de trouver une autre cabine et daller nager. Est-ce leffet de sa grosse queue sur mon cerveau chamboulé, est-ce sa réaction, ce bond surprenant du gland vers le plafond quand lhomme ma vue? Dans ma tête ça fait « crac boum huhu! » Jen tombe assise sur un tabouret de bar, le souffle court, le pouls accéléré. Ciel, que marrive-t-il? Pourquoi suis-je si émotive? Pourquoi ce tremblement nerveux dans les mains ?
- Je me présente, Abel, je vous prie encore dexcuser ma distraction. Que prenez-vous?
- Simone, chevrote ma voix. Vous êtes pardonné, il arrive à tout le monde dêtre distrait. Il ne fallait pas vous croire obligé de moffrir un verre.
- Mais cest avec le plus grand plaisir! Cela me donne loccasion de faire la connaissance dune très charmante personne.
Après un échange de banalités courtoises, il ose aborder le sujet glissant.
-Vous mavez regardé comme si jétais anormal. Vous nêtes pas la première.
Il sexplique. Il est célibataire, a une bonne situation. Plusieurs fois, amoureux dune belle jeune fille, il a failli sengager dans une vie de couple. Mais à lapparition de son sexe, chaque partenaire a fui, qui pour ne pas rater son train, qui pour réparer un oubli, chacune trouvant un prétexte pour cacher son épouvante. Ce nest pas tout dêtre bien membré. Une fois, une veuve a bien voulu passer lépreuve, il la pénétrée non sans mal, elle a beaucoup gémi mais progressivement les rapports ont été moins douloureux, le vagin sest adapté à la vergeL dame a semblé prendre goût à une relation charnelle suivie puis elle a disparu sans au revoir, sans doute conquise par un pénis moins exigeant ou par un sexe encore plus fort et plus imposant.
A trente ans il vit seul. Il est très malheureux. Son histoire fait pitié. Jen suis émue aux larmes. En moi, le saint-bernard se réveille. Avec Robert javais découvert ma vocation particulière de consolatrice des affligés. Il croyait avoir un sexe trop petit pour satisfaire une femme et avait renoncé au mariage ou au concubinage. Je métais donné pour mission de lui prouver quon pouvait laimer malgré la taille réduite de son organe, je métais investie à fond, je lavais poussé à me prendre et depuis je vivais avec lui un bonheur quasi parfait sur le plan sexuel. Aujourdhui je découvre une détresse presque égale, chez un sujet doté dune verge trop grande pour être acceptée par les femmes. Cest une fatalité, je passe dune insuffisance à la surabondance, dun excès à un autre. Imprudente je questionne :
- Abel, pourrais-je taider?
Car au cours de confidences aussi intimes et tellement inattendues dans leur contenu et dans leur spontanéité, nous sommes rapidement passés de vous à tu. Le lieu de notre rencontre et sa nudité totale ne sont pas étrangers à la facilité des confidences absolument invraisemblables en dautres circonstances entre deux inconnus. Je veux laider : Il va me demander de lui dénicher une femme au vagin élargi, pourquoi pas une mère de famille nombreuse. Sa réponse me terrifie.
- Tu es certainement la personne sincère, attentive aux souffrances des autres qui pourrait me rassurer. Tu as des capacités découte formidables, tu es réceptive et ton corps est certainement fait à limage de ton esprit ouvert et de ton cur généreux.
Il y a une demi-heure nous ne nous connaissions pas. Il ma apitoyée et déjà me confie la tâche de lui venir en aide personnellement avec mon corps de femme réceptive..Il sait toucher la corde sensible en flattant. Baratin? Déclarations sincères ? Suis-je condamnée à voler au secours des déshérités comme Robert ou de ceux que la nature a trop bien servis. Mais actuellement, jai un mari; la donne a changé.
Quand monsieur sera dans de bonnes dispositions, quand à la réaction à un regard sajouteront les effets du toucher, de la masturbation ou de la fellation, saurai-je résister à la terreur et ne pas fuir comme les autres filles. Dans ce cas jaugmenterai son désespoir. Mais, je me surprends à envisager de tenter de laccueillir. Je suis folle à lier! Mon bon cur me perdra. Le risque est énorme, la tentation de la bonne action réelle. Abel me fixe, vais-je le désespérer ici et maintenant, sans rien essayer. Je pourrais faire un geste, pendant un temps limité, dans des conditions fixées davance. Ma réponse tarde, son espoir grandit, ma résistance à lenvie de calmer ses angoisses faiblit. Hésiter ne fait rien avancer, je décide:
- Bon, suis-moi, je vais voir ce que je peux faire.
Robert ne reviendra pas avant une heure, notre domicile est proche. Abel le trouve coquet. Il attend. Jimpose mes conditions.
- Voilà: je vais te rendre un service purement technique. Nous disposons de peu de temps avant le retour de mon mari. Nous convenons de faire une tentative dunion charnelle. Tu te présenteras à lentrée de mon sexe, tu chercheras à me pénétrer. Si tu y parviens, tu sauras que lexercice est techniquement réalisable et tu pourras affronter avec vaillance les autres candidates, leur faire savoir que tu ne les estropieras pas nécessairement. Si la pénétration se révèle impossible, tu reconnaîtras que jai fait preuve de courage et de bonne volonté. Si pour ton bonheur nous parvenons à un acte complet et abouti, je serai satisfaite davoir contribué à te soulager sexuellement.
- Oh Merci. Même si ce nest que pour une fois ! Tu es bonne.
- Quoi quil advienne, je te prête mon corps à lessai, mais mariée je suis, mariée je veux rester; je naime quun homme, le mien.
- Et comment! Je ne te remercierai jamais assez.
- Alors en tenue, cher Abel. Que jexamine de plus près ton défaut : lexcessif développement de tes organes sexuels; montre-moi ton épouvantail.
Dans ma chambre je me déshabille vite devant lui. Il est aussi pressé et aussi rapide que moi.Me voir nue suffit à transformer instantanément sa grosse nouille tombante en un redoutable gourdin, encore plus grand, massif et lourd que je ne lai imaginé. Vraiment je suis dingue daccepter ce rôle. Cest de la témérité. Pourquoi ai-je cette vocation de sauver, de redonner courage et joie de vivre à mon prochain ? Et lautre vaniteux se prend en main, déploie son avantage pour méblouir, sastique le manche comme sil nétait pas déjà assez long et volumineux. Je suis mariée, mais les dimensions de lhomme de ma vie nont rien de commun avec cette massue masturbée par ce pauvre Abel.
Donc, il y a peu de chance que notre activité de couple ait préparé mon vagin à recevoir facilement ce long et gros machin du malheureux jeune homme. Lusage même intensif dune queue sous dimensionnée na pas pu déplisser assez lenveloppe de mon vagin. Plus je regarde ce truc vibrant, plus je tremble de crainte sans doute, mais aussi de curiosité et denvie de le sentir ouvrir mes parois. Sa chose en main, il sinquiète :
- Tu crois que nous pourrons ? Veux-tu me préparer, menduire de salive pour faciliter le glissement de ma mentule dans ton con vaillant.
Jai chanté quand jétais jeannette « A cur vaillant rien dimpossible » . Je nai pas que le cur vaillant, mon con veut lêtre tout autant. Courage, baisons et voyons jusquà quel point un vagin est extensible quand cest nécessaire. On nest jamais trop bien instruit en la matière. Tout mon corps se dévoue pour rendre la joie à ce brave garçon si exceptionnellement pourvu.
- Oui, mais tu devras également provoquer la lubrification de ma chatte. Tu sais ce quest un soixante-neuf ? Oui. Couchons-nous donc en position et ne traînons pas.
Jemploie un ton neutre, il nest pas question de sentiment damour, cela doit rester technique, mécanique, sans lien de cur. Le hasard nous a réunis dans une cabine, un verre nous a rapprochés. Il ma inspiré pitié. Je veux le soulager, lui rendre confiance, le libérer de son complexe.
Il a vite trouvé ma foufoune, a poussé quelques exclamations, ma complimentée sur létroitesse du conduit élastique où il a envoyé un index. Il est vite passé aux travaux pratiques de façon plutôt habile pour un homme si peu expérimenté en raison de la fuite systématique de ses partenaires confrontées au monstre que je vois de près maintenant. Il lèche admirablement les abords de mon sexe,, envoie tantôt sa langue chargée de salive à lentrée du puits pour amorcer ma production de cyprine, tantôt un ou deux doigts pour prendre la mesure de la profondeur dudit puits et pour étudier lélasticité de ses parois tout en pompant mes fluides. Je suis parcourue de frissons auxquels je ne mattendais pas. Même sans amour mes sens sémeuvent. Il ne sera pas seul à éprouver du plaisir.
Il suce, lèche, pénètre, remue, additionne les doigts pour mélargir, grogne de satisfaction en constatant que je me prête à ses variations dans ce jeu de préliminaires indispensables au succès de notre dessein. Il faut que je mouille pour que la chose glisse plus facilement dans ma gaine. Japporte zèle et compétence pour préparer sa matraque. Je le tiens dans mes deux mains placées en anneaux successifs autour de la longue colonne de chair palpitante et jaccorde à limpressionnante pointe qui dépasse de mes mains des lapements, des coups de langue en cercles autour de la couronne supérieure de ce sceptre royal.
Je vais me décrocher les mâchoires si je le prends en bouche. Cest si facile avec la verge de Robert que ma bouche contient entièrement lorsquelle est en érection. Courage, il le faut. Mes lèvres passent, mes dents doivent racler la surface. Jenfourne un peu, je défourne, jaspire de lair et je recommence. Cest nouveau et enivrant. Je ne peux ni ne dois faiblir ou reculer. Ce serait pire quun rejet initial pour son moral.
- Oui, cest bon, continue, un peu plus. Tu es une envoyée du ciel.
« Un peu plus. » Sait-il ce quil réclame, le pauvre démesuré? Je suis au bord de l et il prétend senfoncer encore. Oui quand on apprend quon accomplit une tâche céleste, que sa bouche est un paradis, on se sent obligée de prodiguer le bonheur. On fait leffort, on accueille mieux. Au fond de ma gorge sa queue chatouille ma luette et il reste encore des centimètres de tube à lextérieur de mes lèvres. Je frappe sur ses cuisses pour quil cesse de pousser dans mon gosier. Heureusement, je noublie pas lheure.
- Stop, si tu veux pénétrer mon vagin, il faut ty mettre. Sinon, je ne pourrai pas assurer la relation sexuelle complète dont tu as un si grave besoin.
En position du missionnaire, moi sur le dos, jambes ouvertes et genoux remontés, lui tendu au dessus, en appui sur la pointe des pieds et les mains posées à hauteur de mes seins, il frappe à la porte, en vain. Je tire sur les lèvres de mon sexe, rien ny fait. Son membre est trop gros. Quand il force le passage, je crie de douleur. En levrette, cest à peine plus facile. Il passe la tête au prix dhorribles douleurs et de plaintes pitoyables. Il y a un mieux, un petit mieux seulement, à peine perceptible. Jai le sentiment de mélargir un peu, de devenir plus accueillante,mais encore trop peu.
Abel ne veut pas me décourager dès la première fois. La quête dune belle âme est si difficile, la bonne volonté si rare ! Il faut essayer autre chose. Je comprends mieux celles qui se sont dérobées. Finalement cest si simple avec mon mari. Ma générosité me perdra. Abel se couche sur le dos, tient son énorme pique dans une main, décalottée, raide et dure, la dirige vers le ciel, minvite à masseoir dessus, mattend. Je lenjambe, je lui fais face, je maccroupis lentement, avec précautions, jusquà toucher de mes lèvres étirées le nud violet menaçant. Quatre mains saisissent les chairs de lentrée et écartent la fente. Abel me parle dun losange rose. Un centimètre, deux, trois, mes chairs cèdent sous la pression, mon poids mentraîne vers le bas .
La hampe sinfiltre lentement, senfonce millimètre après millimètre dans le manchon qui glisse lentement vers le bas du sexe mâle. Cest une rude épreuve, mais je veux surmonter et mes craintes et ma peine, car je ne dois pas oublier que je rends un service à ce malheureux. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Je fais des cercles autour du pivot qui menvahit. Mais la pénétration est de plus en plus difficile. Le foret a atteint la profondeur à laquelle Robert parvient les jours de grande forme. La suite na jamais été visitée, explorée. Abel massure quelle existe et quil est indispensable de la révéler, cest là quest le plaisir le meilleur. Là sarrête les chemins de randonnée ordinaire dune queue vigoureuse mais ordinaire dans mon corps dépouse heureuse. Tout reste à défricher, passée cette profondeur . Jai limpression de mouvrir. Les bords se décollent, le gland découvre des plages inexplorées.
Sil y a en moi, plus loin en direction de mon utérus, des peintures rupestres au-delà de cette limite des visites maritales, elles nont jamais été effacées par les frottements dun pénis, foi de Simone. Après, Abel entrera en terra incognita, à la façon des grands explorateurs du XV siècle. Je redoute linvasion brutale de ces détroits aux bords rapprochés, aux aspérités non polies, je redoute surtout le passage en force dun bélier impitoyable et les douleurs quil pourra engendrer dans ces contrées inconnues et insoumises jusquà ce jour. Cest un peu comme une deuxième défloration.
Le temps me paraît interminable, la douleur est de moins en moins supportable. Parfois je me soulève le long du mât pour la soulager. Mais Abel entend aller au bout et plaque ses mains sur mes hanches et il ajoute au poids de mon corps leffort de ses muscles pour mencorner complètement, pour senfoncer jusquà la matrice. Il me perfore, me troue et finit par comprendre que quelques millimètres perdus en remontant permettent den gagner dautres en redescendant. Je vais pleurer, Abel pousse un cri de victoire, il a heurté le fond du gouffre, ma envahie, enfilée, embrochée comme une volaille, à fond.
Il est fou de joie et se moque de mes tourments. Et maintenant ses mains me repoussent vers le haut puis me laissent retomber, mempaler et il me possède encore et encore. Monsieur a atteint les limites et entreprend après la perforation de me labourer, de me fouiller, de me sabrer avec le vague espoir de mapprofondir encore si cest possible et de mélargir. Maintenant je suis véritablement femme.
- A quoi bon ? Tu sais quil ny aura pas de suite. Jai fait pour toi une exception. La preuve est faite que tu peux tunir sans dommage à toute femme normalement constituée si elle a le courage de subir. Ôte toi de la tête lidée désespérante dun excès insurmontable. Au contraire tu me procures un véritable plaisir. Les autres ne sauront plus sen priver.
Mon vagin devient machine à masturber, bien vite machine à traire et les jets de sperme agissent sur mes brûlures comme un onguent apaisant. Cette fois je marrache à son emprise, je remonte la longue tringle qui ma fouillée.
Ouf, je suis meurtrie mais délivrée. Je le crois. Erreur ! Abel me culbute sur le dos, mécarte les cuisses, se repositionne et veut savoir si désormais, dans nimporte quelle position il pourra me prendre, moi ou une autre. Il ne veut rien laisser au hasard. Je suis compréhensive. Il doit pouvoir entreprendre ses conquêtes prochaines libéré du doute. Son pieu infernal a craché ses énormes réserves de sperme gras et il glisse grâce à son jus un peu plus facilement dans mon vagin écorché. Sans pitié, sans considération pour le don que je lui ai fait, le sauvage pompe, me bourre, va et vient en longs mouvements et malgré moi, malgré ma résolution de rester fidèle à Robert, Abel menvoie au septième ciel. une fois de plus.
Jai eu mal, très mal, mais je jouis, je jouis, je jouis hihihi, je hurle de plaisir cette fois, je passe un temps fou dans la ouate des nuages de volupté extraordinaire. Et la brute heureuse me remercie dun premier et interminable baiser à pleine bouche pendant quil me farcit le sexe dune nouvelle et surabondante portion de spermatozoïdes. Il était temps de le délivrer de la pression de réserves accumulées depuis sa dernière tentative infructueuse. Je suis pleine, le foutre déborde, coule entre mes fesses, tache mon drap sans souci.
- Oh! Toi alors, tu as été merveilleuse ! Merci.
- Oui, mais vite, cest fini, il faut te sauver ou mon mari va te casser les reins. Ma curiosité nest pas entièrement satisfaite, jaimerais connaître limportance de mon exploit ? Tu comprends, pour moi cest une première, il faut que je sache ce que je puis supporter, quelle est la dimension limite acceptable par mon vagin. Oh ! Cest purement théorique . A propos, tu mesures combien ainsi déployé?
- Vingt quatre.
Il est tout fier de me renseigner, comme si jétais le Guinness des records. Toilette, départ précipité. Je suis sur les rotules, pantelante, fière de ma généreuse collaboration. Étonnée de limmense récompense obtenue pendant lacte de chair avec cet étalon. On dit quil faut souffrir pour être belle. Jajoute quil faut vraisemblablement souffrir pour connaître de vrais orgasmes.
24, cest le double de 12...! Je ne me serais pas cru capable de recevoir 24 centimètres. Cest énorme, je peux et je ne le savais pas. Je me contentais de la moitié. Je nen reviens pas, je lai plaint, je ladmire. Mon pauvre Robert devrait sinformer sur la possibilité de dépasser ses douze centimètres. Sans compter la différence énorme de diamètre. Et,ce qui me trouble le plus, cest cet orgasme fantastique qui nen finissait plus denvoyer des décharges électriques des cheveux au bout de mes orteils. Cela ne mest pas arrivé avec mon mari. Pourtant je laime et cest à lui que je me suis unie pour la vie. Certaines choses sont mal faites. Robert aurait dû tomber sur lune de ces froussardes quAbel ne réussit pas à conquérir. Et moi ? Je suis condamnée à ce que, dans mon ignorance, jai choisi: une petite bite. Mais il faut oublier, oublier, oublier ma bonne action.
Pourvu que mon coureur à pied soit fatigué ce soir. Je ne supporterais pas une autre union, même avec sa petite queue, après le fête mon sexe cuve sa douleur. Mais, mon Robert, je laime. Si
Abel, nest quun accident, un excès de générosité. Car jaime mon mari. Je laime ! Abel: un détonateur. Robert va en profiter dans les prochains jours ! Grâce au travail dAbel, Robert me fera mieux jouir et il en tirera une juste fierté. Il senfoncera plus loin sans résistance. Cest toujours ça de gagné.Mais le voilà.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!